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Julie ou Julien (17)

Julie ou Julien (17)



Une nouvelle fois, c’est une agréable sensation qui me sort de mon sommeil. En ouvrant les yeux, je découvre isabelle, sur le lit, à genoux entre mes jambes en train de me sucer. Lorsqu’elle constate que je me suis réveillé, elle recrache ma bite
– Bonjour mon maître, j’espère que vous avez bien dormis. J’ai pensé que vous apprécieriez d’être réveillé ainsi. Je vous ai laissé dormir aussi longtemps que possible. Je vous ai préparé un petit déjeuner.
Je me laisse retomber sur le lit et apprécie la pipe gourmande prodiguée par Isabelle
– M’autorisez-vous à vous faire jouir ?
Pour toute réponse je plaque sa tête sur ma queue et la lui enfonce jusqu’à la garde. Elle reprend son ouvrage et me pompe généreusement la queue. Je constate qu’elle semble déjà douchée et est partiellement vêtue. Elle a mis un soutiens gorge redresses seins, c’est à dire sans bonnets pleins. Elle a le porte jarretelle qui va avec, dans une dentelle écrue et les bas a fines mailles noires. Sa succion ainsi que sa branlette s’accélère sur ma queue, jusqu’à ce que je gicle au fond de sa gorge. Elle tête tout ce qui sort, finissant par lécher mon gland afin de récupérer la dernière goutte.
– C’est si bon d’avoir le gout d’un vrai homme en bouche pour démarrer la journée….
Elle se positionne alors à genoux, assise sur ses pieds, attendant que je me lève ou lui indique quoi faire. Je me redresse
– Je vais me doucher. Va chez moi chercher Julie
Et je me lève direction la salle de bain. Je prends mon temps sous l’eau puis vais à la cuisine nu. J’y retrouve Isabelle, toujours dans la même tenue ainsi que Julie, elle aussi dans sa tenue de la veille, de larges cernes sous les yeux, à genoux à côté de la table.
– Alors ma petite pute, tu as passé une bonne nuit
– Maître… non… je… non…
– Quoi ? As-tu quelque chose à redire quant au traitement que je t’ai imposé ? Ne trouves tu pas que c’est ta place ?
– Si, pardonnez-moi…
– En tout cas, ta mère et moi avons passé une excellente nuit. Et je peux te confirmer que ton gène de salope c’est d’elle que tu le tiens
A ces mots, Isabelle affiche un immense sourire. Il ne fait aucun doute qu’elle se réjouis de la mise en compétition entre elle et Julie.
– ta mère pourra t’apprendre quelques trucs, elle suce divinement bien. D’ailleurs elle m’a bien vidé déjà ce matin. Isabelle, café
Et je m’assois à la table.
– Mes poupées, chacune de vous va passez par des étapes où le plaisir, le vôtre en plus du mien, sera le maître mot. Mais je devrais vous rappeler votre place régulièrement et donc, le traitement que tu as subis Julie, se reproduira, et pour toi aussi Isabelle. Nous pouvons passer ensemble des moments de plaisir voir même de tendresse, mais vous êtes mes choses, mes objets, compris ?
– oui maitre, me répondent elles toutes les deux
– Bien. Julie, tu connais tes tâches habituelles. Tu rangeras ici également, et changeras les draps du lit de ta mère et moi, notre lit conjugal. Ah oui, saches qu’hier, elle s’est encore plus offerte à moi qu’avant et d’ici peu, sa vie, vos vies seront totalement miennes. ta mère a renier son union avec ton père et hier nous avons célébrer une sorte de nouvelle noce. D’ailleurs, cette chose qui t’as enfanté, tu t’occuperas de la nettoyer, la nourrir puis retour à sa place aux chiottes. tu seras prête à mon arrivée, en tenue descente, pas maxi pute, mais pas enfant sage, ce que tu n’es pas toute façon. Tu as un RDV ce soir.
Il me revient soudain à l’esprit que j’ai oublié Sophie hier. Lorsqu’Isabelle et moi sommes partis je l’ai laissé empalée sur son god.
– Isabelle, appelle Sophie
Elle compose son numéro
– Sophie, le Maître veut te parler, et me tend le téléphone
– Alors ma petite salope, comment vas-tu ?
– Bonjour Maître. Maître, pardonnez-moi, c’est sans votre accord que j’ai pris l’initiative de me retirer du god hier. Il était vers minuit je crois, je ne tenais plus. Pardonnez-moi je vous en prie.
– Bon, pour cette fois ça passe, mais uniquement parce que tu es en phase d’apprentissage encore. Comment va ton cul ?
– Il.. heu… il reste un peu ouvert je crois
– Bien, c’est le but recherché. Ça te rendre plus facilement accessible. Tu t’es remplie à nouveau ?
