Il y a près de deux ans déjà que nous avons acheté un bungalow dans ce domaine naturiste de la côte atlantique, mais c’est la première fois que des amis doivent venir nous y retrouver… Il faut dire que nous sommes généralement discrets sur nos pratiques naturistes, ce qui nous évite les commentaires scabreux et les questions idiotes du genre « et alors, vous faites vos courses à poil ? » ou « et qu’est-ce que tu fais si tu te mets à bander ? »… Bref, ici plus encore qu’ailleurs, pour vivre heureux, mieux vaut vivre cachés !
J’avais pourtant fait une exception quand Frédérique, une collègue de boulot pour laquelle j’éprouve un peu plus que de la sympathie, m’avait raconté le plaisir qu’elle avait ressenti à bronzer nue sur les plages des Canaries. On avait alors longuement parlé de cet archipel de l’Atlantique, où Christine et moi avons, nous aussi, connu nos premiers émois naturistes, et j’avais fini par lui proposer de venir avec son ami nous rejoindre au bungalow, lors d’un prochain séjour.
À ma grande surprise, elle avait tout de suite accepté, et le jour venu, je les attends donc à l’entrée du domaine. À l’arrivée du car, Fred est la première à descendre. Elle est accompagnée d’un grand type blond plutôt beau gosse, et je la trouve particulièrement séduisante moulée dans une petite robe jaune très courte sous laquelle elle ne doit pas porter grand-chose. Elle court vers moi, et elle éclate de rire en regardant le bermuda que j’ai pris la précaution d’enfiler pour venir les accueillir :
— Ben alors Bob, je croyais que c’était naturiste ici ?
— Oh allez, charrie pas, c’est juste que je ne voulais pas vous choquer… Et j’ai donc pensé que vous seriez plus à l’aise si on se déshabillait tous ensemble… D’autant que je ne connais pas ton ami !
— Ah c’est vrai, il faut que je te présente Antoine. Il n’est pas naturiste mais il a l’esprit large, et il n’aurait sûrement pas été choqué de te voir tout nu, bien au contraire… Pas vrai chéri ?
Elle lui plaque alors un baiser sur la bouche et ajoute, sibylline :
— Je crois même qu’il est un peu bi, et c’est pour ça que je l’adore !
Voilà qui m’offre des perspectives inattendues, mais je ne leur en dis pas plus pour l’instant…
Antoine esquisse un sourire un peu gêné, me dit que c’est effectivement la première fois qu’il pénètre dans un domaine naturiste et qu’il est ravi de vivre cette expérience.
Là-dessus, on charge les sacs dans le coffre de la voiture, on prend la direction du bungalow, situé à l’autre bout du domaine, tout près de l’océan, et je leur explique que Christine nous y rejoindra un peu plus tard après sa séance de thalasso. Frédérique s’est installée à côté de moi. Sa petite robe jaune s’est retroussée très haut sur ses jambes, et j’éprouve une certaine excitation à laisser traîner mon regard sur ses cuisses joliment galbées… Je sens même naître sous mon bermuda un début d’érection, mais ni Fred ni Antoine ne le remarquent, tout occupés qu’ils sont à regarder avec beaucoup d’insistance les vacanciers que nous croisons… et c’est Antoine qui finit par exprimer son étonnement :
— C’est curieux de voir que presque tout le monde ici a le sexe épilé ?
— Oui, c’est une pratique très courante dans les milieux naturistes… On trouve ça à la fois plus hygiénique et plus esthétique, et pour tout vous dire, vous n’allez pas tarder à voir que Christine et moi, on pratique aussi le rasage intégral.
— Eh bien j’en connais un qui va avoir l’air d’un homme des bois, dit Fred en se tournant vers son ami.
— Oh tu sais, c’est un problème qui peut être vite réglé, répond Antoine qui n’a pas l’air de tenir plus que ça à ses poils pubiens.
En arrivant au bungalow, on commence donc à se déshabiller tous les trois :
— Ça te va pas mal, dit Fred en regardant mon sexe…
Je la remercie d’un sourire, sans savoir si elle parle de l’épilation ou de la discrète érection que m’a provoquée la vision de ses cuisses dénudées. Car si je ne bande pas vraiment, ma bite est quand même presque à l’horizontale et ce n’est pas cet effeuillage collectif qui va la faire retomber ! D’un geste, Fred commence en effet par se débarrasser de sa robe sous laquelle elle ne porte qu’un string minuscule qu’elle fait doucement glisser en m’adressant un clin d’œil coquin… C’est la première fois que je la vois nue. Son corps n’est plus tout à fait celui d’une jeune fille mais il s’en dégage un érotisme réel : sa peau est très claire et elle a des petits seins ronds avec des aréoles d’un rose assez pâle et des tétons qui pointent, sous l’effet sans doute de l’excitation. Ses hanches sont un peu larges, ses fesses charnues et son sexe est surmonté d’une petite toison châtain clair soigneusement taillée en « ticket de métro ».
