J’ai pas l’habitude de passer des soirées chez mes potes.
En général, on sort de la cité, on va faire un tour genre Mc Do ou vers le centre commercial. On part en virée direct après le bahut, on boit un coca, on mate les meufs (moi je mate les keums, mais super secred), et on rentre pour diner avec la famille, chacun chez soi.
Sauf le week-end, évidemment, là on se lâche un peu plus.
Les parents font pas trop chier, parce qu’il n y a pas cours le lendemain.
C était un jour comme les autres, on avait sport en fin de journée, dans les vestiaires, on décide d aller faire un tour comme d habitude.
On prend quand même une douche, on se rhabille fissah – et on s’arrache.
On en parle au nouveau (il s’appelle Brendan)
Il est arrivé cette année de Marseille, il a redoublé au moins 2 fois, il est plus vieux que nous.
Il a déjà un corps d’homme avec les muscles bien dessinés. Mais très peu de poils
Il a surtout une bite qui a l air énorme. Deux fois la taille de la mienne.
Je ne l ‘ai pas vue, (vu qu’on se douche en slip) – mais ça se voit, elle a l’air énorme, il a du mal à la placer correctement dans son slip. Et sous la douche, tu arrives à te faire une idée de la bête…
Il faisait du rugby dans sa ville l année dernière, il a de bonnes cuisses – bien musclées, mais pas très poilues.
On part donc en lui proposant de nous accompagner – pour la première fois.
Au début, il dit non, puis comme on insiste, il accepte
Il envoie juste un message à sa mère pour la prévenir, et on est partis.
De toutes façons elle bosse le soir, mais c est par respect.
Je suis aux anges, il est trop sexy !
Mais je ne dis rien, je ne montre rien. Trop dangereux dans la cité.
On prend donc le bus, on gruge, comme d habitude.
Le chauffeur ne nous dit plus rien, il a l habitude. C est le même depuis des années.
On arrive au centre commercial, on s installe sur la terrasse du MC Do, chacun la même place, comme tous les jours, et on commence à mater.
Aujourd’ hui c’est au tour de Grégoire d aller chercher les boissons. On est assis tranquilles, et le voilà qui arrive, avec un plateau et 6 gobelets XL de coca.
On se sert et là Brendan sort de son sac une fiole de rhum ;
Il nous propose d en mettre dans nos cocas.
« Allez, faites pas les fiottes, c est meilleur avec ça ! », on va bien se marrer les mecs ! »
Pour ne pas passer pour des nazes, on accepte, il nous en verse juste un peu, mais lui s’en verse une sacrée rasade – le salaud !
Les meufs commencent à passer, un petit commentaire pour celle-ci, un autre commentaire pour celle-là.
Sauf que Bredan, lui ne dit rien.
Il est assis à coté de moi, son genou touche le mien, je ne le bouge pas, bien au contraire, et lui non plus ; j ai un début d érection, il est chaud bouillant par rapport à moi…. Je regarde à droite et à gauche comme si de rien n était.
Alors, on commence à lui poser des vraies questions sur sa vie en province.
Il nous dit que c était mieux la bas, qu’il a plein de potes avec qui ils ont fait les 400 coups. Que sa copine est restée là-bas aussi, que c est chaud d être seul ici avec ses parents.
Qu’il a trop hâte de retourner dans le sud à Noel pour les retrouver et ratt****r le temps perdu avec tous ses potes d’enfance et sa meuf.
Il nous raconte les plans qu’ils se faisaient après les cours, dans les supermarchés, puis ils allaient picoler sur la plage en regardant le soleil se coucher
Sur la plage justement ou c était facile de draguer des nanas – ou juste pour se rincer l œil, comme elles étaient en maillots de bain… Que dans le sud c était plus chaud qu’ici en banlieue.
En disant ça, il nous reverse – à tous les 5 -une giclée de rhum.
On ne dit rien, on continue à boire notre coca à la paille comme si de rien n était.
