Histoires de sexe lesbiennes Premières histoires de sexe

Ma belle-mère Yolande

Ma belle-mère Yolande



J’ai souvent été attiré par les femmes plus âgées que moi. Complexe d’Œdipe, adolescence mal maîtrisée sexuellement, peu importe la cause mais les femmes plus âgées que moi m’ont toujours attiré, bien plus que les jeunes pucelles plus ou moins aguerries.
Lorsque j’ai rencontré Françoise, ma première et à ce jour seule épouse, j’avais 31 ans et elle 25. Très vite, nous avons décidé de nous marier, elle voulait avoir des enfants très vite, avant la trentaine. Elle craignait avec juste raison d’avoir hérité de sa propre mère une grande difficulté à concevoir des rejetons. De fait, malgré tout, nous n’avons jamais pu en avoir ce qui a très certainement contribué à l’explosion de notre couple.
Mais en 1978, même si Françoise n’était plus vierge depuis longtemps lorsque je l’ai rencontrée, même si nous avions mélangé nos sexes depuis quelques temps, avant le mariage, il était convenant que Françoise me présente à ses parents au cours d’une cérémonie officielle.

Je fus donc invité chez mes futurs beaux-parents un samedi à déjeuner. En 1978, mon beau-père avait 61 ans et ma belle-mère 55 ans. Françoise m’avait décrit ses parents d’une manière fort objective et je ne fus pas surpris en les rencontrant pour cette première fois. Il était évident que je ne pourrais jamais m’entendre avec mon beau-père. Officier général de l’armée de terre, ancien de Saint Cyr, il était tellement imbu de sa personne qu’il méprisait même les polytechniciens qui n’étaient pas « de vrais militaires » puisque la plupart d’entre eux quittaient l’armée pour aller travailler dans le civil ! Même sa fille qui terminait ses études de médecine ne trouvait pas grâce à ses yeux puisqu’elle n’avait jamais cherché à être médecin militaire. Il était con, il allait le rester jusqu’à la fin de sa vie.
Il ne savait pas que son planqué de gendre, puis d’ex-gendre, qui n’avait même pas fait son service militaire comme « un vrai militaire» mais comme architecte au titre de la coopération allait sur la fin de sa vie être le seul à s’occuper de lui avec sa femme.
Il était droit dans son uniforme qu’il avait revêtu en mon honneur pour m’accueillir ! Il me fit asseoir dans un fauteuil du salon en attendant ma belle-mère qui officiait en cuisine. Françoise m’avait dépeint sa mère comme une parfaite femme d’officier, toujours au garde à vous, obéissant aux ordres de son seigneur et maître sans jamais le moindre semblant de protestation. Elle m’avait aussi dit qu’elle avait été très belle et qu’elle en conservait de forts beaux restes. Selon Françoise, sa mère était un parangon de piété divine et de vertu. Protestante très rigoureuse appartenant à la famille des calvinistes, elle passait une bonne partie de son temps, celui que son mari lui laissait libre, à s’occuper des bonnes œuvres du temple. Aujourd’hui encore je lui crois une véritable foi très sincère même si elle ne fréquente plus guère le temple à maintenant 81 ans.

Par contre, je devais découvrir que sevrée d’amour par son butor de mari, elle s’était créé un jardin secret particulièrement intéressant !
Lorsque je la vis entrer dans le salon, elle était bien comme sa fille me l’avait décrite. Elle était assez petite mais se tenait droite comme un « I » et levant la tête pour mieux vous contempler au travers de ses verres progressifs, elle vous toisait du haut de son mètre cinquante cinq ! Ses lèvres fines et pincées ne lui faisaient pas une bouche gourmande mais au-dessus d’un petit nez très droit, sous des sourcils très mobiles elle avait des yeux un peu trop ronds mais d’un bleu absolument superbe qui vous transperçaient comme des rayons X.

