Ambre
Elles s’appellent Magdalena, Jenny, Eliane, Florence…
Ce sont les prénoms des héroïnes de mes romans…
Cette fois elle est Ambre, une jeune fille qui arrive dans l’adolescence et qui a peur de vivre la suite…
Chapitre I – La génèse
Ambre a eu 16 ans, cette fois elle est femme… Elle est enfin correctement réglée, elle vient de parler pilule avec maman…
Il lui fallait ça pour calmer son corps qui faisait n’importe quoi, n’importe quand…
Maman horrifiée ! Elle n’en croyait pas les explications du gynécologue, pourtant réputé, et digne de confiance, le sien… La pilule à seize ans…
– Oui, ma chère, Ambre est déréglée et ce n’est pas anormal en soi. Aucune gêne tant qu’elle n’a pas de rapports sexuels ou qu’elle pratique une contraception efficace. Maintenant, si elle couche à droite, à gauche, et utilise la méthode de calcul de son cycle, en prenant sa température ou en comptant les jours depuis le début des règles, là, il y aura souci et même danger…
– Mais ma fille ne couche ni à droite, ni à gauche, elle passe son bac, elle est sérieuse et travailleuse, comme moi à son âge !
– Elle n’a pas de petit copain dévoué pour la raccompagner le soir et la peloter dans sa voiture ? Ou des copines qui l’emmènent dans des soirées d’ados boutonneux, avec alcool et autres produits toxiques ?
– Mais non ! Oh que tu es vicieux Georges ! Ambre est un ange ! Et elle me dit tout.
– Marie, je comprends, et je me souviens de tes paroles il y a quelques années… Au sujet d’un garçon… Ton mari maintenant…
– Mon mari est parti, oui, il m’a engrossée, oui, j’ai eu Ambre à dix-huit ans ! Oui, on s’est mariés et on nageait dans le bonheur… Jusqu’à ce qu’il en fasse un autre à ma meilleure amie…
– C’est bien ça ! Et Ambre a quel âge le mois prochain ?
– Dix-sept ans… Mon dieu, déjà !…
– Maman ! N’en fais pas toute une histoire, ce n’est pas parce que je prends la pilule, que je vais coucher avec tout ce qui se présente… Tu l’as dit ou presque, je suis sérieuse, je prépare ma vie professionnelle, et mes loisirs restent confinés.
C’est vrai aussi que mon corps devient adulte et manifeste ses pulsions… Je ne pourrai éternellement me contenter toute seule…
– Ambre !
– Eh, oui, je ne restais pas sans rien faire en regardant pousser mes seins, et ma chatte se couvrir de poils, et me démanger, au point de couler de désir certains soirs…
– Ambre ! je t’en prie ! Docteur ! Georges !
– Rien ne sort d’ici Marie, il vaut mieux parler maintenant que trop tard. La sexualité des ados est avancée depuis vous… On couche plus tôt, mais on touche plus tôt !… On découvre, on essaie, on compare, avec internet, les copines, les copains, parfois la tante, la mère…
– Mon dieu, quelle société… Quelle perversité, ces jeunes ne savent pas attendre…
– Marie ! Tu l’as faite où ta fille ?
– Entre Marseille et Lyon, dans le train couchette qui me menait chez ma tante…
Maintenant c’est à moi de conduire… Pas de train, mais certes des occasions…
Je ne pouvais pas tout leur déballer.
Oui, j’ai un corps qui plaît aux femmes autant qu’aux hommes…
Je suis jolie de visage, mes cheveux longs lui donnent une forme agréable et le noir contraste le grain de ma peau, me fait poupée de porcelaine, fragile, surtout que mes yeux pervenches s’ouvrent sur mon âme en toute innocence…
Pas sotte, je me suis aperçue de ça très vite. A 13 ou 14 ans j’étais la coqueluche des apprentis minets de mon quartier. Mais ce qui me marqua, c’est l’attirance de certaines de mes copines, qui n’hésitaient pas à me le dire… Elles aimaient me voir nue…
La chose dite, fut tentée et réussie, je devenais lesbienne, mais bien innocemment, quelques baisers, des attouchements discrets en classe et en récréation, et le soir dans mon immeuble. Je me souviens surtout de cette fois avec Aline, ma seule amie, dans ma chambre, mes parents absents pour la journée…
Nues, nous nous sommes détaillées l’une, l’autre, voulant connaître, comprendre, et puis essayer…
Je fus saisie de stupeur lorsqu’elle se mit à gémir sous ma langue qui découvrait le sexe féminin, comme jamais je ne l’avais vu…
Glabre, rose, magnifique, Aline était comme moi, en blonde, auburn…
Son pubis avait été rasé, pour copier sa sœur…
Elle me conseilla de faire pareil, en goûtant mon intimité, elle pourrait m’aider…
Mes feulements de chatte, s’élevaient à mon tour et je me sentis vibrer, prise comme d’un malaise, mais divinement chaud, ma tête tournait…
Je venais de jouir pour la première fois…
Toute la journée nous avons testé notre corps, comparé çà et là, cherchant à localiser nos zones érogènes décrites dans les pages électroniques, nous mordillant, nous léchant, comparant même nos sucs d’un doigt hésitant…
– C’est génial… Je te kiffe… Tu seras ma première…
– Ma sœur t’adore, elle va être jalouse de moi, je pensais que tu n’étais pas vierge…
– Et toi ?
