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Manu

Manu



J’ai trop mal au crâne !
J’aurais pas dû boire comme ça hier soir.
J’ai trop bu, c’est certain, je ne me souviens même pas comment je suis rentré.

Putain, je suis pas chez moi c’est pas mon lit ! Qu’est ce que je fous à poil dans ce lit !
Putain, je suis pas tout seul dans ce lit, y’a un autre mec aussi, il se réveille !

C’est Manu, putain je suis chez Manu, et on est tous les deux à poil dans son lit ! Putain je fais quoi là ?

– Ca y est, tu te réveilles Alex ? J’espère que t’es bien mal mon salaud après ce que tu t’es mis hier !
– Manu ? Mais qu’est-ce que je fais là ? Je me souviens de rien ! Qu’est-ce que je fous à poil dans ton lit ?
– Tu te souviens de rien ? Tu te souviens quand même de la partie de cartes chez Frédéric ?
– La partie de cartes oui !
– Tu as bu comme un trou pendant cette partie de cartes.
– Je sais que j’ai un peu bu ouais, je voulais pas y aller hier, fallait me laisser déprimer tout seul !
– Les copains ça sert à ça. C’est pas parce que ta copine t’a plaqué que ta vie doit s’arrêter, faut sortir un peu et te remettre en selle. Tu t’es fait porté pâle déjà tout une semaine, mais lundi tu dois aller bosser mon vieux !
– On verra… Mais qu’est-ce que je fous à poil dans ton lit, tu m’as rien dit !
– Vu ton état, je devais te ramener. Quand tu as commencé à être malade, vu qu’on passait près de chez moi, je me suis arrêté, et là tu m’as pourri ma salle de bain. Tu en avais partout sur toi, sur tous tes vêtements et jusqu’au boxer, c’était dégueulasse ! J’ai mis ½ heure à laver ma salle de bain après t’avoir aidé à te déshabiller, t’avoir aidé à te doucher, t’avoir couché et avoir mis tes fringues à la machine.
– Oh putain je suis désolé Alex, je me souviens de rien… Tu m’as douché aussi ? Oh putain !
– Ouais, tu peux le dire. Mais vu ton état, y’avait pas le choix… Mais t’inquiète pas, tu t’es bien tenu, t’as même pas bandé quand je t’ai savonné la bite. Ahahaha ! Aller, je vais m’habiller, te filer de quoi t’habiller en attendant de faire sécher tes fringues au sèche-linge et on va prendre un bon café.

Manu se lève, il file prendre dans un placard un short de sport et un débardeur qu’il me tend. Il est toujours à poil, mais ça n’a pas l’air de le déranger, pourtant on s’était jamais vu à poil tous les deux, même après 15 ans d’amitié. Il est bien foutu Manu, 1m85 pour 85kg avec des beaux muscles dessinés juste ce qu’il faut, des cheveux et des yeux noirs, une peau mate intégralement bronzée et juste quelques poils sur les membres et au niveau du pubis. Il file enfiler de son côté un short et un débardeur aussi, ça doit être sa tenue de footing de l’été, et on passe dans sa cuisine où il nous prépare de quoi petit-déjeuner.

– Tu sais Alex, je rigolais pas, je comprends que tu sois effondré après que Sabrina t’a plaqué brutalement, mais tu dois remonter la pente maintenant, et rester dans ton appartement à te morfondre, ce n’est pas la solution. Je pensais que c’était bien de t’emmener te changer les idées hier, mais c’était peut-être encore un peu tôt finalement…
– T’es trop gentil Manu, un véritable ami. Avec Sabrina, ça a été si brutal, et après 2 ans de vie commune en plus ! On était bien, j’ai rien vu venir. Je crois que c’est quand j’ai parlé mariage que ça l’a perturbée. Mais si elle voulait pas, il fallait juste le dire, je m’en fous moi en fait. J’aurais fait tout ce qu’elle voulait. Je suis con, mais je suis con, mais je suis trop une merde maintenant, je suis tout seul…
– Faut pas te sentir gêné pour ça Alex, on est entre nous là. On se connaît depuis l’entrée au lycée alors à 30 balais on s’en fout de ça. Arrête de chialer là, aller, ça va aller !

