Traduction d’un texte de Veri.
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Jeudi matin, mon épouse Michelle se leva tôt pour aller travailler. Je le vis passer du temps dans son armoire à examiner des tenues. Dans sa main, elle a un haut qui ne lui va pas très bien. Le mot SALOPE est inscrit sur le devant. C’est l’un des hauts qu’elle porte le week-end quand elle fait la pute pour un gang dans la ville voisine.
Au travail, elle avait un autre proxénète, Tony, un stagiaire du service du courrier, un jeune garçon noir qui devait allait à l’université l’automne prochain. Tony avait vu Michelle travailler dans le bar du gang et l’avait filmée avec son téléphone. Maintenant il faisait chanter Michelle au travail dans le cabinet d’avocats.
Il l’avait baisée plusieurs fois, l’avait vendue à ses amis stagiaires de la salle du courrier. Il lui avait ordonné de ne jamais porter de soutien-gorge ou de culotte. Aussi difficile que ça avait pu être, ma femme Michelle qui était une avocate reconnue dans un grand cabinet de notre ville, avait réussi à satisfaire les exigences de Tony tout en se cachant de ses collègues et des autres employés. Elle avait contourné le problème de ne plus porter de soutien-gorge en enfilant une veste de costume sur son chemisier. Mais Tony trouvait toujours un moyen pour la coincer dans un coin, glisser ses mains sous la veste et jouer avec sa grosse poitrine.
Michelle choisit une jupe et une veste de costume. La jupe était un peu courte et serrée pour son travail d’avocate. Elle enfila les plus hauts talons qu’elle pouvait porter à son travail. Elle mit le haut marqué « SALOPE » et enfila par-dessus un chemisier noir et la veste.
Je lui demandai ce qui se passait.
– Tony a quelque chose de prévu. Je ne sais pas quoi. Jusqu’à ce qu’il parte à l’université, je suis obligée de lui obéir.
Michelle partit à son travail. Je m’inquiétai de ce que Tony lui réservait. Je partis travailler toute la matinée et lorsque je rentrai vers treize heures, il y avait trois emails avec des vidéos en pièces jointes dans ma messagerie.
Sur la première vidéo, Michelle marchait dans la rue, avec sa jupe serrée, ses talons et le haut marqué « SALOPE ». Elle était dans notre ville, mais à l’ouest, où il y avait beaucoup de nouvelles constructions. Tony marchait derrière elle à 5 pas environ et quelqu’un filmait derrière Tony.
– Tu ferais mieux de secouer ce cul comme une pute et me gagner de l’argent! Cria Tony.
Ma femme répondit en regardant par-dessus son épaule et en balançant son cul de manière exagérée tout en déambulant. Quelques voitures klaxonnèrent et Michelle leur fit signe, mais personne ne s’arrêta.
Michelle se dirigea vers un arrêt de bus et attendit, la jupe un peu relevée et ses seins débordants du tee-shirt « SALOPE ». Je devinais que ça devait être Roy, un des autres stagiaires qui filmait.
Tony s’approcha de ma femme et lui claqua le cul.
– A moins que tu ne veuilles que je te fasse marcher comme ça au boulot dans le cabinet d’avocats, il faut que tu gagnes un peu d’argent.
Michelle remua son cul et ses seins devant Tony.
– J’essaie bébé.
Je vis sa main descendre sur son entrejambe et elle dit :
– Pourquoi ne pas emmener ta pute à ce motel où nous sommes allés hier pour déjeuner. Je prendrai soin de toi.
Elle avait donc baisé Tony pendant le déjeuner hier. Je l’apprenais.
Tony frappa à nouveau son cul :
– Va marcher putain. Je veux te voir vendre ton cul de salope pour moi.
Ma femme recommença à se déplacer en remuant son cul et ses seins. Puis la vidéo prit fin.
Dans la vidéo suivante, Michelle se dirigeait vers un chantier de construction. Plusieurs hommes étaient assis et la regardaient. En marchant, bien sûr, elle remuait son cul et ses seins. Un grand ouvrier noir l’appela. Elle s’approcha de lui et posa un ongle rouge sur la poitrine musclée de l’homme.
– As-tu une cigarette bébé? Demanda-t-elle.
– Pas de cigarette si je ne vois pas plus. Répondit le gars.
Michelle baissa le haut de son tee-shirt. Le gars baissa les yeux et mit deux doigts dans son haut. Je le vis passer ses doigts sur un téton. Il sortit alors une cigarette. Michelle la prit et la mit entre ses lèvres. Elle souffla de la fumée quand il lui donna du feu.
– C’est quoi le marché salope? dit-il.
Michelle secoua sa tête en direction de Tony qui dit :
– 200 euros pour toi ou 800 euros pour toi et tous tes amis.
L’ouvrier noir regarda Michelle de haut en bas. Il passa une main sur son cul dans la jupe serrée puis il tira son haut vers lui pour bien voir ses seins. Ce gars n’avait pas plus de 25 ans. Michelle avait 41 ans avec de longs cheveux blonds. Son travail du week-end lui avait fait perdre environ 5 ou 6 kilos. Ses jambes et son cul étaient devenus bien fermes à cause de toute la marche qu’elle faisait sur des talons hauts. Et d’être baisée constamment lui donnait peu de temps pour manger ou se reposer.
