Il est vingt trois heure quand Laurent, trente deux ans, entend crisser les pneus d’une voiture, sur le gravier de la cour. C’est Séverine, sa seconde épouse de vingt huit ans, qui rentre d’une réunion. Séverine est une superbe blonde, entièrement dévouée à son mari.
Sans allumer, Laurent se dirige vers la fenêtre, et regarde à travers les persiennes. Il voit la main d’un homme, inconnu pour lui, fouiller sous les jupes de sa ravissante épouse.
-Arrêtez Paul, s’il vous plait, j’aime mon mari, et lui suis fidèle. Sortez vos doigts d’entre mes cuisses, lâchez moi. S’il apprend que vous m’avez fait ça. Vous savez qu’il aune dent contre vous depuis qu’il vous a trouvé au lit avec sa première femme. Il lui semble encore l’entendre crier de plaisir, vous supplier de lui faire un bébé, ce que vous lui avez fait d’ailleurs. Ca fait cinq ans.
-Il avait qu’a le lui faire, répond Paul. C’est pas ma faute si elle était en manque de coups de queues, et si elle aimait les grosses bites. Au fait, soit franche, de toi à moi, pourquoi ta fente est toute mouillée? Allait, à plus.
Séverine devient rouge de honte. Il est vrai qu’elle a ressenti une forte chaleur au ventre suite à cette vicieuse caresse. Après tout, c’est une femme, et son corps réagit en femme. mais il est hors de question qu’elle trompe son mari avec son éternel rival, même le tromper tout court, même si son Laurent n’est pas un foudre de guerre au lit.
Paul est un homme très séduisant, la cinquantaine, cheveux grisonnant, homme à femme s’il en est. On lui attribut pas mal de conquêtes féminines. C’est vrai qu’il est le principal rival de Laurent, et n’hésiterai pas à emmener sa femme dans son lit, ne serait-ce que pour l’huilier une seconde fois. Il se souvient comment sa première épouse hurler son prénom aux cours de relations torrides. Laurent avait tout vu, tout entendu, il avait eu mal, mais resté admiratif devant les mensurations dantesques de son pire ennemi.
Séverine fait une rapide toilette, et rejoint Laurent dans lac chambre. Il ne fait aucune allusion à ce qui s’est passé dans la cour. Séverine se glisse nue sous les draps, et se colle langoureusement contre, et replie une jambe sur son ventre.
-Alors ma chérie, dit-il, as-tu passé une bonne soirée?
-Tu sais, répond-elle, ces réunions, c’est toujours pareil…on en a une autre vendredi.
Lentement, Laurent caresse l’échine de sa femme, puis glisse une main entre ses cuisses. Séverine glousse de plaisir.
-Tiens, dit-il, mais la chatte de ma femme est toute mouillée, une petite envie peut être?
Séverine revoit la scène de la cour. Si Laurent savait que c’est son éternel rival qui la mise dans cet état.
-Une grosse envie mon amour, très grosse. Je veux que tu me prennes jusqu’à l’épuisement.
Laurent honore sa femme dans la mesure de ses possibilités, trop faible pour elle. Au bout d’une demi heure, elle trouve l’excuse d’aller se rafraichir, et s’enferme dans la salle de bains. Là, elle s’installe sur le bidet, et écarte largement ses jambes. Deux doigts lissent la fente, ouvrent le lèvres, et pénètrent la chatte. Deux autres doigts s’occupent du clitoris qu’il décalotte et qu’il doigte.
-Hou….hou, gémit-elle, vous avez pas eu vôtre dose..attendez..maman va vous calmer…pensez que c’est Paul qui vous caresse…oh non, qu’est-ce-que je dis…je suis folle.
Séverine va connaitre deux orgasmes, dont un en s’enfonçant la cartouche de dentifrice de dix huit centimètres dans la chatte et dans le cul. Enfin soulagée, elle retourne au lit ou son mari dort comme comme un bébé.
Il est vingt heures ce vendredi, quand Séverine sort de la salle de bains et regagne sa chambre. En cachette Laurent la suit. Il remarque qu’elle troque sa culotte contre un string rouge,et enfile une jupe noir ultra courte.
-Tu es ravissante ma chérie, je te ses épanouie ce soir. Sois prudente et pas d’infidélité.
-T’inquiète mon amour, tu sais bien que tu es l’homme de ma vie. Je me fais ramener dès que la réunion est finie.
Il est minuit quand Laurent entend reconnait le bruit des pneus d’un véhicule qui se gare dans la cour. Il s’avance et regarde par les persiennes. C’est la même voiture que mardi soir. La portière s’ouvre, et apparait une jambe dénudée. Il monte à l’étage, et a une vue imprenable sur l’intérieur de la voiture. Il voit son épouse, la jupe enroulée autour de la taille, jambes largement ouvertes, en train de se faire gratter la chatte par l’inconnu qui la ramène. Son chemisier est ouvert, offrant à son partenaire sa superbe paire de seins, qu’il s’empresse de caresser. Laurent ouvre légèrement la fenêtre, et entend les gémissements de plaisir de son épouse.