– Je ne l’ai jamais fait non plus. Tu veux qu’on le fasse ensemble, entre filles ?
Dans l’après-midi, on osa se pénétrer, se déflorer l’une et l’autre, d’un doigt, puis devant quelques saignements, elle appela sa sœur qui la rassura… Normal !
Pas de douleur, mais beaucoup de peur…
On prit une douche ensemble, riant comme des bossues… Le savon glissait, on recommença, je sentis son doigt, une onde de chaleur m’envahit de nouveau, plus forte, plus magique…
Elle me prit la main, saisit mon index et se doigta avec… Je pris les commandes…
Elle aussi eut son premier émoi, ses premiers soupirs, emplissant de ses râles la petite pièce…
On se masturbait de concert, écartelées sur mon lit, je jouis la première…
Je me concentrais et la menais à mon tour au plaisir, caressant ses seins en même temps, elle eut son premier orgasme…
Sa chatte reposée, merveilleusement écartelée, offerte, était couverte de rosée, quelques gouttes d’eau s’accrochaient à son délicat duvet blond…
J’y promenais ma langue, puis mes doigts osèrent effleurer un bourgeon recroquevillé et un liquide laiteux s’échappa, elle s’ouvrit complétement, en feulant son plaisir…
– J’ai envie d’un sexe… J’aimerais le faire… Que tu es douce ! Que c’est bon cette vague qui vient tordre notre ventre, nous emporter, je ne savais plus où j’étais…
– Vrai, tu es délicieuse et je t’aime… J’aime ton corps quand ton sexe s’ouvre et coule sous mes doigts, et lorsque je plonge mon index tendu comme un sexe en rut, je t’entends feuler, et t’ouvrir encore, et tu danses sur mon doigt, tu te soulèves vers lui, ondulant ton bassin et je te sens jouir… Tu es prête, oui… Fais-le moi aussi…
Et là, je connus avec Alice cette onde magique, si intime, si intense, si soudaine, et je jouis à mon tour, et mon corps se libéra, tremblement de terre, mes sens explosèrent, je criais de plaisir, je l’embrassais dans un réflexe de partage, elle me rendit un véritable baiser d’amour, enlacées, sexe contre sexe et nous devinrent amantes pour de bon, feuilletant les pages d’un site dédié aux positions lesbiennes…
Moi aussi j’avais envie maintenant de connaître ce secret si bien gardé…
Ma mère me regardait avec une ride sur ses sourcils… Je devinais sa question… Mais elle resta aux bords de ses lèvres… Elle la reformula diplomatiquement…
– Ambre, tu as un souci ?
– Pas du tout, maman, tout va bien….
– Depuis ce week-end chez ta grand-mère où tu es restée seule ici, tu me sembles préoccupée…
– Mais non, maman, je t’assure… J’ai révisé, seule, puis avec Alice un après-midi entier, à deux c’est mieux, pour se tester…
– Tu me dirais si quelque chose n’allait pas ? Ta pilule te donne la nausée ? Des saignements ? Tu peux tout me dire tu sais…
– Non, non tout va bien, et même mieux, mes règles sont revenues ce matin, soit le 28ème jour…
– Ah, ce médecin est vraiment bien…
– Oui, et puis vous vous tutoyez, tu l’appelles Georges et lui Marie, on dirait un vieux couple…
– Tu es bête, j’étais si jeune lorsque je l’ai consulté pour la première fois. Il venait de reprendre le cabinet d’un ancien gynéco à la retraite.
