IV – Les vacances de ski
Comme depuis de nombreuses années, une grande partie de la famille part à la montagne ensemble pour les vacances de février. Comme depuis quasiment tous les ans, je suis de la partie. J’envisageai de passer de bons moments avec ma coquine de tante ou avec mes cousines mais malheureusement, cette année parmi toutes les salopes de la famille seule Elina sera là. Mais je suis quand même heureux d’aller à la montagne, d’abord parce que j’adore skier et que je compte bien profiter de ma jeune cousine qui adore de plus en plus la bite. Je vais pouvoir sentir sa bonne odeur, regarder ses jolis yeux bleus, caresser ses cheveux châtains clairs et tous ses charmes répartis sur son mètre soixante douze.
Nous sommes au total presque une vingtaine et nous prenons places dans le chalet loué pour les vacances. Une de mes tantes, la mère d’Elina, vient me demander si cela me gène de partager la dernière chambre avec un lit double qu’il reste avec sa fille afin que les plus petits puissent être ensemble dans les autres chambres et que chaque couple de parents ai une chambre pour eux. Je lui réponds que cela ne me dérange pas du tout et je peux voir le regard coquin que me lance Elina. Je sais déjà que je vais pouvoir la baiser. Sa mère me remercie en ne sachant pas qu’elle vient de mettre un gros pervers dans le lit de sa fille.
Pendant le repas, Elina me fait du pied et caresse ma bite avec son pied à travers mon pantalon. Elle me montre un sms de Céline qui dit qu’elle est vraiment déçue de ne pas avoir pu venir et encore plus en sachant que l’on aurait pu dormir tous ensemble. Je lui réponds que la dernière fois c’est elle que j’ai baisé seule et que cette fois c’est au tour d’Elina. La fin de soirée arrive enfin et nous partons nous coucher, enfin baiser ! La porte de notre chambre est à peine fermée que l’on se jette l’un contre l’autre. En un rien de temps nous sommes nus. J’embrasse ma cousine et nos langues s’emmêlent. Mes mains caressent ses cuisses et ses fesses puis remontent sur ses petits seins. Je commence alors un cunni. Sa chatte lisse est détrempée. Pour ne pas faire trop de bruit, je plaque ma main sur sa bouche. Après plusieurs minutes de ce traitement, elle atteint l’orgasme. Nous inversons alors les rôles et après m’avoir lécher le torse et les couilles, elle me taille une superbe pipe. Elle s’est vraiment améliorer depuis la dernière fois et je lui fais remarquer. Elle me dit que c’est normal vu le nombre de mecs qu’elle a pompé. Pas de doute, elle est vraiment devenue une salope.
Mon sperme envahi enfin sa bouche. Elle avale tout sans perdre une goute. On se pose un peu dans les bras l’un de l’autre. On se caresse un peu. J’étais un peu inquiet que l’on nous surprenne car le mur ne sont pas très épais et notre lit couine encore plus vite que ma cousine. Alors que l’on se caresse et qu’Elina me met une capote, mes intuitions sur l’épaisseur des murs sont confirmées. J’entends des gémissements venir de la chambre d’à cote. Je réalise alors que la voix de la chienne qui couine est celle de ma mère. J’avais déjà espionné mes parents baiser. Ils ne baisent pas très souvent mais quand ils le font, ils ne font pas semblant et mon père adore défoncer tous les trous de ma mère qui ne perd jamais une goute de sperme.
Je sais maintenant que l’on ne pourra pas se mettre sur le lit car même si Elina arrive à ne pas couiner, le lit alertera tout le monde, comme celui de mes parents mais à la différence qu’ils sont un couple légitime ! Je m’assoie alors sur une chaise de la chambre. Elina vient face à moi et s’empale sur ma bite d’un coup sec jusqu’au bout. Elle se secoue sur moi et s’empale pendant un long moment. Tout comme moi, elle semble exciter d’entendre ma mère gémir. Elle a un nouvel orgasme. Elle s’allonge sur le lit. Je m’approche d’elle et joue avec son cul. Ma langue et mes doigts entre dans sa rondelle. Alors que j’insère trois doigts en elle, je lui ordonne de se mettre à quatre pattes. Je me place derrière elle en levrette et j’insère ma bite d’un coup sec. Son cul s’ouvre très bien. J’att**** ses hanches et la bourre violement. Pour ne pas hurler comme ma mère qui est en train d’avoir un orgasme, elle mord dans un coussin. Mes parents ont fini leur baise mais moi je continue de fourrer ma petite cousine. Un peu plus loin, j’entends un lit couiner. Décidément, c’est une soirée pleine de sexe ! Je ne sais pas qui sait mais cela m’excite et je tire les cheveux d’Elina en la bourrant encore plus fort. Elle prend tellement son pied qu’elle ne tiens plus sur ses membres et s’avachi par terre. Je ne sors même pas d’elle et la bourre violement jusqu’à remplir son cul. Nous remontons sur le lit et nous nous endormons enfin.