Manu me prend dans ses bras, il me serre, je suis bien. Il sent bon Manu. Il est fort, il me rassure, j’ai besoin d’être rassuré malgré mon mètre 85 et mes 80 kilos. On est debout, je sens mes cuisses nues contre ses cuisses nues, ses bras puissants contre les miens. Il a une jambe entre les miennes, on est collé l’un à l’autre, je sens même nos bites qui se frôlent à travers le tissus de nos shorts, c’est un peu bizarre, mais je suis bien, j’ai la tête dans son coup et je laisse partir mes larmes. Il me caresse le dos pour me consoler, ça me fait du bien d’être dans ses bras et de sentir sa chaleur.

– Bon, tu dois remonter la pente. Cette semaine, tu vas t’installer ici. Je pourrai te surveiller, te forcer à manger, à aller bosser, on regardera des conneries à la télé le soir, et on se sifflera pas plus d’une bière.
– Putain, je suis tombé bien bas… Je vais te déranger, je veux pas te gêner Manu…
– Arrête ça Alex. Je peux faire ça pour mon pote ! Et puis maintenant qu’on a dormi à poil dans le même lit une fois, on n’a plus de gêne à avoir, crois-moi.
– T’es con !

Il a réussi à me faire marrer, je repasse chez moi pour la journée et je prends quelques affaires pour m’installer chez lui, je vois bien que de rester seul chez moi c’est une impasse.
– Bon, je vais aller me doucher, j’aime bien me coucher propre, surtout que j’ai l’habitude de dormir à poil comme tu as dû le voir ce matin. Ca ne te gêne pas trop ?
– Un, t’es chez toi. Deux, moi aussi je dors à poil. J’avoue que ça pourrait paraître un peu bizarre, mais vu qu’on a déjà passé une nuit comme ça, on n’a qu’à continuer.

Le lendemain c’est lundi, et je dois retourner bosser. Quand le réveil sonne, Manu se lève le premier et file se préparer à la salle de bain. J’ai entrouvert un œil, et vu qu’il y a un peu de jour qui filtre par la porte ouverte du salon, je peux voir qu’il a la queue bien raide en se levant. Le réveil est bien le même pour tous les gars, moi je suis dans le même état ! Je réussis à me branler vite fait et à aller aux toilettes le temps qu’il se prépare, et même si ma bite est un peu plus en forme que la normale quand je le croise pour aller à mon tour dans la salle de bain, au moins je ne bande plus…

On se retrouve le soir, c’est vrai que c’est bien de ne pas me retrouver tout seul. On rigole en regardant un film débile à la télé, et c’est déjà l’heure d’aller se coucher. Même scénario qu’hier, on file chacun notre tour à la salle de bain pour prendre une douche et on revient se coucher à poil dans le lit commun. Vu que j’y suis allé le premier, je me suis déjà installé dans le lit en attendant que Manu revienne, sauf que ma déprime est revenue me torturer brutalement, sans prévenir. Quand Manu arrive pour se coucher, je suis tourné sur le côté en train de chialer.
– Alex, qu’est-ce que tu as ? Tu pleures ?
– …
– Ca allait bien y’a 1/4h, qu’est-ce qui t’arrive ?
– Je suis nul, je suis faible, je suis sûr que plus personne ne voudra de moi, que je vais rester célibataire, et je veux pas squatter ton appart et te faire chier encore des semaines et des semaines, je suis trop nul !

Manu se glisse sous le drap et l’insère entre nos deux corps pour se serrer contre moi et me prendre dans ses bras. Le drap nous arrive juste sous les hanches, et évite que sa bite ne se retrouve directement collée à mon cul, mais tout son buste et ses bras nus sont collés à ma peau nue, je sens sa douceur et sa chaleur quand il me serre dans ses bras pour me consoler, que sa bouche me parle tout bas dans mon cou. Cette proximité, cette intimité devrait me gêner, mais elle me rassure et elle me réchauffe.