– Non, pas encore Maître, j’attendais vos instructions.
– Remplis toi. Pour la tenue soit chienne aujourd’hui. Et je veux que tu allumes tes cibles. Je veux que ce soir tu ais une bite dans le cul.
– Maître, vous me permettez une question ?
– je t’écoute
– Je… je ne sais pas comment je vais expliquer la ceinture de chasteté que je porte…
– Ah bon ? Pour quelle raison la portes-tu ?
– car ma chatte vous est réservée ?
– Oui, voilà, tu as la raison. Quand tu devras justifier à ton partenaire ce soir pourquoi tu la porte, c’est ce que tu lui diras. Que ta chatte appartient à ton Maître, mais qu’il t’autorise à offrir ton cul et ta bouche. Je doute que le type parte en courant, au contraire, il sera content d’avoir une nana prête à se faire enculer. Tu te débrouille pour baiser chez toi, devant la caméra. Et n’oublie pas d’enregistrer, je ne pourrais pas assister au direct. Ha, et protèges toi, je veux que tu restes saine. Il t’encule avec une capote, et au mieux il te gicle au visage, mais tu n’avale pas, est-ce compris ?
– Parfaitement, merci Maître
– Bien. Tu m’enverras une photo de ta tenue du jour.
Et je raccroche sans attendre sa réponse.
– Isabelle, va choisir ta tenue pendant que je déjeunes.
Je commence à manger et, la poussant par la tête je guide Julie entre mes jambes, mettant ma queue devant elle
– Suce
Puis je reprends mon petit dej tout en me faisant sucer. Mes frasques de la veille et du matin font que je monte lentement, mais finit par bander au maximum. Julie s’évertue à se surpasser mais veille à ne pas me faire gicler, étant donné que je ne lui en ai pas donné l’ordre. J’arrive à la fin de mon repas et reculant la chaise, je m’installe pour mieux apprécier la pipe prodiguée par Julie. Isabelle arrive alors vêtue d’une robe blanche. La teinte du tissus est légère, si bien qu’on distingue, sans voir complètement, le porte jarretelle qu’elle porte. On distingue aussi, un peu plus nettement, ses tétons dressés, nus de soutiens gorges.
– Cette tenue passera à ton boulot ?
– Oui, je pense. J’ai seulement un RDV aujourd’hui, et, si vous m’y autorisé, s’agissant d’un client grincheux, je souhaiterais pouvoir user de mes charmes, juste en m’offrant à son regard bien sûr, pour signer un nouveau contrat.
– Ok, mais tu as intérêt à faire signer ce contrat, sans quoi je te punirais. En dehors de lui, qui verras tu aujourd’hui ?
– Ma secrétaire, et peut être une ou l’autre collègues.
– ta secrétaire, c’est une proie possible ? elle est canon
– Je l’ignore. Elle est en couple, mais je n’en sais pas vraiment plus.
– Creuse le sujet. Si elle porte une tenue adéquate, débrouille toi pour photographier sous sa robe ou jupe. Et soit distraites et laisse la voir que toi, tu ne portes pas de culotte. Tu verras selon sa réaction.
– Bien. Elle est rarement en pantalon, et ses jupes sont rarement longues. Je devrais avoir l’occasion de réaliser votre demande Maître.
– très bien. T’es-tu remplie ?
– Oui, me répond-elle en se tournant, soulevant sa jupe et exhibant son anus remplit d’un rosebud.
– Bien. Julie, tu ne quittes pas le bâtiment. des colis doivent arriver. J’ai précisé les deux adresses au cas où. Tu as interdictions de les ouvrir.
– bien Maître
– Maintenant, finis moi. Isabelle, vient l’aider de ta main uniquement
Julie engouffre alors ma queue, aussi profond qu’elle le peut. Isabelle, s’asseyant sur la jambe saisie ma queue à la base et démarre une masturbation. Elle se met aussi à pousser la tête de Julie, la faisant gober ma queue encore plus profondément, au bord du vomissement.
– Petite pute à maman ! Suce ton Maître comme il faut ! et boit son jus sacré !
La saisissant par les cheveux, elle lui imprime un rythme effréné ce qui me fait rapidement venir, giclant mon jus au fond de sa gorge. Quand j’ai fini de me rependre dans sa bouche, isabelle tire la tête de Julie à elle, et plongeant sa langue dans sa bouche va chercher une part de mon sperme.
– Hum, j’aime le jus de notre mâle dominant comme petit déjeuner, pas toi ma puce ?
