Sylviane – Balbutiements SM (1)
Mon amie Michèle, avait évoqué à plusieurs reprises des possibles rencontres pour des jeux très pimentés qu’elle avait expérimenté avant moi avec Philippe son mari et d’autres personnes que je ne connaissais pas encore. Elle était restée très mystérieuse, ne daignant me dévoiler que des broutilles sans jamais en venir au fait. Je n’avais pas vraiment d’idées précises sur les jeux que pratiquait Michèle, jusqu’au jour où nous nous sommes retrouvées quelques jours seulement après une de ces fameuses soirées secrètes.. Nous n’étions que toutes les deux, mais ne pouvant rester sage quand je suis avec elle, l’ambiance s’échauffa rapidement et nous commencions à nous mettre à l’aise. Je sentais bien que Michèle avait quelques réticences alors que le plus souvent chemisier, jupe et culotte tombaient rapidement là elle se faisait prier. Mais je suis entreprenante et têtue, je finis par venir à bout du dernier bouton de son chemisier et je libérais sa poitrine. Et là je restais interdite… les seins de mon amie étaient marqués de stries rougeâtres, certains endroit de ses seins assez menus montraient des ecchymoses , certains endroits montraient une peau qui s’était ouverte un peu de sang avait coulé.
Je restais interdite, la bouche ouverte une main sur la bouche. Je ne savais quoi penser.. Ce qui m’est passé par la tête c’est.. Philippe son mari la bat.. J’avais du mal à imaginer çà car ils étaient soudés, amoureux lui prévenant toujours adorable j’avais du mal à le voir en beauf battant sa femme.. pourtant… enfin c’est très différent.
– Qu’est ce qui t’est arrivé ma chérie lui demandais-je
– Bon de toute façon je voulais t’en parler, laisse moi tout t’expliquer.
Je laissais alors Michèle me raconter son histoire.
Il y avait plusieurs mois presque un an ils avaient dans un club rencontré un autre couple, ils avaient sympathisé. Ces gens étaient adeptes de jeux très pimentés basés sur la soumission domination. Ce qui avait profondément intrigué Michèle qui avait voulu en savoir plus. Elle en savait tellement plus qu’elle s’était prise au jeu. Elle m’expliqua que les sensations étaient uniques, fortes, troubles aussi car elle devenait un jouet, un objet de plaisir y perdait son libre arbitre du moins en apparence. Tout ce qui se passait, tout ce qu’elle faisait ou subissait était totalement accepté par elle. Sorte de jeu ou la soumise est en fait la maîtresse du jeu. Jeu de miroirs ou la réalité n’est jamais celle que l’on pense voir. Michèle était enthousiaste, conquise. Elle finit par me dire que cet aveu elle me l’aurait fait bien plus tôt si elle avait été sure que je comprenne ses motivations. J’avoue que sur le coup j’avais du mal à relier, plaisir et les marques de coups qu’elle avait sur tout le corps, son dos, ses fesses ses cuisses étaient marqué plus ou moins profondément.
Elle m’expliqua le plaisir trouble qu’elle ressentait quand on l’humiliait, on la fouettais ou qu’on lui fasse subir des tas d’autres choses. Elle m’assura que son plaisir était décuplé. Je connaissais assez Michèle pour prendre pour argent comptant ce qu’elle me disait. Elle me décrivit les arcanes de ces relations étranges. La codification était importante, le rituel faisait partie intégrante du plaisir. Le décorum, la mise en scène était importante. Elle me dit que Philippe réticent au début se prenait au jeu et que lui aussi appréciait soi d’être celui qui dirige ou être celui qui subit… Ils échangeaient leurs rôles.
Intriguée, émoustillée peut être pas mais curieuse je la submergeais de questions. Elle se plia bien volontiers à cette explication. Puis elle me fit comprendre qu’a moins de rentrer dans ce jeu j’aurais du mal à appréhender tout le sel des ces situations. De fil en aiguille il devint évident que soit j’osais rentrer dans le jeu…soit je devais décliner toute invitation. L’invitation de Michèle c’était de participer comme « observateurs » à une soirée avec leurs amis. Elle me précisa que ces nouveaux amis étaient pratiquants de longue date et qu’ils poussaient les jeux très loin entre eux, beaucoup moins avec elle et Philippe et que Chris et moi serions surtout observateurs à moins de vouloir être plus impliqués.
