Un de mes premiers émois date d’il y a plusieurs années. Je revenais de l’entraînement de foot auquel je participais chaque mercredi après-midi. En arrivant à la maison, sans même avoir le temps de me doucher, ma mère qui est dans le salon me montre une sorte de grosse trousse de toilette qui est sur la table basse et me demande la rapporter à son amie Karine qui l’a oubliée. Karine est la meilleure amie de ma mère et lui fait aussi profiter de ses talents d’esthéticienne à domicile pendant que je vais au foot et que mon père est au travail.
— Mais j’ai même pas eu le temps de prendre une douche !
— Tu le feras en revenant, je te demande juste d’aller déposer ça chez elle, elle l’a oublié et en a besoin pour son travail.
C’est donc encore suant de la séance de sport que je mets la trousse sur mon porte-bagage et pédale jusque chez Karine. Heureusement, elle n’habite pas très loin, dans un des nouveaux immeubles qui venaient d’être construits à Didier. Un quart d’heure après, encore essoufflé par la course, je sonne à la porte de son appartement. J’entends des pas : « Qui est-ce ?
— C’est Francis, le fils de Mathilde. Je t’apporte ta trousse.
— Ha oui, merci beaucoup d’être venu si vite dit-elle en ouvrant la porte.
J’ai déjà vu Karine, mais là elle porte seulement un paréo en tissu blanc très fin qui fait ressortir sa peau très foncée, et le nœud sur sa poitrine pour faire tenir le vêtement, lui comprime les seins mais les fait aussi ressortir. Je suis fasciné par la pointe de ses tétons, qui me paraissent énormes et que le tissu souligne plus qu’il ne les dissimule.
Karine me tend sa joue et je suis obligé de me pencher légèrement pour l’embrasser, mais un brusque mouvement de sa part fait que je me retrouve à lui baiser les lèvres. Je me recule rapidement : « Désolé », dis-je.
— Ce n’est pas grave. Suis-moi. Viens poser la trousse dans le salon, dit-elle en me tournant le dos pour me guider à l’intérieur de l’appartement.
Évidemment mes yeux regardent alors ses deux grosses fesses qui roulent devant moi, cachées par le tissu qui s’arrête à mi-cuisse. Son paréo est tellement mince, que je me rends compte rapidement qu’elle ne porte aucun sous-vêtements. L’érection que j’ai depuis qu’elle a ouvert la porte devient encore plus forte, et je me demande comment je vais pouvoir la dissimuler.
L’appartement n’est pas très grand, mais moderne et lumineux. Dans le salon une table de massage est installée ainsi que plusieurs boites ou trousses comme celle que je porte.
— Tiens, pose ça à côté des autres. Tu veux boire quelque chose après avoir couru comme ça ?
— Oui, un coca si tu avais ?
— Non, pas du tout, désolée. J’ai de la Didier ou bien un jus de maracudja que je viens de faire.
— Le jus, ça ira très bien, merci.
Elle va de l’autre côté du bar de la cuisine à l’américaine pour chercher le jus dans le frigo.
— Ta mère ne m’a pas menti.
— Sur quoi ?
— Tu es vraiment devenu jeune homme.
— Merci.
— Tes copines doivent être contentes.
— Heu…
— Tu as des copines quand-même ? dit-elle en revenant vers moi avec deux verres de jus dans les mains.
— Heu… pas vraiment.
— Tu es comme tous les mecs, tu veux garder ta liberté.
— Oui, c’est mieux, je préfère.
— Assis toi, tu seras plus à l’aise.
— Merci.
Karine s’assoit elle aussi. Dans le fauteuil en face de moi. Elle écarte les jambes et j’ai alors une vue plongeante sur la fente de son sexe. Ma confusion grandit, et mon sexe qui s’était un peu calmé pendant la conversation regonfle de plus belle.
— Tu vas bien ? Tu as l’air tout drôle.
— Non, non ça va, merci.
— Tu reviens du sport c’est ça ? Tu fais du foot ?
— Oui, c’est ça, dis-je, les yeux fixés sur ce sexe dont je voyais nettement l’ouverture rose entre les cuisses couleur chocolat.
— Tu fais un massage après l’entraînement ?
— Heu, non.