– C’est pas que tu es nul, c’est que t’es con de raconter des trucs pareils. Bien sûr que tu n’as pas envie de revoir des filles maintenant et que tu penses à Sabrina qui t’a quitté, c’est normal. Mais un gars bien foutu comme toi, gentil et intelligent en plus, ça va pas rester seul bien longtemps ça je peux te le dire. Elle sait pas ce qu’elle a perdu Sabrina ! D’ici un mois ou deux, je suis sûr que tu seras avec quelqu’un.
– Facile à dire, regarde toi, toi aussi t’es canon et tu vis seul…
– C’est autre chose, je vis seul parce que je le veux bien, c’est un choix. Ca y est, ça va mieux, ton coup de déprime est passé ?
– C’est pas ça encore… Reste encore là tu veux bien, ça me fait du bien, c’est con mais j’ai besoin de chaleur humaine. On te voit jamais avec quelqu’un, tu vis toujours seul ?
– Je vis seul, mais je ne suis pas seul. T’inquiète pas trop pour moi, je vois plein de gens, je sors beaucoup, c’est juste que je n’ai pas envie de construire quoi que ce soit avec quelqu’un.
– Et les filles, juste un coup par ci par là ?
– Tu deviens curieux…
– Sabrina elle me disait que c’était bizarre que tu trouves pas quelqu’un et qu’à 30 ans, tous les mecs bien foutus soit ils sont déjà casés, soit ils sont pédés.
– Elle n’a rien compris. Et puisque tu insistes, je vais te dire ce qui se passe : je fais partie d’un groupes d’amis, une sorte de club, on doit être une vingtaine, filles et garçons confondus, et on n’y entre que présenté par un des membres et que si on fait l’unanimité. Dans ce groupe, on revendique notre droit à vouloir assumer une vie de célibataire, mais avec des sex friends choisis. On s’appelle les uns les autres au gré de nos envies, et on passe comme ça des bons moments ensemble. On s’engage à ne pas sortir de notre cercle pour trouver d’autres partenaires sexuels, ce qui règle tous les problèmes de virus et autres MST, ce qui fait que ça peut être assez débridé…
– Vous êtes un gros groupe d’échangistes !
– Plutôt un groupe de personnes libres, même si on en reste majoritairement juste à des relations entre 2 adultes consentants pour quelques heures, une nuit parfois.
– Tu dis majoritairement, parce que des fois c’est partouze ?
– Non, jamais à ma connaissance, mais il nous est arrivé de composer des trios de temps en temps…

Manu doit commencer à bander, je sens sa bite qui durcit contre mes fesses, et j’avoue que de l’entendre parler de sa sexualité m’a sorti de mes idées noires et m’a aussi émoustillé. Le sexe comme thérapie ça pourrait marcher ! Manu a dû sentir son excitation monter, et il se dégage de mon dos. J’en profite pour me retourner, et on se retrouve face à face, avec juste un drap qui se retrouve à couvrir à peine le haut de nos fesses quand on l’a chacun remonté un peu pour le coincer du côté de notre ventre.

– Tu ne m’as jamais rien dit avant, mais je comprends mieux pourquoi tu n’es pas fixé avec une fille ! J’avoue que c’est peut-être pas si mal comme mode vie… Même si ça doit manquer quand-même un peu de partager plus de moments, y’a pas que le sexe dans un couple.
– Y’a pas que le sexe c’est sûr, mais on se fait aussi des restaus, un ciné, des soirées cartes, et même quelques jours de vacances aussi. On s’entend tous très bien dans le groupe et c’est pour ça qu’on n’y entre pas facilement.
– Vous partez aussi en vacances ensemble ?
– Ma semaine de vacances fin juin à Ibiza, on est parti à 5, et fin août on se retrouvera dans les Landes à une petite dizaine, pour une semaine aussi. Question sexe, c’est des semaines assez hot, surtout qu’on va le plus souvent sur des plages naturistes et le soir c’est très rare qu’on dorme seul…
– C’est carrément débridé ton truc ! Concrètement, quand tu dis que vous êtes partis à 5 à Ibiza, ça a donné quoi ? Tu peux détailler que je me rende compte ?
– Bon, puisqu’on en est aux confidences, on était 2 filles et 3 gars. Sur les 5 nuits passées sur place, ça a donné un couple H-F et un trio H-H-F 4 soirs de suite dans des configurations différentes à chaque fois.
– Et le cinquième soir ?
– C’était spécial. Je sais pas si je peux t’en parler. Tu me jure de rester discret vis-à-vis des copains ?
– Vas-y accouche !
– Les filles avaient envie de rester entre elles, et du coup on est resté entre mecs.
– Rester, ça veut dire coucher pour toi ?
– Ouais, mais c’est en fait assez courant dans notre groupe. On est en fait tous plus ou moins bisexuels, même si on n’a pas tous des rapports avec des personnes du même sexe à la même fréquence.
– Tu as couché avec deux autres gars pendant ta semaine à Ibiza, et en fait tu as même l’habitude de ça ?
– Oui à la première question, et oui à la seconde, ça m’arrive de temps en temps.
– Et tu es actif ou passif ?
– C’est bien une question d’hétéro pur jus ça ! Si tu aimes le sexe, tu es les deux ! J’aime bien sucer, lors d’un trio H-H-F, c’est même assez commun en fait, et j’aime bien aussi me faire enculer. C’est des sensations incomparables une fois que tu as accepté que c’est juste pour le plaisir et que tu as dépassé les a priori de toutes sortes.
– Putain j’y crois pas !
– Tu n’y crois pas, mais vu l’état de ta bite qui pointe sous les draps, tu m’as l’air intéressé !

