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Ma découverte de la soumission 4

Ma découverte de la soumission 4



Le week-end nous a encore plus rapproché avec mon Épouse. Elle est fière de moi, elle est contente que je puisse réaliser mes désirs, mes phantasmes. Elle m’encourage dans cette quête d’absolu.
Elle me trouve beaucoup plus serin et apaisé, et épanoui. Je vais devenir son  » super mari  » son homme  » parfait ». Elle me demande de continuer mes jeux,de savourer chaque instant avec mes collègues, et qui sait dit-elle,
_Il se peut qu’un jour, il se passe quelque chose.
Mon Épouse connaît toutes mes collègues. Elles se sont rencontrées plusieurs fois lors de soirées, et fêtes de l’entreprise.
La seule règle qu’elle m’impose est de tout lui dire, de ne rien lui cacher.
Toutes mes actions, les situations, les paroles, mes actes, absolument tout, mais surtout, elle veut connaître mes envies, mes impressions, mes ressentis, mes pensées mes frustrations, mes désirs les plus intimes… Tout elle veut tout savoir.
Sur sa demande, j’ai passé une partie de mon dimanche après-midi à tout noter sur un grand cahier qu’elle m’a offert pour mon anniversaire. Elle a même écrit le titre.
 » Journal intime de mon petit mari juju ».
Le surnom que m’ont donné mes collègues lui plaît beaucoup, ça la fait rire.
J’ai noirci plusieurs pages, j’ai tout écrit, sans me censurer, sans pudeur. J’aime me dévoiler pour elle. N’avoir aucun secret est une sorte de soumission, ça lui donne du pouvoir, enfin c’est ce que je pense, je lui ai même écrit tout ça.
Lundi matin, durant tout le trajet jusqu’à mon travail je n’ai pas arrêté de penser à PATRICIA. Que peut elle penser de moi ? Est-ce que je dois l’appeler Madame, et les autres….
J’arrive le premier, ouf elles ne sont pas encore arrivées.
je m’empresse de plier et de ranger le linge propre et sec dans les placards respectif. La pièce est nickel . Je pars en cuisine préparer le petit déjeuner.
8h30 personne, 9 heures je suis toujours seul. Je commence à m’inquiéter. Où sont elles ? Que font elles? 9h15 je reçois un appel de la secrétaire qui me convoque immédiatement pour une réunion exceptionnelle, je lui fais part de mon inquiétude pour l’absence de mes collègues. Elle me rassure m’expliquant qu’elles m’attendent toutes ici.
Durant le quart d’heure du trajet, je me suis posé mille questions. Quand j’arrive dans la salle de réunion elles sont toutes là, même la secrétaire est présente. Elle s’appelle MANON.
_bonjour Mesdames.
_tient voilà notre petit juju. C’est PATRICIA qui a parlé la première. Je m’approche d’elle pour lui faire la bise.
_as-tu déjà oublié ?
Que faire ? Accéder à sa demande et ainsi me dévoiler devant les autres, ou trouver une parade ?
_ euh bonjour Madame PATRICIA.
Elle s’approche avec un grand sourire et l’on se fait la bise. Je n’ai pas longtemps pour réfléchir CÉLINE est juste à côté, elle semble impatiente.
_bonjour Madame CÉLINE.
_bonjour mon petit juju
_bonjour Madame VANESSA.
_bonjour mon petit juju
_bonjour Madame LAETITIA.
_bonjour mon petit juju
_Bonjour Madame MANON.
_Bonjour mon petit juju
J’ai dit tout cela sans me poser de questions, ça me semble si évident, si naturel. C’est la bonne façon de les saluer. Je joue le jeu à fond.
_Mesdames vous êtes magnifiques ce matin, toutes plus belles les unes que les autres. En effet elles sont toutes en robe ou en jupe, pas les tenues habituelles de travail. Elles sont très joyeuses, elles me regardent bizarrement ce matin, quelque chose à changé dans leur regard, c’est troublant, je sens une forme de désir, de désir sexuel, c’est même gênant, elles me déshabillent du regard. Je suis scruté de la tête aux pieds. Je suis seul devant cinq femmes magnifiques, je suis de plus en plus mal à l’aise.