On l ‘ écoute nous raconter sa vie de provincial
Ca nous fait rêver : la mer, la plage, le sable, le soleil. Ici y’a que du béton et un ciel gris.
Il se ressert un petit coup et sa fiole est vide.
Il nous dit,
« Allez les mecs, je vais vous montrer comment on fait chez moi !»
On fini tous nos verres, on se lève, on le suit.
On entre dans le supermarché, on se dirige vers le rayon alcool.
Et on fait demi tour aussi sec
On traine un peu puis il repère une nana chelou qui se dirige vers la sortie des caisses sans achats.
Il nous dit, allez acheter une bouteille de coca. On se retrouve dehors.
Ok, on y va.
Pendant ce temps, il emboite le pas de la femme bizarre et bien sur, le portique de sécurité se met à sonner.
Il continue de sortir tranquille, et c est la nana qui se fait contrôler par le vigile.
Il file direct dans les toilettes du centre, ou il est prévu de le retrouver.
Mes potes sont en train de faire la queue pour payer la bouteille, et moi je sors pour le rejoindre.
Il est aux chiottes, aux urinoirs en train de pisser
Je me mets devant l urinoir, je ne le regarde pas.
Il me dit :
« Tu as vu ? Facile non ?
– quoi facile ?
– – bah, j ai tiré une bouteille d’ un litre de rhum, ni vu ni connu !
– putain, mec, j ai rien vu ! c est pour ça que ça a sonné quand tu es sorti ?
– – ouiais mon pote ! C’était pas la femme, c était la bouteille que j avais cachée dans ma doudoune !!!!
– trop fort, j ai rien vu !
– faut faire vite, parce que si on traine, si on tourne trop, on se fait repérer, et c est mort !
– bien joué Bredan !
– des années d ‘entrainement mon pote !! ahahah !
En lui disant ça, je le regardais dans les yeux, puis naturellement mon regard est descendu vers sa bite
Il était en train de pisser – pour de vrai
Il avait une putain de bite, bien blanche, bien lisse, bien épaisse et longue aussi ! un vrai steack !
Pour me donner une contenance, et pour ne pas partir d ou j étais, je sors alors ma queue et fais mine de pisser aussi.
Il se vidait de ses dernières gouttes.
Mais je n avais pas envie de pisser, en tous cas, je n y arrivais pas. J avais par contre le bout du gland tout collant, et contrairement à lui, je suis circoncis, donc mon gland était bien brillant avec toute la mouille qui a coulé pendant qu’on était en terrasse et que nos genoux se frottaient.
Il agite sa queue pour égoutter son sexe en jetant un regard sur ma bite à moitié en érection.
Il esquisse un sourire, puis range son sexe.
« Allez, ramènes-toi » me dit, il avec son sourire en coin et un regard entendu.
Je m exécute.
« Merde », pensais-je. « Je suis grillé !!
Il a compris que je ne venais pas pour pisser mais pour le mater. Il a du voir que je bandais à moitié. »
Je me rhabille et lui couru après, il avait déjà retrouvé les autres.
« Allez les potes, on va fêter ça, lance t il en sortant, victorieux, sa bouteille de rhum à la main.
Il avait soudain pris le lead du groupe. On le suivait tous, contents de notre exploit et surtout fiers de lui (on n avait jamais osé faire une chose pareille).
Il nous propose de se poser chez lui, sa mère étant partie bosser (elle travaille de nuit dans un hôpital). On serait plus confort que de trainer dans le centre.
Tout le groupe est ok, on le suit.
On arrive chez lui, on retire nos sk8, on entre dans le salon, il sort sa bouteille de son sac allume la télé, et va dans la cuisine pour nous apporter 6 verres. Il nous demande de nous servir
Il va dans sa chambre, pose son sac, retire son blouson, il se met à l aise et reviens vers nous avec un paquet de chips
« Ben, asseyez vous, retirez vos blousons »
Comme on ne s est pas servis, il fait le service
Une grosse rasade de rhum, un peu de coca
« A la votre les potes ! »
On trinque, on boit
Il prends sa télécommande et cherche 1 chaine cool pour faire un fond sonore.
