j’avais 11 ou 12 ans quand j’ai eu l’envie d’être nu dans la nature; j’habitais dans la campagne et à la belle saison, j’essayais d’aller me promener ainsi dans les chemins ou les champs, en cachette car la nudité était une chose tabou aprés celle de l’enfance à l’époque. Cette envie, je ne l’ai jamais calméemais elle a longtemps été mon jardin secret. Pourquoi à la pré-ado, j’ai eu cette envie? Je me ****lle seulement que j’étais compléxé par le fait que j’avais été circoncis à 6 ans lors d’une autre opération bénigne et que je pensais avoir un handicap. Etais ce donc une bravade? Le sexe n’étais pas trop inscrit dans mon esprit jusque là, mais un de ces étés, à une colonie de vacances à la montagne, j’avais rendu folle une fille de moi; elle se promenait en maillot de bain rien que pour moi et je jouais les indiférents, plus par timidité qu’autre chose. Je me ****lle de ce bikini jaune, style noué sur les cotés, donc assez fin. Il faut dire que j’étais le seul garçon blond et trés blond et que j’en faisais craquer beaucoup et que ça me rendais encore moins sur de moi. Un jour, voyant mon jeu, un mono m’a tout de même demandé d’aller parler avec elle. J’hésitais beaucoup. Mais j’y suis allé et nous nous sommes un peu mis à l’écart, derrière une ancienne tour et des buissons. J’étais, je dois dire en short et torse nu. Nous avons un peu parlé, de banalités et puis, un peu de curiosité sur nos jeunes corps. Elle n’avais jamais vu un garçon de prés et mois idem pous les filles. J’envisageais un shénario pour nous dévétir de manière « égalitaire »: j’enlevais mon short si elle enlevais son haut et mon slip quand elle enleverais le bas. Alors, j’ai vu deux tous petits mamelons en formation, bien pointus et elle a pu voir sous mon slip que ça devenait en forme; j’étais trés exité et mon slip banal en coton de l’époque cachait mal cette envie. Nous avons esquissé un baiser sur la bouche trés maladroit et je me ****lle d’une sensation magnifique et de mon sexe dur. Nous commensions à vouloir nous palper, lorsque ce fut l’heure d’un rassemblement. Nous n’avons jamais pu continuer cette découverte car le séjour arrivait à sa fin et bien que nous nous sommes un peu écrit, nous avons eu chacun notre vie; je n’ai ensuite plus eu de nouvelles d’elle. Toute mon adolescence fut compliquée coté rencontres et jamais je n’ai réalisé d’autres premières. Comme j’étais donc circoncis, j’essayais de ne jamais aller dans les douches collectives par pudeur, mais en revanche, je continuais mes promenades. Parfois, j’avais ce sexe gonflé et bien droit et un jour, j’ai commencé par curiosité à le caresser et puis de caresses, je suis passé à une vraie masturbation et l’envie montant, le sexe bien tendu, un jour, j’ai eu cette décharge d’adrénaline qui nous raidit, qui nous envahit et cette expulsion d’un liquide blanc épais; ce fut magnifique. A partir de ce jour là, je le faisais chaque fois qu’une envie montait, presque une drogue. J’en oubliais presque les filles et je faisais ça avec cette ancienne croyance populairo-religieuse que ça rendait fou, un peché mortel.
Tant pis, je le faisais malgré cette culpabilité culturelle. Dans le milieu de l’adolessence, je n’avais pas beaucoup de poils au pubis et je me suis mis à les raser pour les faire pousser plus dru, je piquais un rasoir de mon père pour ça et ça me faisais aussi bander, ce qui finissais encore en jouïssance formidable par la vue de ce sexe glabre qui le restait encore.
A l’armée, les douches collectives, je n’y ai pas coupé; la première fois, ça m’a fait bander et bien sur on a rigolé. On m’a promis de me faire la bite au cirage, mais ce n’est pas arrivé. J’ai ainsi vu toutes sortes de bites et d’autres circoncises, des poilues et des presque pas poilues, même une toison rousse; plus dégarnie que moi; elle était magnifique; moi, elle est plutot bien dans la moyenne en érection, celle là était belle à l’arrêt.
