Je suis allongé sur les genoux de Stéphane, le cul à l’air, le visage humide de sa salive, la mienne et son sperme. Sa bite est toujours aussi grosse et dure mais je ne peux pas décrocher le regard de ce gode noir qu’il vient de sortir de sa boite à gants. Mon cœur s’est emballé et je lui demande, la voix tremblante :
– Que… que vas-tu faire ?
Il me regarde en souriant.
– M’amuser avec ton cul puis si tu es une gentille salope, tu auras le droit de venir t’asseoir sur ma queue.
Ses mains viennent claquer sur mes fesses puis les écartent. Je sens quelque chose de mouillé contre mon petit cul serré : il vient de faire tomber un filet de salive et fait glisser ses doigts contre mon anus. Après quelques petits cercles tout autour, il en rentre un immédiatement suivi d’un deuxième. Ils glissent facilement et me procurent une sensation divine.
– Putain qu’est-ce que tu es serré ! Tu es sûr qu’on t’a déjà enculé ?
Je lui réponds oui de la tête tout en mordant mes lèvres. Il accélère alors le mouvement de ses doigts et me dit :
– Hummm tu as une sacrée tête de salope quand tu te mords les lèvres… je te baiserai bien encore la bouche quand je te vois comme ça !
Je veux le pousser à bout, je rajoute :
– Qu’est-ce que tu attends alors ?
Et je viens récupérer le sperme devenu transparent sur mon visage avec mes doigts et les lèches en fermant les yeux et en lâchant un « hummmm ». Je pensais ouvrir les yeux et voir sa queue tout près de ma bouche, mais au lieu de ça, je trouve le gode. J’ai pas trop le temps de dire quoi que ce soit qu’il force le passage entre mes lèvres et enfonce l’objet dans ma bouche. Je fais un bruit étouffé et tente d’avaler cette fausse bite de 20 cm.
Son autre main vient se poser à l’arrière de ma tête et la retient. Il me pénètre plus profondément, je veux reculer mais je n’y arrive pas. Alors je tente d’att****r ses bras mais j’ai du mal à bouger dans cette position.
Je sens que je vais vomir, je dois à tout prix me dégager. Mais au lieu de ça, je sens le gode rentrer un peu plus dans ma bouche, dans ma gorge. Alors j’ai un haut le cœur et il enlève le jouet en même temps. Je ne vomis pas mais j’ai une remontée de salive qui vient souiller le gode et la main qui de Stéphane qui tient l’objet.
– Je … je suis désolé… j’ai failli vomir…
– Tu m’as foutu plein de bave sur ma main salope !
En disant ça, il vient étaler toute la salive sur mon visage. Je me sens terriblement humilié… et terriblement excité.
– Petite chienne. On va jouer à un petit jeu, tu veux ?
Je suis surpris par une telle question, mais j’accepte en lui répondant par l’affirmative.
– Bien. Je vais encore t’enfoncer cette belle grosse queue dans ta bouche, et tu vas essayer de la l’avaler jusqu’aux couilles. Si jamais tu y arrives pas, alors petite punition, ça te dit ?
L’idée me plait. Je regarde le gode. Il est si grand et gros. Les couilles me paraissent tellement loin mais je suis tenté.
– D’accord ! Mais j’espère ne pas vomir !
– Ne t’inquiète pas, me dit il tout en emmenant le gode vers ma bouche.
Le gland rentre et le reste vient glisser entre mes lèvres. Nous sommes qu’au quart de la longueur que j’ai déjà l’impression que c’est la limite. Je recule la tête, il ne la maintient pas. Mais au bout d’un moment, je suis bloqué par la douleur dans mon cou et cervical, je ne peux plus la reculer. Alors le sexe en plastique vient s’enfoncer encore plus profondément. Des larmes coulent de mes yeux, je sens la salive qui s’échappe de ma bouche. J’ouvre les yeux et vois qu’il doit rester 5 à 8 cm avant les couilles. Je n’y arriverai jamais…
Alors que je suis à la limite de vomir, je sens soudainement ses doigts entrer dans mon cul.
– Aller salope ! Essaye de faire les deux en même temps ! Offre moi ton cul et gobe moi cette bite !
Il sort ses doigts et je l’entends cracher sur sa main. Puis revoilà qu’un doigt me pénètre, puis encore un et un troisième quelques secondes après. Il les écarte lentement, je sens mon petit cul s’ouvrir. J’ai du mal à me contenir. Dur de se concentrer sur un plaisir et une envie de vomir en même temps.
Tant pis, je serai punis. Je lui fais comprendre que j’en peux plus.
Il enlève le gode de ma bouche, plusieurs filets de salive s’en échappent aussi. Je respire en ouvrant la bouche et le regarde. Ses doigts sont toujours dans mon cul mais ne bougent plus.
– J’ai vraiment… essayé… désolé, c’est trop gros… puni-moi.
– Avec plaisir.
– Mais… que vas-tu me faire ?
Il me fixe en souriant et fais passer le gland du gode sur mes lèvres mouillées. Il enlève d’un seul coup ses doigts de mon cul. Je tressaute de surprise et de plaisir. Il fait passer le sexe en caoutchouc devant mes yeux et le dirige vers mes fesses. Je commence à deviner ce qu’il veut faire de moi mais je ne dis rien. Je sens seulement mon cœur battre comme un fou à l’intérieur de moi.
– Bombe ton cul vers moi ! M’ordonne-t-il.