On discute de l école, on fini notre verre et la porte d entrée s ouvre
On se lève tous, droits comme des i.
« Relax les mecs, c est mon frère qui doit rentrer du taff »
Effectivement, c était bien son frère, de 4 ans son ainé.
Le même que lui – identique, même physique, avec 4 ans de plus.
Il nous salue et disparaît dans sa chambre.
On se tape un deuxième verre, plus léger cette fois, on le boit cul sec.
Deux de nos potes s ‘essuient la bouche, se lèvent et remettent leurs blousons, ils doivent rentrer.
J en profite pour me lever aussi et demande où sont les toilettes.
Avec tout cet alcool, j ai envie de pisser pour de bon cette fois.
Je leur dit au revoir, à demain – au bahut.
Je suis donc Brendan qui m indique les toilettes
« Tiens, c est là . Et ne te trompe pas, c est la salle de bain ici »
Je rentre dans les wc, je pisse comme jamais, un jet puissant qui ne semblait pas s arrêter.
En sortant, j ouvre la deuxième porte pour me laver les mains, et là, surprise, il y a son frère sous la douche
« Oh pardon »
« Non, c est bon, entre ! On est des mecs, non ?
« Ah, ok… Je me lave les mains très vite, très gêné – mais c est plus fort que moi, je ne peux pas m empêcher de regarder dans le miroir – très discrètement – ce corps sublime qui se dessine derrière la paroi vitrée de la douche
Il y a tant de buée que j ai du mal à discerner son corps.
Il a fini sa douche, il est en train de se sécher
Et comme il sort de la cabine, j’en fait tomber ma serviette (sous le coup de l’émotion surement). Un peu godiche parfois !
Je me baisse pour la ramasser et me retrouve a la hauteur de son sexe.
Ben oui, Il est à poil, sans gène, à l aise.
Je suis écarlate, rouge de honte
Comme si ce n était pas suffisant, Brendan entre à son tour :
« Ah ben je vois que vous avez fait connaissance ! -nous lance t il.
« Heu oui.. ☺
« c est Quentin, mon grand frère, lui c est JB
« Enchanté me dit il en me tendant sa main.
Je lui donne une franche poignée de main, mais bien moins virile que la sienne.
Putain, j’ai le slip qui va exploser tellement je bande, je mouille comme un fou, je sens que ma mouille traverse mon slip et mon jogging
J ai le sgueg tout raide, je ne sais pas comment le cacher
Je lui dit » bon a plus, je vais retrouver les autres au salon.
Brendan discute avec son frère puis nous retrouve
J ai les mains posées sur ma bite, j ai effectivement la grosse tache a l endroit de mon sexe, c est la merde !!
Son frère est allé se rhabiller, puis il nous rejoint très vite
« On se refait un petit verre ? nous demande Brendan
Mes deux autres potes déclinent son offre, ils ont assez bu et demain on a cours.
Brendan me dit :
« Allez, tu restes toi ? Tu habites juste en face. On va trinquer avec mon frère.
« Ok, juste un dernier alors !
On se retrouve tous les trois dans son salon.
Brendan à ma gauche, Quentin son frère, à ma droite et moi …. au milieu !
FIN DE LA PREMIERE PARTIE
J’ai pas l’habitude de passer des soirées chez mes potes (suite)
La porte claque, cette fois ils sont tous partis,
Brendan me sert alors un verre.
Il le tasse encore plus que tout à l heure, moitié Rhum et moitié coca.
La bouteille est vidée.