– Ça va pas mon gars! Je vais te donner 150 euros mais je vais en profiter pendant une heure.
Tony hocha la tête et l’homme compta de l’argent. Ma femme se blottit contre l’ouvrier et passa une main sur le devant de son pantalon.
Cette vidéo pris fin et je passai à la suivante. Je compris qu’il s’agissait d’une nouvelle phase pour ma femme. Tony la faisait maintenant travailler comme prostituée pendant l’heure de déjeuner. La question que je me posais était de savoir si elle serait capable de travailler après avoir été baisée pendant une heure.
Dans la vidéo suivante, ils étaient dans une petite cabane à l’arrière du chantier. Il y avait beaucoup d’armoires et un petit lit avec une ampoule au-dessus.
Michelle était debout. Le grand ouvrier noir l’embrassait. Quelques-uns de ses amis regardaient et faisaient des commentaires salaces. Tony leur proposait des prix pour une pipe.
L’ouvrier regarda ma femme alors qu’elle retirait son haut. « Salope » Lit-il tout haut.
– C’est ce que tu es? une salope?
Michelle secoua ses seins à l’air alors qu’il la tirait vers le lit. Elle répondit :
– Euhhh… Hein… Je suis une salope et ta pute pour la prochaine heure.
Je vis Michelle retirer son pantalon et commencer à sucer sa queue. Puis le gars la poussa sur le lit et la suivit. Michelle avait toujours sa jupe serrée et ses hauts talons noirs. L’ouvrier troussa le bout de tissu et enfila sa bite par derrière. Michelle gémit :
– Elle est si grosse.
– Plus grosse que celle de ton mari? Entendis-je Tony demander.
– mmmmmmm, beaucoup plus grosse. Dit Michelle en poussant son cul sur la queue.
L’ouvrier attrapa ses longs cheveux blonds et tira. Michelle dut se cambrer en arrière, ce qui fit ressortir ses seins. Avec son autre main, l’homme saisit un sein et tira sur le téton.
– Cette pute est mariée? demanda-t-il avec incrédulité.
– Ouais elle est mariée, mais son cul m’appartient. Dit Tony.
Le noir continua à la marteler en demandant :
– C’est vraie garce?
– O.. Oui…
Michelle se mordit la lèvre inférieure. L’homme claqua son cul.
– Oui je suis mariée, mais Tony a bourré mon cul d’épouse. Je suis une salope et une pute.
Le gars la baisa encore plus fort. Ses seins tremblaient. Ses yeux se fermèrent et je pus voir son visage commencer à rougir. Elle ouvrit les yeux et regarda Tony :
– Puis-je jouir Tony? S’il te plaît?
Le garçon ricana. Une de ses règles était qu’elle ne pouvait jouir que s’il était d’accord.
– elle n’est pas seulement mariée, elle travaille comme avocate toute la semaine.
L’ouvrier ralentit et fit maintenant de longs mouvements lents et profonds. Ma femme se pencha et poussa son cul en l’air. Ses mains agrippèrent le lit. L’homme tira sur ses cheveux pour la faire se retourner.
– ben merde. Tu es aussi une avocate?
Il lui lâcha les cheveux, elle gémit et baissa la tête. Le gars lui gifla sauvagement le cul.
– Réponds moi! Tu es avocate?
– Oui. Oui. Je suis avocate. Mais je suis juste une pute idiote.
La sueur coulait sur le visage de Michelle. Elle regarda Tony.
– Oh merde. S’il te plaît Tony, j’ai besoin de jouir. Je le veux maintenant, s’il te plaît.
– Tu es une pute? Demanda Tony.
– Oui. Je suis une pute. Je suis ta pute qui se fait baiser par un gars qui t’as payé. S’il te plaît Tony, laisse ta pute jouir. S’il te plaît, je t’en supplie.
– Si je te laisse jouir, tu rentreras avec moi chez moi ce soir?
– Oui, oui. Je rentre avec toi et je te suce toute la nuit. Laisse ta pute jouir maintenant. Je t’en supplie.
L’ouvrier augmenta le rythme. Il enfonçait sa grosse queue bien profondément dans ma femme. Elle remuait son cul sauvagement et agrippait le lit d’une telle force que ses jointures de doigts devenaient blanches.
– Tu me veux moi ou ton mari ce soir? Ajouta Tony.
Michelle était à la limite.
– Je te veux. Je veux être ta pute. Laisse ta pute jouir maintenant.
– OK. Dit Tony.
Michelle cria et poussa violemment son cul contre l’homme qui la baisait. Il avait saisi ses fesses et la pilonnait aussi fort qu’il le pouvait.
Michelle eut son orgasme. Elle pousse une dernière fois sur la bite noire puis elle s’effondre en gémissant. L’ouvrier continua à la baiser et claqua son cul durement :
– Lève ton cul, j’ai pas fini.