Malgré la quarantaine, Antoine a conservé lui un corps assez athlétique. Il est grand, avec des épaules larges, un ventre plat et des pectoraux bien dessinés. Une épaisse toison blonde cerne effectivement son sexe qui me semble à peine plus grand que le mien, avec des testicules bien remontés dans les bourses, et un prépuce rose foncé qui recouvre entièrement le gland.
Je propose à Fred et Antoine de boire un verre en attendant le retour de Christine, mais Frédérique me dit qu’elle préfère passer d’abord sous la douche pour se remettre un peu des fatigues du voyage. Elle disparaît donc dans la salle de bains, tandis qu’un verre à la main, Antoine et moi nous installons côte à côte sur les transats. Depuis un moment, j’ai remarqué que ses yeux ne décollaient pas de mon sexe rasé, et après avoir échangé quelques banalités il revient au sujet de l’épilation qui semble décidément le préoccuper :
— Comment tu procèdes, avec de la cire ou avec une crème ?
— Ni l’un ni l’autre, je me rase simplement avec un rasoir pour femmes, spécialement adapté pour les zones sensibles.
— Mais alors ça doit repousser rapidement, non ?
— Oui, bien sûr, il faut se raser tous les matins si on veut que la peau soit douce et la sensation agréable pour le partenaire…
Antoine semble hésiter un peu, puis après quelques secondes de silence, il étend le bras et passe délicatement ses doigts sur mon pubis imberbe.
— C’est vrai que c’est doux… C’est marrant, on dirait un sexe d’enfant !
Sa main s’attarde sur mon ventre puis descend pour caresser mes testicules… Je suis un peu surpris, mais comme c’est plutôt agréable, je me laisse faire et en quelques secondes je bande à nouveau, alors que le sexe d’Antoine commence lui aussi à se redresser : son prépuce s’est retroussé et son gland déjà bien gonflé est maintenant totalement découvert !
Ses caresses se font de plus en plus précises… Il prend ma bite dans sa main et se met à doucement la masturber. Cette fois, nous bandons vraiment tous les deux, et je pose à mon tour ma main sur son sexe tout raide. Je passe mes doigts écartés dans ses poils, je caresse ses testicules et je me mets moi aussi à le branler délicatement, lui arrachant très vite quelques grognements de plaisir qui indiquent qu’il est déjà tout près d’éjaculer. Je sens d’ailleurs moi aussi le plaisir monter en moi, quand une voix s’élève derrière nous :
— Alors les garçons, on dirait qu’on a fait connaissance ?
Je lâche la bite d’Antoine et je me retourne en essayant tant bien que mal de dissimuler mon érection. Fred est là, souriante et plus désirable que jamais. Ses cheveux en désordre ruissellent, le ticket de métro a disparu !
Un peu décontenancés par cette irruption soudaine, on hésite sur l’attitude à adopter : s’expliquer ? S’excuser ? Continuer ? Mais finalement, Frédérique nous met à l’aise :
— Vous auriez quand même pu m’attendre, ç’aurait été plus sympa à trois…
— … ou même à quatre ! rigole Christine qui arrive au même moment, revenant, toujours entièrement nue bien sûr, de sa séance de Thalasso.
On éclate de rire, et on fait les présentations. Christine apprécie en connaisseuse le sexe d’Antoine dont l’érection n’est pas complètement retombée, mais c’est Fred qu’elle enlace pour lui glisser quelques mots à l’oreille… Elle a l’air heureuse de la tournure que semble prendre le séjour de nos amis et elle suggère que nous arrosions ces retrouvailles au champagne. Je vais donc à la cuisine chercher le champ’ et les flûtes, mais quand je reviens, j’ai la surprise de trouver Fred étendue lascivement sur un transat, les cuisses largement ouvertes. Agenouillée à côté d’elle, Christine lui suçote les tétons tout en masturbant d’un doigt le haut de son sexe désormais totalement imberbe. Assis en face d’elles, Antoine profite du spectacle en caressant sa bite qui est de nouveau en érection…
Je toussote pour signifier à ces dames que le champagne est servi, et Christine se relève aussitôt… au grand regret de Fred qui manifestement appréciait ses caresses et qui décide donc de continuer à se les prodiguer elle-même…
— C’était juste pour vous prouver qu’on peut, nous aussi, se passer de vous, me dit Christine en venant prendre une flûte sur le plateau.