Mais, je n’avais toujours pas eu de quelconque relation sexuelle et à l’armée, j’ai eu une autre révélation. Nous étions à coté de l’océan et le camp comprenait une partie de plages interdites. On nous demandais parfois de constituer des patrouilles pour expulser les naturistes de ce lieu car à l’époque les plages officielles ne toléraient pas encore cette pratique. J’ai donc vu le naturisme autrement que dans des films satyriques. J’ai vu des gros et grosses, des vieux et des jeunes et surtout quelques trés beaux jeunes minous. Alors ce fut un choc et à la fin de cette armée, j’étais sur que c’étais ce que je ferais: du naturisme. La première fois, sur une plage, je me déshabille et m’enduis le corps de crème solaire et surtout sur mes parties intimes car je n’avais pas envie d’un coup de soleil; j’y suis assez sensible. En faisant cela et avec cette sensation de liberté, ça ne rate pas, j’ai une trique d’enfer; pas moyen de se cacher, aussi je cours vers l’eau avec la tige qui fait ces mouvements de balancement. La sensation d’être vu ainsi la raidit encore plus et je me dit qu’il paraît que l’eau froide va la calmer. En courrant, je vois toutefois que quelques uns autres jeunes sont plus ou moins raides. Arrivé à l’eau, ça a continué; j’étais raide et dans l’intimité sous l’eau, j’ai glissé mes mains pour m’astiquer le manche. Je vous jure de l’effet; magnifique et j’ai fini par lacher mon sperme dans l’eau; qui sait s’il na pas rejoint une jeune foufounette au grés des flots et fécondé une vierge? Je m’égare! L’effet n’a aps tardé, ma verge est enfin calmée et redevient normale, même a se retracter car je commençais a avoir un peu froid; aussi, je suis sorti de l’eau et décide de braver la plage et de me promener nu, ainsi, sur une longue portion, pour me sécher naturellement et peut être bronzer le peu que ma peau voudra bien. J’ai croisé plein de monde nu ou pas et j’étais fier de ma réussite. A l’époque, je ne rasais plus mon pubis j’avais réussi à avoir une belle toison gris blond (mais aprés une saison au soleil, parfaitement blonde) la verge rétractée ne dépassait pas beaucoup, pas plus que mes assez gros testicules; aprés un petit coup de fraicheur, tout ce petit monde s’était un peu mis à l’abris. C’est ainsi que dans une famille entièrement naturiste (du papy aux petits enfants) une gamine comparant le sexe de son père et du papy, bien au soleil et en semi érection, a laché non loin de moi: « Papy,le sexe du monsieur est tout petit »! C’était le coup de grâce; j’ai continué, mais j’étais estomaqué. Au retour de la plage, ça m’a tourmenté un peu et comme je conduisais en maillot de bain, j’ai mis ma main sur ma précieuse partie. Petit à petit, je me suis caressé et j’ai eu une érection d’enfer. Ni une ni deux, j’enlève le maillot (en conduisant) et me retrouve ainsi tout nu à me masturber au volant. Au bout d’un momment, je me suis garé dans un chemin et j’ai fini le travail. Ce fut encore magnifique.
Cet été là, j’ai fait plusieurs plages, pour ne pas revoir cette famille et un jour, j’étais un peu à l’écart, entre des rochers, quand plusieurs filles sont passées. Je les avait vu venir et m’étais allongé de manière à ce qu’elles voient bien ce que je voulais; ça m’éxitait et bien sur, soleil aidant, c’était bien en forme. Je faisais semblant d’être assoupi et j’ai eu droit à des commentaires flateurs cette fois là. Mais aucune n’a voulu « agresser » ce dormeur solitaire qui s’offrait à elles; ce n’était pas encore pour cette fois que mon sexe connaitrait l’extase dans un vis à vis toride.
Au même endroit, une autre fois, je dormais ou j’étais assoupi et j’ai senti qu’une main effleurait ce baton en semi erection au soleil. J’ouvre les yeux et surprise, c’est un garçon. Il est nu, poilu et en erection, à coté de moi. Curieusement, la sensation agréable m’empêche de le repousser. Il me dit rien, me regarde au coin de l’oeil et continue son travail de sape. Je ne résiste pas, il me masse et fini par me masturber. Allongés cote à cote, ma main tente une approche de sa verge gonflée et circoncise comme la mienne. Les caresses ont duré assez longtemps; nos sexes étaient gorgés et il m’a fait découvrir une masturbation différente; il à pris ma verge gonflée entre ses deux mains et s’est mis à la frotter comme une baguette pour allumer le feu. C’est une multitude d’éxitations que le système nerveux enregistre; la queue est incroyablement raide et ça explose en apothéose.
Nous ne nous sommes jamais revus, encore qu’une fois, dans une douche collective de piscine d’une grande ville , un garçon m’observait et j’ai eu la sensation que c’était lui et j’en bandait.