Pendant la nuit je me lève pour aller soulager ma vessie. J’entends alors des petits couinements à l’autre bout du couloir. Je m’approche discrètement et entrouvre la porte. C’est la chambre des parents d’Elina. Je vois sa mère se faire démonter par son père qui prend son pied à baiser le cul de sa femme. Même si elle est aussi fine que sa fille et qu’elle n’a pas de très gros seins elle est assez désirable. En tout cas je sais maintenant d’où vient le gout d’Elina pour la sodomie. Sa mère atteint un immense orgasme et inonde les draps. Je referme la porte et repart vers ma chambre. Je suis assez excité de voir que nous ne sommes pas les seuls cochons dans cette famille et qu’il y a beaucoup de sexe dans le chalet. Evidement personne n’est aussi pervers que nous car finalement les autres sont des couples mariés. Je suis très excité et comme je passe devant la chambre de mes parents, je ne peux m’empêcher d’entrer discrètement. Mes parents dorment l’un contre l’autre. En fait en approchant d’avantage, je vois que la bite de mon père est encore dans la chatte de la mère. Je peux admirer les beaux seins de ma mère qui sans être trop gros sont bien rond et encore assez fermes. Je remarque qu’elle a du sperme plein de visage et aussi un peu sur ses seins.
En arrivant dans ma chambre je bande comme un âne. J’ouvre la bouche de ma cousine qui dort sur le bord du lit et j’insère ma bite dedans. Evidement cela la réveille mais je plaque sa tète sur le lit et bourre sa bouche jusqu’à jouir dedans. Je m’allonge près d’elle et lui raconte ce que je viens de voir. Nous dormons ensuite jusqu’au matin. Au réveil, je croise ma mère qui s’empresse d’aller à la douche. Elle m’évite presque pour que je ne lui fasse pas la bise. Elle me sort une excuse bidon mais je sais bien que c’est parce qu’elle s’est faite défoncer hier soir et qu’elle est pleine de sperme. Pendant le petit déjeuner, je vois la mère d’Elina et je ne peux m’empêcher de me remémorer l’image de son cul bien cabré avec la bite de mon oncle dedans. Je finis par savoir qui est dans l’autre chambre près à coté de la mienne, il s’agit d’autres oncle et tante qui ont l’air bien plus heureux que d’habitude. Je crois qu’ils ne baisent pas souvent ! Au cours du séjour, nous avons ainsi baisé tous les soirs avec Elina et je ne vais pas vous raconter toutes les nuits car l’espace étant petit, nous n’avons pas fait des milliers de positions différentes. Nous avons aussi régulièrement entendu nos parents ou des oncles et tantes baiser !
Je vais vous raconter les autres baises que nous avons pu faire avec ma chère petite cousine Elina. Généralement nous ne skions pas tous ensemble car tout le monde n’a pas le même niveau. Et quand la météo est mauvaise, il y a encore moins de monde. Ce jour là, le temps était assez mauvais mais nous sommes quand même partis avec Elina, ma sœur et un oncle. Nous prenons les œufs et lorsque nous arrivons en haut, le temps est encore plus mauvais qu’en bas. Du coup, ma sœur et mon oncle redescende de suite. Avec Elina nous tentons quand même de skier. Mais le temps empire et un épais brouillard se forme. Nous décidons donc de rentrer. Nous attendons un peu à l’abri pour sécher puis nous prenons les œufs. Comme il y a quasiment personne, nous montons uniquement tout les deux dans une cabine. Il y a pas mal de vent et surtout beaucoup de brouillard. Tellement que l’on ne voit même pas les œufs devant et derrière nous ! Après seulement deux minutes de trajet, les œufs s’arrêtent pour une raison que j’ignore. Elina est assise en face de moi. Ses cheveux sont attachés et elle a ouvert son blouson ce qui me donne une belle vue sur le haut de son corps car son t-shirt est mouillée et moule son corps. Elle me fait de plus en plus envie et je bande. Elle s’en rend compte et me dit qu’on pourrait peut être profité d’être seul dans cette cabine plutôt que d’attendre bêtement.
Je lui ordonne donc de venir devant moi. J’écarte les jambes et elle s’agenouille entre elles. Elle ouvre ma braguette et décale mon boxeur. Comme nous avons beaucoup de vêtement, pas beaucoup de place et qu’on ne sait pas si on aura beaucoup de temps, nous préférons garder nos vêtements sur nous. Elle sort donc ma bite et commence à la sucer. Elle me pompe merveilleusement bien ! Sa langue glisse le long de ma queue qui va heurte le fond de sa gorge. Elle caresse mes couilles avec son autre main. Elle m’excite tellement que je ne tiens plus et je me redresse. Elle continue de me sucer à genou devant moi qui lui caresse ses seins qui pointent sous son t-shirt mouillé. Je n’en peux vraiment plus et je veux la sauter. Je la fait assoir sur la banquette et j’ouvre la braguette de son pantalon. J’écarte sa culotte. Je voulais lui faire un cunni mais il y a trop de vêtements pour cela et comme nous n’avons pas trop le temps, je décide de la fourrer directement. Je me place donc devant elle. Elle est très inclinée sur la banquette pour lever sa chatte au maximum. Je me penche un peu et prend ma bite dans ma main. Je l’incline pour la mettre en face de sa chatte et je m’enfonce d’un coup sec. Je la prends assez violement. Je la culbute ainsi quelques minutes et les œufs reprennent déjà leur route. Il faut donc rapidement en finir.
