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Promenade en voiture

Promenade en voiture



Il y a un peu plus d’un mois, un couple de maghrebins d’origine algérienne m’a contacté par le biais du site. La quarantaine bien tassée pour lui, le début de la trentaine pour elle.

Une douce entrée en matière et la consultation du profil de chacun suivi de quelques dialogues crus, mais a priori anodins. Des dialogues parfois hard, parfois soft qui semblaient à la base ne pouvoir déboucher sur rien et l’envoi de deux photos, une de face, une de sexe, la rencontre fut organisée.

Le rendez-vous était fixé et les jours puis les heures étaient comptées. Douche interminable, épilation du sexe et des aisselles, coupe des ongles et taille de la barbe d’Arabe. Parfumé, sur mon 31 ou presque, car bien qu’habitué aux rencontres d’une autre dimension, je voulais avoir l’air détendu sans pour autant transpirer l’assurance qui me caractérise, mais qui peut gêner parfois.

Voiture, autoroute, périph (bouchons cela va sans dire) et me voilà rendu à la mystérieuse adresse. Une ruelle assez mal éclairée dans la proche banlieue parisienne a quelques centaines de mètres du périph. Une de ces ruelles sale et lugubre, un coupe-gorge. Repère de voyous menaçants, de dealers guetteurs méfiants et de putes pour cracheurs de sperme au R.S.A. qui martèlent le pavé de leurs talons abîmés.

Le stationnement trouvé, à proximité du numéro d’immeuble indiqué lors de notre dernier échange dans cette fameuse rue très sombre à une cinquantaine de kilomètres de chez moi. Mais après plus d’une demi-heure de retard et alors que je pensais le rendez-vous tombé a l’eau. Convaincu qu’il ne s’agissait que d’un lapin posé par une lapine et son mâle. Lâché par ces peureux curieux et peu scrupuleux qui ne viendraient plus vint pour moi le moment de rebrousser chemin.

C’est à cet instant précis qu’une rutilante grosse berline allemande noire aux vitres teintées se gara près de ma portière. Lâché par ces peureux curieux et peu scrupuleux qui ne viendraient plus vint pour moi le moment de rebrousser chemin.

Depuis mon siège, je ne voyais à peine plus que les jambes croisées d’une femme assise sur la banquette arrière. Des jambes musclées et galbées. D’élégantes chaussures à la semelle rouge pour sertir cet écrin. Lorsque je décidais de la rejoindre, elle était assise dans le noir, un bandeau de soie opaque sur les yeux. D’une voix suave, elle me dit d’entrer, de m’asseoir près d’elle. Pour me rassurer me dit qu’elle ne mordrait pas (Enfin… sauf si je lui demandais).

Prenant place près d’elle sans qu’elle n’ait à me supplier. Puis ordonna au chauffeur de refermer la porte et de reprendre la route.

Noyés dans la circulation, elle posa ses mains sur ma cuisse en dessinant des cercles de plus en plus insistant, puis ma queue dont elle tentait d’agripper la verge. Elle ouvrit les deux ou trois boutons de mon jean et après l’avoir malaxée comme pour tâter un fruit trop mûre, elle lapa et aspira ma bite si fort que de mole elle devint dure en un instant. Elle plaquait ma verge sur son palais en frottant ma queue de sa langue habile.

Agrippant sa tête de la main droite, mes doigts faufilés entre ses cheveux soyeux, j’appuyais sur sa nuque avec une pression constante comme pour mieux lui baiser la bouche. Entrant mon sexe jusque dans le fond de sa gorge jusqu’à l’asphyxie allant jusqu’à plaquer mes épaisses couilles sur son menton dégoulinant de bave. Puis relâchant l’étreinte comme un serpent constricteur desserrerai ses anneaux autour de sa proie, cherchant son souffle, les yeux presque exorbités, le maquillage coulant, elle se redressa et s’appuya sur sa portière avant d’écarter en grand ses cuisses laissant apparaître une belle chatte épilée. Un berlingot luisant de sciprine. Je plongeais alors ma tête entre ses jambes et dévorais sa chatte dégoulinante plongeant ma langue jusque dans les commissures de son anus, au fond de son cul bombé et bronzé pour ratt****r le jus qui malgré mon application m’aurait échappé, lissant ses lèvres intimes de mes lèvres charnues.

Les vitres teintées du véhicule roulant au milieu de la circulation dans un flot de voitures et de motos laissaient apparaître les traces de mains plaquées sur les carreaux embués. Le chauffeur une œil sur la route, un œil sur le rétro conduisait sans dire un mot. Une main sur le volant, une main sur sa queue, le pantalon aux chevilles, baisant cette chienne par procuration. Imaginant être à l’origine des ses gémissement, de ses mots crus. Cette coquine voulait se faire baiser devant son mari. Ce fut chose faite lorsque les préliminaires furent terminés. J’ai fourré cette partenaire, salope d’un soir. d’un orifice à l’autre du cul a la bouche, de la bouche a la chatte alternant caresses, claques au visage et aux fesses, insultes, crachats, cheveux agrippés, domination jusqu’à l’orgasme et ça durant près d’une heure dans toutes les positions que le corps et que l’espace confiné de ce véhicule permettaient alors. L’éjaculation épaisse dans sa bouche avalée suivie d’un dernier baisé baveux, elle déclara être ma pute a la vie puis le véhicule s’immobilisa à nouveau près de ma voiture et le chauffeur, mari d’une femme dépravée vint ouvrir la portière de nouveau afin que je regagne le cours de ma vie. Un clin d’œil complice du cocu mari et leur voiture s’éloigna dans la nuit sans que je sache quel était leur nom. Mon jus en elle, son adn sur ma verge moite chacun repris, rassasié de plaisir sa vie où il l’avait laissé.

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