Quand Fred eu reçu l’ordre de sa responsable de finir l’avancée du dossier d’un client important, il ne pu trouver toute la concentration nécessaire.
Il pensait retourner chez lui et passer enfin une soirée normale et reposante. Dpuis plusieurs semaines déjà il était acculé par le travail et se demandait comment il pourrait vivre continuellement à ce rythme.
Après un appel à Valérie, sa jeune fiancée, il serait allé se resservir un café puis rejoignait son bureau. Certainement qu’il allait le boire froid.
Son bureau était au fond d’un couloir, proche du bureau de sa responsable.
Spacieux, avec un petite table sur laquelle il déposait quelques affaires et pouvait recevoir un groupe de six personnes quelque fois. Derrière un divan pour les heures de repos et de discussions plus détendues ; il prenait souvent le temps aussi de la réflexion ou de l’étude d’un dossier plus particulier. Ce divan était plus confortable que la lumière de son bureau et propice au repos et la concentration.
Il avait un peu plus de dix mètres à faire pour rejoindre le halle d’entrée, l’accueil et son petit salon puis la porte.
C’est au moment de prendre le combiné pour téléphoner à Valérie qu’il eu un soupir et s’adossa pleinement dans son fauteuil. Il devait annoncer son retour tardif dans la soirée sinon la nuit.
Sa soirée était gâchée mais il savait qu’il ne pouvait pas refuser les ordres de sa responsable. Puis ce dossier de coaching d’entreprise pourrait lui apporter beaucoup.
La déception fut grande mais Valérie était une personne intelligente et compréhensive. Elle savait l’investissement de son fiancé dans ce travail.
En fin de communication, il fut toutefois apaisé et rassuré par l’attitude de sa compagne. Alors commençait les dernières tâches, les plus importantes et délicates, de cette affaire.
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Tout était calme, et il entendit un bruit sourd en direction de l’accueil. Il ne fermait jamais la porte d’entrée lorsqu’il était seul. Sans doute les occupants du palier d’en face. Mais quelques instants plus tard, lorsqu’un autre bruit de talon l’avait sorti de sa concentration, il se leva, pas très rassuré et décida d’aller voir.
En sortant de son bureau il ne voyait pas tout de suite ce petit salon d’accueil. C’est quelques pas plus loin qu’il est resté droit et immobile, arrêté net. Ce spectacle, il ne le croyait pas.
Juste insensé et inespéré. Valérie se trouvait là face à lui assise dans le fauteuil principal de ce salon.
Elle s’était dévêtue et gardait sa culotte, la pose inspirée par l’affiche d’Emmanuel, dans ce grand et profond fauteuil. Elle croisait les jambes et avait un sourire narguant et le fixait de ses yeux bruns.
Aucun mot ne sortait de leurs bouches, ni lui car toujours stupéfait ni elle car aguicheuse.
Au bout de quelques instant, toujours muet, il était alors plus serein et contemplatif.
Il se rapprocha d’elle et se trouva maintenant dressé face à cette beauté de surprise. Valérie dégagea son buste du dossier du fauteuil mettant en avant sa poitrine jeune et timide. Ses seins étaient beaux, bien ronds et quelque peu généreux. Le premier geste de Fred fut de les caresser d’une main d’ans un geste circulaire et Valérie l’accompagnait dans ses caresses. Fred en était sensible à ces premiers contacts. La peau un peu mate de Valérie l’avait toujours attirée.
Rapidement il sentait déjà les effets physiques de cette beauté face à lui et ce désir qui montait. Jamais ces deux âmes pécheresses ne s’étaient retrouvées dans ces locaux de peur d’être pris. Mais l’heure avancée de la soirée, très vite, il comprit que tout lui était possible.
Alors il prit la tête de Valérie entre ses mains et l’embrassa d’un baiser puissant. Se pencher sur elle lui donna des idées. Il voulait la couvrir de baiser et toucher ces seins de la bouche, les auréoles des seins avec la langue. Mais cela n’était pas nécessaire. Valérie commença par caresser le sexe de Fred à travers le pantalon. Puis après avoir sorti la chemise, commença à lui déboutonner le pantalon. Une fois aux bas des jambes, Fred se sentait immobilisé et se redressa. C’est ce que recherchait Valérie qui toujours assise. Il n’y avait donc plus que le caleçon qui la séparait du sexe bandé de Fred.