– ho si maman, j’aime notre mâle tout simplement…
Les couilles purgées par deux fois ce matin, je me lève et vais chez moi m’habiller, puis part bosser. Ma journée se passe quasi normalement. Elle est toutefois interrompue tôt par un message de Sophie m’envoyant une photo de sa tenue. Elle n’a pas lésiné et c’est une micro jupe en jean qu’elle a mis. C’est tout juste si elle recouvre ses fesses, elle n’aura pas intérêt à se pencher au risque de tout exhiber. dessous elle ne porte bien sûr que sa ceinture. En haut c’est un top à très fines bretelles, largement échancré sur sa maigre poitrine libre de soutien-gorge. Aux pieds, des espèces de bottines à talons hauts carrés en cuir noir. Au moins elle a mis les atouts de son côté pour avoir son plan sodomie.
Je reçois également un premier message d’Isabelle, me disant au combien elle était ravie de son rang à mes côtés et qu’elle ne regrette toujours pas sa décision de s’offrir à moi. Le tout agrémenté d’une photo de sa chatte, prise sous sa jupe exhibée sur une table de réunion. Un second message également avec photo, mais cette fois volée de l’entre cuisse de sa secrétaire. La petite coquine porte un très petit string rouge vif, minimaliste au possible, serrant et moulant sa moule de près. J’en ferais bien mon quatre heure.
Julie m’écrit également pour me confirmer la livraison de plusieurs colis. C’est une bonne nouvelle. Un peu plus tard, stressé sans doute elle me demande de valider sa tenue, qui s’avère pas à mon gout. Elle, me renvoie une seconde proposition à laquelle je décide de ne pas répondre. Elle doit apprendre à me satisfaire au risque d’être punie si elle échoue.
Enfin, Sophie m’écrit pour me confirmer deux bonnes nouvelles. La première étant qu’elle a un rencart pour ce soir, avec un des black qu’elle avait ciblé. Elle angoisse quant au fait de s’afficher dans sa position se soumise en chasteté vaginale. La seconde nouvelle est qu’elle pense avoir une touche avec une petite asiatique, plutôt mignonne à en juger la photo qu’elle m’a envoyé. Elle ne l’avait pas repéré jusque-là, mais la petite poule, de toute évidence attirée par la tenue d’allumeuse de Sophie est venue l’aborder. On verra la suite.
Ma journée touche à sa fin et je rentre donc. Je n’ai cette fois pas prévenu Julie de mon arrivée. Lorsque j’arrive sur le palier j’entends des pas précipités dans mon appartement. Lorsque j’ouvre la porte je vois Julie finir de se positionner à genoux face à la porte.
Elle a bien changé de tenue. Elle porte à mon arrivée une robe rose, assez simple, raide, assez courte. comme je le lui ai demandé elle n’est pas hyper provocante en soit, mais pas très sage non plus car très courte.
– debout
Julie se lève, ce qui me permet de l’examiner. La robe lui arrive effectivement tout juste sous les fesses. Elle est un peu ample en bas, mais collée au corps sur le buste. Je passe derrière Julie et soulève sa robe. J’y trouve un string rose également, mais très flashy, plongeant profondément dans ses fesses que je constate remplies d’un rosebud au bijoux en strass rose également. Aux épaules je distingue les bretelle d’un soutifs de toute évidence assortit au string. A ses pieds des escarpins, bien sûr rose pour ne pas jurer, à talons de 10 ou 12 cm. son maquillage est sur la même couleur, phare à paupière rose, eyeliner rose, même un rouge à lèvre rose fluo. des boucles d’oreilles dans les même teins, en strass roses, des bracelets et bagues, et même une petite fleur dans les cheveux. Bien que ne lui ayant pas donné de thème, je la trouve courageuse d’avoir osé miser sur ce ton. Néanmoins je suis satisfait, mais ne le lui montre pas
– Bon toute façon on n’a plus le temps de corriger, on y va
– ho… heu oui Maitre
Je passe la porte de l’appart et la vois att****r un petit sac à main rose encore. Affichant une indifférence totale, je ferme la porte derrière elle et descend vers la voiture. Nous montons à bord et prenons la route. Sur le trajet je ne lui adresse pas la parole, ce qui je le sens fais monter son stress au plus haut point.
Je me gare à destination, un parking d’une résidence de plusieurs appartement, assez sobre, mais de qualité. Je descends de la voiture, Julie également.
– Suis moi
Je passe devant pour lui indiquer quelle entrée puis la laisse passer devant dans les escaliers pour tout de même en profiter pour me rincer l’œil sur son cul bandant. Je la stop arrivé au bon étage et sonne à la porte.
La porte s’ouvre sur une ravissante quinquagénaire brune qui toute sourire nous accueille. Toute de cuir vêtue, un bustier étroit écrase sa poitrine généreuse. Une longue jupe noire étroite fendue sur les côté. dessous de hautes cuissardes à talons immenses. Sa coupe de cheveux tirée en arrière ainsi que son maquillage lui donne un air des plus sévère.
