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SOUVENIRS #8: Suze – Soumission Médicale

SOUVENIRS #8: Suze – Soumission Médicale



En lisant les expériences de votres lectrices, je me suis décidée à vous communiquer la mienne.
À la fin de l’été dernier, des amis m’avaient parlé d’un Maître quie recherchait une jeune fille
pour des jeux médicaux et de sousmission. Une obéissance totale était exigée. J’ai pris rendez-vous
par téléphone: je devais me rendre à quinze heures précises dans un appartement du centre de Nice.

L’immeuble était cossu. À l’étage indiquée, aucun nom sur la porte. À l’intérieur m’attendait un
jeune homme, agé d’une vingtaine d’années environ, en blouse blanche. Très intimidée, je me suis
demandé si j’avais bien fait de venir. L’homme en blanc m’a fait remarquer que j’avais trois
minutes de retard. « Pour cela vous seez punie », m’a-t-il dit.
« Mon assistent vous donnera la fessée, comme à une gamine désobéissante. »

Je me suis sentie rougir jusqu’aux oreilles …

Le jeune homme m’a prise par la main et m’a conduite derrière un fauteuil. Il má ordonné
de m’appuyer sur le dossier. J’ai été prise d’un tremblement que je n’ai pas pu contôler.
Des mains ont relevé ma robe très lentement et sont descendues à hauteur de l’élastique
de ma culotte, qui a été baissée jusqu’aux genoux. Je sentais l’air caresser mon derrière
exposé aux regards des deux hommes.

Ils m’ont dit de répéter: « Pour mon retard, je merite de être fessée … »
Elle fut brève et peu douloureuse. J’ai compris que l’on voulait surtout me faire sentir ma
soumission et m’humilier. Lorsque les claques ont cessé, les deux hommes m’ont laissée cinq
bonnes minutes ainsi, croupe ouverte.

Après m’avoir rhabilée, ils m’ont ordonné de me relever et des les suivre. J’ai été conduite
dans un autre pièce, un cabinet médical. Ordre me fut donné de me déshabiller entièrment.
Les deux hommes me regardaient. J’étais très troublée, je devais certainement être rouge de
confusion. C’était surtout le regard du jeune homme qui me génait.

Je me suis retrouvée toute nue. Instinctivement, j’ai mis une main devant mon sexe

L’homme en blanc m’a dit de mettre les mains sur ma tête. J’ai dû tourner sur
moi-même pour bien me montrer, puis marcher devant eux, me pencher en avant.

Une cuvette en aluminium était posée à mes pieds. J’ai dû m’accroupir devant eux les jambes écartées.
J’étais morte de honte. On m’a fait boire. Ils m’ont ordonné de me caresser dans cette position.
Dans le silence de la pièce, on pouvait entendre le bruit de mes doigts dans ma chatte mouillée.
Le jeune homme regardait mes cuisses ouvertes. C’était terriblement humiliant.

Ensuite, ils m’ont ordonné de m’allonger sur la table d’examen

Le plus âgé des deux a pris un thermomètre. Ils m’ont fait tourner sur le côté et m’ont écartées
les fesses. Un doigt est passé sur mon anus qui s’est crispée malgré moi. Le thermomètre m’a
pénétrée profondement. J’ai vu le jeune homme prendre un bac à lavement. C’était l’horreur:
après la temperature, une autre humiliation!

J’ai dû me mettre à quatre pattes, croupe levée, les avant-bras à plat sur la table d’examen.
Mes fesses sont écartées, on me touche l’anus, on le gratte, on le titille, on le doigte.
Humiliant et excitant. Je me sens mouiller malgré moi.

Introduction de la canule. L’eau est injectée, elle envahit mes intestins. Ils ont retiré
la canule. Je n’ai pas pu m’enpêcher de péter. Quelle honte! Les deux hommes ont ri.

J’ai dû garder le lavement un temps qui m’a paru une éternité et, enfin, j’ai été autorisée
à aller l’expulser. J’ai traversé la pièce pour aller aux toilettes, nue avec mon ventre enflé, devant les deux hommes moqueurs.

À mon retour, ils m’ont couchée sur le dos, les pieds dans les étriers de la table d’examen,
cuisses béantes. Tout était exposé: mon sexe et mon anus. Les deux hommes m’ont dévorée du regard.

Ils m’ont ouvertée, fouillée, doigtée, et m’ont contrainte à me masturber devant eux.
Morte de honte, mais excitée comme une folle, j’étais trempée. Mes jambes ont rémontées
le plus haut possible: le jeune homme a sorti sa verge dressée et m’a enculée d’un seul coup.
Après quoi, j’été renvoyée sans un mot.

Lettre de Suze, vingt-six ans, Cannes

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