Mais je n’avais pas encore atteint une pleinitude sexuelle, en ce sens que je voulais une fille et si possible vierge comme moi.
Cette obsession aura un peu retardé ma première fois avec une femme car une autre fois, sur la plage, je faisais du body-board nu et une femme plus agée que moi qui m’avait visiblement repérée, s’est installée à quelques mètres de ma serviette (la plage était vide car c’était en Septembre en semaine) elle s’était mise avec un bas assez minimaliste et attendait que je revienne. Quand je suis revenu sur la plage, elle a cherché à faire connaissance et un peu plus tard, m’a invité à lui passer de la crème dans le dos. J’ai accepté et lui ai prodigué en sus un massage qui visiblement la comblait. Elle m’a proposé également en retour de m’enduire le dos de crème solaire et elle s’est imposée en me prodiguant un massage sensuel. J’étais sur le ventre, bien sur toujours nu comme un ver et je sentais une exitation monter vers le bas ventre. Elle insistait pour que je me tourne, mais je ne sais pas pourquoi, tout en me tournant, je n’ai pas accepté qu’elle fasse quoi que ce soit devant. J’étais pourtant raide, mais je pense que comme je n’avais pas de préservatif et elle me faisait un peu peur! Elle s’est vexée et est partie voir ailleurs. Le retour de la plage a été épique et je vous jure que cette fois encore, le volant de ma voiture en a vu de belles; j’étais encore nu et raide; cette fois, j’ai été jusqu’à la jouïssance en conduisant; heureusement, j’avais l’habitude de rentrer assez tard et il y avait assez peu de monde sur la route, pour la sécurité… Conduire nu, c’est un peu un fruit défendu et risqué avec la « marée chaussée » mais je l’ai fait plusieurs fois et je fantasmait qu’une auto-stopeuse que je prendrais, se jeterais sur l’objet défendu, bien raide sous la ceinture de sécurité et que j’en serais quitte pour cette première fois que je voulais obsessionnellement.
Un jour d’automne, je suis allé chez un ami agriculteur, aider à ramasser des fruits et à un momment, j’ai du secouer un arbre. Une stagiaire de ce voisin a été impressionnée par la force que j’ai développé pour secouer l’arbre. Dans la saison, elle a eu l’occasion de m’aborder en privé et de la est née une relation intense et cachée. Elle était sportive (aviron) et pas mal physiquement, des épaules sculptées par son sport et le reste à l’avenant. Comme beaucoup de sportives, elle avait de petits seins et n’avait pas besoin de soutien-gorge et un soir, lorsqu’aprés une soirée en boite de nuit, je la ramenais, elle me demanda de l’emener chez moi. Alors, j’étais flagelant; j’avais compris que j’aurais ma première fois. Je l’ai amenée tout de suite dans ma chambre et nous nous sommes allongés à nous embrasser et nous pelotter. Petit à petit, nos habits se sont retrouvés au sol, et moi, je tremblais; je découvrais ses magnifiques petits seins fermes et bien ronds, voulu les lêcher et les engloutir dans ma bouche et la demoiselle se laissa faire. Ses abdos sculptés, son ventre plat, petit à petit, je voyais un corps vibrant et d’une perfection sportive; des fesses puissantes et des cuisses à l’avenant, sans gras; que du muscle. Comme je continuais à trembler, elle me demanda pourquoi et je lui ai répondu que j’étais puceau. Elle ne me croyait pas car j’avais 22 ans et étais pour elle à tomber tel un beau blond et que c’étais pas possible que ce soit vrai. Elle, n’étais pas vierge; alors tant pis pour moi; je ne me suis plus accroché à cette idée stupide pour commencer et nous avons continué. Les poils de son pubis étaient « taillés » l’aine était sans poils, seule la partie centrale avait des poils bruns parfaitement rangés. Je découvris ses lèvres intimes, j’y metais la main et d’un doigt, alors que je ne l’avais jamais fait (mais j’avais un peu lu de revues comme « Union ») j’ai essayé de titiller son clitoris. C’était un peu maladroit car elle s’en est un peu plaint et du coup m’a guidée. Tout en malaxant ses seins avec ma bouche et ma langue, j’essayais de lui procurer du plaisir, je sentais au bout de mes doigts, ses lèvres à la fois humides et lubrifiées. Elle vibrait et gemissais un peu et je pensais que j’étais plutot sur le vrai. Au bout d’un momment, elle s’est cambrée et j’ai senti son corps musclé se raidir et vibrer intensément. Quelle sensation bizzarre, une jeune femme magnifique sur mon lit, en