— Tu devrais pour éviter les courbatures. Si tu veux je t’en fais un.
— C’est vrai ?
— Pour te récompenser de m’avoir apporté la trousse.
— D’accord, merci.
— Très bien, finit ton verre et va prendre une douche, je vais finir de préparer la table de massage.
Je bois le reste du jus d’un trait et me lève pour aller dans la salle de bain. J’entends Karine derrière moi : « Surtout ne prends pas de l’eau trop froide. » La salle de bain est moderne comme le reste de l’appartement, la cabine de douche à l’italienne est spacieuse et l’on pourrait facilement tenir à deux dedans. Je me déshabille et ouvre les robinets, l’eau tombe à travers une très large douchette, comme une pluie. Je ferme les yeux en espérant débander sous l’action de l’eau, mais il m’est évidemment impossible de penser à autre chose qu’au sexe de Karine.
— ça va ? Tu as trouvé les serviettes ?
La voix de Karine me fait sursauter et ouvrir les yeux. Elle regarde mon sexe bandé avec un petit sourire aux lèvres.
— Tu veux que je t’aide à te savonner le dos ?
— Oui, merci, dis-je en me tournant, encore plus confus que tout à l’heure.
— Détends-toi. Profite. Tout va bien se passer, dit-elle en posant ses mains savonnées sur mes épaules.
Ses mains sont douces, elles caressent ma peau savonnée et mon érection devient de plus en plus forte. Karine frotte doucement mes épaules, puis descendent peu à peu sur mon dos par de lents mouvements circulaires. L’eau chaude qui continue à couler rend la chose de plus en plus excitante. Ses mains sont maintenant sur mes fesses qu’elles caressent doucement, puis je sens la droite faire le tour de mon bassin pour se saisir de ma queue bandée. En même temps, je sens la poitrine de Karine se coller à mon dos et son souffle se rapprocher de mon oreille pour me dire : « Je suis sûre que tu vas beaucoup aimer ça. » Elle commence à caresser mon dos avec ses seins pendant que ses mains s’activent sur ma queue, mes couilles et mon ventre.
Je suis tellement excité que je sens rapidement le sperme monter dans ma bite et malgré mes efforts pour ne pas partir, je jute à gros jets sur le carrelage de la douche.
— C’est bien, dit-elle, tu seras plus détendu pour profiter du massage. Mais ça devait faire un certain temps que tu n’as pas fait l’amour pour juter de telle quantités ? Je n’ose lui dire que je m’étais encore branlé ce matin-même. Je me retourne, elle est maintenant entièrement nue. Ses seins sont comme je les imaginais, bien ronds avec de larges auréoles de gros tétons.
— Tu ne me trouves pas trop vieille pour toi ?
— Pas du tout, tu es magnifique, dis-je, avec d’autant plus de sincérité qu’elle tenait toujours ma queue en main et la branlait doucement.
— Parfait. Je vais finir de te rincer et puis on va aller sur la table de massage.
Elle laisse alors ma queue toujours bandée pour prendre du savon et commencent à me savonner tout le corps. Ses mains sont douces et fortes. Elles passent dans tous les recoins de mon corps, y compris au plus profond de mes fesses qui à ma grande surprise trouve très agréables d’être ainsi caressées. Évidemment, je ne débande pas une minute malgré le fait d’avoir récemment éjaculé. Elle me rince avec la douchette et je suis fasciné par ses seins qui s’agitent devant moi à cause de ses mouvements.
— Tu peux les toucher si tu veux.
Mes mains se posent alors sur les deux globes, doux et souples, instinctivement mes doigts jouent avec ses tétons qui se raidissent rapidement.
— Toi aussi tu me fais de l’effet. Viens, dit-elle en enlevant doucement mes mains de ses seins, on va aller faire le massage.
Elle se tourne et en me tenant la main m’emmène dans la salle. La table de massage est toujours là, mais maintenant une espèce de natte épaisse est sur le sol. La pénombre due aux volets baissés et la musique douce que diffuse son ordinateur font une ambiance très apaisante.
— Finalement, je pense que nous serons plus à l’aise si je te fais un massage au sol. Couche-toi à plat ventre.
Je m’exécute et m’allonge sur le matelas.