– Hey salut toi ! quel plaisir de te revoir !
Elle me prend dans ses bras et me mange la bouche directement. Elle me fait signe d’entrée sans porter le moindre intérêt à Julie. Je la tire par le bras pour la faire rentrer.
– Ca m’a fait plaisir quand tu m’a appelé ! alors dis-moi tout ?
– Tania, laisse-moi te présenter Julie, ma petite protégée. Enfin, ma petite pute protégée ! Julie, salue la dame !
Julie s’approche et tends la main à Tania
– Bonjour Madame
C’est une baffe puissante qui lui vient en retour pour toute réponse
– Je penses pas que ton maître t’ai appris de si mauvaise manières !
Julie, décontenancée, ne sais pas quoi répondre, et c’est une seconde baffe qui vient s’écraser sur son autre joue
– A genoux pétasse !
Les larmes aux yeux, Julie m’interroge du regard. Pour toute réponse, en lui tournant le dos et me dirigeant vers un fauteuil
– Obéis à Tania
Julie se met à genoux. Tania lui tourne autour, se place derrière elle et l’att**** par les cheveux, lui tirant la tête en arrière
– C’est un beau petit lot que tu as dégoté. Fine, des traits fins. Une belle bouche, un beau cul. Tu l’as déjà essayé de partout je suppose ?
– Bien sûr Tania, tu me connais
– Oui oui. Alors petite pétasse, tu aspire à devenir une femelle il parait ? Ton maître m’a parlé de toi rapidement. Il y a à peine une semaine t’essayais encore d’être une espèce d’homme ? Moi je pense que t’es à ta place là. Suis moi
Tania se dirige dans le couloir, Julie à sa suite, toujours à quatre pattes. Je les suis. nous entrons dans une pièce de l’appartement, pleine de divers accessoires SM. Croix de saint André, cheval d’arçon, des étagères pleines de god, fouets, entraves, pinces et autres. En entrant dans la pièce, je vois Julie regarder de partout, les yeux grand ouverts. Je me dirige vers un fauteuil et m’y installe.
– Laisse-moi t’expliquer. Ton Maître a fait appel à moi car je suis une experte dans l’éducation de personne comme toi. Il m’a demandé de mettre mon expérience au service de ton dressage et de ton éducation. Ici, entre mes mains tu n’as pas le moindre droit. Il m’a donné tout pouvoir sur toi. dès lors que tu franchis ma porte, ta volonté disparait. Je vais m’appliquer à faire de toi quelque chose de potable. Tu as un certain potentiel m’a-t-il dit. Je vais m’efforcer de le développer. Ici l’échec n’existe pas. M’as-tu bien compris ?
Julie a écouté attentivement les mots de Tania, mais c’est vers moi qu’elle se tourne pour obtenir mon assentiment. D’un geste du menton je l’invite à répondre à Tania
– Oui Madame. si c’est ce que mon maitre veut, je me plierais à sa volonté.
– Bien. Première précision, tu commences ou termine tes phrases par Madame Tania. tu ne parles que si je t’y invite expressément.
Tania tourne les talons et se dirige vers une armoire. Elle en sort un collier de cuir ainsi qu’une laisse, en cuir noir et viens installer le tout à Julie.
– Ceci est pour te rappeler un peu plus ton rang de chienne. Ce collier est à présent à toi. Tu le portera à chaque fois que tu pénètrera chez moi, et en dehors dès que ton Maitre te l’imposera. A présent, il faut que tu comprenne en quoi je suis experte dans la féminisation. Pour ça, tu vas me montrer ce dont tu es capable, à commencer par l’usage de ta bouche. Montre-moi comment tu suces petite pute
Julie, se tourne alors vers moi et commence à s’approcher, lorsque d’un coup sec sur la laisse Tania la ramène vers elle
– Petite sotte. bonne à baiser mais pas un gramme d’intelligence hein. Qui t’as dit de sucer ton Maitre ?
Tania écarte alors un pan de sa robe, dévoilant un string de cuir étroit qui dissimule une bosse de bonne taille. cette bosse ne laisse aucuns doutes et Julie réalise alors que c’est une queue, de bon calibre de plus, qui se cache dessous. Julie passe de la queue au visage de Tania, semblant réaliser très doucement ce qu’elle est.
– Et oui petite chienne. Si je suis experte c’est parce que moi-même j’ai fait la transition. Mais contrairement à toi, j’ai une volonté, et une personnalité forte. Et une vraie queue.