extase et dont je voyais toutes les contorsions car la lumière était allumée cette nuit là; mes yeux étaient ébahis et ma verge tendue, gonflée à bloc de sang et prête à se liberrer de son carcan de la virginité. Elle se présenta à moi sur le dos, jambes écartées et me guida un peu, pour approcher et faire pénétrer mon gland entre ses deux lèvres bien humides et chaudes. Je découvris une sensation bien différente de la masturbation; c’était doux, chaud et ça glissait tout seul. Je dirais presque une sensation de velours. Je me mis plus prés sur elle et entamais un petit va et vien dont je n’avais aucune idée peu de temps avant. Mon ventre contre le sien, mon bassin oscillait pour créer ce mouvement sensationnel de pénétration; je variais l’intensité et la profondeur et voulu encore sentir son corps contre le mien; tout en me tenant pour ne pas l’étouffer, je me suis mis à plat sur elle et sentis sur mes tétons, ses tétons bien pointés. Mes bourses ou je ne sais quelle autre partie claquait vers son bas ventre et ça m’éxitait encore plus.Je ne tardais pas à ressentir cette décharge, cette succession de contractions au niveau du bas ventre et m’éfondrait sur elle en l’entourrant de mes bras. J’étais en nage et nos peaux glissaient l’une sur l’autre, c’était un peu bestial. Petit à petit, je sentis mon sexe se séparer de son nid et je me dégageais d’elle. Je la vis assoupie, un peu de ma semsnce sortir de sa fente et entrepris de la caresser un peu. Elle m’embrassa et nous étions là allongés, amorphes, lorsque nous avons pensé à la situation; il fallait que la stagiaire soit chez son patron le matin et nous n’en étions pas loin. Nous nous sommes rabillés et je l’ai ramenée là ou elle devait être. Nous nous sommes revus en cachette plusieurs fois, nous avons même été à la plage un jour d’automne; j’ai voulu aller nu à l’eau et elle n’a pas voulu car elle ne considérait pas ça comme normal. C’à a été une déception et quelque temps aprés, elle est partie poursuivre ses études et c’était fini.
Par la suite, j’ai continué le naturisme, à fantasmer sur des jeunes femmes rencontrées, je n’ai d’ailleurs pas eu une bonne expérience du préservatif car ma queue circoncise est parfois déja longue à se déclancher, surtout quand on remet le couvert car il est connu que la circoncision rend le plaisir plus long et le préservatif amoindrit les sensations donc a tendance à faire durer aussi; cela fait que ça devient pénible pour la partenaire et trés épuisant pour moi., J’ai essayé plusieurs situations exitantes, bien sur à me masturber aussi souvent que j’en avais l’envie. J’ai essayé aussi de m’installer des anneaux autour des bourses qui malgré de beaux testicules, ne se dilatent pas beaucoup et quand je vois sur le net des trucs qui pendent comme des taureaux, ça me complexe un peu. En érection, j’ai une belle queue de 15 cm et large, mais à l’arret, ça peut être tout petit; mais je me console bien.
J’ai essayé l’autosodomie, avec une petite bouteille en verre d’un soda bien connu, bien huilée; ça fait mal au début, mais accroupi, laisser descendre ses fesses dessus, sentir une dilatation s’oppérer, descendre encore, jusqu’à passer la partie boursoufflée, se relever avec ce truc dans le derrière et se vois dans un miroir, se masturber en même temps; l’explosion est magnifique; je n’ai jamais osé avouer ça à ma femme à l’époque ou j’ai fait ça; j’ai aussi essayé avec ces brosses à dents vibrantes dans ce petit trou; wahouuu!
L’une des situations que j’aime, c’est d’avoir le pubis glabre et dorénavant, c’est tout le temps; quelle sensation si les deux sexes sont lisses l’un contre l’autre; c’est incomparable et en plus, il n’y à plus de poils à se mettre entre les dents. Le claquement de peaux lisses, l’une contre l’autre quand on marque bien le contact, que l’on fait de petits mouvements destinés à ce que le dessus de la verge frotte le clitoris; mama-mia; sortir un petit peu, éxiter sa partenaire te revenir ancore plus exité; j’en ai les bourses en feu.
Aujourd’hui, hors des lieux de convenance, je ne sais plus vivre habillé, voir un triangle blanc sur des seins et un pubis et des fesses, me désole. Mais il y à plein de premières fois que je n’ai pas encore exploré; des fois, j’ai envie d’être un esclave sexuel de femmes, ou de me faire prendre par un homme
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