– Et ?
– Il était gauche et n’osait pas me toucher, s’excusait souvent… J’étais enceinte, 17 ans comme toi, perdue…
– Il convoqua mes parents sans me le dire, il fit en sorte de leur expliquer que c’était sans doute un accident… J’avouais que j’aimais un garçon, et qu’on avait flirté, et bien que j’aie fait attention, la nature avait fonctionné quand même… Mes parents me dirent de le faire passer ou d’épouser…
Mon copain était d’accord, son amour était sincère, il était mon premier amant, j’étais sa première… Ils furent heureux de le connaître et tout se passa sans encombre… Ton père était un homme de parole, malgré sa lâcheté… Il me cocufia avec ma meilleure amie, et lui fit un enfant, décidément, il ne savait pas se contrôler…
Mais j’étais déjà grande et me souvint de ses pleurs dans la chambre, du divorce, elle m’éleva seule.
Chapitre II – Le loup
Alice et moi nous plongèrent dans les dernières révisions, et nous eurent notre bac avec mention…
Maman était aux anges, ses parents aussi, ils me bénirent d’avoir entraîné leur fille dans le bon chemin…
Nous fîmes une petite fête tous ensemble, chez eux, je connus la sœur, 2 ans de plus qu’Alice, elle travaillait comme coiffeuse, je compris son attachement au rasoir…
Elle fréquentait, mais personne ne l’avait encore vu…
Le papa semblait gentil et avec la maman, ils s’éclipsèrent discrètement.
Il était convenu que je dormais chez eux…
Sa sœur, Nadia, nous abandonna vers 23 heures, jusqu’au matin…
Alice voulut m’inviter la semaine suivant pour me remercier de l’avoir faire réviser, un week-end à la plage… Elle convia aussi sa sœur, qui avait son permis et la voiture de la maman….
Ma mère accepta, me donna un peu d’argent.
Alice trouva un hôtel pas trop cher, du côté de Sète, en bord de mer…
Nadia, conduisit prudemment, et on laissa la voiture pour plonger immédiatement…
Elle nous parla de son chéri, allongée sur sa serviette…
– Ça ne vous fait rien s’il Didier vient me rejoindre ce soir ?
– Ici, dans la chambre ?
– Il commence à travailler… Et puis il y a deux grands lits…
– Tu seras sage ?
– Ce n’est pas sûr ça, vous verrez, il est craquant…
On s’offrit une pizza, avant de choisir une boîte… Il arriva à temps et nous conduisit…
Sa guimbarde fendit la nuit, Alice se frottait contre moi, Nadia se collait contre lui…
Nous avons passé une soirée de dingue, un orchestre de génie, nous étions vannées au petit matin, assoiffées et avions un petit creux…
Nous avions emmené de quoi résoudre ce problème et rejoignis notre chambre.
Nadia se colla à lui, nous mangions quelques biscuits, des fruits, et nous firent chauffer du lait concentré… Un délice…
Il était tard et l’on se coucha, Alice vint m’embrasser et quitta sa culotte sous le drap, je fis pareil…
J’entendis les gémissements de Nadia, le lit qui craquait, Alice massait mes seins…
On s’embrassa, elle monta sur moi, arracha le drap doucement, nos sexes se rencontrèrent, elle était trempée, mon doigt plongea, imité par sien…
Les râles de Nadia s’élevèrent de nouveau, on se masturba jusqu’au bout, jouissant, s’embrassant, ivres de désir, chattes excitées, on se lécha ardemment à tour de rôle pour nous calmer… Puis en 69, et nos chuintements se mêlèrent aux leurs… On se caressa longuement, toute la nuit…
Nadia se leva doucement, gagna la salle de bains à tâtons, la lampe du lavabo nous éclaira, je croisais le regard de Didier qui regardait nos corps allongés, dénudés, entrelacés…
Nadia repassa après avoir éteint, le lit crissa…
Je l’entendis parler à voix basse…
Elle se releva, se pencha sur nous…
Nous étions enlacées, une main entre nos cuisses, rêvant du sexe de Didier…
Elle s’allongea de mon côté, elle était humide, fraîche, et tandis que Alice somnolait, je sentis ses lèvres sur mes seins, descendre sur mon ventre, effleure mon pubis, et je m’ouvris à sa caresse sans réfléchir…
Son doigt me pénétra, elle se baissa et son sein vint contre ma bouche, je la laissais faire, sortant ma langue, honorant le téton qui grossissait et durcissait entre mes lèvres…
Je jouissais doucement, un second doigt rejoins le premier…
Mon ventre explosa de plaisir, ses lèvres prirent les miennes, étouffant mes soupirs, et mon orgasme qui arrivait…
Je sentis alors plusieurs mains, plusieurs bouches, je jouis pleinement, Alice me regardait en souriant, Nadia frottait son sexe contre le mien, se faisant jouir lentement, en silence, Alice m’embrassa tendrement et la remplaça… Jusqu’au matin, complices jusqu’au bout de la nuit…
Elle me suivit sous la douche, nous étions nues, Nadia et Didier dormaient, enlacés… Je voyais son sexe, repus…
– Tu le veux ?
