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Mon mari, la baby sitter et moi

Mon mari, la baby sitter et moi



Salut ! Sylvain mon mari, a longtemps attendu avant de me laisser vous raconter cette histoire. Il est là près de moi pendant que j’écris et est tout excité à l’idée que des milliers de gens vont découvrir une partie restée cachée de notre vie. Cette histoire commence une nuit de vendredi de juillet 1996. Sylvain et moi avions réservé une table dans un bateau-restaurant flottant au milieu d’un magnifique lac de la région. Ensemble nous avions aussi prévu une baby sister pour garder notre fils durant toute la soirée. C’était comme d’habitude une fille du lycée de la ville. Ce soir, Alexia était la seule disponible. Nous n’étions plus sortis depuis longtemps et en vérité Sylvain m’avait caché qu’il allait s’agir en fait d’une sorte de petite croisière: sur place nous nous attendions à rencontrer des couples aussi sympathiques que le nôtre car nous avions en nous depuis fort longtemps le désir secret de vivre l’expérience de l’échangisme. Cette petite croisière, organisée par un club de nuit était pour nous l’occasion à ne pas rater.

Pour l’occasion, il m’avait aussi offert des dessous affriolants, aussi sexy et osés que ceux vendus dans les sex-shops. Bon nombre de lecteurs aimeraient me voir dans cette tenue. Ma jupe, tout en latex rouge, recouvrait juste mon intimité. Je veux dire par là qu’elle était vraiment au ras du sexe, épilé pour l’occasion. Pour une fois, Sylvain m’avait conseillé de ne pas porter de culotte, aussi n’allais-je pas me sentir toute nue sous le regard des hommes? Un petit corsage blanc retenait difficilement mes deux globes qui pointaient, supportés par un minuscule soutien-gorge. Les regards, autour de moi, pensais-je, se feraient de moins en moins discrets. Tous, j’en étais certaine, n’auraient plus qu’une idée en tête : me bourrer ! Sortant de la salle de bain, une fois prête, je me dandinais un peu devant lui, ce qui le faisais bander très dur.

Intérieurement, j’étais très satisfaite de l’avoir mis dans cet état. Il commençait à me peloter. Je protestait que la baby-sister allait arriver d’un instant à l’autre mais il ne voulait rien entendre : il voulait me baiser tout de suite ! Réellement, je voulais avoir sa grosse bite dans ma bouche, mais plus tard sur la croisière. J’insistais dans mon refus et il se calma un peu. Nous étions à la porte du garage quand une voiture déboucha dans l’allée. La portière s’ouvrit côté chauffeur et quelqu’un vint vers nous. C’était un voisin qui habitait un peu plus bas. Quand il me vit, il restat bouche bée. Il ne m’avait jamais vu vêtue de cette façon. Je ressentis une sorte de gêne, personne ne m’avait déjà vu habillée comme ça. Tout le monde l’appelait Bob. Je lui souriais et lui demandais ce que je pouvais faire pour lui. Il me répondit avec un grand sourire et tout en me regardant qu’il préférait ne pas me dire comment je pourrais lui être utile. Il me complimentait sur ma tenue tout en regrettant que sa femme n’ait pas un ’ look ’ aussi sexy. Je le remerciais du compliment, mais lui expliquait que je devais partir tout de suite. Il resta un moment silencieux en ne cessant de me dévorer des yeux.

Je rentrais dans ma voiture et devint toute rouge quand je compris que Bob avait ainsi obtenu une bonne vue de mon minou tout lisse. Il disait être à la recherche de son chien qui s’était échappé. Je fermai ma portière et descendis ma vitre alors que Bob s’approchait de plus en plus. Il était debout devant moi, mon visage à hauteur de sa braguette. Je ne pouvais voir son visage mais je savais ce qu’il regardait. Le haut de son pantalon, devant moi, commençait à se gonfler. Mes seins, serrés dans le corsage débordaient presque du soutien gorge. Mes mamelons étaient durs et visibles. Je mis tout à coup ma tête au dehors. Il recula juste à temps. J’avais presque collé ma joue droite contre son entrejambe. Je lui répondis que je n’avais pas vu son chien et que je devais réellement y aller. Il me remercia et se dirigea précipitamment vers son véhicule. J’étais persuadée qu’il allait se masturber. Alexia arriva à 19h15. Elle attendait sur le devant du porche et déjà courrait dans notre direction. Elle siffla en remarquant ma tenue et m’avoua qu’elle me trouvait réellement excitante. Ce compliment, venu d’une jeune fille de 18 ans, me rendit toute fière.