Oh bon sang, je suis tellement captivé par ce que Manu me raconte que je n’ai pas senti le drap glisser, et ma bite toute dure qui pointe son gland au vu de Manu. Sa bite à lui, je ne la vois pas, mais je la devine facilement sous le drap, et c’est sûr qu’il bande comme un âne aussi…

– T’inquiète, je l’ai déjà vue ta bite je rappelle… Je l’ai même savonnée ! D’ailleurs j’ai trouvé étonnant que tu sois complètement épilé. T’es épilé hein ?
– C’est Sabrina, elle aimait pas les poils, et quand elle a commencé son épilation laser, elle m’a entraîné avec elle. J’ai pu garder des poils sur les bras et c’est tout. Je m’y suis fait et j’aime bien maintenant. Mais toi je t’ai vu à poil aussi, et pas beaucoup de poil non plus, non ?
– J’en ai très peu en fait, rien ni sur le torse ni sur le ventre, quasiment rien sur la bite et les couilles et ceux qui y sont, je les épile et je ne fais que raser le pubis… C’est vrai que j’aime bien que ce soit tout lisse. Je peux toucher chez toi pour voir ?

Et sans que je puisse réagir, il descend le drap et il commence à me caresser le torse. Je suis comme tétanisé, mais aussi accroché à sa main si ferme et si douce à la fois qui passe sur ma poitrine, s’attarde sur mes tétons, tout doucement. Je sens une vague de chaleur qui monte en moi, je soupire, je me sens à la fois libéré et prisonnier. Il descend, me caresse le ventre, remonte, redescend, encore plus bas sur le pubis, puis passe sur une cuisse, remonte en me frôlant la bite. Il me la saisit enfin, puis vient me malaxer les couilles, en me regardant bien droit dans les yeux. Je suis sous son emprise, je ne peux rien dire, et je ne veux rien dire, j’aime ses mains sur mon corps, j’aime ses mains qui me branlent tout doucement. Et puis, il se penche sur moi. Sa langue s’empare de mes tétons, c’est carrément électrisant, je pousse un cri de surprise et de désir. Il se positionne tête bêche et vient commencer à me prendre les couilles dans sa bouche, puis il commence à me sucer comme jamais personne ne l’avait fait. On est toujours sur le côté, j’ai sa bite bien droite et suintante à quelques centimètres de mon visage, et quand il prend ma main pour la placer sur sa queue, c’est tout naturellement que je le caresse, profitant de sentir dans ma main une bite qui n’est pas la mienne. Une belle bite toute douce, et d’une fermeté incroyable.

– Tu veux y goûter ? Laisse toi guider par tes envies. Juste du sexe pour du sexe, où tu cherches à profiter de ton corps et du plaisir qui monte, et donner du plaisir comme tu aimes qu’on t’en donne. Avec un autre mec, tu peux faire comme tu aimerais qu’on te fasse, parce que tu sais ce dont tu as envie au fond de toi.