C’est à ce moment la, que notre directeur entre. Il est accompagné d’une femme. Notre directeur prend la parole.
_Bonjour, je vous présente Madame R. Votre nouvelle directrice… Je vous laisse pour faire plus amples connaissance.
Ouf je suis soulagé, voilà l’explication de cette réunion, mais en même temps agacé de n’avoir pas été mis au courant.
La réunion commence, tour de table, présentation du projet,nouveaux objectifs,…
Notre nouvelle directrice dégage une autorité naturelle qui m’impressionne. Elle doit avoir une cinquantaine d’année, sa tenue est très classique , tailleur de grande marque, d’après VANESSA qui l’a fait remarquer assez fort pour que je l’entende.
Madame R, s’est adressée à nous avec fermeté et bienveillance. Elle semble sincère quand elle nous complimente pour notre travail, elle souhaite venir nous rencontrer personnellement, elle viendra dans les jours prochains à l’entrepôt. Cette femme me subjugue par son charisme.
Plusieurs fois en regardant ou écoutant mes collègues, je suis parcouru de frissons, pensées furtives, images, odeurs, tout me ramène à vendredi soir. J’imagine toutes mes collègues dans leurs petites tenues. Je bande comme un fou. Heureusement que je suis assis. Je réalise que je ne suis entouré que de femmes. Cela me ravi, comble mon phantasme . Mon excitation ne fléchie pas. Si elles savais !
11 heures la réunion se termine. Notre nouvelle directrice nous a donné l’après-midi, pour nous retrouver tous les cinq et réfléchir au projet. L’on se retrouve donc tous les cinq à l’entrepôt. Mes impressions de tout à l’heure ont disparu, elles sont comme d’habitude.
Les discussions vont bon train, chaqu’une parle de ses impressions, de la nouvelle directrice, du nouveau projet, etc…
Je suis en train de mettre la table et préparer le repas quand PATRICIA m’interpelle.
_alors comment va notre petit juju? je dois vous dire les filles qu’il fait de drôles de choses quand nous ne sommes pas là. Vous ne devinerez jamais, je l’ai vu pratiquement nu. Si si, il était à poils vendredi soir quand je suis passée à l’entrepôt.
je suis paralysé, incapable de parler. De penser, d’agir.
_ tu es sérieuse ? Il était à poil notre petit juju? ironise VANESSA.
_Si je t’assure, il m’a même donné une excuse bidon, demande lui répond PATRICIA.
_ alors c’est vrai tu te ballade à poils quand tu es seul à l’entrepôt ?
_Non pas tout le temps, enfin si parfois, c’est surtout pour ne pas salir mes vêtements quand je fais le ménage.
_et c’est tout ? C’est PATRICIA qui a parlé.
_euh euh, oui … Je ne sais pas quoi dire, je suis paniqué.
_Tu as déjà oublié les bonnes manières ? Ponctue PATRICIA.
_pardon excusez moi Madame PATRICIA.
_ ce n’est pas qu’à moi que tu dois répondre correctement, refait ta phrase sans rien oublier . Le ton est sec. La phrase est directe. Je suis rassuré c’est juste la forme qui ne va pas.
Ma réponse va déterminer mon avenir. Je le sais. Je sent quatre paires d’oeil me dévisager. Je sais qu’il n’y aura pas de marche arrière possible. Ce que je désire secrètement est à ma porté. Je pose l’assiette sur la table regarde chaque femme pour m’arrêter sur LAETITIA.
_ je vous demande de bien vouloir m’excuser Mme LAETITIA, oui j’aime être nu, ça me plaît d’être à poils dans l’entrepôt.
Il y a un grand silence, je prends conscience du sens de mes paroles. Je viens encore plus de m’enfoncer.