Je commence à sentir les effets de l alcool, moi qui ne bois presque jamais
Lui est aussi un peu fracassé, on a quand même beaucoup bu en peu de temps,
Mais il semble mieux gérer l alcool que moi, question d habitude
On trinque à nouveau, mais tous les trois
« … hey ! ….En nous regardant droit dans les yeux, lance son frère
« ….Sinon, c’est 10 ans sans sexe !
On recommence en ricanant, mais en nous regardant dans le fond des yeux cette fois !
Explosion de rires
On est brutalement interrompus par le téléphone de Quentin qui se met à sonner et à vibrer.
« C’est sûrement sa copine me dit Brendan, elle l appelle tous les soirs à la même heure pour qu’ils se retrouvent après diner.
Quentin décroche et part discuter vers sa chambre, pour trouver un peu d intimité.
Brendan se retourne vers moi et me lance :
« C’était quoi ce plan aux chiottes du centre commercial tout à l heure ? »
Je fais mine de ne pas comprendre
« Arrêtes, je t ai bien vu, tu te tripotais la nouille en matant ma bite aux urinoirs
Tu ne pissais même pas !
Par contre, ma bite te faisait de l effet, on dirait… Je me trompe ?
« Mais pas du tout. Elle est toujours comme ça. T es un grand malade toi !!
« Arrêtes mec, c’est bon, tu ne vas pas me la faire à l envers, je sais ce que j ai vu !
T’inquiètes pas, ça restera entre nous, je ne dirais rien aux autres, je sais tenir ma langue, mais pour ça, va falloir que tu me rendes un petit service.
– Quoi ? Tu veux quoi ? Tu veux que je te fasse tes devoirs, c est ça ?
– Non, j’ai une meilleure idée. Elle te plait, non, tu veux la voir encore une fois ? Tiens, viens la chercher, déboutonne mon jean, et vas ta chercher tout seul
– -hein ?
– allez, sérieux, prends la dans ta main, et branle la doucement, comme tu branlais ta queue dans l urinoir, tout à l heure. Fais pareil.
– Je ne me branlais pas
– Ta gueule, et fais ce que je te dis.
Un peu contrarié, je m exécute (en fait je suis ravi, mais je ne veux pas le lui montrer, ça m’excite d’être dominé de cette façon).
Je défais sa ceinture, déboutonne son pantalon, je pose ma main sur son slip blanc immaculé. Il est tellement fin que j’ai l impression de sentir la douce peau son sexe au travers.
Je le caresse encore et le sens immédiatement durcir, il se dresse rapidement pour arriver en position verticale, raide et droit comme un piquet
Le bout de sa queue dépasse de son slip
Je soulève alors l’élastique pour sortir complètement son membre.
Bordel ! Mais quelle putain de belle queue !!!
Du coup, je bande à nouveau, ma bite est dure comme du fer, elle mouille à nouveau.
Je caresse sa tige tout doucement et commence à le branler
Il semble aimer ça, il bascule sa tête en arrière et commence à pousser des petits râles de plaisir. Ca m’encourage à aller plus loin.
La situation est surréaliste, mais je n’ y pense pas, je vis l’instant présent.
J ai pas mal trainé sur les sites de cul, j’ai maté des centaines de vidéos pornos je vais faire pareil, c’est ma première fois, alors, je veux m’appliquer au mieux et ne pas le décevoir.
Je le branle en le tenant sa queue un peu plus fermement, je le branle en allant plus bas et en remontant plus haut
Je le fais décalotter. Son gros gland rose jaillit alors, il est magnifique, il a l air si doux, si gorgé de sève, un filet de mouille commence à couler, je m en sert de lubrifiant pour le branler. Je le branle avec mon autre main, en pratiquant la technique du tournevis comme disent les américain (j’ai vu ça dans un film de cul), je fais tourner mes doigts autour de sa queue, ma paume caresse son gland, il commence à pousser des petits cris de plaisir bien virils. Je crois que me débrouille pas si mal…
Je le branle de plus en plus fort, il passe sa main derrière ma nuque et la pousse pour que mon visage soit juste en face de son membre dressé
J ouvre ma bouche, mes lèvres gourmandes se posent naturellement sur ce gland généreux sans y être invitées, mais je ne peux pas m’en empêcher, c’est plus fort que moi.
