cruelles de sa maman et de sa sœur, est une parenthèse dans la série, à la demande de Mat2B qui avait envie que j’explore ce thème. J’espère que ce texte te plaira, Mat.
Quelques mois après l’épisode de l’avortement de Maman, alors que le printemps nous donnait enfin un avant-goût de vacances, un dimanche, nous sommes partis, Adrienne, Laetitia, Maman, sa sœur Florence, mon cousin Romain, sa sœur Rosy et moi en pique-nique au bord d’un étang.
C’était un endroit considéré comme libertin, où l’on ne trouvait pas d’enfant et où il était admis de se trouver dans la tenue que l’on voulait, y compris la plus minimaliste, mais sans aucune obligation. Des peintres amateurs y venaient trouver l’inspiration à l’ombre des grands arbres, des couples en mal de nid d’amour pouvaient s’assembler tendrement sans risquer un mauvais regard, et les exhibitionnistes de tout poil et des deux sexes y avaient carte blanche.
Assises sur l’herbe à l’heure de midi, vêtues de robes estivales et légères, Maman, Florence et Rosy prenaient l’apéritif en discutant de l’éducation des enfants. Ma tante avait des idées bien arrêtées sur la question, considérant que les adolescents doivent être bien encadrés dans leur maturation sexuelle. Son fils Romain avait juste un an de moins que moi, qui venait d’avoir dix-neuf ans ; il est un beau garçon blond assez timide, de sorte qu’il n’a encore jamais connu de fille, à l’exception de sa grande sœur avec laquelle il entretenait des rapports très particuliers.
Il était en train de jouer aux raquettes de plage avec la jolie (mais lesbienne) Laetitia, quand sa maman lui a demandé de venir nous rejoindre.
– Romain, a-t-elle dit, tu veux bien te déshabiller ? Je voudrais montrer à Muriel comme tu es beau.
– Mais, Maman, a-t-il répondu, il y a plein de gens autour de nous !
– Bien-sûr, j’avais remarqué ! Raison de plus ! Ne fais pas ton pudique, s’il te plait. Allons, obéis-moi, sinon, tu auras une fessée déculottée devant tout le monde.
Romain s’est exécuté. Adrienne était présente, et Laetitia, n’ayant plus de partenaire de jeu, est venue la rejoindre. Les deux filles, qui s’aimaient tendrement, se tenaient accroupies et enlacées. Elles étaient curieuses de voir mon cousin nu.
En se déshabillant, il a eu un blocage au moment de retirer son slip. C’est sa mère qui a abaissé le cache-sexe, d’une manière autoritaire. Il rougissait. D’autres personnes autour de nous regardaient, curieuses.
– C’est vrai, a dit Florence : il a un petit pénis. Il est comme ça. D’autant qu’il a un autre problème que je vais te montrer, Muriel… Attends, tu vas constater par toi-même. Allons, Romain, laisse-moi te toucher : mets tes mains derrière ton dos et ne gigote pas comme ça !
Elle tripotait les organes génitaux de son fils, massant la verge d’une main et chatouillant les bourses de l’autre.
– Puisque tu n’as pas très envie que je te touche, tu n’as qu’à te masturber, lui a-t-elle demandé.
Bien qu’intimidé par autant d’observateurs, il s’est exécuté, en s’excitant d’une manière originale : avec les deux mains en même temps, ne touchant que le gland, à travers la peau.
– Tu vois, Muriel, a dit Florence : il a un phimosis. Même en érection, il ne décalotte pas.
Curieuses, Adrienne et Laetitia se sont approchées pour mieux voir. Je crois que Romain aurait voulu être à cent pieds sous terre ; il rougissait comme une tomate. Puis il a préféré fermer les yeux pour ne plus voir tous ses témoins à sa différence quant à l’anatomie intime. Rosy regardait aussi son frère et, visiblement, elle aimait bien le voir dans une situation embarrassante. Elle n’arrêtait pas de glousser et de minauder devant cet indécent spectacle qui la mettait en joie, un doigt dans la bouche comme une petite fille.
– Arrête un moment, pour que je puisse bien leur montrer comment tu es, lui a ordonné Florence.