-Salaud…qu’est-ce-que vous faites à mon clitoris…vous l’avez décalotté..vous le doigté…vous êtes fou…
-Tu veux que j’arrête, demande Paul.
-Maintenant que vous m’avez bien faite mouiller…non…
-Tu aimes sentir mes doigts dans ta chatte, hein? Et si ton mari nous surprend…tu y penses?
-Taisez vous…allez-y…vous arrêtez pas….faites moi jouir…s’il vous plait…sortez vôtre bite que je la suce…
-Décidément, tu as l’intention d’être infidèle ce soir…et qui va nettoyer les sièges après?
-Mais je suis capable de tout avaler vous savez, murmure Séverine, même si je le fait jamais avec mon mari.
Paul défait sa fermeture éclair, et extrait un bite énorme, accompagnée d’une grosse pair de couilles.
-Mon dieu, s’extasie Séverine, quelle est belle, je comprend que sa première femme est succombé.
-Vas-y, prend la, tu sais, elle a longtemps joué avec avant de me tailler une pipe. Elle trouvait sa main trop petite pour contenir mes grosses couilles.
Séverine décalotte la queue du bout des lèvres et l’englouti dans sa bouche. c’est vrai qu’elle aussi a du mal à contenir les énormes testicules de Paul au creux de sa main. Au bout de dix minutes, elle a un terrible orgasme, étouffée par les jets de sperme qui giclent au fond de sa gorge. Elle n’en recrache pas une seule goutte.
-J’en veut plus, gémit-elle, mettez la moi dans la chatte maintenant.
-Non ma chérie, sois patiente, je veux que tu me dises que tu as envie de tromper ton mari avec moi, comme sa première femme me l’avait demandé.
Séverine saisit la nuque de Paul, et lui prend les lèvres.
-Vous voulez que je vous supplie de coucher avec moi…comme elle vous a supplié…c’est ça…que je vous implore de me niquer…vous n’êtes qu’un salaud…
Paul lui tend une carte de visite de son club ou il se retrouve entre amis.
-Tous les samedi, je suis à mon club, dit Paul, si tu as envie de te faire baiser, tu sais ou me trouver. Allez, va retrouver ton petit mari, il va s’inquiéter
Séverine a passé tout le week-end à expliquer à son mari, que cette incartade érotique, était une erreur monumentale, du en partie à l’alcool. Elle jure que ça ne se reproduira plus, et qu’elle est bien décidée à aller trouver Paul, pour lui parler.
Mais voilà, lui parler de quoi? Qu’elle est fascinée par lui, qu’elle est attirée physiquement, lui dire qu’il l’a faite jouir comme son mari ne l’a jamais fait, qu’elle regrette de lui avoir tailler une pipe, d’avoir tout avalé. Et va-t-elle lui avouer qu’elle a pris un réel plaisir dans cette relation. Parce que, elle savait ce qu’elle faisait. Et va-t-elle lui dire qu’après l’avoir bien faite mouiller, son mari n’avait su en profiter, et l’avait laissé en rade, qu’elle avait été obligé, insatisfaite, d’aller se soulager dans les toilettes.
Que de penser à ça, elle sent une légère humidité envahir sa chatte.
La rencontre se fait par un pur hasard. Séverine rentre chez elle vers dix sept heures, et voit la voiture de Paul garée devant la brasserie ou se trouve son club. Elle trouve le séduisant quinquagénaire accoudé au bar.
-Tiens, dit-il, Séverine, quelle surprise, tu prends un verre?
-Je suis pas venu pour ça, il faut qu’on parle. Connaissez-vous un endroit discret.
-Bien sur..Pierrot, donne moi la clé du salon privé, s’il te plaît, avec deux coupes de champagne…qu’on ne nous dérange pas.
Le salon est cossu. Paul pose les deux flûtes sur la table basse, et invite Séverine à s’asseoir sur le moelleux canapé.
-Alors ma chérie, que se passe-t-il.
-Suite à nôtre aventure de samedi, j’ai eu une petite altercation avec mon mari.
-A bon, est-ce que tu lui as dit avec qui tu étais.
-Sûrement pas, répond Séverine. S’il savait que je me faisais doigter par son plus grand rival, et qu’en plus je lui taillais une pipe, je vous dis pas. C’est le but de ma visite, il faut qu’on arrête ce genre de relation.
-Dommage, répond Paul, tu es si belle. Tu as un corps fait pour être nique. Tu peux avoir les hommes que tu veux, tu devrais en profiter. Je connais même des femmes qui aimeraient passer une nuit avec toi.
Séverine est troublée par le compliment. Paul le remarque. Il la prend par le cou, l’incline sur le canapé, et l’embrasse.
-Non Paul, dit-elle en le repoussant, s’il vous plaît, ne me tentez pas.