Je goute à son chibre en l enfonçant d’un trait jusqu’ au fond de ma gorge. J avale tout d un coup, comme si j étais affamé (ce que je suis en fait).
Je descends son slip à ses chevilles, et je fais comme dans les films : je prends ses grosses boules bien lourdes et imberbes dans une main et le branle de l autre, tout en suçant ce chibre géant.
Il pousse alors ma tête pour que ma gueule aille jusqu’ a la base de sa queue, pour que j avale goulument toute sa bite – je ne pensais pas pouvoir en mettre autant dans ma bouche !
Mais c est trop, je manque de m étouffer et de vomir
Je retire sa bite et tousse comme si je m étouffais,
Je reprends ma respiration pour reprendre ma fellation. Pas question d en perdre une miette.
Mais alors que je me penche à nouveau, je sens qu’on nous regarde,
je me retourne et vois un homme debout, dans l embrasure de la porte, un homme mûr qui nous regarde…
Je me lève d’un bond, en poussant de grands yeux, autant surpris qu’apeuré
Brendan surpris aussi- se retourne, se relève d’un saut et devient tout rouge. Il tente maladroitement de remonter son slip, mais perd l’équilibre et tombe aux pieds du canapé
Je n ai plus de voix, la honte
Je tremble de tout mon corps
Je sens mon cœur battre très fort.
Il faut que je parte, que je me sauve
Alors l homme pénètre dans le salon, avec un air amusé
Il me regarde puis va direct vers Brendan :
« Alors, je vois que tu t’es fait de nouveaux amis. Tu vois, tu es heureux ici aussi, c’ est mieux qu’à Marseille, non ?
-Non, ce n est pas ce que tu crois
-c est bon, j ai été jeune aussi
Il se tourne vers moi
« Bonsoir jeune homme, je suis le beau-père de Brendan, désolé, je ne voulais pas vous interrompre, ni même vous faire peur. Je suis resté très discret…
– Mais papa !
– Oh, mais vous avez bu ? C est quoi cette bouteille de rhum vide ?
– On était avec des amis et … »
Entre alors en scène Quentin.
« Bah, qu’est ce qui se passe ? »
Le père :
« Rien, je suis rentré plus tôt ce soir, et je suis tombé sur ton frère et son petit copain, je crois que je les ai interrompus, je suis vraiment navré, moi qui essayais d’être le plus discret possible »
Quentin : « quoi ? Quel petit fiancé ? Tu plaisantes ?? »
Le beau-père : oh s il te plait, arrêtes de couvrir ton frère. Tu étais la aussi, non ? Ca fait combien de temps que ça dure cette histoire ? Tu en profites peut-être aussi d’ailleurs ?
-mais je ne comprends rien du tout ! De quoi parles-tu papa ?
Je te parle de ton frère Brendan qui était en train de se faire tailler une pipe par ce jeune homme ici présent
– QUOI ? Délire !! c’est pas vrai Brendan ???
– Bahhh..
– Réponds steuplé !!!!!
– Pffff…. (Brendan, tout penaud, la tête baissée et les joues rouge écarlates)
– Hein ??
– OKai ! t’es une pédale ?
– Mais non, ça va pas !!
Le beau-père reprend alors la parole :
« Oh, on se calme – d’accord ?
Y a pas de lézard les garçons, moi aussi j’ai fait ça quand j’étais plus jeune et puis surtout à l armée, quand je suis parti sur les navires au bout du monde – pendant de longs mois . On se rendait services entre copains, y a pas de mal à se faire du bien, c est naturel de toutes façons.
En plus, je vais vous dire un truc :
Ya pas mieux qu’une pipe faite par un mec !
