Je suis une grande jeune femme dans la trentaine avec un corps plein, de beaux seins, et des fesses confortables. Je travaille dans une agence de voyage comme commerciale et j’aime mon travail qui me met en contact avec beaucoup de gens. Je suis célibataire et contente de l’être restée. J’aime les hommes et le sexe depuis la puberté. Je n’ai pas de tabous et mes amants sont très variés en âge, profil social, aspect physique. Ce qui m’excité c’est la rencontre et l’assouvissement de deux désirs. J’aime aussi les situations insolites qui mettent du piment dans l’acte lui-même. Mais j’ai une règle d’or, je n’ai jamais deux relations sexuelles avec le même homme. Je suis une collectionneuse qui tient ses comptes. J’ai dépassé depuis peu les 1000 amants.
Dans mon agence de voyage j’ai cinq collègues hommes qui ont entre 30 et 60 ans. Je les ai tous fait jouir une fois dans des relations très discrètes donc ils ne savent pas qu’ils m’ont partagée. Je profitais de la pause de midi pour aller prendre un café avec l’un ou l’autre dans une grande brasserie proche. Il y a de grandes cabines de toilettes dont une plus vaste aux normes handicapés. C’est là que j’ai emmené chacun de ces hommes après les avoir chauffé par une conversation orientée. J’aime leur sortir la bite du froc, les caresser, me baisser pour les sucer et me retourner penchée en avant en appui sur la cuvette pour qu’ils me baisent pendant que je les regarde dans le glace. Des fois ils éjaculent vite et je ne jouis pas. D’autres fois ils sont endurants et je prends mon pied. Une fois l’un d’entre eux, le plus âgé a voulu m’enculer mais j’ai refusé car j’aime ça mais dans le confort de mon appartement. Le plus jeune voulait absolument sortir régulièrement avec moi mais je lui clairement dis que je ne baisais qu’une fois. Ils ont tous une certaine tendresse pour moi ce qui facilite bien le travail à l’agence.
J’habite un appartement en ville dans un immeuble de 5 étages tous occupés par des couples. Mes voisins sont bien sûr aussi mon terrain de chasse. C’est facile car les hommes sentent que j’aime le sexe.
L’un m’a aidé à monter un sac lourd jusque chez moi. Je lui ai proposé une bière. Notre conversation a été limitée car je l’ai sucé pendant qu’il la buvait. Nous en sommes restés là car sa femme l’attendait.
J’en ai sollicité un autre pour m’expliquer le fonctionnement du tableau de disjoncteurs. Je l’ai sucé aussi car j’adore ça et il m’a baissé en levrette contre la table de la cuisine. Lui c’était un cycliste entraîné et il m’a bien faite jouir. Quand je l’ai croisé avec sa femme le lendemain je leur ai dit « merci beaucoup pour l’explication d’hier, vous avez été très pédagogue ».
Il y a un papy de plus de 70 ans au premier étage. Il est en forme et a de l’humour. Un jour je le croise sur son palier. On échange quelques mots. Il avait le temps, sa femme étant chez une cousine. Il me dit « c’est dommage une belle femme comme vous encore seule dans la vie ». Je lui ai répondu que j’avais un secret. Il m’invita à rentrer chez lui pour en savoir plus. Cinq minutes après j’étais lui aussi en train de le sucer. Il a mis du temps pour bander et j’ai dû le pomper longtemps mais il a joui en disant « ça fait longtemps que j’en rêvais en vous croisant dans l’escalier ».
En vacances j’ai un appétit sexuel augmenté et j’aime beaucoup avoir une queue en bouche au moins une fois par jour. J’y arrive. Une fois j’avais loué un bungalow dans un camping et c’est le jeune homme qui me l’avais ouvert pour l’état des lieux qui fut surpris quand je lui dis « mais on n’a pas tout vu » en lui mettant la main entre les jambes. On a essayé le lit et j’ai bien pris mon pied.
Il avait dû en parler à ses collègues car presque tous les jours l’un d’entre eux passait voir si je n’avais besoin de rien. Et j’avais souvent besoin d’eux pour une petite gâterie. L’un d’entre eux était métis avec une belle peau fine et mate. Il avait un sexe exceptionnel : droit, fort, doux, qui sentait bon le mâle bien propre. Je l’ai sucé puis je l’ai emmené dans mon lit et quand il m’eut baisé je l’ai excité de nouveau pour qu’il me sodomise. C’est mon meilleur souvenir de ces vacances-là car il a été endurant et doux.
Je ne suis jamais en manque d’homme, car je suis bien faite et de caractère agréable. Il me suffit de demander pour obtenir. Je trouve que les hommes sont sympas. J’aime leur contact et je ne me casse pas la tête. Et contrairement à ce que disent beaucoup de femmes ils généralement sont de bon commerce.
Une seule fois je me suis trompée en draguant mon dentiste qui est bel homme. Il l’a mal pris en croyant que je voulais le payer en nature pour réduire la note. J’aurai du me souvenir que les dentistes sont le plus souvent des gens d’argent. Moi je suis une bonne pâte pas compliquée.
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