Très vite, elle baissait ce derrière obstacle pour laisser apparaitre cette bite tendue et un gland gonflé et rouge ; elle entreprit alors une caresse de ses bourses puis de la verge. Les mains douces de Valérie lui faisaient des sensations énormes. Il contempla sa douce amie caresser son appareillage sexuel. Et fut presque le souffle coupé quand elle plongea sur lui et lui engloba la totalité de son gland. Ce début de fellation était déjà magnifique. Valérie donnait l’idée d’un savoir faire. Elle mouilla de sa salive le gland, puis la verge entière en léchant parfois la veine. Elle allait de temps en temps un peu plus profond dans sa gorge et faisait sentir ses dents et parfois contournait avec sa langue le gland, ce fruit rouge.
Après quelques instants où Fred avait déjà eu quelques spasmes, elle s’arrêta puis le regarda et souligna son visage d’un sourire enjoué. Elle bascula au fond de ce fauteuil profond et entoura de ses jambes les hanches de Fred. Il avait voulu se pencher sur elle pour gouter de son petit clitoris. Mais ce cuni fut impossible. Fred avait compris qu’il était maintenant temps de s’introduire.
Son sexe rigide surfait sur celui de Valérie comme des vagues de caresses et excitant cette femme qui appréciait. Elle mouillait si fort que tout allait facilement et continuait à la montée en puissance de Fred.
Il saisit les fesses de Valérie et la souleva pour la rapprocher du bord du fauteuil. La largeur et profondeur était parfaitement adaptée pour pouvoir presque allonger Valérie. Seule sa tête était redressée. Elle pouvait contempler alors la manœuvre de Fred qui rentrait sa bite doucement dans son sexe. Il voulait rester maître de cette relation. Alors pour montrer sa force et sa domination, il donnait parfois des coups brusques, s’enfonçant plus profondément dans ce vagin offert. Elle aimait cette force. Et se retirait sans sortir entièrement et doucement pour mieux sentir chaque partie sur son gland. Après plusieurs mouvements, ils allaient monter en pression et en plaisir. Elle sentait qu’il venait vite. L’envie état là et elle ne voulait pas finir si rapidement. Fred aurait pu jouir sur le sexe de Valérie, étalant son sperm sur ce bas ventre. Mais un bruit depuis le couloir extérieur et la lumière faisait craindre une venue dans ces locaux. Alors pour ne pas être aperçu, Fred et Valérie préférèrent aller dans son bureau. Il avait déjà idée malgré la précipitation de continuer sur le divan.
Il était donc à genoux face à Valérie qui en profitait, assise dans le divan, pour rapprocher ses seins du visage de Fred. Elle paraissait moins génée que lui.
La porte de l’accueil s’ouvrit et une personne rentrait maintenant dans les locaux. Il entendait un pas lent comme précautionneux marcher vers son bureau. Cela ne fit plus aucun doute ; une personne de son entreprise arrivait.
Ils allaient être démasqués mais au seuil de sa porte il n’en cru pas ses yeux de voir sa responsable. Elle les regarda avec un sourire comme …complice. Mais Fred ne dit aucun mot ; cette situation aurait pu être dérangeante mais cela ne fut pas le cas lorsqu’il vit Catherine simplement vêtue d’un manteau ouvert dévoilant un corps ou seulement quelques vêtements amples la recouvrait. Les sous vêtements noirs mettaient en valeur une paire de seins que Fred avait déjà maté à quelques occasions selon les tenues de Catherine. Il avait déjà plusieurs fois fantasmé sur cette poitrine généreuse et rêvait de les caresser et d’y coulisser son sexe.
Catherine, sa responsable, était là devant lui qui était nu en compagnie de sa fiancée radieuse et souriante.
Directement et toujours silencieusement, Catherine s’approcha de Valérie et l’embrassa sur la bouche ; Valérie acquiesça ce baiser. Puis Catherine se pencha sur Fred alors presque allongé dans le divan.