J en ai connu des femmes avant votre mère !!!!…et ben, ce sont les mecs qui m ont le mieux sucé ! Parole de matelot !
Tout le mode se rassoit, moi je n ai qu’une envie : me casser, disparaître pour toujours, mais Quentin et son beau-père ne l entendent pas de cette oreille :
Quentin me regarde, amusé et me dit :
« Vas-y, fais voir comment tu fais à mon frère alors !
-Pardon ? » lui dis-je, interloqué et choqué.
« -bah quoi ? Tu vas me sucer aussi « me dit-il en se défroquant.
Il tient sa bite à la main et me la tend. Son beau-père approche de moi et me fais pencher la tête pour que je suce son fils.
Sans que je ne puisse comprendre ce qui m arrive, ni même que je ne puisse me débattre, je me retrouve avec une nouvelle bite dans la bouche, une bite encore plus longue, encore plus épaisse que celle de Brendan.
Mes lèvres se posent sur ce gland encore calotté.
Je sens les deux mains du père, je sens ses 2 mains me saisir les épaules et me pousser de sorte que j engouffre toute la queue de son fils dans ma bouche. Cette fois c est top, je n arrive pas à l avaler en entier, elle grossi à mesure que je le suce, j’ai la bouche complètement remplie.
Son sexe durcit très vite, il est dur comme du bois, il est comme celui de Brendan, en encore plus gros ! Ses couilles sont grosses aussi, elles sont tellement lourdes qu’elles pendent comme deux sacs de billes.
« Oh Oui, c est bon, vas-y ! Encoooore, vas-y, suces la bien, oui, c est ça, c est bon ! Lèches la bien, avales petite pute !
Quentin lance un regard à son beau-père qui semble lui dire « bordel, c est vrai, tu avais raison »
Excité devant cette scène, leur beau-père ne peut s empêcher d’avoir une érection.
Il touche alors sa queue, la caresse discrètement d’abord, puis il fini par la sortir.
C est un homme mûr, d une cinquantaine d’années. Ancien militaire, il a gardé son corps d’athlète et son allure de soldat. Il se rapproche de moi et me la donne à sucer.
Il nous lance « ce qui se passe ici, ne sort pas d’ici ! Compris les garçons ? »
On fait tous un signe d’acquiescement de la tête.
J’ai donc sa bite devant les yeux, je la saisis et m exécute selon son souhait.
Je continue néanmoins de branler Quentin qui n’ pas débandé… bien au contraire !
Arrive ensuite Brendan.
Il sort sa queue aussi, et la branle fermement devant ma face, en me donnant des petites bifles sur la joue.
Je suis aux anges, j ai l impression d’être la pute de la famille, j adore ça !
Trois mecs sexys à en crever, chauds comme les braises, trois sexes dressés devant moi, rien que pour moi : le rêve !!!
Trop trop trop bandant !!
Bien sur, je bande comme un gros porc. J ai super chaud, j ai l impression d étouffer avec tous mes vêtements, je me donne à fond, je donne tout, je transpire.
Le beau-père retire sa queue de ma gueule pour laisser la place à son beau fils.
Il commence à s astiquer tout en faisant glisser mon jogging jusqu’ au bas de mes chevilles.
Je suis en slip, mon slip est tendu comme une tente et il est inondé de mouille.
J en ai foutu partout tellement je suis excité.
Il me caresse alors le dos, le bas du dos puis les fesses, Il me donne une claque sur la fesse en me criant « suces salope, suces le bien, allez !! Appliques toi un peu sale petite chienne ! »
Je ne peux plus me retenir, sans même me toucher la queue, je crache tout le foutre que j avais en moi, je jouis de toutes mes forces, un flot de sperme sans fin se déverse sur le tapis du salon.
Le beau père est fâché, il m’ordonne d’essuyer tout ça sur le champ.