— Je préfère masser nue, c’est plus agréable. J’imagine que ça ne te dérange pas ?
— Non pas du tout.
— Tant mieux.
— Tu masses tous tes clients nue ?
— Oui, je préfère, c’est plus agréable pour eux aussi s’ils sont entièrement nus que je le sois.
— Et ma mère aussi ?
— Bien sûr.
L’idée que de ma mère entièrement nue, massée par Karine dans la même tenue me trouble, mais m’excite aussi profondément. Mon érection qui avait un peu baissé repart de plus belle, je sens mon sexe grossir sous mon ventre.
— Allez, détends-toi, dit Karine en commençant à me frotter les épaules. Ses caresses sont douces, mais fermes et je sens peu à peu mes muscles s’apaiser. La tension sexuelle diminue aussi et ma bite se ramollit. Je profite du massage. Karine masse mes épaules, mon dos, puis mes jambes, mes cuisses qui en avaient bien besoin après l’entraînement de foot. Je suis vraiment détendu.
Je sens que les mains de Karine se rapprochent de mes fesses. Elles les massent doucement et s’insèrent aussi entre mes cuisses. Je les écarte légèrement pour leur faciliter le passage et en remontant, ses doigts effleurent mes couilles. La tension sexuelle remonte d’un coup, mais Karine continue à me masser dos, cuisses et fesses. Elle me maintient excité en s’approchant de mes couilles et en les touchant comme pas inadvertance. Ses doigts semblent aussi s’égarer entre mes fesses et me caressent aussi légèrement la rondelle. Pour lui montrer que j’apprécie cette caresse toute nouvelle pour moi, je soulève légèrement mon cul pour aller au-devant de ses mains. Cette position a aussi l’avantage de donner plus d’espace à ma bite pour bander.
— Soulève-toi encore un peu, dit-elle alors, en glissant un coussin sous mon ventre, puisque tu as l’air d’aimer ça, je vais te faire plaisir.
Mon cul est maintenant légèrement en hauteur et elle écarte mes cuisses. Ses mains continuent à caresser ma queue, mais aussi mes couilles, mes fesses et surtout mon petit trou. L’excitation est vraiment très forte.
— Tu devrais raser tous ces poils, ce serait encore mieux. La prochaine que tu viens je te le fais si tu veux.
— D’accord.
— Tu aimes ça que je te caresse le petit trou ?
— Oui beaucoup.
— C’est vrai, j’ai l’impression que tu mouilles du cul. Tu veux bien que je te mette un doigt ?
— Oh oui.
— Tu vas beaucoup aimer ça dit-elle alors que je sens un de ses doigts se glisser doucement dans mon anus pendant qu’elle continue à me caresser les couilles et la queue. La sensation est très excitante, et contrairement à mes craintes, je ne ressens aucune douleur. Au contraire, le plaisir semble devenir de plus en plus intense. Je sens un deuxième doigt rejoindre le premier dans mon cul. Je sens mes organes massés de l’intérieur est vraiment une sensation nouvelle. Une forte chaleur viens de mon cul et j’ai soudain l’impression d’un orgasme comme je n’en avais jamais ressenti auparavant.
Il me semble durer très longtemps avant de se calmer et je sens maintenant les mains de Karine qui continue à me caresser, mais semble-t-il plus pour m’apaiser que pour m’exciter.
— Mon petit doudou, tu viens d’expérimenter un orgasme prostatique, j’espère que ça t’a plu ?
— Oui, énormément. Mais comment tu as fait ?
— Très facilement, il suffit de caresser ce petit organe de l’intérieur, et aucun mec ne résiste. Par contre, il y a quelque chose qui ne va pas.
— Quoi donc ?
— Je t’ai fait jouir deux fois, mais moi je n’ai pas encore eu d’orgasme.
— Je peux arranger ça, mais laisse-moi le temps de reprendre des forces.
— Je pensais plutôt à autre chose que ta queue. Allonge-toi sur le dos, ça va être très reposant pour toi.
J’obéis à Karen et m’installe sur le dos. Elle commence alors à remonter le long de mon corps d’un doux mouvement de reptation, puis se met sur les genoux en positionnant son sexe juste au-dessus de mon visage.