A force de curiosité et d’explications de Michèle et Philippe aussi, Christian et moi avons pris la décision d’au moins aller voir. Nous avons confiance dans nos amis, ils nous ont assurés que c’était un contact, une sorte d’initiation enfin une participation peu active durant laquelle il ne nous serait proposé que de regarder ou un peu aider au déroulement. Nous avions bien intégré la codification extrême de ces rencontres, de ces jeux. Codes vestimentaires, codes de langage et bien sur la sécurité des ébats. Ce qu’il faut surtout avoir en tête c’est que quelque soit l’action entreprise, qu’elle soit bénigne ou parfois extrême elle est TOUJOURS acceptée par les deux partis et principalement par la ou le soumis. Dans un cercle SM même la pire des choses que vous verrez être appliquée est vraiment désirée par l’esclave. Tout ce que j’ai subi depuis le début je l’accepte, je le demande et j’en ai envie. Vous allez me dire alors pourquoi jouer l’esclave… C’est justement une partie du jeu.. dire non refuser faussement les sévices c’est le jeu, cela excite le/la partenaire et cela excite le/la soumise. Ce n’est pas facile à faire comprendre parfois .. Certes je ne parle pas de cela très souvent entre la poire et le fromage.. Vous le comprendrez.. facilement.
Donc avec nos amis Michèle et Philippe nous avions accepter de participer à une soirée Sm qui devait avoir lieu quelques semaines plus tard. Mon amie Michèle me donna toutes les explications voulues, elle était un peu encline à me convaincre de l’intérêt et du plaisir qu’elle tirait de ces jeux. Elle m’expliqua qu’elle adorait être la soumise et qu’elle appréciait beaucoup la flagellation. Au vu des marques qu’elle portait je dois dire avec fierté, il était évident qu’elle aimait cela. Mais rapidement je me mis à regarder des vidéos, des images SM, je dois dire que je n’étais pas si attirée que cela par les choses que je voyais et je commençais même à me poser des questions. Mais Michèle est une de mes plus vieilles amies et je lui fait totalement confiance. J’attends avec un peu d’appréhensions et d’impatience ce fameux week-end.
La fin de semaine arrive, enfin. Je me suis faite belle et désirable, une robe blanche très transparente ne cache presque rien de mon anatomie, ma peau foncée tranche avec le tissus immaculé. Mes aréoles sont nettement visibles, ne ne porte pas de soutien gorge, ma poitrine se tient sans difficulté. Mes bas sont d’un blanc nacré lumineux. Je ne porte qu’un porte jarretelles aucune culotte. Je suis épilée de frais. Mes escarpins sont blancs eux aussi. Dans la glace avant de partir je me suis jugée très « baisable » Christian à les yeux qui pétille en me voyant. Je lui plais. Nous partons le vendredi en fin d’après midi car les amis de Michèle et Philippe sont en province. Après quelques heures de route nous arrivons dans une belle propriété, presque un petit château en plein milieu d’un vignoble. Demeure de caractère, vieilles pierres tourelle ronde et toit conique. Une cour fleurie, un bassin .. des chiens qui nous regardent arriver. Une espèce de carte postale des vieilles demeures françaises. Mais pas d’ostentation, pas de chichis apparents, c’est du terroir du vrai. La première impression est excellente. Un couple est sur le perron. Lui grand grisonnant très distingué la cinquantaine, grand sourire amical. Elle petite, brune au cheveux très courts, de jolies formes dans une petite robe noire très légère. Elle porte des bas résille et de jolis escarpins aux talons vertigineux. Marie est jolie, elle a une petite quarantaine, de beaux yeux verts, une bouche petite mais superbement dessinée. De petites rides au coins des yeux lui donnant un air malicieux. Mais surtout sa démarche, son déhanché est affolant. Elle semble souple même si ses formes sont pleines. Marie et Charles nous reçoivent avec une gentillesse inouïe et une grande classe.
