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Jeune mais déjà salope

Jeune mais déjà salope



J’aurais du commencer par ce qui s’est passé dans ma jeunesse.
Je vais reprendre le déroulement de mes péripéties depuis le début qui se situe en 1966 donc dans un passé lointain pour finir par ce qui s’est passé récemment soit en 2015 ce qui fera pas mal d’épisodes.
Les récits que j’ai déjà publiés se sont passés quand j’avais entre 35 et 36 ans

Je me prénomme Laura et suis une jeune fille timide blonde et un peu complexée, je le cache en jouant les dévergondées.
Je ne suis pas très grande mais mon corps est bien proportionné avec de belles jambes, une poitrine avenante et un joli visage.
Je plais beaucoup aux jeunes hommes qui me draguent beaucoup et les hommes plus âgés me matent souvent quand je marche dans les rues du bourg ce qui me met mal à l’aise.
J’en profite très tôt pour beaucoup flirter sans accorder au départ autre chose que des baisers puis m’enhardissant je laisse certains garçons caresser mes seins en mettant leur main sous mes vêtements et mon sexe en passant leur main dans ma culotte.
Il paraît que mes attitudes, mes regards très appuyés, ma démarche me valent une réputation de salope.

Lors d’un voyage en autocar je commence à flirter avec Albert qui a mon âge qui après quelques rencontres commence à passer ses mains sous mon corsage et dans ma culotte et à caresser mes seins et mon intimité.
Une fois allongés dans l’herbe il veut une relation sexuelle et comme il insiste je cède à sa demande, il s’allonge sur moi après avoir sorti son pénis qu’il approche de mon intimité après avoir écartée ma culotte, je me ravise et le repousse. Fin de mon histoire avec mon dernier flirt.

Je suis encore très jeune quand je rencontre plusieurs fois par hasard dans des lieux différents celui qui deviendra mon mari et nous parlons de plus en plus longtemps ensemble.
Je ne m’intéressais pas à lui mais au fil des rencontres mon regard sur lui a évolué.

Un jour en hiver je sors de chez le marchand de journaux et tombe nez à nez avec lui.
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Il se colle contre moi et m’enlace puis cherche à m’embrasser.
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Il ne desserre pas son étreinte, je résiste pendant un petit moment puis je cède.
Ses lèvres sont sur les miennes, sa langue cherche à pénétrer dans ma bouche que je finis par ouvrir. Nos langues vont à le rencontre l’une de l’autre, se mêlent puis se livrent un combat acharné.
Nous restons un bon moment à nous embrasser sur le trottoir pendant qu’il neige.

Avec des copines nous allons souvent nous asseoir dans l’herbe, sur un talus, en bordure de la route pour discuter dans un petit parc à la sortie du bourg.
Souvent des jeunes hommes nous rejoignent et parlent avec nous, d’autres plus vicieux préfèrent aller s’asseoir sur le talus de l’autre côté de la route. Nous avons vite compris pourquoi: nous sommes souvent vêtues de robes ou jupes assez courtes comme c’est la mode à cette époque alors ils ont une belle vue sur nos cuisses, notre entre-jambes et notre culotte.

C’est là qu’ensuite je retrouvais celui qui deviendra mon mari, il est du village voisin et a 6 ans de plus que moi qui ne suis pas encore mature, il n’est pas laid sans être vraiment beau.
Il avait fréquenté plusieurs de mes copines et connaissances sans jamais s’attacher.
Il venait me voir régulièrement, il passait un bras derrière ma tête et nous échangions des baisers mais avec les copines assises à côté de nous et qui nous regardaient le sourire aux lèvres cela n’allait pas plus loin.
Un jour en le quittant je lui donne rendez-vous pour quelques jours plus tard dans un autre endroit afin que nous soyons seuls.