Je pose la langue sur son gland au bout duquel une goutte de liquide séminal pointe et j’avale l’ensemble. J’adorais voir Sabrina me tailler une pipe, et j’adorais lui bouffer la chatte aussi, en fait j’adore le sexe oral et finalement je trouve très excitant de faire vibrer l’autre sous sa langue. On passe ainsi un bon quart d’heure dans un 69 de rêve, que jamais j’aurais pu imaginer quelques jours avant… Et puis Manu se dégage, il ouvre le tiroir de sa table de nuit et en sort un tube de lubrifiant. Je le vois qui se met une bonne noisette sur le doigt et qu’il s’en tartine le trou du cul. Il veut que je l’encule ! Pourquoi ne pas aller au bout des choses finalement ? Je peux l’admirer face à moi, il est beau, il est chaud et doux, il me dirige et me rassure. Il me saisit la bite et la positionne sur sa rosette tout en me regardant bien dans les yeux. Je ne dis rien, je le laisse faire ce qu’il a décidé. Il s’enfonce sur mon gourdin, c’est trop bon. Je n’avais jamais essayé la sodomie avant, et je suis surpris de la sensation que ça me procure. Manu commence à faire des va et vient au-dessus de moi, il est encore plus beau avec ses muscles et ses abdos que je vois se contracter et sa belle queue raide qui se balance. Je pousse des soupirs de plaisir, et lui aussi, c’est à la fois obscène et enivrant. Quand il arrête de bouger, je prends le relais pour le pilonner, et nos soupirs deviennent des gémissements.

– On va échanger les places, je veux bien me remettre en-dessous, tu pourras mieux me baiser. Ca à l’air de te plaire ?
– Carrément ! Et toi aussi mon salaud, tu as l’air de prendre ton pied.

Il se positionne sur le dos et relève ses jambes. J’ai une vue imprenable sur son anus qui est bien dilaté. Manu s’écarte les fesses pour m’ouvrir son trou béant, et m’engager à l’enculer sans ménagement. Je ne me laisse pas prier, et j’y vais franchement. Manu me saisit une main pour que je le branle en même temps que le baise, et ramène ses mains derrière sa tête. On ne tient pas longtemps à ce rythme, et quand je jouis en lui, il ne met pas plus de quelques secondes à se libérer sur son torse et dans ma main. Je suis toujours en lui quand Manu reprend la parole :

– Tu baises bien, j’ai vraiment joui du cul avec toi et en plus tu m’as bien rempli. Tu connais tout de moi maintenant, j’espère que ça ne va pas gâcher notre amitié.
– On est amis depuis 15 ans et j’ai pas envie que ça change. Tu es un peu plus qu’un ami maintenant. Tu m’as ouvert ta maison et donné ton soutien pour m’aider à avancer, et tu m’as fait un très beau cadeau avec ce moment que ne pourrai jamais oublier. J’aimerais pouvoir te rendre tout ça, j’ai aimé tout ce qu’on a fait, j’assume pleinement.

Je me penche pour l’embrasser, ça vient tout seul. Notre baiser ne dure pas longtemps, mais il est sincère. Nos langues se mêlent, nos lèvres se croisent, c’est bon d’embrasser, même un autre mec finalement. On se sépare puis on repasse à la douche et il est déjà tard, alors on s’endort rapidement. Le lendemain matin, je me réveille avec Manu derrière moi. Il est collé à moi et je suis dans ses bras. Qu’est-ce que c’est agréable d’être tenu ans ces bras puissants. Et puis la sensation de son corps nu contre mon corps nu, c’est formidable. Je sens un baiser dans mon cou, et je me mets à bander dans la seconde.

– Bien dormi ? Toujours content d’être dans mon lit ?
– Plus que jamais !

Manu continue ses baisers et me caresse doucement le ventre, non sans tâter l’état de ma bite. Je sens la sienne toute droite et dure, coincée entre mes deux fesses. Mon désir commence à monter inexorablement. Il commence à pousser encore plus son bassin contre moi et je sens son sexe qui fait des petits mouvements contre mon cul. Quand il s’écarte un peu, c’est moi qui tend mon cul vers lui. J’ai envie de lui, je n’ai pas envie de lui comme j’aurais envie d’une fille, non j’ai envie de me faire baiser ! c’est quelque chose de totalement nouveau, mais je suis certain de ne pas me tromper sur ce que je ressens.

– Je crois que j’ai envie de te faire un cadeau ce matin. J’ai envie que tu me prennes et j’ai envie de t’appartenir.
– On parle bien de la même chose ?
– Occupe-toi de mon cul, vas-y doucement pour ma première fois, mais je veux que tu m’encules.