— Oh, là-dessus tu ne m’apprends rien, et tu sais même que je trouve ça plutôt excitant… En plus, j’ai l’impression que je ne suis pas le seul à être de cet avis, rétorqué-je, en regardant Antoine qui continue de se branler.
Christine a repris sa place. Elle verse doucement le contenu de sa flûte sur le corps de Frédérique, puis elle se met à laper le champagne… Elle commence par lécher langoureusement les seins et le ventre de Fred qui continue de caresser son sexe, puis elle dégage la main de sa partenaire pour pouvoir la masturber avec sa langue. L’effet est immédiat : Fred soulève un peu ses fesses, ouvre encore plus largement ses cuisses, son corps se cambre, au bout de quelques secondes, sa respiration s’accélère et elle jouit enfin en poussant un cri rauque, et en lâchant un petit jet d’urine.
Les yeux rivés sur les deux filles, je n’avais pas vu qu’Antoine, qui avait assisté à toute la scène en se caressant le sexe et qui était déjà excité par nos ébats précédents, n’avait pu cette fois se retenir d’éjaculer… Le sperme a coulé sur son ventre et les poils de son sexe en sont largement englués…
— Tu ne reviendrais pas sous la douche avec moi ? demande-t-il à Fred qui reprend tout juste ses esprits et dont le corps est encore luisant de champagne.
Et tandis qu’ils se dirigent tous deux vers la salle de bains, Christine fait semblant de s’apercevoir que le spectacle de ses amours lesbiennes avec Fred m’a de nouveau mis en semi-érection :
— Allez viens, dit-elle, tu ne vas quand même pas rester comme ça ?
Et prenant appui sur un transat, elle s’agenouille à nouveau, relève ses fesses et m’offre ainsi son sexe ouvert et luisant de désir. Bien que ma bite ne soit pas encore totalement raide, elle y pénètre facilement et je sens aussitôt que son vagin se resserre autour, ce qui achève de me faire bander. Je m’active en elle, ses seins un peu lourds se balancent au rythme de mes va-et-vient tandis que sa main stimule vigoureusement son clitoris. Je me retiens autant que je peux, et pour tenter de hâter son orgasme, je caresse son anus lubrifié par le désir, puis j’y fais doucement pénétrer un doigt. L’effet est immédiat : son vagin se resserre encore plus autour de ma bite, sa respiration se bloque et elle jouit au moment où je lâche en elle deux longs jets de sperme.
Après ces épisodes, nous nous offrons tous les quatre une petite sieste réparatrice… Il est déjà plus de dix-sept heures quand on se réveille, et Christine propose d’aller finir l’après-midi à la plage. Fred est partante, mais Antoine semble un peu gêné :
— J’ai bien percuté que j’allais faire tache avec tous ces poils, dit-il en passant la main sur son pubis… Alors j’aimerais autant m’en débarrasser avant d’aller me montrer sur la plage.
— Eh bien, tu te rases et tu nous rejoins après, répond Christine.
— C’est-à-dire que j’aimerais autant que l’un de vous reste avec moi pour m’aider… Je n’ai jamais fait ça et à vrai dire je ne sais pas trop comment m’y prendre ! J’avais pensé que Bob peut-être…
— Ok, je reste avec toi, dis-je en remarquant tout de même le sourire entendu qu’échangent Frédérique et Christine…
Une fois les filles parties, on s’installe donc avec Antoine sur la terrasse. Je commence par lui montrer le contenu de ma trousse de rasage, mais il m’interrompt rapidement :
— En fait, si tu étais d’accord, j’aimerais mieux que ce soit toi qui me rases…
— Tu sais, je le fais souvent sur Christine, mais à part le mien, je n’ai jamais rasé un autre sexe d’homme !
— Allez, sois sympa, il n’est jamais trop tard pour commencer.
— Bon d’accord ! Mais ne t’étonnes pas si j’y prends plaisir. Je suis un peu resté sur ma faim, tout à l’heure…
— Oh, rassure-toi, je suis sûr que je banderai avant toi !
