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La maman dévergondée, 10° partie

La maman dévergondée, 10° partie



Au moment de sonner à la porte de l’appartement que j’avais déserté depuis plus de deux mois, j’étais inquiet de l’accueil que j’allais y trouver. Maman allait-elle me pardonner cette fugue ou bien me jeter dehors comme le fils indigne que j’étais, pour l’avoir abandonnée au milieu de la nuit ?
Mais quand elle m’a ouvert, elle s’est jetée à mon cou en fondant en larmes, et je crois que j’ai pleuré aussi tant l’émotion me prenait aux tripes. Il nous a suffi d’un regard pour tout nous pardonner. Nous sommes restés longtemps enlacés l’un dans l’autre, dans l’entrée de notre nid d’amour. Puis elle m’a demandé si j’avais faim ; je lui ai répondu que oui, parce que la route avec la jolie Calpurnia m’avait ouvert l’appétit. Alors, elle m’a cuisiné le plat de lasagnes que j’adore.
Pendant que je mangeais, elle me dévorait de baisers, partout sur mon corps. Puis, lorsque j’ai eu fini la dernière bouchée, elle m’a dit :

– J’ai une surprise pour toi !
– Un cadeau ? Ce n’est pas encore Noël ! Tu n’aurais pas dû : tu as encore dû te ruiner pour moi, qui ne le mérite certainement pas, après tout ce que je t’ai fait subir, ma pauvre Maman !
– Tu te trompes : ce n’est pas un objet matériel ! Regarde !

Elle s’est déshabillée et s’est couchée nue sur la table, allongée sur le dos. Alors, j’ai vu son joli ventre légèrement arrondi.

– Tu es enceinte ? De qui, tu as rencontré un homme. Oh, Maman, je suis heureux pour toi !
– Rencontré un homme ? Mais non, voyons : je n’aime que toi ! C’est toi, le père !
– Moi ? Mais… comment ? Nous ne l’avons jamais fait !
– Je sais bien, mais j’ai rusé ! Avant que tu partes, j’ai récupéré les mouchoirs dans lesquels tu te branlais, et je les ai essorés dans mon vagin, avec ta semence toute chaude qui nous fera bientôt un beau bébé !

Mes yeux s’agrandissaient d’horreur.

– Touche-le, n’hésite pas, futur papa et fils adoré en même temps !

Elle m’exhibait ses deux gros seins, rendus encore plus beaux par ce début de grossesse, avec de grandes aréoles brunes et de magnifiques tétons écarlates.

– Si tu veux, quand j’aurai ma montée de lait, tu pourras en avoir aussi, comme quand tu étais tout petit : il devrait y en avoir assez pour deux. Ça te dit ?
– Mais on ne peut pas faire ça ! C’est une union consanguine ! Il risque d’avoir des problèmes génétiques !
– Allons, allons, détends-toi : le pire n’est jamais sûr ! Je suis certaine que ce sera un garçon et qu’il sera parfait, juste à ton image. Et puis, ne t’inquiète pas : je l’allaiterai, je me lèverai la nuit pour lui donner sa tétée, et c’est moi qui lui changerai ses couches. Il ne te donnera pas de travail, pour que tu puisses te concentrer sur tes études. Il aura tes jolis yeux qui m’ont tant séduite, ton intelligence, et, quand il sera grand, ta bite bien longue et dure, avec laquelle nous aurons des parties fines tous les trois ! Ou bien alors, ce sera une fille, et toi aussi, tu pourras la rendre enceinte quand elle aura dix-huit ans. Tu sais, nous avons toujours été une famille… particulière !

Mais je n’étais pas d’accord. Après quelques éclats de voix, à court d’arguments, j’ai claqué la porte et je suis allé prendre l’air, pour ruminer cette nouvelle frasque de mon incroyable mère. Un bébé de moi ! Avec le sperme de mes branlettes !
Ne sachant que faire ni où aller, je suis allé voir Adrienne, ma demi-sœur, pour lui demander conseil. C’était en pleine nuit et elle était en train de faire l’amour avec Laetitia, mais elle a bien voulu s’interrompre pour m’offrir une tasse de café et m’écouter. Les deux filles m’ont hébergé pendant deux jours, le temps de murir ma décision, puis je suis retourné voir Maman. Je lui ai dit que si elle décidait de garder cet enfant, je repartirais et elle ne me reverrait plus jamais. À elle de décider.
Le cœur gros, elle a choisi d’avorter. Je l’ai accompagnée à l’hôpital d’où elle est repartie le ventre vide, et je l’ai consolée comme j’ai pu.
Le soir même, bien que cela ne soit pas conseillé, elle et moi avons eu notre premier vrai rapport sexuel, sur le canapé qui s’en souvient encore.

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