Je suis maintenant sur le ventre, et Manu descend ses mains sur mes fesses, passe son pouce entre elles et vient me toucher l’anus. Jamais on m’a fait ça comme ça avant et c’est très excitant. Je pousse encore un peu mon cul pour lui dire qu’il peut y aller. Il descend doucement et vient me donner des baisers tout le long du dos, jusqu’à m’écarter les fesses pour venir me lécher la raie. Je laisse échapper un cri de surprise et de contentement. Sa langue s’active sur ma rosette, la lèche, la détend et s’y enfonce au fur et à mesure que le plaisir que ça me procure m’aide à lâcher prise, et aussi à accepter définitivement de transgresser ce qui était tabou jusqu’alors. Je n’aurais jamais pu imaginer ce plaisir si particulier. Manu a approché ses doigts qui me touchent et qui se positionnent à l’entrée de mon trou. Il en enfonce un doucement mais sûrement, et commence à le bouger, je pousse des gémissements de pur plaisir, c’est délicieusement transgressif et si voluptueux ! Il alterne ensuite les mouvements de rotation, de va et vient, puis encore de lubrification avec sa salive et sa langue, et enfonce un deuxième doigt, suivi 10 minutes plus tard d’un troisième. Je sens mon anus ouvert, prêt à accueillir ce que j’attends maintenant comme une évidence : sa bite.
Manu me fait positionner sur le côté et vient se placer derrière moi en cuillers. Après un dernier mouvement avec ses doigts, il positionne enfin son gland et pousse doucement. Centimètre par centimètre, il entre lentement, et j’arrive à me détendre et à pousser légèrement pour l’aider à avancer. J’ai un peu mal, mais j’ai aussi envie de continuer. Il est bientôt enfoncé complètement, le sens que je suis rempli, c’est dingue. Manu me caresse la bite et la masturbe doucement, je me remets à bander très vite, toujours avec cette sensation dans le cul qui devient de plus en plus… De plus en plus je ne sais pas quoi, nouvelle, gênante mais bonne, jouissive, pleine, et avec l’envie de le sentir bouger maintenant. Les mouvements commencent et mon abandon est total, je peux profiter de son manche qui s’enfonce et qui repars, qui s’enfonce et me fait crier, qui repars et m’en fait redemander, je me fais baiser et c’est trop bon putain ! Je suis bientôt à quatre pattes en train de me faire enculer avec force, Manu qui me tient par les hanches, j’ai la queue qui oscille sous mon ventre et je jouis sans même avoir touché ma bite, je crie de plaisir et Manu finalement lâche son jus au plus profond de moi. On s’affale su le lit, il est toujours en moi et met un peu de temps à débander à glisser hors de moi.

– C’était bon, j’ai joui comme jamais de ma vie auparavant.
– Pour une première fois, c’était réussi, c’était génial.

On se refait face, et on s’embrasse. J’aime trop sa langue. Je sens sa bite humide contre mon ventre et mon cul gluant, mais j’aime trop ses bras puissants et ses mais qui me caressent. En moins de 10 minutes on est tous les deux à nouveau raides, pire que des ados en pleine poussée hormonale ! On repart dans un soixante neuf d’enfer ! J’ai sa bite pleine de sperme dans la bouche alors qu’elle était dans mon cul il y a moins d’1/4 d’heure, tandis qu’il astique la mienne tout en me doigtant l’anus, dans lequel il peut rentrer sans peine vu la quantité de foutre qu’il y a déposé. Entre sa langue experte et ses doigts qui viennent malicieusement titiller ma prostate, je ne mets pas plus de 10 minutes à jouir à nouveau dans sa bouche, et je ne dois pas m’y prendre mal car quelques minutes plus tard, c’est Manu qui à son tour me remplit la bouche. On a tout avalé l’un et l’autre, et on s’embrasse en échangeant nos jus encore bien présents dans nos bouches.

– Pour un plan cul c’était un plan cul non ?
– C’est nouveau pour moi, mais j’ai aimé c’est sûr.
– Tu voudras recommencer ?
– Si ça ne me fait pas tourner complètement casque oui, mais j’ai pas envie de me détourner des filles.
– Moi ça ne m’a jamais empêché d’aimer les deux. L’un après l’autre, ou en même temps, c’est ça être bisexuel, tu aimes tout, et tu profites de tout.
– Je crois que je vais pouvoir oublier Sabrina. L’idée de ton club de célibataires me plaît bien. Tu pourrais me parrainer ?
– Il te faut 2 parrains, un homme et une femme. Considère que tu as le parrainage masculin. Dans la semaine, je te présenterai à quelques filles à qui tu pourrais plaire, tu as des atouts qui ne devraient pas les laisser indifférentes… On en reparle ce soir, pour l’instant il faut passer sous la douche et aller bosser, on est un peu à la bourre !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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