Nous prenons contact devant un verre de vin du domaine car Charles est vigneron. Et même si je ne suis pas amatrice de vin contrairement à Christian, celui là est en effet très agréable. Je suis surprise de la complicité de Marie et Charles. En fait je m’étais imaginée qu’elle serait soumise dans tous les instants de la vie. Elle m’explique que pour eux la soumission s’arrête en dehors des jeux sexuels. Elle me rassure, expliquant qu’elle est son mari pratiquent depuis 20 ans ces jeux. Et elle m’assure qu’il n’est pas obligatoire de jouer à çà pour qu’elle prenne du plaisir. Marie est très excitée et me le dit ouvertement ils n’ont pas eu l’occasion d’avoir une fille de couleur pour jouer avec eux, alors mon arrivée les réjouis. Mais comme dit Marie je viens voir.. Elle pose sa main sur la mienne et me regardant droit dans les yeux.. me dit
Tu est très belle, je suis certaine que tu va apprécier de jouer avec nous. Pour débuter tu sera celle qui me soutiens. Tu va voir c’est simple, tu reste prés de moi tu me tiens les mains, tu est celle sur laquelle je m’appuies si ça devient très fort. N’ai pas peur si tu vois des larmes dans mes yeux. Surtout ma belle dis toi que tout ce que tu va voir.. je le désire vraiment tu verra que j’aime et que je jouis de tout çà. Michèle le sait et elle est en train de devenir une très bonne soumise, mais une encore meilleur dominatrice.. pour son homme tu va voir.
Je ne pouvais qu’écouter.. quoi dire je me lançais là dans l’inconnu.
Le moment attendu et redouté arriva Michèle me prit par la main et m’entraîna dans la pièce qui était la « salle de torture » en fait cela y ressemblait fort, le sol était noir brillant une laque miroir. Les murs tendus de velours rouge, des miroirs alternant avec des tentures et le plafond totalement en miroir. Une croix de saint André appuyée contre le mur du fond, des chaînes, des entraves un peu partout. Des râteliers sur le mur ou pendent, chaînes, bracelets, fouets, canes une sorte de pouf rectangulaire sur lequel trônent divers gods petits ou énormes. Quelques photos de Marie entravée, suppliciée des photos impressionnantes tant certaines choses sont impensables. J’ai un frisson dans le dos en la voyant les seins traversés par une longue aiguille, son visage déformé par on ne sait si c’est le plaisir ou la douleur .. Michèle me rassure .. je n’aurais pas a subir quoi que ce soit.
Elle me déshabille, ma robe tombe, je garde mes bas, mes escarpins mon porte jarretelle. Michèle me trouve désirable et ne peut se retenir de me rouler une pelle dont elle à le secret. Puis elle met un collier de cuir noir autour de mon cou, sur le devant en lettres chromées est écrit « Slave », puis elle me passe des bracelets de cuir noir au poignets et aux chevilles.. collier et bracelets sont reliés par une fine chaînette d’acier qui entrave a peine mes mouvements mais déjà me sentir ainsi harnachée me procure une étrange sensation. Reliée aussi au collier une petite chaîne dorée est terminée par deux pinces simple V métallique aux extrémités de plastique noir et une perle de plastique noire coulisse sur ce V resserrant les branches à l’envie Michèle me place les pinces sur les tétons serrant raisonnablement les pinces. Puis elle place la même chaînette sur les lèvres de ma chatte. Aucune douleur ou si petite mais visuellement je me sens déjà une autre femme.