– Et toi ?
– Je l’ai eu…
– Non ?
– Si, quand tu es partie, les parents dormaient, Nadia et lui sont venus dans ma chambre…
– Et ?
– Délicieux, sans rapport avec ce que l’on vit ensemble, bien que ce soit merveilleux et que tu sois parfaite… Un sexe masculin t’emporte vers un plaisir intense, viril, tendre, profond, il te fait vibrer, t’envoler, je l’ai sucé lentement, elle me guidait au début, me montrant les gestes, la cadence, elle se masturbait, en nous observant… Ensuite ils sont retournés précipitament dans sa chambre, il était au bord de l’apoplexie… J’ai entendu jouir Nadia immédiatement, puis extérioriser ses orgasmes, malgré ses efforts pour les dissimuler à la maisonnée…
– Tu n’as pas…
– Non, je n’ai pas… Je le désirais… Puis j’ai pensé à ma sœur, je ne voulais pas me donner en spectacle devant elle, et puis tu n’étais pas là… Ils sont d’accord pour nous initier…
– Demain, je veux bien, oui…
Je me suis étendue sur le lit, nue, fraîche, parfumée, comme pour une offrande…
J’ai préparé l’appareil photo, un bel objet, j’adore saisir les gens, la nature, la vie figée dans l’objectif, les détails…
Nadia le sait, elle me sourit en me voyant détendue, et flashe mon corps, puis joue avec les éclairages, les ombres… Mon pubis que je viens de fignoler de nouveau, lisse et doux, elle soulève une de mes cuisses, venant figer ce détail érotique, mon intimité entrouverte, et me fait prendre des positions diverses, provocantes, artistiques, sexuelles…
Alice s’allonge avec moi, nue intégralement rasée aussi…
Nadia recommence à nous flasher, en tous sens, puis nous propose de nous embrasser, nous caresser, quand Didier sort de la salle de bains…
Nos regards se dirigent vers cet objet, tendu vers l’avant, raide, regardant nos corps s’entremêler…
– Allez-y, on le sait que vous aimez vous caresser et même au-delà… Je vais prendre du plaisir à vous regarder, puis vous viendrez découvrir le sexe, l’amour, la sexualité…
Nadia vous accompagnera pour le faire, Ambre, tu seras la première à venir l’honorer, le chérir, savourer ce bout de chair qui donne tant de plaisir, et surtout la vie…
Nous jouissons à tour de rôle, emportées par cette ambiance divine, léchant ce sexe féminin qui coulait déjà, nos seins gonflaient… J’avais envie de le prendre dans ma main, comme il est montré dans les photos et les vidéos X…
On s’embrassa, tremblantes, je m’assis au bord du lit, il ma tendit la main.