Françoise avait une poitrine magnifique et lorsque je l’en complimentais au premier temps de notre relation elle me disait : « tu verras celle de ma mère ». En effet, Yolande ne parvenait pas à dissimuler derrière un chemisier point trop serré une poitrine que je jugeais somptueuse malgré le peu de visibilité que j’en avais. Oui, pendant qu’elle s’avançait vers moi, je me disais qu’elle était bien comme sa fille me l’avait décrite.
Elle me tendit la main, l’air très hautain. Très homme du monde à mon tour, je la lui pris et lui prodiguais un long baise main. Le baise main est depuis longtemps passé de mode. C’est dommage, il permettait de caresser langoureusement des lèvres la main de toute femme qui vous était présentée. Un ami m’avait dit un jour : si, lorsque tu baises la main d’une femme cela lui donne la chair de poule sur le, ou les bras, c’est qu’elle a, sans forcément le savoir, envie de coucher avec toi. Et à ma grande stupéfaction l’avant bras de ma future belle-mère était hérissé d’une superbe chair de poule. Lorsque je relevai la tête, je plongeais mes yeux dans les siens sans impertinence, mais très profondément et je pus distinguer au fond de son regard si bleu comme un trouble qu’elle ne parvenait pas à masquer entièrement.

Il eut été convenable que mon père vienne demander à Louis, le père de Françoise la main de sa fille pour moi. Mais je n’ai pas de père connu ce qui avait au début complètement braqué le pauvre soldat et il avait fallu que Françoise déploie des trésors de persuasion pour que ses parents acceptent de me recevoir. Nous étions convenus que les parents de Françoise viendraient passer quelques jours dans la maison de famille de ma mère au bord du bassin d’Arcachon, que nous irions en même temps et que ma mère nous rejoindrait. Ensuite, mon parrain qui est un vieil ami de la famille de ma mère nous rejoindrait et qu’il demanderait à Léon la main de Françoise pour son filleul, moi en l’occurrence !
Nous nous retrouvâmes ainsi tous les cinq à Arcachon dans la propriété de ma mère. Cette maison lui venait de ses parents et mon beau-père fut très sensible au fait que mon grand-père ait été tué en 1915 sur la Marne sans avoir jamais vu sa fille née un an plus tôt. Mon beau-père eut à partir de ce moment une grande indulgence pour ma mère alors que sa fonction d’enseignante à la faculté de médecine l’avait laissé de marbre ! Du coup, il admit, que fille de héros elle ait pu m’enfanter sans connaître le nom de mon père, même si mon grand-père avait juste eu la mauvaise idée de se trouver au même endroit, au même moment qu’un obus allemand !

Dés le premier jour, il fut décidé que nous irions à la plage au Petit Nice où la foule était à l’époque moins nombreuse qu’aujourd’hui. Pendant ce temps, mon beau-père devait aller marcher dans la campagne. J’espérais en profiter pour voir la poitrine de ma belle-mère mieux et de plus prés. Je savais que sur cette plage où les gens n’étaient pas les uns sur les autres, nous étions quand même dix ans après Mai 68, beaucoup de femmes bronzaient les seins nus et je savais que Françoise et ma mère feraient de même. À peine arrivés, Françoise enlève son jean et son débardeur et se retrouve avec un bas de maillot de bain string que je lui avais ramené du Brésil. Elle le mettait pour la première fois et je ne pus m’empêcher d’admirer son corps superbe.