Puis Michèle se prépare, elle s’équipe comme moi en fait, elle porte juste des bas DimUp noirs ses souliers. Collier et bracelets comme moi, mais elle sort des pinces métalliques très différentes plus grosses, elle me fait tester leur puissance sur mon doigt. La pince se referme et m’écrase le bout du doigt. Mon dieu si elle met çà sur ses tétons elle va souffrir !! En fait Michèle me demande de les poser moi même sur ses seins. Michèle a les tétons dont je rêve, long, gros toujours tendus. Je tiens le bout de chair entre pouce et index, je glisse la pince et lentement la laisse se refermer en regardant les yeux de Michèle. Sa bouche se pince dans une grimace éloquente, puis elle l’ouvre dans un cri muet alors que la mâchoire se ferme sur sa chair. Puis l’autre cette fois elle pousse un petit cri. Ses yeux sont pleins de larmes. Sans un mot elle me tends une autre paire de pinces les mêmes et elle pousse son pubis en avant me signifiant que je lui place les pinces sur les lèvres de sa chatte. Agenouillée devant elle je ne suis pas capable de me retenir, je pose un baiser sur son sexe et ma langue la taquine un instant. Puis je place les pinces sur ses petites lèvres comme elle me le demande. Elle se raidit, la douleur doit être forte. Une fois équipée Michèle me prend par la main et me désigne une place au centre de la pièce. Deux coussins sont prêts. Je m’agenouille a droite, Michèle à gauche. Un instant se passe, nos hommes arrivent. Christian et Philippe arrivent. Ils sont nus, un harnais de cuir et un bâillon. Leurs sexes sont encagés dans des poches faites de lanières de cuir cloutées. Ils ne peuvent pas bander. Philippe porte des pinces sur ses tétons comme celles de Michèle.
Charles fait son entrée, tenant Marie en laisse. Elle est nue, une ceinture de cuir large lui ceint la taille et la coupe en deux littéralement tant elle est serrée. Notre hôtesse je le vois maintenant est percée, ses tétons portent de gros anneaux qui lui percent les tétons, des anneaux lourds qui tirent les pointes vers le bas. Ses seins sont étranglés par des bracelets noirs de caoutchouc. Elle a deux obus presque obscènes avec au bout des tétons gonflés et percés. Sa bouche est bâillonnée par un anneau d’acier qui lui maintient la bouche ouverte et disponible pour tout ce qui est possible d’imaginer. Épilée totalement elle est également annelée au sexe. Ses grandes lèvres sont percées par 4 anneaux de grosse taille et ses petites lèvres en porte 4 plus petits. Elle porte un anneau sur le capuchon du clitoris, mais je vois avec étonnement et un frisson dans le dos qu’un anneau assez gros perce carrément le clitoris de Marie de part en part. C’est irréel, étrange je regarde cette jolie femme se placer face à nous entre Michèle et moi. Nos hommes sont derrière nous. Charles porte juste un cache sexe en cuir dans lequel se love un sexe qui me paraît très généreux. Il est assez velu mais presque tout blanc. Plutôt bien fait, bel homme et musclé. Ses mains sont grandes et puissantes. Il passe ses doigts sur l’échine de Marie qui frissonne. Il donne un ordre bref
– Mains sur la nuque
Marie obtempère.
Elle à les yeux brillants, un petit sourire, elle me regarde et me fait un petit clignement d’yeux comme pour me dire tu va voir tu va adorer. Charles va vers le mur, il prend un martinet aux longues lanières. Il fait glisser les lanières sur la peau de Marie qui frissonne. Elle me regarde intensément. Avec sa bouche grande ouverte son visage est étrange. Sa salive coule sur son menton se répand entre ses seins gonflés, au fil des minutes ils sont de plus en plus rougissants, les liens de caoutchouc entre dans la chair étrangle ses mamelles. Mais je trouve çà beau… excitant. Je suis un peu surprise mais le spectacle de cette femme qui va subir des sévices encore inconnus de moi, ça me fait mouiller et machinalement mes doigts s’agitent lentement sur ma fente. Je remarque n’étant qu’a moins d’un mètre de Marie, je remarque que depuis qu’elle est arrivée, son sexe annelé est maintenant humide, légèrement sous la lumière crue je distingue maintenant une humidité entre ses lèvres qui baillent légèrement.