Le mercredi suivant sa voiture s’arrête à côté de moi, je monte et nous échangeons un long baiser, nos langues ne veulent pas se séparer.
Nous gagnons un chemin tranquille ou mon amoureux se gare.
Il m’enlace, place une main sur un de mes seins, nous nous embrassons ne nous arrêtant que pour reprendre notre souffle. La chaleur a envahi mon ventre et ma chatte est bien humide.
Puis un peu calmés nous parlons surtout de nous.
Nous passons l’après-midi ainsi à parler et nous embrasser. Il ne tente rien d’autre.
Plusieurs semaines passent avec le même type de rendez-vous.

Un jour je suis surprise, Tout en m’embrassant il caresse mes seins puis mon ventre par dessus les vêtements puis il pose sa main sur mon sexe.
Je ne réagis pas et le laisse faire.
La fois suivante il refait la même chose puis il glisse une main sous mon pull, il caresse mes seins sur mon soutien-gorge puis sans réaction de ma part il soulève celui-ci et le déplace.
Il caresse longuement mes seins et agace les tétons qui ne tardent pas à s’ériger et durcir. Ces caresses me procurent des sensations agréables. Je l’embrasse fougueusement.
Sa main caresse mon ventre et descend vers mon entre-jambes tout en se glissant dans ma culotte après avoir dégraphé la fermeture de mon pantalon.
Ca y est il atteint mon sexe et le caresse, machinalement j’écarte les cuisses. Il m’embrasse pendant que son autre main s’occupe de mes seins.
Je ferme les yeux et je mets mes bras autour de son cou, je l’étreins en le serrant fort.
Un doigt pénètre mon intimité et fait des mouvements de va-et-vient puis vient masturber le clitoris. Il passe de l’un à l’autre mettant le feu en moi et provoquant un bruit de clapotis car je mouille beaucoup.
Je me retiens pour ne pas gémir ou crier sous la torture que subissent ma chatte et mes seins et qui dure un bon moment.
Il ne s’arrête que quand mon corps se soulève, prise de spasmes j’atteins l’orgasme pendant que des giclées de liquide sortent de mon intimité.

Ensuite plusieurs rendez-vous se passent de la même façon jusqu’au jour ou il me dit:
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<<ça va être au tour de ma queue d'explorer ton vagin>>.
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Il me ramène à l’entrée du bourg et nous nous séparons après nous être embrassés.

Le mercredi suivant il m’attend à l’endroit habituel, il sourit quand il me voit arriver en jupe. Je suis un peu crispée et anxieuse en pensant à ce qui va se passer.
Je monte dans la voiture et nous nous embrassons, son baiser est fougueux et il caresse mes joues?
Il démarre et va se garer à l’endroit habituel.
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je m’exécute puis il me rejoint.
Nous commençons par les embrassades puis il déboutonne mon corsage et déplace mon soutien-gorge.
Il caresse mes seins et torture les tétons puis ses lèvres entrent en action embrassant et léchant les seins et les tétons, ses dents mordillent ceux-ci.
Il prend son temps faisant monter les envies et le plaisir dans mon ventre.
Il me complimente pour ma poitrine qu’il voit pour la première fois.
Une de ses mains caresse mon ventre et descend vers ma chatte en écartant ma culotte. Il caresse mon sexe et constate qu’elle est bien humide.
Pendant un bon moment un doigt puis deux fouillent mon vagin avec le bruit des clapotis car je mouille abondamment. C’est au tour de mon clitoris d’être pris pour cible par ses doigts, le plaisir augmente et je me retient pour ne pas gémir.