Cette fille avait pris le meilleur de ses parents, elle était grande comme son père, mince comme lui mais avait hérité de sa mère la couleur de ses yeux et une poitrine à couper le souffle qu’elle n’hésitait ni à mettre en valeur, ni même à exhiber dés que l’occasion lui en était fournie. À 25 ans ses seins ne semblaient malgré leur taille guère avoir besoin de soutien même si la gravité universelle les entraînait bien évidemment un peu vers le bas. Cette manifestation de la gravité les rendait d’autant plus désirables qu’ils « sentaient » le vrai ! Sa mère lui jeta un air de désapprobation tel que Françoise lui demanda : « Je ne te plais pas comme ça ? » Sans réponse, elle ajouta : « Mais je ne fais que comme les autres, regarde autour de toi et tu devrais en faire autant, tes seins aussi ont besoin de soleil.» Françoise vint me rejoindre dans l’eau dont j’avais pris la direction dés le début de l’escarmouche entre elle et sa mère : « Je lui ai conseillé de se faire bronzer les seins, mais elle ne le fera pas. Elle est bien trop pudique pour ça, même moi, je l’ai très rarement vue nue. J’espère que si elle le fait, tu ne banderas pas trop visiblement, mais cela m’étonnerait. » Comme elle ne doutait pas de ma capacité à bander, je compris qu’elle doutait que sa mère suive son conseil.
De fait quelques minutes plus tard lorsque nous sommes revenus de l’eau ma mère avait toujours son soutien-gorge de maillot de bain et ma belle-mère avait sur son maillot de bain une pièce un chemisier bleu foncé fermé jusqu’au cou. Elles discutaient cuisine comparant leurs recettes favorites. Le retour de Françoise fut l’occasion de revenir sur le sujet des seins nus à la plage.

« Mais alors Maman, tu n’as pas suivi mes conseils. Dommage pour toi Paul qui voulais voir les seins de ma mère. »

Je ne savais plus où me mettre, même si je l’avais fortement pensé, je n’aurais jamais osé le dire à cette époque à Françoise et j’étais atterré qu’elle le dise comme cela devant ma mère et sa mère… Je bredouillais une réplique idiote du genre :
« Tu dis n’importe quoi » et me faisais reprendre de pleine volée :
« Ne me dis pas que tu n’as pas remarqué la poitrine de ma mère dés le premier jour que tu l’as vue, amateur de fortes poitrines comme tu l’es. »
Ma mère faisait mine de ne rien entendre, plongée dans un livre qu’elle venait d’ouvrir comme si elle lisait depuis des heures.
« Allez, maman, fais plaisir à ton gendre, profite de la vie, fais profiter ton corps de la lumière du soleil. À dose modérée, c’est excellent pour la santé, n’est ce pas belle maman ? »
Françoise était, est toujours comme ça. Quand elle démarre, rien ne l’arrête. Sabre au clair comme son père, elle charge sans se préoccuper de l’environnement !
« Je conçois que toi tu te mettes en monokini, même si je le réprouve moralement, mais conviens que ce n’est pas de mon âge. »
Ma mère faisait semblant de ne rien entendre, mais je sentais que Françoise allait la prendre à témoin dans peu de temps, comme un missile, elle fonçait !

« Belle maman, habituellement vous faites comme moi, comme les autres, pourquoi pas aujourd’hui ? Ma mère vous coince ? »

Je commençais à craindre, nous étions tous les cinq là pour que les parents de Françoise acceptent ma mère et son fils sans père et Françoise était en train de semer la panique ! Heureusement, maîtresse d’elle comme toujours, et superbement diplomate, ma mère intervint :
« Françoise, vous devez respecter votre mère et son éducation d’une part parce qu’elle est votre mère, d’autre part parce qu’au-delà d’une mode il y a des convictions. C’est parce que je respecte sa conviction que se promener les seins à l’air sur une plage publique n’est pas convenable que pour ne pas la gêner j’ai gardé le haut de mon maillot aujourd’hui. Je fais comme elle pour ne pas qu’elle se sente isolée, je suis solidaire en quelque sorte même si comme vous j’aime bien enlever le haut habituellement. Mais vous savez Françoise, quand il m’arrive de venir seule à la plage, d’abord j’évite cette plage où il y a pas mal d’exhibitionnistes et de voyeurs, ensuite je garde le haut pour être tranquille ! »
Ma belle-mère avait suivi avec attention le discours de ma mère, Françoise n’avait rien répliqué, sans doute le même réflexe que lorsqu’elle écoutait les cours de ma mère à la faculté de médecine. C’est ma belle-mère qui rompit le silence et tout de suite je compris que ma mère avait gagné.