— Ça, on verra ! Mais de toute façon, ce serait tant mieux car ça rend le rasage plus facile…
Je m’agenouille donc devant lui, et je commence à passer la tondeuse pour débroussailler un peu son pubis. De grosses touffes de poils blonds tombent à terre et son sexe ainsi dégagé me paraît tout à coup plus gros, d’autant que les vibrations de la tondeuse lui ont fait prendre un peu de volume… Je lui demande ensuite de tenir sa bite relevée pour que je puisse tondre aussi les poils plus épars de ses testicules. Seulement une fois que sa toison est ainsi éclaircie et qu’il peut relâcher son sexe, je constate qu’il est déjà en semi-érection et que sa bite reste donc à l’horizontale : son gland pointe hors du prépuce et se retrouve ainsi juste à la hauteur de mon visage. D’un mouvement du bassin, Antoine avance alors son sexe jusqu’à ce qu’il vienne effleurer mes lèvres… Sans réfléchir, j’y dépose un baiser puis j’ouvre la bouche et pendant quelques secondes ma langue joue avec son gland de plus en plus gonflé par le désir.
Quand je me dégage, je saisis la crème à raser et j’en enduis généreusement le sexe d’Antoine que je masse soigneusement… Sans doute même un peu plus que nécessaire puisque très vite, il est de nouveau complètement en érection. Je commence donc à le raser mais son sexe est tellement raide que je suis obligé de l’empoigner pour dégager son pubis. D’habitude, je trouve très excitant de raser le sexe de Christine, mais je n’imaginais pas que je prendrais autant de plaisir à raser celui d’un garçon : non seulement je me suis, moi aussi, mis à bander très fort, mais je sens monter une éjaculation spontanée que j’ai peur de ne pouvoir retenir. Je fais donc une petite pause, et Antoine en profite pour saisir ma tête et pour coller de nouveau mon visage contre son sexe. Je happe aussitôt sa bite et je la suce goulûment sans trop m’occuper du goût un peu âcre de la crème à raser. Je lui arrache ainsi de petits grognements de plaisir et il cherche à son tour à venir caresser mon sexe en érection, mais je me dégage brusquement : j’ai l’impression qu’un simple effleurement sur ma bite suffirait à faire jaillir le sperme !
Après quelques secondes, je reprends tout de même le rasoir pour le passer sur ses couilles. Comme il bande très fort, les testicules sont bien remontés dans les bourses, le rasage en est rendu plus facile, et en quelques secondes, il se retrouve donc avec un sexe totalement imberbe.
Je lui demande ce que je dois faire :
— Je continue ou pas ?
— C’est-à-dire ?
— Eh bien, est-ce que tu veux que je rase aussi le reste ?
— Quel reste ?
— Eh bien les fesses, l’anus, le périnée…
— Le quoi ?
— Le pé-ri-née, c’est ce qu’il y a là, entre les bourses et l’anus, lui montré-je en le caressant pour son plus grand bonheur à cet endroit-là.
— Tu te rases là, toi ?
— Ah oui, moi je rase tout !
— Bon, eh bien alors moi aussi.
Je lui demande donc de s’agenouiller en prenant appui sur le transat. Ses fesses sont offertes et sa raie ouverte : j’y dépose une bonne couche de crème à raser car l’endroit est sensible et les poils y sont plus épais que sur ses bourses ou son pubis. Je le masse longuement et j’en profite même pour introduire un doigt dans son anus, histoire de voir comment il réagit… Plutôt bien à l’évidence, car il remue aussitôt les fesses pour essayer de faire pénétrer mon doigt plus profondément ! Le problème, c’est qu’il me faut au contraire le retirer pour achever le rasage, ce que je fais avec le plus grand soin : je passe d’abord le rasoir dans sa raie, puis j’élimine tous les poils qui cernaient son anus et débordaient sur son périnée.
— Voilà, comme un bébé ! lui dis-je en tapotant ses fesses et en l’invitant à se rincer sous la douche extérieure.
L’eau froide ne fait pas retomber son érection, et il bande toujours aussi fort quand il revient vers moi. Il prend alors ma main pour s’en caresser le pubis qui est effectivement aussi soyeux que celui d’un enfant :
— Tu as fait un super boulot, me dit-il, et tu as droit à une petite récompense…
Il m’attire alors vers lui, prend dans sa main ma bite toujours en érection, la colle à la sienne, et d’une seule main il se met à masturber nos deux sexes rassemblés. Au repos, ils étaient de dimensions comparables, mais maintenant que nous bandons très fort l’un contre l’autre, je remarque que le sien dépasse le mien de trois bons centimètres… Je sens les palpitations de sa bite contre la mienne, et au rythme de ses va-et-vient, je comprends qu’il est comme moi, tout près d’éjaculer. Je ferme alors les yeux, je sens que ses lèvres cherchent les miennes, je passe ma main sous nos testicules qui s’entrechoquent… et je jouis, au moment-même où il éjacule lui aussi.
Épuisés, nous nous laissons tomber tête-bêche sur les transats, et tandis que nos érections retombent, chacun lèche goulûment sur le ventre de l’autre les giclées de nos spermes qui se sont mélangés.
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