Je me demandais encore pourquoi j’avais accepté de passer ce week-end chez ma belle-sœur. Il faisait chaud et surtout, je trimballais mon gros ventre. J’étais enceinte de huit mois. Quand je l’avais annoncé à mon compagnon, celui-ci m’avait suggéré d’avorter mais j’avais tenu bon et huit jours après, il avait disparu de mon horizon.
A vingt-six ans, je tenais à avoir ce gosse, d’autant plus que je savais que c’était une fille. J’avais eu plusieurs amants mais ça n’avait jamais vraiment duré et j’en avais conclu que je n’étais pas faite pour être mariée.
Je n’avais jamais eu beaucoup de poitrine et j’avais espéré que mes seins en auraient profité pour prendre du poids. En vain. Mon gynéco m’avait bien dit que ça ne changeait rien et que pourrais allaiter mais il n’y avait que mon ventre qui grossissait.
Je me souviendrais toujours de la tête du type qui me suivait quand je m’étais retourné vers lui. Par derrière, évidemment, il ne pouvait pas deviner que j’étais enceinte. Alors, quand il avait vu mon gros ventre, il avait pâli mais il s’était vite repris. Ça ne m’avait pas gênée qu’il mette sa main mais j’en voulait plus et je lui avais proposé d’y mettre sa bite et pour la première fois depuis longtemps, j’avais eu un orgasme en faisant la l’amour mais le type n’était que de passage et ça avait été la première et dernière fois avec lui.
J’ai demandé à ma belle-sœur si je ne peux pas monter m’allonger. Il y avait plusieurs chambres mais elle m’a dit de prendre sa chambre, la seule où le lit était fait. J’ai fait plusieurs pauses dans l’escalier. Je montais en soutenant mon gros ventre. En haut de l’escalier, je me suis arrêté. Comment j’ai pu appuyer ma vulve sur le coin de ce petit bahut ? Je ne l’avais pas fait exprès mais ça m’a fait du bien.
Je me suis frottée jusqu’à ce que je sente arriver le plaisir et j’ai eu un orgasme mais je ne pouvais pas rester là. J’ai continué jusqu’à la chambre. J’ai poussé la porte.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’il y avait un type allongé sur le lit. Il me tournait le dos mais j’ai vite compris pourquoi son coude faisait des mouvement.
– Vous êtes qui, m’a-t-il demandé en se retournant ?
Je lui a répondu que je suis la belle-sœur de Sonia. Il avait fini par se retourner et j’ai pu voir que sa bite sortait du pantalon. Il est s’aperçu de ma surprise et il m’a dit que c’est rien.
-Vous êtes enceinte, a insisté le type ? Vous êtes marié ?
Je lui ai répondu que je veux seulement m’allonger, vu mon état…
Je me demanderai toujours pourquoi je discutais. Il a repris sa bite et il a recommencé à se branler et moi, j’étais incapable de faire quoi que ce soit.
– Vous ne me montrez pas, a encore ajouté le type ? J’ai jamais vu une femme enceinte !
– Vous voulez voir, ai-je bafouillé ? Toute nue ?
Il a opiné de la tête et j’ai soulevé ma robe. Je pouvais me voir dans le miroir de l’armoire.
– C’est beau, a encore ajouté le type ! Je peux toucher ? J’ai toujours cru que les femmes enceintes avaient des gros nichons !
Je lui ai répondu que ce n’est pas le cas et quand il m’a demandé si je vais allaiter, je lui ai répondu qu’il n’y a pas de problèmes.
– Je peux toucher, a insisté le type ?
Il a avancé la main et il m’a touché le ventre avec le bout de ses doigts. Je n’avais jamais imaginé que je pourrais aimer ça venant d’un autre que moi. Il a joué avec mon nombril puis il a descendu la main sur ma chatte. Après, il m’a dit qu’il veut me baiser. Je lui ai répondu qu’on se connaît à peine.
– Je veux te baiser et t’enculer, a insisté le type !
– Comme vous y allez !
Il m’a hissée sur la commode et il m’a retiré ma culotte avant de me relever les jambes puis il s’est enfoncé dans mon vagin.
– Oh, mon dieu !
– C’est bon, m’a demandé le type ?
– Oui, c’est bon !
C’était vraiment bon. Je n’avais pas non plus jamais ressenti un tel bonheur. Il a limé dans mon vagin pendant un bon moment avant de me demander s’il peut s’enfoncer dans mon anus. Je lui ai répondu que je ne suis pas une putain.
– Vous êtes une femme et même une belle femme, a insisté le type !
Il m’a relevé les fesses en mettant mes jambes sur ses épaules et il s’est enfoncé dans mon anus. I s’était tellement huilé dans mon vagin que c’est entré tout seul puis il s’est mis à limer.
Ce que j’aimais, c’était que son ventre frottait sur mon gros ventre. Il en a profité pour m’ouvrir mon corsage puis il m’a sorti les seins du soutien-gorge.
– Mon dieu, tu es belle, a-t-il fini par ajouter ! Je peux te prendre en levrette ?
– Pourquoi ?
– C’est pas comme ça qu’on doit prendre les femmes, m’a-t-il répondu ?
Il m’a aidé à descendre de la commode puis il m’a déposée à quatre pattes sur le lit avant de s’enfoncer à nouveau dans mes deux trous qu’il a pris l’un après l’autre.
– Tu aimes ça ?
– Si je te dis oui, tu vas penser que je suis une salope, lui ai-je répondu !
– Tu as un cul magnifique et ça me plaît de t’enculer, m’a répondu le type !
Il a continué son chemin dans mon anus jusqu’à ce qu’il jouisse puis il m’a dit de me finir et je me suis masturbée jusqu’à l’orgasme.
– Mais tu es qui, j’ai fini par lui demander ?
– Si j’ai bien compris, je suis ton beau-frère, a-t-il ajouté ! Je suis le frère de Natacha !
Maintenant, je comprenais même si je ne l’avais jamais vu. Pendant qu’il me nettoyait, il m’a demandé pour combien de temps j’en ai encore.
– Un mois ! Je veux que tu viennes vivre avec moi, a-t-il ajouté !
J’ai accepté et j’ai pu enfin faire ma sieste. Quand je me suis réveillé, il avait disparu. Je suis descendu au rez-de-chaussée. J’allais demandé qui était ce type que j’avais trouvé sur son lit quand ma belle-sœur m’a dit que c’est dommage que j’ai raté son frère.
– Ah, parce que tu as un frère, lui ai-je lancé ?
Elle m’a expliqué qu’ils ne se voyaient pas souvent. Le soir, en ouvrant mon sac pour prendre mes clés, j’ai trouvé une carte de visite. J’ai appelé. C’était le frère. Il m’a tout de suite demandé s’il peut venir chez moi et il est resté un mois et demi, le temps de bourrer mon gros ventre et de téter le lait que j’avais en excès.
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