Je me levais, il recula dans les bras de Nadia…
– Viens Ambre, approche, regarde de près ce sexe divin… Il est érigé, excité par vos gémissements de chatte… Prends-le dans ta main, Ambre, oui, comme cela… Fais le tour de l’appareil génital, les bourses, soupèse-les doucement, c’est terriblement excitant et très sensible… Vas-y, approche ton visage, fais-le tour…
– Nadia…
– Oui, Alice, approche-toi avec elle… Tu as déjà vu ce délice de près et pour l’honorer souvent, je vous dis les filles que Didier est bien équipé… Prenez-le dans vos mains, ensemble, partagez-le un instant, sentez comme il vibre de désir… Ambre, fait glisser tes doigts, oui, montre-lui… Tu vois il coulisse déjà, lubrifié par un système complexe, dès qu’il est excité par la femelle ou autre chose…
Approche Ambre, je vais te calmer, ça va le booster encore plus de voir ma main entre tes cuisses… Oh, mais tu es trempée ma chatte, toi aussi ma chérie ! Je suis pareil, regardez, je coule de désir en voyant mon homme bander pour vous…
Le moment est venu, d’approcher vos lèvres, de les préparer, en les couvrant de salive, votre langue doit travailler… Oui, glissez votre langue, comme pour lécher une glace, commencez par le gland, découvert car il est terriblement excité, mon chéri d’amour…
Oui, Alice, tu le sais, tu as refermé tes lèvres… Laisse Ambre le faire, lentement, doucement, en prenant délicatement ses bourses en main… Combine tes mouvements, referme tes lèvres et glisse-le dans ta bouche, jusqu’au fond, en plusieurs étapes si tu veux, c’est meilleur pour lui, tu le sens grossir encore ? Vas-y par étapes, laisse-le respirer… Embrasse cette verge que tu peux coulisser aussi avec tes doigts, la chérir dans ta main, certaines le font entre les seins… On n’en a pas assez !…
Oui, Alice, dégustez-la, ensemble, vos langues de part et d’autre, je prends les photos, c’est sublime… Agenouillez-vous et ouvrez vos cuisses vers moi, en le minaudant comme des gamines… Oh, j’ai la chatte trempée…
Didier, tu es à point ?
– Ca va, c’est merveilleux… Merci Nadia, merci les filles… Continuez… Doucement, c’est génial… Nadia, tu veux que je te calme aussi ?
– Non, je prends des photos, elles sont sublimes ces gamines, fraîches, naturelles, sensuelles…
Alice, Ambre, vous allez pouvoir apprendre à le rentrer au maximum dans votre gorge, que le gland touche sans vous provoquer, essayez une gorge-profonde, pour lui c’est jouissif… Oui, Alice tu peux la masturber quand elle le fait, c’est beau de vous voir toutes les deux vous aider, vous aimer, partager cette fellation de roi, en vous caressant mutuellement…
– Viens Nadia, viens te faire caresser… Oh, tu coules en prenant les photos, regarde, ta chatte, approche… Tiens, laisse-toi aller dans ma main, tu sens mon doigt ?
– Arrête, je vais jouir… Mes seins me font mal, oh, suce le bout, oui… Tu me fais du bien, ça me calme un peu… Ambre jouit… Alice aussi… C’est délicieux de vous vous entendre, vous êtes prêtes pour le grand saut… Pour connaître le loup… Devenir femme… Votre première fois…
Elles se redressent, un peu ivres de leurs caresses, de ce plaisir enivrant, entre la verge épanouie, prête à cracher sa semence, leurs caresses intimes, qui les ont excitées ensemble, leurs râles sourds, discrets feulements…
– Ambre, allonge-toi sur dos et détends-toi … Alice tu vas l’assister, la chérir,
– Oui, Nadia, elle désire me sentir près d’elle, que je l’aide, que je la rassure…
– Bien, tu seras la suivante, Didier tu te garderas de tout dépenser avec Ambre, cette belle nymphette à croquer…
Vas-y, monte sur le lit… Oh que tu es bandé ! Tu es majestueux, elle va se régaler… Vas-y passes entre ses cuisses, replie ses genoux, ouvre-la, tu peux t’en délecter, sa chatte est magnifique…
Didier va te lécher et te donner ce plaisir que tu partages déjà avec Alice, pour bien lubrifier ton calice, il va te faire délirer, réveiller ton clitoris, faire quelques essais pour que tout se mette en place, pour que ton plaisir soit maximal… Alors libère-toi sans complexe, ce n’est que du sexe…
Il pourra te prendre ensuite, t’envoyer sur un nuage, te faire l’amour…
Mais une chose, ma chérie, Didier je l’aime et il m’aime, alors pas question de sentiments ici, juste beaucoup d’amitié, et cette tendresse qui nous lie tous les 4 et que l’on partage ce soir…