Comme elle adore la sodomie et que son cul est assez étroit, je décide de la sodomiser pour jouir en elle rapidement. Je la redresse et la plaque contre la paroi de la cabine. Je baise son pantalon et sa culotte qui est trempée. J’att**** ses hanches et je la bourre très violement et très rapidement. Elle hurle de bonheur. Je la culbute tellement fort que la cabine oscille tout en avançant. Cette dernière amorce sa descente et je sais qu’il ne reste plus beaucoup de temps. J’accélère encore la cadence et notre petite partie de sexe vire à la défonce anale. Elina hurle et a des spasmes. Je finis par jouir dans son cul. Elle a juste le temps de remonter son pantalon et moi de ranger ma bite que nous arrivons et les portes s’ouvrent. A l’arrivée, plusieurs membres de la famille sont là à nous attendre. La mère d’Elina demande pourquoi notre cabine oscillait plus que les autres. J’aurais pu lui dire que c’était parce que je sodomisais très violement sa fille mais je lui dis que c’était parce qu’on était assis tout les deux du même coté. En rentrant à pieds, je remarque qu’Elina a une drôle de démarche et je ne suis pas le seul puisque son père lui fait la remarque. Mais évidement, c’est à cause de sa chute à ski qu’elle marche ainsi !
Quelques jours plus tard, le temps est bien plus sympathique et quasiment tout le monde est venu skier. Mais en milieu d’après midi, la fatigue s’installe chez nombre d’entre nous et beaucoup rentre. En fait il ne reste plus que moi et Elina qui fait l’effort de rester pour que l’on soit seul. Nous prenons donc la direction d’une piste bordée de sapin. Nous nous arrêtons en haut. Comme nous ne sommes plus que tout les deux, on en profite pour s’embrasser sans gêne à la vue de tous. On se câline un peu et je remarque une sorte d’igloo un peu plus loin dans la foret. Je lui dis qu’on pourrait en faire des choses la dedans. Nous allons à l’intérieur. J’enlève mon blouson et le place devant l’entrée ce qui nous permet d’être l’abri. Nous commençons alors à nous embrasser tendrement et à nous caresser. Au fur et à mesure que nous nous déshabillons, nous étendons nos vêtements par terre pour pouvoir s’allonger. Nous sommes maintenant totalement nus, l’un contre l’autre et ma bite qui est bien dure peu sentir que sa chatte est toute mouillée. Je passe ma langue sur ses seins et je les embrasse. Puis je descends vers sa chatte. Ma langue passe sur son clito et elle pousse un gémissement de plaisir. Je me lance alors dans un long cunni qui va l’emmener jusqu’à l’orgasme dans une série de gémissements.
Je m’allonge à mon tour et elle me taille une pipe magistrale. Comme dans les œufs, je n’ai pas de capote mais ce n’est pas un problème. Elle s’allonge sur le dos et je la prends en missionnaire. Je la bourre un long moment comme cela. Puis je la bascule sur le coté et continue de la sauter sauvagement. J’ai très envie de jouir et je me retire d’elle pour gicler sur son visage d’ange. On se frotte l’un contre l’autre et je bande toujours. On se met alors en 69 et on se fait du bien pendant un bon moment. Je joue avec son petit trou qui ne demande qu’à se faire défoncer. C’est d’ailleurs ce qu’elle me demande de lui faire. Il fait de plus en plus chaud dans cet igloo ! Ma cousine est à quatre pattes devant moi et je commence à lui fourrer le cul. Je la culbute assez violement et elle couine de plaisir. Je la mets alors sur le coté. Je continue de lui fourrer le cul mais j’enfonce la pointe de mon bâton dans sa chatte. Se prendre du métal gelé dans la chatte la fait hurler de bonheur. Je la baise ainsi avec ma bite et mon bâton. Elle fini par jouir et son cul se contracte tellement que je jouis aussi. Il est temps que l’on reparte car une partie de l’igloo commence à tomber. Nous nous rhabillons en vitesse et nous repartons. Nous avons tellement baisé que les pistes sont fermées et la nuit est presque totalement tombée !
Nous rentrons donc au chalet en disant que l’on a trainé un peu sur les pistes pour profiter du beau temps. Voila les bonnes parties de baise que j’ai eue avec ma délicieuse petite cousine Elina. J’espère que mes aventures au ski vous ont plus. Si vous voulez entrer en contact avec moi ce sera avec plaisir : [email protected]
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