Elle abaissait d’une main la verge qui revenait aussitôt en position, encore plus droite qu’avant, plusieurs fois. Puis elle a encore chatouillé les bourses pendant que le pauvre Romain devait à nouveau se branler devant nos regards intéressés. Laetitia était particulièrement curieuse, parce que lesbienne qu’elle était, elle n’avait encore jamais vu de garçon nu. Adrienne lui expliquait les différentes parties viriles en un cours improvisé d’anatomie directe : le gland, les testicules…
– Écarte les jambes, Romain : je vais te faire ton massage de prostate, comme tous les jours. C’est un médecin qui m’a conseillé cela, quotidiennement, pour qu’il soit en forme sexuellement. Romain aime beaucoup ce moment que nous passons tous les deux. Pour une fois, je l’exhibe en public : cela ne peut pas lui faire de mal.
Docile, mon cousin se laissait faire. D’un côté, l’impudeur imposée par sa maman. De l’autre, il découvrait que ce jeu lui procurait un plaisir accru. Au cours de sa masturbation publique, le second aspect prenait progressivement le pas sur le premier…
– Maman, a-t-il demandé, tu ne m’avais pas dit que tu me donnerais une fessée devant tout le monde ? En fait… je voudrais bien que tu le fasses… comme l’autre fois, avec des orties !
– Vraiment ? Eh bien, pourquoi pas ! C’est vrai que cela faisait longtemps que j’avais très envie de te torturer nu en public, mais puisque c’est toi qui le proposes, allons-y !
C’est Adrienne qui est allée rapidement cueillir les orties dans un bosquet, pendant que la maman bandait les yeux de son garçon avec un foulard. Ma demi-sœur les tenait à travers un chiffon et les a passées à Florence qui s’en est servie pour flageller les fesses, tandis que Romain ne cessait pas de se branler de son étrange manière. Il souffrait visiblement de l’irritation des poils fins de l’herbacée, ce qui dessinait une grimace sur son visage poupin.
– Je vois qui tu as mal, Romain. C’est bien. Tu sais, ta douleur m’excite beaucoup. Si tu veux arrêter maintenant, tu n’as qu’à me le dire, mais si tu veux bien continuer, cela me fera plaisir, et je crois bien ne pas être la seule à apprécier cela.
– Oh, oui, a renchéri Rosy !
– Je souffre, Maman, mais je te donne ma souffrance, parce que je t’aime.
– Moi aussi, je t’aime, Romain. Tu es un garçon adorable. Ah ! Je crois que je vais jouir sans même me toucher !
– Pareil ! Tu es ma poupée sexuelle adorée, a dit Rosy !
– Je vous aime toutes, a dit Romain. Je veux endurer encore plus de souffrances pour que vous soyez contentes, et que ça vous fasse jouir très fort !
– Pauvre garçon ! Tu veux que je te suce, a demandé ma mère apitoyée ?
– Ou bien, tu préfères que ce soit moi qui le fasse, a proposé Rosy ?
– Non, attendez, a dit Florence. Il n’a pas encore assez dérouillé : il faut aller jusqu’au bout de notre fantasme. Lâche ton sexe, Romain. Je vais te torturer dessus, avec les orties. Je veux te voir pleurer de douleur. Regardez bien : ça va être horrible !
Rosy a maintenu les mains de Romain derrière le dos, pendant que sa tortionnaire a fait ce qu’elle avait annoncé, en fouettant le pénis dressé avec les orties qui commençaient à devenir molles, et donc moins efficaces pour provoquer la douleur, ce qui devenait frustrant pour les spectatrices gourmandes de larmes et des petits cris désespérés du garçon. Adrienne donc est allée en cueillir une brassée de plus fraîches et de plus urticantes, et le supplice s’est poursuivi.
Un petit attroupement de badauds s’est formé autour de ce jeu de massacre. Il y avait celles et ceux qui plaignaient Romain, et les autres, majoritaires, qui trouvaient cela très excitant. Avec ceux-ci, une partouze a même commencé, et pantalons, chemises et sous-vêtements volaient dans les airs pour atterrir aléatoirement sur l’herbe, ou ailleurs. Ainsi, Romain a reçu une petite culotte sur le nez, et cette odeur féminine imprévue l’a consolé de ses souffrances.