Alice regarde ce spectacle érotique au possible… Après l’avoir léchée avec sa seule langue, sublimé ce sexe tendre, cet abricot divin, ces chairs rosées, détrempées, elle s’est envolée sous son doigt qui tournoyait sur son bouton… Râles, feulements, quelques onomatopées, manière de se libérer de son stress… Alice, complice du couple, participait en l’accompagnant, caressante, féminine, glissant parfois une main dans son sexe… Nadia ne perdait pas une image, sous tous les angles. Ajouté à une caméra miniature, dédiée aux sports, maniable, elle captura les sonorités envoûtantes du trio…
Puis Didier, se prépara, le sexe se positionna contre le sexe ouvert, il frotta son gland dans sa vallée, souleva les grandes lèvres, puis se nicha contre la porte… Elle tremblait de désir, Alice caressait le membre, il s’avança lentement, Ambre se laissa pénétrer, ondula de plaisir, et le sexe s’engouffra, glissant, luisant, tout entier, dans un tonnerre de râles, de cris de joie, de pleurs…
– Oh, oui… C’est magique… Encore… Prends-moi…
Chatte jusqu’au bout des ongles, elle recommença, se laissa entraîner, le suivit, plus vite, plus loin, plus profond, plus dur…
Ensuite, Alice la caressa, regardant le sexe disparaître en cadence, forcer le rythme, continuer à la faire gémir jusqu’au premier orgasme…
Nadia lui demandé si elle voulait se prendre en amazone ?… Ambre se mit à califourchon, puis s’abaissa en dirigeant le membre… Elle eut un petit cri, plaisir de conduire, et se balança jusqu’à ressentir une autre vague… Alice embrassait ses seins, Nadia se lovait aussi contre la jeune femme, partageant son plaisir, et s’amenant à jouir toutes les trois ensemble…
Didier n’y tint plus et prévint de l’imminence de son fait, Alice prit Ambre sur elle, releva son bassin, il pouvait finir en levrette… Elle jouit encore, puis poussa un cri de chatte, il venait de se libérer…
Ils restèrent un moment, Nadia embrassait son ami, le léchait, nettoyant le sexe, se pourléchant du sperme en excès… Alice ouvrit les cuisses de Ambre et la lécha à loisir, en l’embrassant aussi en se frottant contre elle, contre ses seins, sexe contre sexe… Elle perçut le goût du sperme, mélangé aux effluves de son amie, un mélange de nectar parfumé aux senteurs de pivoine, son déodorant corporel…
Ambre n’était plus vierge…
Alice regarda sa sœur, lovée contre Didier…
– J’en ai envie…
– Viens, on va faire ce qu’il faut…
Elles se penchèrent toutes les trois sur le sexe qui retrouva rapidement une forme engageante, Alice le prit dans sa bouche après sa sœur, pompa avec adresse, le partagea avec Ambre, puis elle se mit sur le dos, et s’offrit sans attendre…
Jambes écartées, il vint sur elle et la prit doucement, lentement, elle miaulait, fermait les yeux, Ambre à son côté, Nadia caméra et appareil aux poings…
Alice sentait le membre glisser de plus en plus loin, elle l’accompagnait, s’ouvrait, puis posa ses mains sur les fesses de Didier pour lui donner sa cadence… Elle se mit à jouir longuement, des râles profonds et graves, les seins caressés par une Ambre en délire, qui cherchait sa bouche tandis que Didier caressait Nadia, écartelée devant lui…
Alice monta sur Didier et elle se pourfendit, adorant cette position se retournant vers le garçon, ils s’embrassèrent, le sexe la pénétrait profondément, et tous suivaient cette défloration, emportés par leurs sens…
Il l’allongea de nouveau sur le dos, puis la pénétra…
Il accéléra peu à peu, l’entendant gémir son plaisir…
Nadia lui parlait, Alice la caressa…
Elle cria et trembla de tout son corps, ondulant son bassin, venant à la rencontre du sexe qui la faisait si bien jouir… Il l’accompagna et se délivra en même temps, à grands coups de reins…
Il tomba sur elle, épuisé, en sueur… Nadia prit son membre et le lécha jusqu’au bout, Ambre la regardait, et le partagea avec elle, puis vint savourer les dernières gouttes de semence qui suintaient…
– Nadia, à toi maintenant… On a envie de vous voir faire l’amour comme la nuit passée où on a eu que le son…
– Didier est épuisé ma chérie… Il faut qu’il se repose… On vous paie une pizza en ville…
– C’est super gentil…On va prendre une douche…
Alice…
– J’ai adoré et toi ?
– Que c’est bon de devenir une femme…
– Oh !… Il est doux Didier, tendre, attentif, il nous a comblées. Nadia est heureuse avec lui…
– Oui, ils font souvent l’amour. Elle sortait en boîte depuis qu’elle est majeure cela fait deux ans. Elle est avec Didier depuis un an…
– Tu as eu mal ?