En disant ça, Tania déballe sa queue. J’ai de quoi rougir en quelque sorte car elle est membrée comme il faut. je sais qu’en pleine forme elle culmine à 24 cm de long pour près de 6cm de diamètre. Pour l’histoire, j’ai rencontré Tania il y a quelques années dans des lieux de rencontres, sauna notamment. A l’époque, elle était encore novice en BDSM, mais déjà (et encore) très gourmande de bite raide. La sienne, pas plus qu’aucune autre, ne m’a jamais pénétré; moi par contre j’ai eu l’occasion de la sauter quelques fois. Une experte dans le plaisir, mais elle prend d’avantage son pied à user de son autorité naturelle. Pour elle Julie est une friandise de choix. Je sais que Tania a déjà eu plusieurs soumise telle que Julie, certaine plus avancées, d’autres bien moins. J’ai eu l’occasion de voir le résultat d’une notamment, ayant été au bout de la transition jusqu’au changement de sexe officiel.
Revenons à Tania et Julie. Tania tend donc son morceau de chair tendu et gorgé de sang devant Julie qui n’en revient toujours pas.
– Alors petite chienne, tu vas me montrer tes talents ou quoi ?
Elle saisit alors Julie par les cheveux et lui plante près de la moitié de sa queue dans la bouche, faisant s’étouffer Julie à moitié. C’est sans ménagement qu’elle se met à lui baiser violement la bouche
– Tu vois ma petite pétasse, ton rôle dans la vie c’est de satisfaire et faire juter la moindre queue qui se présente à toi. Mais ce n’est pas tout, en plus d’être un garage à bite, ta docilité doit être à toute heure. Et pour ça ma petite pute, il n’y a qu’une voie : le dressage. Et enfin, ta féminité. c’est le 3ème point qu’on va travailler ensemble. Comme tu l’as remarqué, j’ai fait le chemin moi-même et je vais te l’enseigner.
Tania se retire brusquement de la bouche de Julie, la laissant essoufflée et baveuse.
– retire ta robe
ce que fais Julie, la faisant glisser au sol le long de son corps. Elle se retrouve alors dans sa lingerie rose flashy et en chaussure. Tania saisit Julie par le bras brusquement et la mène devant la croix. Elle lui attache les poignets, haut, la forçant à se hisser sur la pointe des pieds. Tania se dirige ensuite vers une armoire et y prends plusieurs objets qu’elle dispose sur une table à côté de Julie. Elle commence par équiper Julie d’un bâillon écarteur, qui lui ouvre la bouche tout en lui soulevant les lèvres, dans une grimace hideuse. Ensuite, ce sont des pinces à dents en acier qu’elle vient accrocher aux tétons de Julie après avoir baissé sons soutiens gorge. Les pinces sont assortie de lourds poids. à leur fixation, Julie ne peut s’empêcher de pousser un puissant cri de douleur.
– ta gueule ! lui dit Tania, tout en lui assénant un coup de genoux à l’entre cuisse, ce qui coupe aussitôt le souffle de Julie. Paniquée Julie me supplie du regard.
– Ton Maitre ne te viendra pas en aide petite pute. Tu es là pour ce traitement.
Tania baisse alors le string de Julie, mettant à jour son micro pénis dans sa cage rose. Tania lui saisit la base de la bite et démarre un massage
– J’ai cru comprendre que tu déteste qu’on te tripote. Manque de chance je me tape de ce que tu aimes ou pas.
Le contexte doit malgré tout excité Julie, car je vois légèrement se durcir son clito. Aussitôt elle gémit car le fond de la cage est équipé de picots.
– Je connais le modèle de cage que tu portes. Les picots en plastique sont très douloureux sur un gland tendu… Plus je te branle, plus ça t’excite, plus tu souffres et plus ça me plait ! Tu vas apprendre à donner du plaisir aux autres au travers de ta souffrance.
Julie n’est plus qu’un long et continu gémissement. Son visage est entièrement crispé, le larmes lui coulent et étalent son maquillage sur ses joues, mais son regard reste fixé vers moi. Tania relâches le clito de Julie et se saisit d’une nouvelle paire de pinces. elle s’accroupie et fixe la première à la micro testicule droite de Julie qui hurle de douleur mais sans plus protester. Puis seconde pince posée, toujours sous le son de la douleur. La respiration de Julie est rapide. Son visage est maculé du maquillage qui a coulé mais malgré ça, son regard est toujours planté dans le mien. Elle encaisse sans broncher et de toute évidence dans le seul but de me satisfaire.
Tania va à nouveau ers son stock d’équipement divers. Cette fois elle se place face à un mur où sont accrochés toutes sortes de fouets, cravaches, cannes, bâtons.. Elle choisit une cravache traditionnelle et revient vers Julie, qui inquiète regarde Tania s’approcher d’elle.
