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Dans le train

Dans le train



J’ai envie de prendre le TGV avec toi, en première classe bien sûr et surtout en tête à tête (entre Bordeaux et Dax).
Tu joues ton rôle, tu es habillée court et maquillée comme j’aime … Rouge à lèvres d’un rose pute et les yeux noircis.

Je suis assis face à toi en train de lire un magazine dont la couverture laisse penser à un mensuel sur la photographie mais en réalité c’est juste une couverture pour cacher ce qui se trouve à l’intérieur …
Je me lève pour aller au toilettes en posant ce magazine entre nous. La revue est fermée mais je suis certain que ta curiosité prendra le pas sur ton éducation et que tu découvriras très vite qu’en réalité les photos à l’intérieur sont beaucoup plus explicites que tu ne l’imaginais. C’est en fait un magazine porno (de la grosse chaudasse bien poilue qui suce de la bite).

Je suis parti aux toilettes pour me branler en pensant à toi et aux situations très excitantes de mon magazine. Je t’imagine en train de te mettre dans les mêmes situations et en train de faire la pute.
Je reviens quelques minutes plus tard et reprends tranquillement ma lecture (et je sais que tu sais). Quelques minutes plus tard, tu constates une bosse sous mon pantalon.

Tu fais semblant de dormir pour pouvoir m’observer discrètement. Entre tes paupières mi-closes tu me vois sortir ma queue et commencer à me branler en te regardant.
Je vérifie de temps en temps que personne n’arrive et je continue à m’astiquer le manche.

Tu vois ma main s’activer sur mon membre raide pendant que je matte tes cuisses et tu sens ta chatte devenir humide. Tu ouvres les cuisses, tu ne portes rien sous ta jupe de pute et tu m’offres de manière indécente ta moule en spectacle.
Tu me fais triquer espèce de sale pute et je m’active de plus en plus sur mon chibre. Là, tout en faisant toujours semblant de dormir, tu glisses une main entre tes cuisses et tu te mets à te caresser la moulasse.

Je te regarde et je vois tes doigts qui glissent à l’intérieur de ta grosse moule luisante de mouille… Tu es visiblement en chaleur et ça me rend fou. Je me lève et te dis :
« Rejoignez-moi aux toilettes. Je vous attends. »

Tu te lèves juste quelques secondes après moi pour me rejoindre dans les chiottes. Tu frappes à la porte, j’ouvre et je te tire vivement à l’intérieur de la cabine … je passe ma main sous ta petite jupe ridiculement petite, tu mouilles comme une grosse radasse.

Tu veux de la bite espèce de grosse pute ?
Tu ne me réponds pas, tu viens juste coller ta grosse moulasse dégueulasse contre ma bite dure sous mon jean … Je t’att**** par les cheveux pour t’obliger à t’agenouiller … Je sors ma bite de mon pantalon et t’enfourne mon chibre dans la bouche .
« Suce ça espèce de sale catin »

Tu commences à me pomper la bite. Je te prends la tête pour que tu m’avales entièrement la queue … Je te force à l’avaler et je vois des larmes couler. Ton maquillage aussi et ça m’excite encore plus. Je tente d’enfoncer complètement mon chibre dans ta gorge et tu commences à baver sur ma queue. Je te baise la gueule sale raclure.

Tu me caresses les couilles en me pompant, tu me les gobes. Tu sens ma queue se tendre et tu sais que je ne vais pas tarder à cracher la purée. Mais je ne veux pas me vider dans ta bouche ou sur ta gueule de pute.
Alors, je te relève, te retourne, t’écarte largement les cuisses, et je te plaque sur le rebord du lavabo, d’un geste je relève ta jupe pour que tu me montres bien ta croupe et tes trous de salope. Tu m’offres ainsi ta grosse chatte détrempée de mouille, bien lubrifiée par le plaisir que ta pipe vient de te procurer.

Tu es prête à recevoir mon gros membre bandé. Tout doucement, je commence à appuyer mon gland violacé sur ta petite rondelle odorante et tu comprends que ce n’est pas ta chatte que je veux fourrer mais ton cul.

Je fais glisser plusieurs fois ma bite sur ton trou du cul et descends jusqu’à ta chagatte détrempée pour te l’enfoncer sans aucun ménagement jusqu’aux couilles bien au fond de ta grosse moule chaude.

Je te pénètre facilement, tant tu es dégoulinante de mouille, et commence, tout en empoignant fermement tes fesses à te bouriner le con et à t’infliger des mouvements de va-et-vient puissants en te pistonnant sauvagement, ressortant presque à chaque fois pour mieux replonger entièrement dans ta chatte et te faire mouiller encore plus.
« Oui vas-y baise moi fort sale bâtard ! »

Je te relève une jambe pour te pénétrer plus profondément. Je referme mes mains sur tes fesses et je t’oblige à adopter ma cadence, te forçant à suivre mes mouvements. L’intérieur de ton con est brûlant et gluant. J’introduis deux doigts dans ton cul après avoir craché dans ma main pour te masser en profondeur et te dilater avant de te prendre le cul sans ménagement.

Ayant préparé non sans rudesse ton petit trou, je ressors de ta chatte et brusquement plaque ma queue sur ta rondelle déjà élargie. Je pousse d’un coup de reins et mon gland rentre dans ton cul de pute. Ta mouille sur ma bite aidant, ma queue entre immédiatement dans ton fion en dilatant ta rondelle. Je t’empoigne les seins et je me mets à te labourer le cul en m’enfonçant de plus en plus loin en toi.

« Salope ! Il est bon ton cul. Tu aines ça espèce de sale catin ! »
Tu es excitée comme une vraie pouffiasse et tu te cambres davantage pour que je vienne te remplir le cul bien à fond. Dans une poussée encore plus brutale, je m’enfonce jusqu’à la garde dans ton fion de chiennasse.

Je te pilonne comme un a****l en rut mes couilles claques sur tes cuisses trempées de sueur et de mouille qui dégouline sur tes jambes. Je vais de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mes couilles claquent plus vite et plus fort sur tes cuisses à chaque fois et dans un dernier mouvement j’enfonce ma grosse bite bien à fond dans ton cul de putain en chaleur et je déverse son foutre en longs jets dans tes entrailles en une succession de cris rauques.

Je viens de me vider les couilles bien au fond de ton cul de chaudasse. Je me retire et je reste un moment à regarder mon trou du cul bien ouvert et mon foutre qui dégouline entre tes cuisses. Je t’interdis de te nettoyer le cul avant que l’on reparte à nos places, mais j’enfonce quelques doigts dans ton cul pour te sentir sale et trempée avant de les lécher … Tu sors la première, mais je te suis de très près pour profiter du spectacle …le foutre qui coule le long de tes cuisses.

Hummmmmm …

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