Elle me demanda comment Sylvain me trouvait ainsi. Je lui dis alors comment il avait eu envie de me violer un peu plus tôt dans la maison. Elle émit un petit gloussement tout en rougissant. Alexia était une fille très douce. Nous parlions comme de vieilles amies. Ainsi, elle me faisait facilement des confidences sur ses aventures avec ses petits amis et il n’était pas rare qu’on parlât des choses du sexe. Ce soir là, il me semblait que ma tenue lui avait donné certaines idées. Elle disait qu’elle était vierge, ce qui m’étonnait fort. Je lui donnais les instructions pour la nuit : la télévision pour notre fils, l’heure à laquelle elle devait le coucher, etc., et je pris le volant. Nous roulions depuis un bon moment, mais la circulation en plein week-end était très difficile. A quelques kilomètres du lac, l’intensité de nos phares baissa exagérément, si bien que nous dûmes pousser la voiture sur le bas-côté de la route. Un dépanneur de l’autoroute qui passait au même moment avertit sa station et voulut bien nous aider. Sylvain et lui trifouillèrent quelques temps sous le capot et au bout de 10 minutes la voiture redémarra. Déjà nous savions que le bateau ne nous avait pas attendu. Nous remerciâmes le mécanicien après l’avoir payé. Avec Sylvain nous décidâmes de retourner vers la maison après cet incident.

Or, une fois dans le couloir, je commençais à entendre des bruits étranges venir de la chambre. J’entendais les gémissements de plus d’une personne. Il était certain que ces bruits provenaient de personnes faisant l’amour. Plus curieuse qu’effrayée, je me dirigeais à pas lent vers la porte. Je ne savais pas si je devais continuer où retourner vers la cuisine. J’imaginais déjà Alexia se faisant bourrer par un de ces jeunes garçons qui lui tournaient autour et je la voyais en train de pomper une jeune petite bite. Je retournais vers la cuisine où je racontais tout à Sylvain qui me répondit, surpris, qu’il n’avait aucune idée de qui il pourrait bien s’agir. On pensa qu’il serait amusant de se diriger doucement vers eux pour en savoir plus. Quant à moi, intérieurement, je pensais surtout que Sylvain ne voulait pas perdre l’occasion de profiter d’une gamine de 18 ans et que cette idée seule le motivait.

Une fois prés de la chambre il nous semblait entendre le petit ami lui dire plein de mots cochons. Nous pouvions l’entendre gémir à travers le mur. Mais tout à coup, la voix qu’on entendait était bien celle d’une autre fille. Mais qui donc ?. Sylvain m’adressa un petit sourire et poussa doucement la porte: notre petite baby-sister regardait tout simplement une de nos cassettes vidéos personnelles. En effet, Sylvain, au cours de certaines de nos soirées d’échanges prend sa caméra. Alexia, me chuchotais Sylvain, était assise sur le parquet, son short et son slip à côté d’elle. Elle regardait attentivement la télévision, une main glissée dans son entrejambe, frottant furieusement son petit minou.

Sur l’écran, on pouvait voir ma soeur, Gina, comme une vraie chienne, se faire défoncer par Sylvain. Tandis que le petit ami de celle-ci, un noir, me clouait sur le plancher avec sa grosse bite dans la chatte. Avec Sylvain, stupéfaits, debouts prés de la porte, on ne savait que faire. Alexia n’allait-elle pas raconter à tout le quartier nos aventures filmés ? On se décida à pénétrer dans la chambre. Alexia avait deux doigts dans son minou qu’elle portait souvent à sa bouche. Elle ne remarqua pas notre présence, emportée par la jouissance. Sylvain, à l’entrée de la chambre, commença à me malaxer les seins, bouleversé par le spectacle. Il avait atteint le devant de mon corsage et tirait mes seins dehors, massant un des mamelons en érection. Je sentais sa bite toute raide à travers son pantalon. Alexia était une magnifique brune avec déjà de très beaux seins, plus gros que les miens.