Catherine était une femme mûre, à peine 50 ans, divorcée et responsable de cette petite entreprise qu’elle hérita de son père.
Elle avait les cheveux noirs, typée espagnol avec des seins plus généreux que ceux de Valérie. Plus charnue, Catherine s’imposa donc dans ces échanges.
Elle commença par caresser le buste de Fred depuis sa gorge et descendant allant vers son sexe. Fred retrouva de la vigueur en voyant ces seins plus lourds se frotter presque sur sa tête. Après ce parcours de caresse sur le torse et le ventre de Fred, elle attrapa cette bite pour la branler un peu doucement. Elle voulait en gouter aussi un peu.
Allongé désormais complètement sur le divan, il se laissa faire quand il se rendit compte que Valérie commençait à caresser les cuisses et le cul de Catherine. Otant la jupe de Catherine, Valérie offrait à Fred le spectacle d’une femme offerte et prête à gouter à ces jeunes corps.
Puis le sexe de Fred en bouche se fit enlever son chemisier et dégagea ses seins.
Catherine décida alors de chevaucher Fred et se laissa caresser les seins par Valérie, toujours souriante. Rapidement Catherine imposa son rythme en concentrant ses efforts sur la bite de Fred mais Il voulait contrôler les mouvements et aussi dominer pour cette fois cette femme qui le gouvernait. Il allait enfin pouvoir baiser à son rythme et ses envies les deux femmes qui occupaient sa vie.
Valérie avait alors changer pour se retrouver en face de Catherine et offrant son sexe et ses lèvres à Fred.
Apres ces premiers instants où rapidement Catherine avait déjà eu quelques plaisirs, Valérie décida alors de retrouver le sexe de son jeune fiancé et de s’y empaler. Catherine offrit sa bouche proche de ces deux jeunes sexes, posant ses seins sur le ventre de Fred. Il en profitait alors pour commencer à caresser le cul de Catherine et effleurer sa rose.
Sentant le désir monter, Fred proposa d’alterner les pratiques. C’est lui qui imposa à ces deux garces de compagnes d’offrir les petits orifices. Et il allait débuter par introduire Catherine. Alors doucement et sans plus réfléchir, Fred comme un compagnon de sexe sans complexe commença alors à mouiller le petit con de Catherine ; Valérie contemplait et attendait. Quand tout doucement et après avoir bien pénétré un doigt, puis deux, Fred présenta son gland recouvert de latex au con de Catherine. Doucement, millimètre par millimètre, Fred s’appliquait à rentrer avec douceur et sentir chaque millimètre de verge aux parois du cul de Catherine. Il lui tenait les fesses qu’il serrait de temps en temps. Des petites claques étaient aussi appréciées par Catherine. L’idée de fesser un peu sa responsable lui procurait un peu de plaisir et elle en ressentait aussi le besoin.
Valérie allait préférer la levrette, pas encore prête, ni très pratiquante contrairement à Catherine.
C’est donc en tournant le dos à Fred, presque au bord de l’éjaculation que Valérie s’offrit finalement à lui, Catherine s’était adossée au divan et les regardait tout en caressant Valérie.
Enfin arrivait le moment de jouir simultanément pour Valérie et Fred et le sperme se trouva alors sur la raie de Valérie qui, souriante, de redressa pour un baiser à chacun de ses partenaires.
– Suis-je en train de rêver, se dit Fred.
– Fred, ce dossier n’est pas urgent et Valérie a été facile à convaincre cet après midi, lança Catherine comme un indice
Etonné, Fred regarda Valérie toujours souriante.
– Oui, chéri, précisait Valérie si l’amour ne rentre pas, alors Catherine m’a proposé d’aller te rejoindre… à condition d’être témoin et actrice de ce bon temps et pour compenser ces heures perdues. Nous avons d’ailleurs bien fait connaissance ensemble cet après midi.
– Désormais, je ne souhaite que des dossiers comme celui là, demanda Fred en direction de ses deux partenaires, et j’y mettrai tout mon cœur.
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