Lorsqu’elle s’est lassée de ce bourrèlement, Florence a passé un collier de chien autour du cou de son fils, et a exigé de celui-ci qu’il se tienne à quatre pattes. Toutes les femmes qui le voulaient ont eu droit à un cunnilinctus, en commençant par Maman et en finissant par sa tortionnaire. Il devait s’appliquer ; autrement, sa mère lui fouettant encore les fesses rendues déjà très rouges par les orties, impitoyablement. Par contre, lorsqu’il travaillait bien et que ses partenaires jouissaient, elle le récompensait en le branlant avec ses pieds, un geste qu’il adorait et qu’elle pratiquait aussi régulièrement, surtout lorsqu’il ramenait de bonnes notes à la maison. De la sorte, il a mouillé les petits petons maternels, puis les a léchés, obligé de laper son propre sperme. Autour de nous, des gens prenaient des photos et des films pour immortaliser la scène.
Puis, alors qu’il était encore à genoux, tout haletant d’avoir tant bouffé de chattes et rendu ivre de tant de merveilleuses odeurs que pour rien au monde, il me l’a confié plus tard, il n’aurait voulu être ailleurs, sa mère est passée derrière lui et l’a brutalement enculé par surprise, équipée d’un gode-ceinture. En appuyant sur sa prostate, la grosse tige noire l’a fait bander à nouveau. Ma mère a de nouveau relevé sa robe et Romain l’a pénétrée, puis l’a gratifiée d’une éjaculation interne. Mais maintenant, ma génitrice prend une contraception.
Quand Florence s’est retirée, le trou du cul de son fils était encore tout béant d’avoir été transpercé un l’imposant godemiché. Qu’à cela ne tienne : elle a pris un spéculum et élargi encore plus l’orifice afin de l’exhiber à l’assistance, de plus en plus nombreuse et intéressée par les incroyables souffrances sexuelles de mon infortuné cousin. Voici que la partie la plus intime de lui-même était montrée à qui voulait voir, et même toucher, pour les dames à qui il prenait la fantaisie d’insérer un doigt ou deux entre les griffes métalliques qui maintenait l’anus ouvert largement. Pour un gars pudique comme lui, c’était l’enfer. Le paradoxe, c’est qu’il était content, malgré tout.
Pendant ce temps, Adrienne se faisait sucer la chatte par son amoureuse. Sa jouissance était toujours démonstrative, et amplifiée par les pulsions sadiques que nous lui connaissons déjà.
Ensuite, quand Florence a retiré cet engin barbare, ce n’était certainement pas pour laisser son fils enfin tranquille, mais pour lubrifier sa main avant de l’insérer entièrement dans le trou rectal déjà bien élargi. Sa petite rosette écartelée aura besoin de beaucoup de crème pour l’apaiser, lorsque le soir viendra. Elle l’appliquera elle-même, tendrement, pour se faire pardonner d’avoir été si méchante, puis ils baiseront amoureusement dans la chaleur du lit.
Pour l’heure, Romain était épuisé. Sa mère l’avait branlé avec force d’une manière répétée, l’obligeant à éjaculer encore et encore. Plus rien à en tirer, constatait-elle avec dépit, alors que son ventre continuait à exiger de poursuivre ce moment de folie. Je voyais bien qu’elle cherchait, comme victime à ses pulsions sadiques, un autre garçon plus frais.
– Et toi, Stéphane, a dit Florence, tu ne veux pas que je te fasse subir la même chose ? C’est très excitant, tu sais…
Trente ans après, lorsque je pense encore à tout ce que cette femme gourmande et perverse m’a fait subir jusqu’à la tombée de la nuit, je bande automatiquement, même après avoir fait l’amour plusieurs fois à ma femme.
Amis lecteurs, en voulez-vous encore ? N’hésitez pas à me laisser un commentaire, et en attendant, branlez-vous bien devant mes histoires invraisemblables et loufoques !
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