Une belle-mère vicieuse
Ma belle-mère s’est raccourci les cheveux. Elle les porte assez courts désormais, les oreilles dégagées, d’une couleur claire tirant sur le blond-roux. Elle porte de petites boucles d’oreilles et ses lunettes. Elle se maquille volontiers et s’habille toujours dans un style classique / Bcbg avec parfois une pointe sexy (matière satinée, jupe courte ou haut moulant). Pour son âge, elle est vraiment bien conservée, faisant très attention à ce qu’elle mange.
Je l’adore et je me vautre dans ma dévotion d’elle. J’adore l’embrasser sur la bouche et l’enlacer : à 50 ans largement passés, je suis profondément amoureux de cette femme septuagénaire, comme un adolescent d’une gamine.
Ce vendredi, elle m’a demandé de poser ma cage de chasteté avant de partir au travail et aussi un des soutien-gorges de ma propre garde-robe. Sous une chemise non moulante et avec une veste, ça ne se voit pas.
– Jean, tiens-toi prêt en Facetime à ce que je t’appelle. Tu devras répondre et aller dans les toilettes pour montrer que tu portes effectivement ce que je te demande de porter.
– Chérie, si je suis en réunion, ce sera difficile. Puis-je vous appeler quand je serai libre ? dis-je tout en me préparant.
– Tu plaisantes, j’espère. Je t’ai demandé de te tenir prêt, tu te débrouilles, tu sors de réunion. C’est clair.
– Oui ma chérie, je ferai tout ce que vous voudrez.
Pendant cette journée, Béatrice vérifia brièvement deux fois par vidéo que la cage muselait mes parties et que je portais bien mon soutien-gorge. Comme je portais également l’une de ses culottes haute mais fine, j’avais collé sur le devant de sa culotte et contre la cage une serviette hygiénique pour éviter de tacher mon pantalon gris.
En effet, quelques gouttes d’urine à travers la fente de la cage, ou le lubrifiant qui coulait de mon gland décalotté se seraient vus. Ma belle-mère tolérait mon port de serviette.
Plusieurs fois dans la journée, comme je n’avais pas joui depuis plusieurs jours, voyant des collègues femmes ou en pensant à Béatrice, une érection survenait qui était bloquée immédiatement. J’avais parfois mal à mes testicules, mais je m’étais habitué à porter des journées entières ma cage CB6000 courte qui me tenait totalement le sexe et enserrait mes testicules.
Je portais encore ma cage le soir quand ma belle-mère vint chez moi après le diner. Elle s’installa dans mon fauteuil avec ses magazines, et me demanda de me mettre nu à mon ordinateur.
– Soumis, je te demande de regarde des vidéos de domination féminine pour ton éducation. Je t’interdis bien sur de te caresser même en remuant ta cage. Moi, ça ne m’intéresse pas, je vais lire.
– Merci Maitresse, je sais que Vous faites cela pour aiguiser mon désir de Vous, et c’est bon de souffrir pour Vous offrir tout mon désir et mon amour que Vous méritez tant.
Pendant une heure environ, le casque sur les oreilles pour ne pas déranger ma Reine, je matais des vidéos de masochistes soumis à leur Maitresse. De temps à autre, Béatrice regardait par-dessus mon épaule, et me pinçait durement les tétons quelques instants. Mon gland rougi qui cherchait à repousser la terrible cage me faisait souffrir.
Je regardais des scènes d’humiliation, de coups sur les parties intimes, de douche doré et autre, et j’aimais faire cela devant ma Maitresse si vicieuse.
Béatrice n’a plus de limite dans mon humiliation
Au bout d’une heure, elle me demanda de stopper les vidéos, de me mettre à quatre pattes. Elle se retourna, souleva le bas de sa robe noire, baissa son collant noir et sa culotte blanche, s’accroupit presque pour venir présenter son petit fessier à mon visage. Elle tenait ses fesses écartées et je voyais toute sa raie de son cul poilu. Ses poils étaient poivre et sel, entourant son anus brun et ses lèvres vaginales pendantes.
– Esclave, je veux savoir si tu m’aimes et me désires totalement. Je deviens folle à cause de toi mais c’est trop bon de te posséder, de te tyraniser. J’ai des gaz ce soir, et je te demande de respirer mes parfums naturels. Tu as compris? je veux t’entendre respirer mes pets par le nez.
Elle était sur le bord de rire par moquerie, interloquée elle-même de son audace, mais l’ordre était tombé, clair et net.
J’attendis plusieurs secondes, le visage à quelques centimètres de son cul. Puis, le silence parfait fut rompu par des chapelets de pets. J’étais complètement excité par une énorme et longue frustration, aussi je plongeai dans son caprice. A chaque pet, j’aspirai ses gaz bruyamment par le nez. On sait bien ce qu’un pet sent et c’est vraiment dégueulasse. Pourtant j’aspirai tout ce que je pouvais, tout en la remerciant de ses cadeaux.
Elle se redressa enfin, me complimenta comme esclave pervers, se rhabilla, et partit sans m’embrasser en me demandant de garder ma cage pour la nuit.
Ma nuit fut pénible…
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