LAETITIA se lève s’approche de moi.
_Alors ça c’est trop génial, notre petit juju aime se promener à poils à l’entrepôt.
_oui Madame LAETITIA.
_Et en plus je suis sûre que tu fais plein de cochonneries rajoute t’elle.
Je suis terrifié, si elles apprennent ce que j’ai fait, je suis perdu. Une grande angoisse commence à m’envahir. Les larmes me montent aux yeux. Je ne peux pas leur dire. J’ai trop honte, trop peur.
PATRICIA me pose alors la question qui me sauve de l’effondrement.
_ Pourquoi tu ne nous l’a jamais dit ?
_Dit quoi Madame PATRICIA? _Tu sais bien que l’on partage tout à l’entrepôt, personne n’a de secret pour personne , c’est comme ça que l’on fonctionnent depuis des années. Même la nouvelle directrice nous a perçu comme ça. Honnêtes et très soudées. Tu ne dois rien nous cacher, tu as compris mon petit juju? C’est notre travail à toutes que tu veux discréditer par tes mensonges ?
Je suis accusé, montré du doigt. Je ne veux pas tout gâcher, j’ai peur. Peur de tout perdre.
_oui c’est vrai Madame PATRICIA, souvent après votre départ je me met nu, je n’en ai jamais parlé car jai trop peur de vos réactions, je ne veux pas vous effrayer. Je ne veux pas vous perdre, j’ai peur d’être rejeté, d’être viré.
Quand je lève les yeux à la fin de ma tirade. Je n’arrive pas à comprendre ce que je vois. Elles sont toutes autour de moi.
_Personne ne pense une chose pareille, nous n’avons pas envie de te jeter ou te faire virer. Nous avons toutes confiance en toi. Tu dois savoir que je t’apprécie vraiment mon petit juju et je ne suis pas la seule.
Cette déclaration de PATRICIA me fait pleurer, toute la pression se libére dans un grand flot de larmes. Je ne m’arrête plus. Elles viennent alors tout contre moi Elles me prennent dans leur bras, me console, me cajole comme un tout petit enfant.
Entre deux sanglots j’arrive à bredouiller quelques mots.
_j’ai honte. J’ai peur, j’ai peur de vous dégoûter, j’ai peur que vous puissiez penser que je suis un gros pervers.
Je vous respecte tellement, je ne veux que vous faire plaisir. Vous êtes toutes si fabuleuses et si fascinantes. Pardon Mesdames. Je ne veux pas vous perdre….
C’est PATRICIA qui prend la parole, en essuyant les larmes qui coulent sur mon visage.
_mon petit juju je t’aime beaucoup tu sais. Ici on t’apprécie toutes, on ne veut pas que tu sois triste, on ne veut pas te faire du mal, bien au contraire. On a toutes perçues chez toi des qualités, des apttitudes exceptionnelles qui ne demandent qu’à s’épanouir. Tu nous fais confiance ? Alors écoute nous, et tu vas t’épanouir comme tu n’as même pas idée. Vous êtes d’accord les filles.
C’est un oui collectif et enthousiaste qui a raisonné à mes oreilles et réchauffé mon coeur.
_Juju est-ce que tu nous fais confiance ?
_ oui Madame PATRICIA je vous fais totalement confiance. Que voulez-vous que je fasse ?
_tout d’abord sèche tes larmes. La première chose que tu dois comprendre et assimiler.
C’est le respect. Tu dois toujours t’adresser à nous avec respect. As-tu compris ?
_oui Madame PATRICIA, j’ai bien compris.
_très bien tu vas voir c’est très simple. Reprend ton service nous commençons toutes à avoir très faim. Le reste on va te l’expliquer, te l’apprendre au fur et à mesure.
Je suis maintenant calme, je ne pleure plus, je termine la préparation du repas, je fait le service. L’ambiance est beaucoup plus légère. Elles sont même très joyeuses, elles rient et moi aussi.