– Non pas du tout et toi ?
– Non, au contraire, j’ai envie de recommencer…
– Moi aussi, ça y est, on a le virus !…
– J’adore ta sœur, elle a accepté que Didier nous initie… C’est vachement gentil.
– Nadia est adorable, une princesse, elle ferait tout pour me faire plaisir et toi, elle t’adore…
– Elle m’a caressée pendant…
– Oui, j’ai vu, même embrassée, pourtant elle n’est pas lesbienne…
– Cela se voit, mais elle aime le sexe et l’amour…
– Allez, on va bien trouver de quoi passer une nuit entre nous… Didier reste ce soir ?
– Non, il doit se lever de bonne heure demain, lundi…
– Nadia est obligée de nous ramener.
– La chambre est payée jusqu’à demain midi… On peut ramener deux mecs…
– J’ai mon permis tu sais… Je peux ramener la voiture…
– Nadia ne demanderait que ça de rentrer avec lui ce soir…
Et les deux amies finirent en soirée dans un club de Sète, et ramenèrent à l’hôtel leurs premiers amants…
Ambre connut un autre sexe, différent, jeune mais volontaire. Elle reproduisit ce qu’elle avait appris, le garçon fut très loquace, quand les lèvres glissèrent le long de sa hampe, et que la langue lécha son cornet de chair bouillonnant de désir…
Elle se livra à son tour, s’offrant sans détour, il était beau, la dominait et il l’accompagna dans ses premiers râles…
Il lui fit de délicieux préliminaires, attentionné, déjà performant, et dès qu’elle sentit la verge investir son vagin, elle s’envola dans les étoiles…
Il jouit en même temps qu’elle ressentait venir l’orgasme suprême, plia sous ses coups de reins, se libéra en miaulant son plaisir… Elle l’embrassa et lui dit je t’aime…
Alice jouissait sous le joug du sien, crucifiée par ce marteau-piqueur, qui accélérait encore, c’était bien plus intense qu’avec Didier, plus rude, elle aima être pilonnée, elle rugit son plaisir en sentant la douce chaleur envahir son ventre…
Le garçon lui murmura un « je t’aime » timide, elle se sentit femme, amoureuse et se fit chatte, écartelée sous lui, en tentant de le réanimer…
Elle y arriva avec beaucoup de patience et une fellation de reine…
Elle s’envola de nouveau, chevauchant le sexe encore plus gros, elle l’embrassa, le laissa prendre l’initiative et le reçut en levrette.
Il la pourfendit sauvagement, elle se lâcha et lui ouvrit ses fesses, il la démonta, la pilonna, emporté par une vague de désir inouï, et l’amena aux portes de l’extase, en se délivrant.
Ils se fondirent l’un dans l’autre en pleurant, se serrant, s’embrassant, elle était déjà amoureuse…
Elle ne put s’empêcher de le lui dire…
Ambre et son copain refirent l’amour, le jeune garçon excité par leurs voisins, la chevaucha, la perfora…
Elle gémit en griffant les draps, se donnant encore, l’aimant comme son premier amour, il se délivra dans sa bouche, elle aima le goût du sperme, devant le couple conquis par ce spectacle…
Ambre était devenue une splendide jeune femme.
Elle prenait de l’assurance, se forgeait une expérience de la vie et des hommes…
Elle partit de son village en septembre, pour intégrer une faculté de droit à Aix en Provence.
Elle y rencontra d’autres garçons, amoureux éperdus, boutonneux timides, machos arrogants, et prit temps de vivre sa sexualité, multipliant les sorties, les amants d’un soir, revint aux femmes un moment après une déception, puis continua, voulant tout connaître, pratiquer le sexe à travers d’autres jeux, d’autres amis, plus âgés, plus sérieux.
Elle rencontra Marc dans un repas entre amis, il fut son premier compagnon.
Elle revoyait Alice, Nadia et parfois Didier qui avait créé un magasin de prêt-à-porter, près du village de ses parents où elle retournait souvent.
Ils furent amants quelques mois, puis la vie les emporta, les sépara…
Que la vie est belle, quand on songe aux progrès accomplis !
Ambre est un exemple pour toutes les jeunes filles, maturité, réflexion, prudence, et patience.
Elle a été récompensée…
Cette histoire mérite une suite, non ?
FIN
Marika842010 – Octobre 2018
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