Du coin de l’œil j’aperçois Michèle agenouillée comme moi. Son pouce est appuyé sur la chaînette qui relie ses pinces aux tétons et elle appuie, étirant les points se faisant mal car elle grimace légèrement. Un petit coup d’œil vers Christian derrière moi, ainsi à genoux je suis à hauteur de son sexe. Il bande enfin il essaye car la cage de cuir empêche son sexe de se déployer.
Je suis comme dans une sorte de rêve. Toute la scène semble irréelle, sortie d’un conte pervers. Charles agit avec une lenteur calculée. Je finis par comprendre que l’attente fait partie du jeu. Marie est de plus en plus haletante. Ses yeux essayent de deviner les intentions de son maître de mari. Soudain justement Charles remarque la danse de mes doigts sur ma chatte. Il approche de moi. Mon cœur fait un bon, il était convenu que je ne subirais rien. J’ai un instant de peur qui fait grimper mon rythme cardiaque. Charles me contemple durement. Il secoue la tête pour dire non. Du bout d’une longue cravache il tapote sur mes doigts.. Pour me rappeler.. que je n’ai pas le droit de me toucher sauf s’il m’en ai fait la demande. Dans mon excitation j’avais oublié cette règle. Mais une chose est certaine, cette situation m’excite au plus haut point. En fait je vois que tous les participants sont fébriles et excités. Marie est agité de frissons, ses jambes tremblent également. L’humidité qui perle entre les lèvres de son sexe atteste que la tension et l’excitation monte. Je constate que malgré le peu d’événements survenus.. L’attente du plaisir, l’attente de la punition génère une accumulation de désirs.
Charles promène le bout de la longue cravache sur le corps de Marie, le long des cuisses puis il remonte sur les flancs, glisse sur le ventre puis remonte entre les seins gonflés. Oh ces seins j’ai bien du mal à les quitter des yeux. Ils sont maintenant d’une teinte soutenue, rouge gorgés de sang sauf là ou les bracelet de caoutchouc les enserrent, à cet endroit la peau est livide, blanche. Les tétons de Marie en fait sont maintenant partie intégrante de ses seins, ils sont noyés dans l’ogive de sa poitrine. Les aréoles assez larges ne se distinguent plus de la pointe seuls les anneaux marquent l’emplacement des tétons. Marie à le souffle court, elle frissonne de plus en plus sous les attouchements. Sa bouche obscènement tenue ouverte par le bâillon anneau laisse échapper une salive de plus en plus abondante qui ruissellent maintenant jusqu’à son ventre. Du bout de la cravache Charles fait se lever les anneaux avant de les laisser retomber. Il semble que leur poids et la tension des seins de Marie conduisent à une douleur non anodine, ou est ce l’excitation ?
Je me sens de plus en plus humide, Michèle ne quitte pas Marie du regard, Philippe derrière elle semble bander comme un fou dans sa prison de cuir.. tout comme mon homme.
Soudain sans crier gare.. Charles lève la cravache et assène un coup sur les seins de Marie qui se tend, pousse un cri et les yeux roulant dans leur orbite regarde Charles intensément. Agitée de soubresauts Marie pour autant reste en position main sur la nuque, jambes écartées, totalement offerte à son maître.
– Merci maître dit elle puis elle ajoute… encore…
Charles lui caresse la joue, se déplace autour d’elle puis une nouvelle fois asséné un coup sur les seins offerts. Je remarque même que Marie elle même oriente son corps pour qu’il soit facile de la frapper.
Je me surprend à penser que j’aimerais être à la place de Marie, je commence à ressentir un désir pour ce genre de choses. Je suis excitée, je sens mon sexe de plus en plus humide. Malgré l’interdit je ne peux faire autrement que de me toucher.
Sur les seins de Marie deux marques rouge sombre naissent lentement. Charles passe la main sur les seins meurtris.. Marie le regarde amoureusement.. Les lèvres de son sexe sont trempées, elle mouille comme une folle.
Décidément ce préambule… m’excite.. follement.. et ce n’était qu’un hors d’œuvre.
A suivre……………………..
Sylviane.
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