Paul insiste. Séverine ouvre ses lèvres pulpeuses, et répond au baiser. Avec des gestes précis, Paul quitte la jupe et le chemisier. dans la foulée, il dégrafe le soutien gorge, et fait glisser le string. Séverine se retrouve entièrement nue, jambes écartées, offerte aux mains vicieuses de Paul. Séverine passe une main derrière la nuque du quinquagénaire
-Qu’est-ce-que vous allez me faire salaud, souffle-t-elle, regardez dans la position que vous m’avez mise…ma petite chatte est toute ouverte..c’est réservé à mon mari ça….vous voulez l’humilier…
-Oublie ton cocu de mari, comme sa première femme l’a oubliée, dit Paul. C’est pas bon de se faire doigter le bouton, Tu sens comme je te l’ai décalotté, comme je te fais mouiller, petite salope…ton mari te le fais ça?
-On non, gémit Séverine, il ne me gratte pas la chatte comme vous le faites..ni mon clitoris…s’il vous plaît…baisez moi…
-Tu sais quoi, dit Paul, j’ai pas bien entendu.
-Oh non, répond Séverine, ne m’obligez pas à demander ça…vous voyez bien que j’ai envie de me le faire mettre..
-Je sais ma chérie que tu as besoin d’un bon coup de queue, mai ça dépend de toi.
-Vous êtes sans pitié…s’il vous plaît Paul, j’ai envie de tromper mon mari avec vous…mettez moi vôtre grosse bite…
Paul se lève et se déshabille. Séverine reste admirative devant les énormes attributs. Les couilles bien pleines, la queue tendue au maximum. Paul s’assied sur le canapé, et demande à Séverine de le chevaucher. Sans se faire prier, elle s’empale sur le calibre en poussant un cri de plaisir.
-Oh mon dieu, gémit-elle, que de temps perdu. Pauvre Laurent, si tu voyais la bite que j’ai dans la chatte…ça c’est du mâle…
Séverine est la plus active. Elle se cambre sur la bite qui la fouille, en envoyant de violents coups de rein. Paul la tient par les hanches, suce les seins durcis par le désir.
-Quelle furie…comme tu bouges ton cul !!
-C’est ta faute, le tutoie -t-elle, j’avais tellement envie que tu me niques…je suis tellement mal baisé…tout le week-end, j’ai gardé le goût de ta queue et de ton sperme dans la bouche.
Soudain, Séverine ferme les yeux, hurle de plaisir. Paul la couche sur le côté, et lui fourre la bite dans la bouche.
-Han…salope…que c’est bon de se vider les couilles..je savais que tu étais bonne..ton mari ne se sert pas de toi comme ça..
-Hum…non…c’est meilleur avec toi..que c’est bon…j’en veux encore…je veux tout faire avec toi…
-Jusqu’ou es-tu prêtes à aller…je t’ai enfifré, tu m’as taillé une pipe..tu as tout avalé…tu sais ce qu’il reste…
-Oui, soupire Séverine, même si ça me fait peur, je veux que tu sois le premier.
-je te promets d’aller doucement..mets toi à genoux sur le canapé, je vais te prendre en levrette.
Paul se penche entre les cuisse de Séverine, lui lèche la chatte. Il récupère de la mouille du bout de la langue, qu’il dépose sur le petit trou.
-Hou…ça aussi il ne me l’a jamais fait…c’est bon de sentir une langue dans le cul…
Paul pointe enfin son gland à l’entrée du petit orifice, et le pénètre.
-Oh putain…c’est vrai qu’elle est grosse…j’espère que tu ne vas pas me déchirer…mais c’est bon…ça va passer…
Séverine se rassure quand elle sent les énormes couilles de son amant contre ses fesses. Lentement, la bite se met en place.
-Ouf…ça y est salaud…vas-y mon amour…bourre moi le cul…fais toi plaisir…vide tes couilles dedans pour voir l’effet que ça fait, quelle cochonne tu as réveillée en moi…personne ne s’est servi de moi comme ça…quel merveilleux amant tu es…
Séverine s’aperçoit que la bite de Paul commence à donner des signes de lassitude. Elle caresse les couilles, fait rouler les testicules, le reprend en bouche pour lui tailler une énième pipe. Au bout de dix minutes, elle sent le membre vibrer au fond de sa gorge. Elle arrête ses va-et-vient pour que son amant se vide tranquillement les couilles. Elle le regarde tendrement.
-S’il te plaît mon amour, demande-t-elle, fais moi un bébé.
-Trop tard ma chérie, tu viens de l’avaler. Et puis comment être sur qu’il soit de moi, comme je l’étais de sa première femme.
-Je te le promets mon amour…je trouverai une solution…je n’aurai plus de relation avec mon mari, tant que je ne serai pas sure que je suis enceinte de toi. Il n’en saura rien.
C’est ainsi qu’un an plus tard, né un petit Julien. Séverine et Laurent divorce. Dans les mois qui suivent la séparation, Paul demande Séverine en mariage. De cette union, arrive Estelle, une petite soeur pour Julien.
Ajouter un commentaire