– Allons ma pétasse, pas de raison de paniquer, tu sais que ce n’est pas finit
Tania passe la cravache entre les cuisses de Julie et vient secouer les poids qui pendent, les faisant balloter. Elle remonte vers son torse et en fait de même avec ceux pendus à ses tétons. Julie sert les dents et contient tant bien que mal ses gémissements de souffrance.
Subitement, Tania assène un premier coup de cravache sur le ventre de Julie. Puis un second sur une cuisse, puis l’autre, puis les mollets, au niveau des aisselles. Les coups pleuvent, à chaque fois à un autre endroit. rapidement, le corps de Julie rougit de toutes parts, ses cris s’enchainent, mais à aucun moment elle ne demande à ce que cela cesse. Elle encaisse tout en laissant s’exprimer sa souffrance.
Tania stop son cravachage et saisie une corde qui une fois détachée du mur laisse descendre vers l’avant la croix de Saint André. Celle-ci se retrouve presque à 45°, penchant Julie vers l’avant. Ca a pour effet d’accentuer la tension qu’exercent les poids qui sont accrochés à elle. Tania reprend alors les coups de cravaches, particulièrement sur le ventre. Cinq bonnes minutes de ce traitement fond fondre Julie littéralement en larmes et en pleure mais malgré ça toujours pas la moindre supplication de sa part. Tania s’arrête et se dirige à nouveau vers l’armoire et en sort une caisse.
Elle vient se placer à côté de Julie et commence à en déballer le contenu. Elle en sort toute une panoplie d’électrodes ainsi que le petit boitier de contrôle. Tania commence à poser les électrodes sur Julie. Les premières sont placées sur son thorax, sur les extérieurs, au niveau de ses tétons. Une est positionnée sur son pubis. Elle glisse une petite électrode en forme de tige dans la cage, le long du gland de Julie. Ensuite c’est un plug électrode qu’elle lui insère dans son mignon petit anus étroit. Et pour finir, deux électrodes sont pincées à chacun de ses pieds aux orteils. Le tout est branché sur boitier de contrôle, qu’elle branche à une prise. Julie, reniflant et bavant à cause du bâillon écarteur tout ce qu’elle peut la regarde faire. Son regard est autant chargé d’inquiétude que d’hébétude, un peu hagarde.
Je vois alors Tania activer le tout et au même moment le corps de Julie se cabrer dans un rauque et profond gémissement. Son corps est prit de spasmes, alternatifs au rythme des impulsions électrique. Son clito lui-même sursaute par à-coups. Tania monte la puissance d’un cran faisant avoir des spasmes plus puissants à Julie. Lorsqu’elle se stabilise, nouvelle montée en puissance. Là tout le corps de Julie est une succession sans fin de soubresaut, gémissements. Les poids des pinces se balancent et étirent ses tétons et ses couilles. sa bave coule à flot. Ses yeux se révulsent à moitié. Soudain, un jet d’urine est propulsé de son clito, elle perd tout contrôle d’elle. Tania la regarde se vider puis baisse la puissance d’un cran. Elle me fait alors signe de la suivre à l’extérieur de la pièce. Nous quittons Julie, la laissant seule, sous les assauts des électrodes. Je suis Tania jusqu’à son salon. Elle a au passage attrapé une bouteille de champagne dans la cuisine ainsi que deux verres. Elle me tends la bouteille, que j’ouvre et nous sers deux verres. On s’installe, cote à côte dans le canapé et trinquons
– Mon choux, me dit-elle, e sais pas où tu as dégoté cette petite, mais je suis bluffée
– Ah bon ? et pourquoi donc ?
– Pourquoi ? Mais ce qu’elle est train de subir là, c’est en général pas avant la troisième séance qu’elles encaissent sans broncher ! A part gémir sa souffrance, elle n’a pas demandé une seule fois que ça s’arrête ! Et tu as vu comme moi, cette façon qu’elle a de te regarder ! Elle pousse ses propres limites au maximum uniquement pour toi !
– Oui c’est vrai, j’ai vu. Ma poupée est folle amoureuse de moi d’après ce qu’elle m’a avoué.
– J’en doute pas un instant ! En si peu de temps se dévouer aussi loin pour toi, cette transition accélérée que tu lui as imposée, cette séance aujourd’hui, et je doute de tout savoir… pas de doute sur ses sentiments !
– Je n’y peux rien que veux-tu ?
– Je ne comprends pas, c’est tout. soyons honnête, tu sais que je suis franche, t’es pas le top model par excellence… T’as pas la bite la plus fantastique du monde, bien que tu saches t’en servir plutôt comme il faut… alors je ne comprends pas qu’avec tout le potentiel qu’elle a en elle, que son choix se soit jeté sur toi… ne m’en veux pas
– Merci pour tes compliments hahaha. ceci dit, ma bite tu t’en es jamais plaintes que je sache
– Haha non c’est vrai… D’ailleurs, puisqu’on en parle, cette petite m’a donné faim !