Mais je ai rien pour essuyer, et j’ai si honte ! Je retire alors mon teeshirt pour essuyer tout cette jute chaude. Il m att**** par l’oreille et me retire le tee-shirt des mains « tu vas lécher le tapis ! je veux que tu nettoies tout et qu’il n’y ait pas une seule tache !!!!
Je me mets alors à 4 pattes et je lèche consciencieusement chaque giclée de sperme
Il m administre alors une autre claque sur les fesses, et puis une autre, et c est ensuite Quentin qui le remplace en me fessant de toutes ses forces
Je pousse un cri de plaisir, j ai envie de crier « encore, fessez moi encore, plus fort ! »
Mais je ne dis rien, je continue de lécher jusqu’ à la toute dernière goutte. Putain que c’est bon !
J’aime boire mon sperme, je le fais souvent quand je me branle dans mon lit le soir. Ca évite de laisser des traces dans mon lit, des traces que ma mère pourrait trouver…
A peine fini, Brendan et son frère me présentent leurs queues devant la bouche, je les avale en passant de l une à l autre et en m appliquant du mieux que je peux.
Pendant ce temps, le beau père – en rut, s est accroupi, sa tête est à la hauteur de mon cul, il m renifle le trou, puis commence à me lécher au travers de mon slip.
Il déchire d un coup mon slip pour faire un trou, il y glisse sa langue et me bouffe littéralement le trou du cul.
J adore ça, je bande à nouveau, mon slip est inondé de sperme sur le devant, ça continue à couler, mais peu importe.
Brendan et Quentin sont tous deux excités à mort : des grosses gouttes de mouille coulent de leurs glands.
J’avale avec gourmandise leur liquide en donnant des petits coups de langue.
Je les lape comme un chat, j’ai envie de miauler ! Je branle d une main la bite de l un et maintient la bite de celui que je suce avec mon autre main.
Mais de l autre coté, le beau père enfonce sa langue de plus en plus profond et commence à y glisser son doigt. D abord un seul, puis deux doigts.
Je me cambre comme une pute (j’ai vu ça dans les films, je lui signifie qu’il peut y aller, que j’en ai envie).
Il me travaille le cul comme un pro !
Je sens mon trou se dilater, je sens qu’il est prêt à recevoir plus que deux doigts aussi gros soient-ils
Mon vœu se réalise, il astique son sexe et le place devant ma chatte. Il me caresse la rondelle avec son gland qu’il fait aller et venir, puis tourner.
Il me saisit les hanches fermement et s’enfonce doucement au plus profond de mon corps.
Je pousse un cri de douleur ! Un cri strident que je ne peux contenir, j’ai trop mal, mais -sensation bizarre – j aime ça en même temps.
Il reste bien calé au fond de mon trou, il ne bouge plus, et me caresse le corps, tout le corps, il passe sur les fesses bien sur, mais aussi sur tout mon dos, puis mon torse, il me caresse les tétons (j’aime trop ça), et glisse sa main dans mon slip.
Je sens alors sa grosse main – pour la première fois – sa grosse main d’homme toucher mon jeune sexe. Sa main est maculée de foutre et de mouille, mais peu importe, il continue de parcourir mon corps, il continue de le découvrir au fil de ses caresses voluptueuses
Je me sens prêt à déguster cette queue bien raide, ce sexe turgescent qui me comble le trou
Je donne alors des petits coups de rein pour m enfoncer sa bite, puis la dégager, et je recommence, encore et encore. Je vais de plus en plus vite, je suis bien dilaté et tellement excité !!!
Il m’att**** alors à nouveau par la taille et me fais un limage de cul en règle, bien profond.
Il me saute de plus en plus fort, de plus en plus vite, et se retire brutalement.
Il se relève et se place face à moi : il me donne sa bite à bouffer et à peine l’a-t-il enfournée qu’il décharge tout son jus dans ma bouche. J avale tout une fois encore.
Mais ce n est pas fini :
Quentin s est allongé sur le canapé.
Brendan me fait signe de venir aussi sur le canapé et de m’empaler sur la grosse bite de son frère qui est dressée vers le ciel.