Je redresse alors un peu mon cul, cambre mon dos et plie légèrement les jambes. Mes fesses bien rondes et blanches doivent être jolie à voir depuis là-haut, me dis-je.
– Tu as pas réussi à avaler 20 cm de bite, mais je pense que tout ça va rentrer plus facilement dans ton petit cul, tu ne crois pas ?
Je tremble soudainement. Même si je m’en doutais, de l’entendre dire ça me procure un effet stressant et excitant à la fois.
– Je … je sais pas… vas-y doucement car il est gros et je…
Je n’ai pas le temps de terminer ma phrases qu’il vient m’écarter une fesse avec sa main et vient plaquer le gode contre mon trou humide.
– Attention… je
Trop tard ! Je sens l’objet entrer doucement en moi. Le gland m’écarte le cul et sa faufile lentement. Je reste bouche bée devant cette sensation. Plaisir, un peu de douleur, peur… je ne maitrise plus rien. Puis tout s’accélère. Le gland est rentré en moi et le gode ne bouche plus. J’attends la suite mais ça ne vient pas, je tourne alors la tête vers Stéphane. Il me dit :
– Ta punition commence !
Et il enfonce le gode entièrement en moi. Les 20 cm me pénètrent d’un seul coup, sous un bruit humide. Je sens les couilles venir taper contre mes fesses. La douleur est présente mais je suis totalement sous le choc et n’arrive plus à parler. Il reste là quelques secondes et l’enlève totalement, laissant mon petit cul ouvert peu de temps, puis vient ré-enfoncer l’objet. Et les mouvements sont de plus en plus rapide, plus en plus nerveux. Je sens le gode me défoncer le cul. Ca brule mais c’est tellement bon. Je bombe toujours mes fesses et l’entends murmurer des insultes envers moi. Je bande à fond et si ça continue, je vais jouir sans avoir besoin de me toucher !
– Continue ! Baise moi, baise moi ! C’est trop bon !
De plus en plus fort, les 20 cm sont en train de me dilater comme jamais. Ce que j’aime le plus, c’est quand il sort le gode de mon cul, le rentre de nouveaux de quelques centimètres puis le ressort, et ça, plusieurs fois.
Je pivote la tête et je remarque qu’il est en train de se branler. Je déplace alors mon visage vers sa queue et tire la langue pour venir lécher son gland. Il pousse son sexe vers moi et se branle tout en laissant son gland dans ma bouche.
– Ton cul est superbe ! Tes fesses blanches contrastent bien avec la couleur noire de cette bite ! Ca te dirait une vraie grosse queue de black ?
J’enlève son gland de ma bouche et tente de parler malgré les coups puissants de sa main.
-Je… oui ! J’adore les grosses queues de black !
– Hum… petite salope ! Je vais faire de toi ma pute et te faire tourner avec des potes black, ça te dit ?
Je crois rêver. Il s’agit de l’un de mes fantasmes et il vient de le décrire. Je vais lui répondre quand il enlève le gode de mon cul. Je sens mon anus qui est ouvert et sensible. Ses doigts rentre en moi et il doit en placer au moins quatre et s’amuse à les bouger dans tous les sens.
– Tiens salope, prends le gode et sucer le devant ma queue.
Je prends le jouet et le suce. Il est chaud et à le goût de mon cul. J’adore ça. Je lèche le gland, longe la queue avec ma langue, crache dessus. En même temps, je le regarde dans les yeux. Il se branle frénétiquement et je sens que l’orgasme ne va plus tarder. Je décide alors de parler au gode comme s’il s’agissait d’un homme noir avec moi.
– Hummm… j’adore ta grosse queue de black ! J’adore la sentir me défoncer le cul… je veux être ton objet, ta petite pute à black… tu veux ? hein, tu veux ? S’il te plaiiiit… je te laisserai me faire tourner avec tous tes potes devant mon maitre…il sera fier de sa chienne !
Et je regarde Stéphane tout en léchant le gland du gode. Il vient me chopper par la tête et enfonce sa queue toute dure dans ma bouche.
– Tiens petite pute ! Avale tout mon jus !!
Un jet chaud vient inonder ma bouche. J’avale tout. Il n’y a pas si longtemps, il avait déjà giclé en moi, mais là, j’ai l’impression qu’il y en a encore plus. Le goût remplie ma bouche et m’excite. Je sors sa queue vient lécher les dernière goûtes de sperme. Je touche ses couilles en même temps et continue de la sucer, même quand celle-ci devient molle.
– Tu es un vraie salope toi ! Là, je suis vidé ! La prochaine fois, je te défonce le cul mais pas dans la voiture. Je connais un endroit qui devrait te plaire.
– Hum… avec plaisir ! Ca se trouve où ?
– Tu verras. Surprise.
Puis nous parlons encore un peu et quand il me ramène non loin de chez moi, il me choppe par la nuque et me crache au visage. Je suis surpris et je ne peux pas m’empêcher de mordiller à nouveau mes lèvres.
– Je marque le territoire sur toi. Tu es ma chienne. Je veux que tu rentres chez toi te branler tout en ressentant la trace de ton maitre.
Et une fois dans ma chambre, je me suis débarrassé de mes vêtements, j’ai caressé mon cul meurtri et sensible tout en repensant à ce gros gode, sa grosse queue et ses propos envers moi. J’ai jouis deux fois en l’espace de cinq minutes.
J’espère aller encore plus loin la prochaine fois.
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