Après les avoir toutes servies, J’ai voulu m’asseoir à table. PATRICIA m’a arrêté,
Quand on a l’honneur de faire le service des Dames on doit être disponible. Tu mangera après, restes debout et soit vigilant à nos besoins, nos envie. Tu vois VANESSA à le verre vide et CÉLINE n’a plus de pain.
Comme dans un rêve, je me redresse, incline légèrement la tête et d’une voix tremblante, mais très respectueuse.
_oui Madame PATRICIA, veuillez m’excuser Madame CÉLINE voilà du pain et je vous demande pardon pour le verre d’eau Madame VANESSA.
_ tu vois ce n’est pas compliqué d’être à la bonne place. A ta place.
Le repas s’est terminé dans cette drôle d’ambiance, elles parlent de tout et de rien, je ne suis pas convié à leur discussion. Pourtant je suis tout le temps sollicité. Après le café, rangement, nettoyage, vaisselle,… j’ai pu manger un peu. Je venais de finir mon café et ma cigarette quand elles m’ont demandé de venir dans les sanitaires.
Elles sont assises en demi cercle au milieu de la pièce, la table est sur le côté.
Elles commencent par me remercier et me féliciter pour mon application, pour le zèle que j’ai montré dans cette tâche si délicate laver leur linge sale, d’avoir nettoyer leur dessous si fragile à la main.
j’ai à peine le temps d’expliquer que c’est un honneur et un réel plaisir de le faire, que PATRICIA me coupe la parole.
_ juju tu ne parles que lorsque l’on te donne la parole. C’est du respect. As-tu compris ?
_oui Madame PATRICIA.
_Bien alors continuons, mon petit juju aujourd’hui c’est un grand jour pour toi. C’est le premier jour de ta nouvelle vie à l’entrepôt.
Un long silence, je suis debout immobile les mains derrière le dos. Elles lancent des regards furtifs entre elles avant de toutes se focaliser sur moi.
Il y a des choses que tu dois savoir juju.
Nous avons toutes vu ce que tu as fait ici vendredi soir.
Le ciel vient de me tomber sur la tête. Mon coeur s’est arrêté puis s’est emballé, je ne peux pas croire ce qu’elles me disent. Comment elles savent ? Qu’est qu’elles ont vu ? Je veux parler, m’expliquer mais quoi leur dire?
PATRICIA m’observe, Elle ne m’a pas questionné ni donné la parole, donc je me tait. Curieusement je bande. Etre devant mes collègues qui savent m’excite. Mais que savent elles vraiment ?
PATRICIA reprend la parole.
_juju vois tu la nouvelle horloge ?
_euh oui Madame PATRICIA.
_ vois tu elle est équipée d’une caméra,et il y en a d’autres, dans l’entrepôt, tu verras plus tard.
C’est CÉLINE qui en a eu l’idée. Une idée géniale.
Tu comprends ce que cela signifie mon petit juju?
_eeeeeeeuh !!!! oui Madame PATRICIA. Je suis désolé, Je vous demande pardon, pardon pardon à toutes Mesdames.
_mais tu es tout excusé mon petit juju, au contraire nous voulons toutes te remercier pour ton magnifique spectacle. D’ailleurs il y a même une copie pour toi sur la table.
Je regarde la table, un DVD est posé dessus, je ne peux plus les regarder dans les yeux, j’ai trop honte. J’ai la tête baissée. Je pars dans mes pensées, je suis ailleurs, loin, très loin , plus rien n’existe. La voix de PATRICIA me sort de ma torpeur.
_juju, es tu avec nous ? juju!
Bien, tu es avec nous, alors écoute bien juju, sais tu ce que cela signifie si ces images arrivent à la direction ou ailleurs ?
_oui Madame PATRICIA je suis finit. Terminé.
C’est l’humiliation totale.
Je ne sais pas encore pourquoi mais je suis tombé à genoux devant mes collègues, pour plaider ma cause.