— Je n’ai rien contre jouer avec une bite, mais je préfère qu’une langue me lèche mon petit chéri. Alors essaye d’être aussi doué que ta maman.
— Ma mère te lèche aussi ? Dis-je très surpris.
— Bien sûr, elle c’est le contraire de moi, elle préfère une bonne bite, mais après une épilation ou un massage, elle n’a rien contre s’amuser entre filles.
Imaginer ma mère et Karine se gouiner me refît presque bander.
— Je vois que ça t’excite petit vicieux, mais vas-y, fait moi jouir et je te raconterais d’autres choses si tu veux.
Karine abaissa doucement son bassin pour mettre sa chatte au niveau de ma langue. Comme je l’imaginais, elle est lisse, très douce, et l’odeur d’excitation et son jus sont enivrants. En fait, je n’ai pas grand-chose à faire si ce n’est de bien sortir ma langue et la bouger lentement. Karine remue pour que je lui caresse aussi bien la délicieuse rondelle fripée cachée entre ses deux fesses bien rondes, que la fraise de son clitoris qui est de bonne taille, en tout cas beaucoup plus gros que celui de mes copines. Son corps se fait de plus en plus lourd sur mon visage et je sens ses mains caresser mon torse et ma bite de nouveau dressée. Ses mouvements de bassins sont de plus en plus rapides et j’entends sa respiration accélérée et devenir plus forte. Soudain, elle appuie de tout son poids sa fente sur ma bouche et je sens un liquide encore plus abondant envahir ma bouche. Je l’avale avec délice et pendant qu’elle reste assise sur moi, je m’enivre des délicieuses odeurs intimes de Karine.
Après quelques instants, elle qui mon visage et se tourne vers moi : « Hé bien mon petit chéri, tu as encore à apprendre, mais tu te débrouilles très bien.
— Merci.
— Viens, je vais te rincer, dit-elle en me prenant la main pour m’aider à me lever et me guider vers la salle de bain.
Nous entrons tous les deux sous la douche, elle règle l’eau, puis soudainement me pousse contre le mur et commence à me lécher le visage.
— J’adore le jus de chatte, même si c’est le mien, et tu en as encore plein sur le visage, dit-elle en descendant de mon visage vers mon cou.
Puis Karine descend lentement le long de mon torse. Elle suce mon téton droit, puis le gauche. Évidemment, ma queue qui avait molli se redresse aussitôt et l’eau tiède qui coule sur moi aide encore mon érection. La langue de Karine parcourt maintenant mon ventre, elle s’attarde sur mon nombril, puis je sens sa bouche se refermer sur ma queue. Le bout de sa langue lèche doucement le trou de ma bite, puis elle enveloppe toute la longueur de ma queue. Je sens peu à peu ses lèvres avancer le long de ma bite, puis son nez touche mon pubis. J’ouvre alors les yeux et me rend compte que Karine a pris toute ma queue dans sa bouche. Elle lève alors les yeux au ciel pour me regarder puis écarte doucement sa tête de mon corps pour faire sortir ma bite de sa bouche. Quand mon gland a repassé ses lèvres, elle continue à lécher mon méat avec la pointe de sa langue.
— Tu es merveilleux mon doudou, tu as déjà joui deux fois et tu restes encore bien dur.
— C’est toi qui me fais cet effet-là, c’est pour ça. Mais je croyais que tu préférais les filles ?
— Oui, mais une jeune bite, grosse et dure comme la tienne, c’est toujours un plaisir.
Pendant qu’elle me reprend en bouche, ces mains caressent doucement mes couilles, puis sa langue vient à son tour me lécher les testicules pendant que sa main caresse ma queue. Au bout de plusieurs minutes de ce manège, je jute une dernière fois. Les quelques gouttes de sperme qui sortent de ma queue viennent s’écraser sur les gros seins noirs de Karine. Elle remonte alors les deux globes noirs pour les lécher.
— C’est délicieux quand c’est toi doudou, mais je préfère les filles.
— Pas de problèmes.
Karine m’aide à me savonner puis à me sécher et à m’habiller. Avant de quitter son appartement, elle m’embrasse goulûment.
— Si tu reviens la semaine prochaine, j’aurais une surprise pour toi.
— Il faudra que je demande à ma mère.
— Je pense qu’elle dira oui.
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