Le moment fatidique approche, je suis prête à recevoir son pénis en moi.
Tout en gardant sa main sur mon sexe et un doigt dedans il me demande de m’allonger au mieux sur le siège, il m’aide à me positionner, il écarte mes jambes au maximum.
Il vient se placer entre mes jambes, une de ses mains déboutonne son pantalon puis le baisse ainsi que son slip.
Je ferme les yeux à la vue de sa queue, c’est la première fois que j’en vois une d’aussi près.
Il se couche sur moi, une de ses mains écarte ma culotte, l’autre dirige son pénis vers ma chatte contre laquelle il butte. Ses mains écartent les lèvres de mon sexe, je sens la pénétration de son membre qui vient butter sur quelque chose, il exerce une forte poussée et son pénis s’enfonce inexorablement dans mon ventre.
Il m’embrasse et caresse mes seins et mon corps pendant que sa queue commence les va-et-vient.
Ses bourses viennent cogner contre mes fesses et le bruit du clapotis s’amplifie à cause de la mouillure et de la cadence de son pilonnage.
Il me défonce un bon moment s’arrêtant quand il sent que l’éjaculation est proche puis calmé il reprend ses mouvements tout en embrassant et caressant mes seins.
J’éprouve beaucoup de plaisir mais je serre les dents pour ne pas le montrer ce qu’il me reprochera plus tard car pour lui je dois me laisser aller.
Il finit par me faire jouir pendant qu’il continue à me pilonner.
Il finit par se retirer et éjaculer dans un kleenex. Moi mes fesses sont bien mouillées, je les essuie.

Il faut dire qu’à cette époque il n’y avait pas la pilule et les distributeurs de preservatifs n’existaient pas alors les coïts répétés étaient risqués.

Nous remettons de l’ordre dans nos vêtements, il m’embrasse et caresse mes joues.
<<ça va tu n'es pas traumatisée>>.
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<>. (En me déshabillant le soir dans ma chambre j’ai remarqué que ma culotte en plus d’être bien mouillée était tachée de sang).
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Nous parlons encore un peu puis il me ramène.

Après cet épisode et en dehors du weekend nous nous voyons deux fois dans la semaine.
Il me caresse, me doigte et masturbe beaucoup me procurant énormément de plaisir avant de me pénétrer.
Nos ébats suivant le temps se passent sur le siège arrière de la voiture ou sur un plaid posé sur l’herbe. Parfois dans les bois debout: il me prend en se mettant face à moi jambes fléchies ou bien je mets mes bras autour de son cou et lui me soulève en mettant ses mains sous mes cuisses puis il m’empale sur sa verge et nous remuons tant bien que mal.

Une fois pendant que son pénis me défonce avec entrain le vagin, entre deux baisers, il me dit à l’oreille:
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Lors de nos rencontres suivantes je n’en fais rien. Pourtant je connais la pratique car la mère de mon amie Josée se vante sans détour qu’elle fait des pipes à ses amants avec maints détails sur sa façon de procéder, du sperme qui coule dans sa bouche et comment elle l’avale car les hommes adorent ça.

Bien que j’aie des sentiments pour lui cela ne m’empêche pas parfois dans la journée de flirter avec d’autres jeunes hommes.
Il faut dire que dans mon quartier je suis à bonne école:
-La maison côté gauche la mère ne cache pas sa liaison avec un homme plus jeune, sa fille aînée a changé plusieurs fois de compagnon, son autre fille qui a mon âge passe de pénis en pénis et s’évertue à piquer les copains des autres filles en écartant les cuisses.
-En face pendant que son mari passe sa vie au bar du coin la femme reçoit des hommes (l’un d’entre eux sort son pénis dans le couloir avant d’entrer chez elle), elle dit à qui veut l’entendre qu’elle ne pas vivre sans sexe.
-au coin de la rue il y a un bar. La patronne a régulièrement des amants et les trois filles ne se privent pas d’écarter les cuisses avec différents jeunes hommes.
-Un peu plus loin il y a ma meilleure copine Josée. Sa mère rejoint souvent des routiers à la sortie du bourg et me raconte ce quelle fait avec eux, elle finira par se mettre en couple avec un jeune homme pendant que son mari partira avec la patronne du bar.

Puis un jour je flirte avec Daniel un copain de mon amoureux, celui-ci veut aller plus loin dans notre rapport et me donne un rendez-vous pour le lendemain.
Je m’y rends, il me prend dans ses bras et nous commençons à nous embrasser, son frère qui est assis pas loin de nous me parle de mon amoureux et pour paraître indifférente je sors une méchanceté concernant celui-ci que je vois apparaître surprise sortant d’un fourré situé de l’autre côté de la route.
Là je me sens mal, je ne sais plus quelle attitude adopter.
Il vient vers moi et je reçois une paire de gifles puis il s’en va après m’avoir traitée de putain et autres.