_Je ferais tout ce que vous voulez Mesdames, s’il vous plaît ne le montrez pas à d’autres , s’il vous plaît. S’il vous plaît.
_ ça ne dépend que toi mon petit juju dit PATRICIA en s’approchant de moi.
_comment ça Madame PATRICIA ?
_si tu es obéissant, si tu fais tout ce que l’on te demande, tout ça reste entre nous. N’est-ce pas les filles.
Oui bien sur répondirent elles toutes en coeur, tout en s’approchant de moi. Je suis à genou la tête baissée, elles m’entourent.
_déshabille toi. Me demande PATRICIA
_quoi ?
Sans aucun avertissement PATRICIA me gifle violemment.
_quand on te donne un ordre tu dois obéir immédiatement. As-tu compris ?
_oui Madame PATRICIA, pardon.
J’ai alors enlevé ma chemise, défait ma ceinture, ma joue me chauffe, je suis en pilotage automatique …
_debout
En une fraction de seconde je suis debout. Mes chaussures,mes chaussettes, mon pantalon suivirent. Mon caleçon ne cache rien de mon érection. Sans hésitation je baisse ce dernier rempart. Ça y est, je suis nu devant mes collègues.
_les mains sur la tête, écarte les jambes, un peu plus, redresse toi, lève la tête. Parfait. C’est la bonne position. Tu dois toujours te présenter ainsi quand on dit position une . As-tu compris ?
_oui Madame PATRICIA.
Les commentaires fusent, chacune y va de ses remarques.
_et en plus il bande notre petit juju il aime vraiment ça, c’est incroyable . Belle bite, quand même, elle est plus grande que sur la vidéo, mais il y a trop de poils . C’est vrai qu’il a les couilles toute lissent comme son cul, il n’est pas trop mal son petit cul, il est bien ferme et bien ouvert, rire collectif, trop de ventre, Trop de poils sur le dos,…
En même temps qu’elles parlent, elles passent leurs mains sur tout mon corps. Elles me palpe, me touche partout, je sent même des doigt sur mon trou du cul.
Elles rient, commentent tout , je ne suis qu’un objet entre leurs mains. Un a****l face à des maquignons.
Mon cerveau est en ébullition, mon rêve se réalise, je suis si excité. Je vais jouir, je sent mon orgasme venir. Mon corps frémi, des petites conlvutions, ma queue se tend encore plus, mon cul palpite, mes couilles se rétractent.
C’est encore PATRICIA qui fait stopper les caresses et demande le silence.
_ Ça va juju ?
_oui oui Madame PATRICIA mais je dois vous dire que je vais jouir. C’est trop puissant, c’est trop bon, tout ce que vous me faites. Je ne peux plus me retenir. Mesdames pardon pardon, ouiiiiiii merciiiiii
je joui debout, entouré de toutes mes collègues, les mains sur la tête les jambes écartées sans aucun contrôle ni maîtrise, j’éjacule violemment.
je reprends conscience au bout de quelques secondes,il y a un grand silence qui dure.
PATRICIA reprend la parole. _merci juju tu es très beau quand tu jouies, très expressif, sans aucune pudeur j’adore.
_T’es le premier mec que je vois jouir si intensément alors qu’il est juste nu.
_Tu aimes être humilié?
_Ça t’excite d’être nu devant des femmes habillées ?
_Tu es un vrai soumis.
Je ne sais plus qui a dit tout ça ?Elles ont toutes parlées.
_Regarde nous, lève la tête.
A cet instant, je réalise vraiment ce qui vient de se passer. J’ai jouie d’être humilié.
Ce n’est plus un phantasme. C’est la réalité. J’ai jouie, sans retenue, sans filtre, sans pudeur.
Mes collègues ont vu ma jouissance, mon intimité la plus secrète, la plus personnelle, ma nature profonde.
Je suis un mâle soumis. Elles savent qui je suis. PATRICIA encore une fois me sort de ma torpeur.