Je m exécute.
Elle a plus de mal à passer, elle est beaucoup plus large que celle de son beau-père, bien que mon trou ait été plus que dilaté…
Il crache alors dans sa main et me mouille le cul, et je m enfonce sans douleur, je descends jusqu’à ce que je touche la base de sa queue,
Putain que j’aime ça !! c est bon, c est trop bon !!!!
J’ai tout pris dans mon cul, ce si gros morceau est maintenant enfourné dans le fond de mon cul !!!!
Je n attend qu’une chose : me faire défoncer de plus belle.
C est justement ce qui m arrive : je m allonge sur son ventre et le laisse me sauter comme une chienne, il me nique de toutes ses forces, me donnant des coups de bites avec une v******e inouïe.
Je tremble de tout mon corps, j ai l impression de recevoir une décharge électrique à chacun de ses coups de queue.
Mais mon dieu que j’aime ça !
Je prends beaucoup de plaisir à me faire sauter comme une pute, je crie de bonheur et que je n’ai plus mal du tout…j’en veux encore et encore et je le dis – ou plutôt, je le crie !
Brendan s’approche alors de nous, son sexe encore bien raide.
Il se caressait la queue en nous matant.
Il me fout sa bite dans la bouche et je l avale d’un trait, je la lui bouffe en roulant une pelle à son gland.
Il est chaud, il pousse des râlements comme une bête, mais moins forts que ceux de son frère.
Il retire alors sa queue de ma bouche et vient s’allonger sur moi.
Il enfonce – non sans mal – sa bite dans mon trou, son frère arrête de bouger, il reste bien calé au fond de mon trou pour que son frère me saute à son tour.
Je me prends deux bites en même temps,
Mon sexe n’a jamais été aussi gonflé, aussi gros, aussi raide et aussi mouillé
J ai l impression de jouir en flux continu
Je me fais littéralement démonter ! Ils me disent que je suis chaud du cul, que je suis une bonne pute, que je suis une bonne passive, que ça ne m a pas suffit de bien les pomper, que j avais aussi besoin de me faire baiser par 3 bites juteuses, 3 gros calibres
Que j étais la plus grosse pute qu’ils connaissaient, que j’avais un bon cul de salope et que je n’avais que ce que je méritais : une double pénétration ! Et que si je criais encore comme ça, leur beau-père les rejoindrait pour me calmer et que…
Pas le temps de finir leur phrase, tous deux poussent un hurlement, je sens une double décharge de jus, un double jet puissant me gicler dans le fond du cul,
J’ai l impression qu’ils m’ont arrosé tout l’intérieur du corps avec leur sperme brulant
Putain, ça commence à couler de partout, ils se retirent, leurs bites sont luisantes, rouges, encore bien raides.
Je me retourne, le cul dressé vers le ciel et les avalent toutes les deux, en même temps, je les prends dans ma bouche pour lécher leur lait, pour gouter à leur jus tout chaud, pour me pas en perdre une seule goutte.
Brendan et son frère, tout en sueur, me raclent le cul avec leur main et déposent le sperme coulant sur leurs bites pour que je les lèche encore et encore.
J adore ça, une nouvelle fois, je vais cracher !
Je ne sais pas me retenir, je me lève d’un coup et leur fout ma bite dans leurs mains.
Ils ont à peine le temps de saisir ma queue que je décharge tout mon sperme, à mon tour, je gicle comme un gros porc toute ma jute – dans un hurlement de plaisir intense !!!
Je jouit jusqu’ à la dernière goutte, j ai rempli leurs deux mains.
Ils se regardent alors,
et sans se parler mais dans un éclat de rire complice,
ils me refoutent toute ma jute sur la gueule qu’ils me font avaler.
Le lendemain, il manquait deux élèves à l’appel.
J’ai pas l’habitude de passer des soirées chez mes potes, mais je pense que ça va changer !
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