En disant ça, Tania a commencé à défaire ma ceinture et ma braguette, pour rapidement partir à la recherche de ma queue déjà bien tendue. Elle ne met pas longtemps à la glisser au fond de sa bouche. Elle démarre alors une pipe de la plus haute expertise, riche de son expérience elle sait comment se servir de sa bouche gourmande. Sa gorge sait aussi s’élargir à souhait pour accueillir ma queue entière et en profondeur. Une fois ma bite bien graissée, Tania se redresse
– Viens, allons voir ta pute
Je retire mes vêtements avant de la suivre et c’est donc nu, et la queue raide qu’à la suite de Tania j’entre dans la pièce où se trouve Julie. A notre entrée, elle lève juste le regard, vide d’expression. Elle est toujours secouée de faibles spasmes, sous elle, un flaque, mélange de son urine et de sa bave qui coule à flot. Son visage est totalement recouvert de son maquillage qui a coulé. Elle ne ressemble plus à rien, plus une poupée de chiffon qu’autre chose.
Tania coupe le jus au boitier, et redresse la croix. Elle commence à lui défaire les liens au poignets, et Julie, à bout de force s’effondre dans ses bras. Tania la guide jusqu’au cheval d’arçon
– C’est pas finit ma chérie. Tu as été courageuse jusque-là, continu comme ça.
Elle la positionne courbée par-dessus le cheval, la tête pendante dans le vide. Ses mains et ses chevilles sont attachés aux pieds du cheval, la privant de tout mouvement. Une fois en place, Tania réactive les électrodes, relançant Julie dans un long râle.
– Pauvre poupée. Pour te récompenser tu vas avoir le plaisir de regarder ton maitre me baiser.
Tania se met alors accroupie et reprend ma queue en bouche pour la re-graisser comme il faut. Elle sait aussi bien gérer sa salive car en peu de temps ma queue est trempée. Elle e redresse ensuite et, se penchant au-dessus de Julie, remonte sa jupe et me tends sa croupe. Je pointe alors mon gland sur son anus qui avec les années n’offre aucune résistance. Et c’est sans beaucoup d’efforts que je me retrouve quasi immédiatement au plus profond de son fondement.
le cul de Tania, bien que très beau à voir est bien moins agréable de l’intérieur que celui de Julie. Les années passées font que le passage a bien été élargi et comparé à l’étroitesse de Julie, ma queue nage un peu dans son cul. L’avantage est que je peux me lâcher et lui ramoner sauvagement le fondement, sans ménagement. Je me lance alors dans un pilonnage en règle, venant taper mes couilles contre son cul. Pendant que je lui lime le cul, elle att**** sa propre queue pour la fourrer dans la bouche de Julie toujours ouverte de force par le bâillon.
Sa queue démarre alors un va et vient rythme par me propres coups de hanches. Je peux donc jouer avec la bouche de Julie par l’intermédiaire de la queue de Tania et je ne m’en prive pas. Je pousse régulièrement contre le cul de Tania pour plonger sa queue dans la profondeur de la gorge de Julie. Tania entre nous gémit son double plaisir
– Hum mon mignon, ta queue, encore, défonce moi bien ! et défonce lui la bouche en même temps. Regardes moi cette petite pute en devenir.
Tout ce contexte fait monter un moi l’excitation et je ne tarde finalement pas à me lâcher dans le cul de Tania. de longues giclées viennent lui tapisser le cul en profondeur. Je sens alors le cul de Tania se serrer lorsque je le quitte. Elle se penche vers Julie et lui retire son bâillon
– Nettoie la bite de ton homme
Elle m’att**** alors pas la queue en train de débander qu’elle glisse dans la bouche baveuse de Julie qui toute épuisée qu’elle est met du cœur à me la faire reluire. C’est dans sa bouche que je finis de débander totalement, la queue propre. Quand je me suis retiré de sa bouche, Tania se penche dos à Julie et lui tends son cul
– Cherche son jus dans mon cul. Bois le foutre sacré de ton Maître !
Elle plaque alors son cul sur le visage de Tania qui de son côté, de sa langue la fouille aussi profond que la position lui permet.
– Je te préviens, il ne doit rien rester
– C’est mal la connaitre, elle est assoiffée de sperme ! Elle va te vider le cul !
– En tout cas elle sait lécher un cul cette pute
Tania finit par se retirer et plonge un doigt au fond de son cul, qui ressort sans la moindre trace
– C’est bien ma petite ! A présent ta récompense !