La sueur coulait sur son torse et giclait sur la jupe de Michelle pendant qu’il la besognait. Elle releva son cul et l’agita :
– Allez bébé, baise moi dur!
Le noir attrapa ses seins avec ses deux mains et donna de grands coups de reins. Puis il trembla et grogna. Il tomba sur elle en la pénétrant complètement une dernière fois. Michelle recommença à gémir :
– Oh tu jouis en moi. Oh mon Dieu, je jouis encore.
La vidéo se termina sur ses gémissements.
J’avais tellement de choses à penser et à digérer. Déjà, Michelle ne rentrerait pas à la maison ce soir. Ce serait la première nuit où elle serait dehors pendant la semaine. Le week-end, j’avais pris l’habitude qu’elle ne revienne pas à la maison car elle était trop occupée à travailler ou s’occuper d’un membre du gang qui l’avait achetée pour la nuit. Mais dans la semaine, nous étions arrivés à conserver une apparence de vie normale
Vers 17h30 mon téléphone sonna. C’était Michelle qui me demanda :
– As-tu vu les vidéos?
– Oui
– Alors tu sais que j’ai promis à Tony…
Sa voix s’arrêta.
– Oui j’ai entendu.
– Je suis désolé. J’avais trop envie de jouir, je n’en pouvais plus.
– D’accord. Dis-je simplement.
– J’essaierai de t’appeler plus tard et d’être à la maison demain matin. Dit-elle avant de raccrocher.
Vers 22h30, je vérifiai ma messagerie. Il y avait une vidéo de Michelle.
Elle était à genoux et tenait la bite de Tony pour lui faire des bisous.
– Ça m’excite, vous avez 19 ans et je vous donne mon cul de 41 ans. Dit-elle en embrassant la queue de son jeune proxénète.
– Tu es juste une idiote, n’est-ce pas?
Tony ricana. Michelle gémit. Elle aimait être humiliée.
– Oui je suis une idiote. Mais je suis ta pute stupide bébé.
Michelle mit la queue dans sa bouche et je pus voir sa langue tourner autour du membre avant que ses lèvres se referment sur le morceau de chair.
Tony retira sa bite et poussa ses couilles contre la bouche de ma femme. Michelle commença à les embrasser tout en disant :
– J’adore être ta pute, j’aime que tu me vendes à qui tu veux. J’aime marcher dans la rue et secouer mes seins et mon cul. J’aime être ta pute.
Tony lui caressa les cheveux.
– Les gars du chantier veulent que tu ailles tous les jours les sucer. Ça va me rapporter un bon paquet d’argent.
– Je suis ta pute. Utilise mon cul d’idiote comme tu le veux.
Michelle voulut remettre la queue de Tony dans sa bouche mais il l’enleva et se leva. Ma femme se leva aussi et remua son cul moulé dans une jupe en lycra serré. Un sein était sorti de son haut marqué « SALOPE ». Tony la plia sur une chaise et commença à la baiser par derrière. Quelques minutes plus tard, Michelle gémit :
– Je veux jouir Tony. Laisse ta pute jouir s’il te plaît.
Tony se concentra sur ses coups de reins et il accéléra le rythme. Michelle commença à se tortiller sous l’agression.
– S’il te plaît bébé, laisse ta putain jouir.
– Quelle genre de putain? Demanda Tony.
– Oh, je suis une pute stupide bébé. J’aime quand tu me baises.
Tony continua à la pilonner. Il attrapa le sein qui pendait librement. Il tira sur le téton et Michelle haleta :
– Je ne vais plus pouvoir tenir bébé. Laisse cette pute jouir. S’il te plaît bébé.
Tony l’ignora et la poussa vers le bas en la labourant plus violemment. Michelle hurla et gémit. Son visage était rouge vif.
– Je… euhhh… je ne peux plus attendre bébé. J’ai besoin de jouir maintenant.
– Qui baiseras-tu dorénavant? Demanda le jeune garçon.
– Seulement les gars que tu m’indiqueras. Haleta Michelle.
Tony recula et arrêta de la baiser. Michelle tremblait, penchée sur la chaise, remuant son cul en l’air. Tony tira ses cheveux en arrière et tourna son visage. Il l’embrassa rudement. Puis il remit sa queue et poussa sa tête vers le bas. Il claqua fortement son cul deux fois.
– Je veux que tu sois encore plus salope au travail ok?
– J’ai juste besoin de jouir. Répondit Michelle.
– Je veux que tu portes des vêtements plus fins. Que tu sois plus sexy. Que tu remues tes seins encore plus.
– Tout ce que tu veux Tony. Tu es mon homme et je suis juste une pute idiote. S’il te plaît Tony, laisse-moi jouir.
Tony se mit à rire et dit :
– Ok salope, tu peux jouir.
Michelle prit une profonde inspiration et se mit à trembler.
– Oh oui bébé, ta pute jouis.
Son corps trembla pendant quelques instants puis elle s’effondra. Et la vidéo se termina.
Je ne pus m’empêcher de penser qu’elle semblait être si comblée sexuellement avec Tony. Elle adorait être sa putain. Je me demandai combien de temps ça allait durer avant que quelque chose ne se passe à son travail.
A suivre…
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