Au moment où Sylvain sortit sa bite et releva ma jupe, Alexia se retourna et dit moelleusement ’ Oh, mon Dieu ’. Sans se défaire, Sylvain continua à relever ma jupe, me fit écarter les jambes et m’encula aussi sec, sous les yeux effarés de la baby-sitter. Cette dernière restait pétrifiée, n’osant dire un seul mot, les yeux fixés sur notre couple lubrique. Au moment où Sylvain déchargea dans mon cul et se retira exténué, Alexia se mit à parler. ’ Excusez-moi ’, dit-elle, ’ Je suis désolée ’… Elle était réellement troublée. Elle s’approcha tout à coup de moi et commença à pleurer. Je sentais son jeune corps tout chaud, ses seins ronds et fermes sur ma poitrine. M’enlaçant de ses bras, ses doigts rencontrèrent quelques gouttes de sperme restées sur ma jupe. Je lui conseillais de remettre ses vêtements, mais pour toute réponse elle remonta ma jupe et me caressa les fesses. Elle me regarda dans les yeux et me demanda si Sylvain pouvait la bourrer comme sur le film qu’elle était en train de regarder. Sylvain me regarda avec plein de complicité.

Je la fis se mettre à quatre pattes, ne gardant que son t-shirt, le cul bien dressé. Sylvain pris sa bite à pleine main et la dirigea premièrement vers la bouche de la baby-sitter. Il me sembla qu’elle l’avalait presque entièrement. Elle commença tout de suite à sucer comme l’aurait fait une vraie pute. Cette fille avait dû bien regarder nos cassettes. Comme elle le réclamait dans sa chatte, Sylvain se retira et approcha sa bite de la vulve vierge. Méthodiquement il commença la pénétration. Alexia emit juste quelques cris, mais passa bien vite sa langue sur sa bouche. Elle en redemandait déjà, et réclamait de Sylvain qu’il la bourre plus profondément, ce qu’il fit sans se faire prier. Au bout de deux petites minutes, il commença à la ramoner sérieusement, si bien qu’elle finit par se tordre dans tous les sens. Sylvain, excité comme jamais, criait qu’il allait arriver.

Alexia lui supplia alors de venir éclater dans sa bouche. Elle venait de voir ma soeur Gina sur l’écran, pomper et avaler le foutre de Sylvain et elle voulait en faire autant. Aussitôt une douche de sperme coula au fond de sa gorge. La petite salope avala la totalité et se passa la langue sur les lèvres en prenant soin de nous regarder, comme pour nous demander de porter une appréciation sur sa performance. Sur l’écran de la télévision restée allumée, on me voyait en gros plan me faire prendre des deux côtés par mon beau frère accompagné de Sylvain pendant que Gina tenait la caméra. On resta un moment silencieux devant la télévision jusqu’à ce que la fin du film. Alexia se leva la première. On se proposa pour la raccompagner et nous nous retrouvions tous les trois sur le siège avant de la voiture cinq minutes plus tard. Arrivé dans le parking de l’endroit où elle résidait, elle se pencha tout naturellement sur Sylvain et lui fit une pipe en me fouillant la foune de sa main droite restée inoccupée. La voiture commençait à sentir le foutre. Alexia, visiblement, voulait que Sylvain la vaporise à nouveau. Au bout d’un gros quart d’heure passer à pomper mon mari, notre petite baby-sister eut enfin ce qu’elle voulait : sous la pression, un peu de sperme coula sur son menton au moment où Sylvain déchargea. De nouveau, elle avala tout, se réajusta, nous fit une bise à tous les deux et se sauva en direction de son appartement.

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