_Maintenant que l’on connaît toutes ta vraie nature, tu sais ce qui te reste à faire pour nous montrer ta gratitude, nettoie tes petites cochonneries, comme sur la vidéo.
Devant moi CÉLINE s’est avancée, du spermes coule le long de ses jambes.
Je lève les yeux, je l’a regarde, elle a un grand sourire gourmand.
_Régale toi. Me dit elle.
Au ralenti, je me retrouve à ses pieds. Je m’approche pour la nettoyer. Elle recule de quelques pas pour s’asseoir sur sa chaise.
A quatre pattes, lentement, je m’approche, je veux savourer ce moment.
Je dépose un premier baisser sur sa chaussure, puis un deuxième, je fais pareil avec l’autre pieds. je sort ma langue, je lèche, j’avale mon sperme. Des petits coups de langue légers, d’autre plus appuyés. Je nettoie tout.
C’est la première fois que je touche une de mes collègues aussi intimement. Je ressens une très grande fierté, un grand honneur.
Le temps s’est arrêté, je m’applique, j’essaie de sentir ses envies, ses désirs, en même temps, je veux qu’elle ressente mon plaisir de la satisfaire. Sans un mot j’alterne, passe d’une jambe à l’autre.
Toujours, avec la même application,je léche, embrasse, dépose un baiser sur chaque partie de son corps qu’elle m’offre. CÉLINE ouvre en grand ses jambes, je lèche l’intérieur de ses cuisses, le parfum de son sexe, de son plaisir est de plus en plus présent. Chaque baiser me rapproche de son temple si convoité.
Elle porte la même culotte crème. Ses cuisses s’ouvrent encore, c’est une invitation. Je dépose plusieurs baisers sur son sexe avant de la lécher délicatement. Le tissu n’est plus une barrière, il épouse parfaitement ses lèvres, ma langue découvre ses formes, sa saveur m’inonde le visage.
Puis je sens ses mains sur mon crâne qui me carressent, me flatte. Soudain elle appuie fortement sur ma tête, elle se sert de moi, elle se branle avec ma bouche, ma langue, mon nez,tout mon visage. Soudain ses jambes se serrent, son corps se tend, elle convulse, elle jouie. Elle jouie sous mes caresses. Elle coule dans ma bouche, je bois directement à la source. L’étreinte se desserre, elle se redresse, tapote mon crâne.
Je me recule, la tête baissée, le visage trempé de son nectar, toujours à quatre pattes.
Je ressens un bonheur immense, une forme de plénitude extraordinaire.
Petit à petit j’entends les remarques des autres filles,
_il aime vraiment ça.
_J’ai jamais vu ça.
_Vous avez vu comme il s’est appliqué, il passé sa langue partout il a tout léché, tout nettoyé, tout bu.
_Il est trop mignon comme ça à quatre pattes.
_Et regardez il bande encore.
Je ne sais plus lesquelles ont dit tout ça ?
Je relève la tête, je regarde CÉLINE, elle est encore sur son nuage qui ne doit pas être loin du mien.
Je tourne la tête, j’ai enfin le courage de croiser leurs regard. Ce que je vois est incroyable, Les filles me regardent vicieusement, c’est presque obscène, c’est comme si elles veulent me dévorer.
PATRICIA s’approche de moi,s’accroupie, ses mains me caresse, la tête, mes épaules, mon dos, mes fesses, mes cuisses, mes pieds, remonte le long de mon dos. Je frissonne de plaisir,
Elle appuie sur ma tête, instinctivement je pose mon front sur le sol, mes mains sont tendues devant moi, j’ecarte un peu mes jambes, cambre mon dos, tend mon cul.
J’essaie d’être le plus soumis possible, le plus offert. J’attends je suis prêt, prêt à tout subir.
PATRICIA se relève.
_venez les filles notre petit juju à besoin de réfléchir. N’est il pas mignon dans cette position ?
J’entends leur rires , il y en même une qui me siffle. Je ne bouge pas d’un millimètre.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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