Tania passe alors derrière Julie, sa queue énorme toujours raide. Elle retire le plug de son anus, crache deux trois fois sur sa queue ainsi que sur le cul de Julie et d’un coup sec vient l’enculer. Julie en perd le souffle. Tania démarre alors un va et vient rythmé, sans pause, sans ralentissement. c’est une vraie machine. Elle augmente aussi la puissance des électrodes
– Ho putain ce cul, qu’il est bon !! hummmm et que c’est bon quand tu te crispe comme ça ! t’aime ça hein, prendre des décharges de partout pour me serrer la queue ! hum t’es bonne toi !
La machine s’accélère. Tania démonte le cul de Julie comme j’ai rarement vu le faire. En baissant le regard sur Julie, je la voit me regarder, souriante mais souffrante. Je lis dans son regard le plaisir qu’elle prend à me satisfaire, as volonté ultime de répondre à la moindre de mes attentes ! Et je pense que les coups de butoirs de Tania ne la laisse pas indifférente. Il n’y a pas de doute elle prend son pied. Elle finit par partir dans une successions de gémissements de pur plaisir. En me penchant, je regarde sous le cheval et vois couler de son clito une crème visqueuse, témoignage du plaisir qu’elle prend. Tania se déchaine dans son cul jusqu’à finir par jour au fond d’elle elle lui fessant le cul brutalement
– Han, tiens prends ça ! sale pute ! salope ! hann
Epuisée, Tania se retire et rapidement remet dans le cul de Julie son rosebud
– Tu vas garder mon jus au chaud dans ton pti cul. Ton maitre te baisera par-dessus ça quand il en aura envie.
Tania détache Julie de toute ses entraves, lui retire les différentes électrodes et la laisses s’effondrer au sol. Julie se recroqueville par terre, un sourire immense sur le visage, mais je regard dans le vide. Tania s’accroupie près d’elle
– Quand tu te sera remise, dans la pièce d’à côté il y a de quoi te laver, et te remettre en état. On t’attends à côté, ne traine pas trop.
Tania me prend par le bras et nous retournons au salon. Elle nous y sert à boire. Nous bavardons un moment, en même temps que je me rhabille.
– t’as un lot en or mon choux là. La laisses pas filer
– t’en fais pas, j’en ai pas l’intention. C’est pas pour rien que je suis si vite venue ici. Je veux briser aussi vite que possible la moindre de ses défenses. Ce soir je sais qu’elle est mienne, totalement
– Oui je te confirme, rien qu’à voir ses yeux planter dans les tiens… c’est ce qui l’a fait tenir. Nous tenterons le niveau au-dessus une autre fois, mais elle a déjà été forte pour une initiation ! Et sinon, tu me disais te taper la mère et la sœur aussi ??
– haha oui oui, un vraie famille de salopes ! Et toutes au mental faible. Et y’a le père aussi
– Ha oui, j’avais oublié ! Ha d’ailleurs, tiens, l’adresse que tu m’avais demandé. J’ai passé un coup de file à mon amie. Elle te recevra volontiers. Appelle la avant bien sûr. mais tu me devra un service !
Nous bavardons un moment ainsi, quand Julie finit par apparaitre. Elle s’est douchée, remaquillée, rhabillée. Elle nous rejoins dans la pièce, et tout en me plantant son regard dans le mien va se positionner à genoux devant Tania.
– Madame, me permettez-vous de parler ?
– Vas-y je t’écoute
– Madame, je tenais à vous remercier. Aujourd’hui je sais que je suis prête à tout pour satisfaire mon Maître. Je suis disposée à repousser la moindre de mes limites. Je lui avais fait don de mon âme et de mon corp, mais ce soir, je sais ce que ça veut dire, et plus que jamais je suis certaine que j’ai fait le bon choix. Pour tout ça Madame, je vous remercie.
Julie se penche alors et dépose de nombreux baisers sur les pieds de Tania
– Bien, retourne voir ton maître
A quatre pattes, Julie vient vers moi. elle se pose devant moi, les fesses sur les pieds. Je l’att**** par les cheveux à l’arrière de la tête, et approche brusquement son visage du mien. Surprise, son regard s’écarquille. Je la regarde profondément puis, soudainement plonge ma bouche sur la sienne pour la lui manger. Ma langue va la fouiller aussi profond que possible. Julie se laisse fondre sous ma main et sous ma bouche tout en me rendant mon baiser avec passion. Je finis par quitter sa bouche
– Tu m’a rendu fier ce soir. Tu m’as fait honneur en te montrant docile et obéissante de la sorte face à Tania. Ton abnégation envers moi est la preuve la plus profonde que tu peux apporter pour prouver ton appartenance. continu ainsi et nous ferons du chemin ensemble.
– Merci mon Maître vénéré
– Bien, rentrons à présent

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