Pendant plusieurs jours je suis triste et je pleure. Je demande à une connaissance commune d’intercéder auprès de lui pour qu’il revienne me voir.
Après m’avoir fait languir il accepte de me voir.
Je me mets sur mon 31 pour lui plaire: belle robe, beaux dessous, bas blancs avec porte-jarretelles et maquillage sur les conseils de la mère de Josée.
Je l’attends anxieuse à la sortie du bourg.
Il arrive, s’arrête et attend que je monte dans son auto. Je m’assois sur le siège passager.
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Jusqu’à maintenant il n’a jamais vu mon intimité car je n’ai jamais enlevée ma culotte en sa présence.
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Vaincue je m’exécute, je soulève mes fesses et fait glisser ma culotte puis la fait coulisser le long de mes jambes que je relève pour la retirer.
Je la jette sur le siège arrière. Je me sens gênée et mes joues ont pris des couleurs.

Nous partons jusqu’à un endroit herbeux protégé de la vue par des arbres.
Il descend de la voiture et me demande d’en faire autant puis il étale un plaid sur l’herbe.
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Il a pris l’ascendant sur moi, j’obéis et commence à me dévêtir le figure empourprée et gênée.
Il me demande de garder mes bas et le porte-jarretelles.

A genoux, honteuse j’essaie de m’expliquer et lui demande pardon les larmes aux yeux.
Il s’assoit sur le plaid et me demande de me coucher sur le ventre sur ses genoux, je m’exécute.
Les premières claques sur mes fesses me font sursauter et sont douloureuses.
J’implores sa pitié et me retourne.
Il reste inflexible et je me remets en position, les coups reprennent et me font mal, j’essaye de me protéger avec mes mains qu’il finit par attacher ensemble à l’aide d’un chiffon pour être tranquille.
Les claques qui me font souffrir et pleurer pleuvent. j’ai l’impression que ça ne s’arrêtera pas et que ça dure une éternité.
Quand la punition cesse mes fesses sont bien rouges et me cuisent.
Je dois me remettre à genoux les mains toujours entravées.
Pierre passe ses jambes entre mon corps et mes bras.
Tout en sortant son sexe qui est gros et raide, il me donne des directives.
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J’obéis, en me tordant le cou j’embrasse puis lèche son pénis partout en suivant ses directives et quand il estime que c’est suffisant je prends son engin dans ma bouche et j’essaie de l’enfoncer au maximum dans ma gorge jusqu’à ce que mon nez touche son ventre. J’ai des haut-le-coeur mais je m’efforce de le faire coulisser dans ma bouche en l’enserrant du mieux que je peux avec mes lèvres.
Tout en me disant ce qu’il faut que je fasse il caresse mes joues et ferme les yeux pour mieux jouir du moment.
Au bout d’un moment je fatigue et je commence à avoir des crampes à la machoîre.
Après un moment qui m’a paru une éternité il pose ses mains sur ma nuque et appuie, son pénis est complètement entré dans ma bouche. Je sens qu’il gonfle encore et s’agite. Des giclées de sperme envahissent ma bouche, frappent ma gorge et du liquide s’échappe aux commissures de mes lèvres.
Ses mains appuyant toujours sur ma nuque je ne peux pas dégager la verge de ma bouche il me demande d’avaler, ce que je fais en m’étranglant.
Finalement son sperme a un meilleur goût que je ne le pensais.

Il libère mes mains du lien et dit:
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Je baisse la tête vaincue.

Le deux semaines qui suivent Pierre vient me voir plus souvent que d’habitude et là c’est fellations, fellations et rien que fellations. Je commence à bien connaître le goût de son sperme qu’il me fait avaler à chaque fois.
Quelques baisers et quelques brèves caresses quand il est satisfait de mes pipes.
Je me plains du fait qu’il ne me procure pas de plaisir. Sa réponse:
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Je crois qu’avec lui je n’ai pas fini d’en voir.
L’avenir me donnera raison mais je ne serais pas une oie blanche non plus.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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