« Mais Anne-Marie, je suis désolée de vous priver de vos habitudes. Enlevez le haut si vous avez l’habitude de le faire. Peut être que votre exemple m’aidera demain ou un autre jour à vous imiter. Finalement, je me demande si je ne vous envie pas. Quand j’étais jeune, j’étais très complexée par la taille de ma poitrine et mon mari m’a toujours traitée de bonne grosse vache laitière avec des gros nichons et un gros cul pour… »
Elle s’interrompit brutalement se rendant compte qu’elle s’était laissée aller beaucoup trop loin selon sa volonté. Finalement, dans la famille, Françoise n’était peut-être pas la seule à ne pas être totalement maître de son débit oratoire. C’était au tour de Françoise de se sentir gênée et ma mère vint encore au secours.

« Yolande, si vraiment cela ne vous gène pas, je vais faire comme Françoise et profiter justement que nous soyons en groupe chaperonnées par Paul pour faire voir le soleil à mes seins. J’ai quelques années de plus que vous, ma poitrine n’affiche pas la fermeté de ses vingt ans mais je constate qu’elle semble encore beaucoup plus plaire que déplaire. Et aucun homme ne m’a jamais dit qu’il m’aurait préférée plate. Jeunes, toutes les femmes ont honte de leurs seins, ou elles les trouvent trop gros comme nous, ou elles trouvent trop petits. Il y a des amateurs pour tous les genres et même des qui les aiment petits ou gros, n’est-ce pas Paul ? »

Ma mère s’était levée et commençait à dégrafer le haut de son maillot de bain. Tenant les bonnets de celui-ci, elle laisse descendre doucement sa poitrine qui n’est plus maintenue.

« J’espère que mes seins résisteront aussi bien au temps que les vôtres. »

Le compliment de Françoise fait sourire ma mère qui se passe du produit solaire sur les seins avec volupté. Un couple d’une trentaine d’année passe prés de nous, l’homme et sa compagne ne cachent même pas l’intérêt qu’ils ont pour les seins de ma mère et pour ceux de Françoise qui s’est levée elle aussi pour se mettre de la crème protectrice contre le soleil. Ils passent leur chemin sans faire la moindre observation.
Le reste de l’après-midi se passe sans encombre, ma belle-mère consentant tout de même à retirer le chemisier qu’elle avait gardé sur son maillot une pièce. Même emprisonnée dans ce carcan sa poitrine était parfaitement bandante et je me demandai si un jour elle oserait m’en faire profiter.

En toute hypocrisie, pour ne pas choquer mes futurs beaux-parents, ceux-ci dormaient au deuxième étage de la maison, Françoise et ma mère au premier et moi au troisième étage dans ce qui avait été autrefois une chambre de bonne Seul, la nuit, passablement excité par tout ce que je venais de vivre l’après-midi, nu sur mon lit, je me caressai longuement d’une manière très narcissique. Très excité, muni d’une superbe érection je décidai de descendre très doucement par l’escalier de service pour gagner un débarras contigu à la salle de bains de la chambre de mes beaux-parents. Adolescent, j’avais percé une ouverture dans la cloison derrière le miroir de la salle de bains et avait remplacé celui-ci par un miroir sans tain trouvé aux puces. Un vieux tableau accroché au-dessus de l’ouverture à l’intérieur du débarras complétait le dispositif. Ma mère absente lors des « travaux », n’avait jamais rien remarqué et je ne comptais pas les fois où je m’étais masturbé en jouissant du spectacle offert par nos visiteurs et visiteuses utilisant cette salle de bains.
Mais ce soir, il était trop tard, les futurs beaux-parents dormaient déjà et je ne pouvais profiter du spectacle des seins de Yolande qui commençaient à me hanter sérieusement.

Nous étions convenus avec Françoise de ne rien tenter pour nous rejoindre nuitamment pendant la présence de ses parents afin de ne pas compromettre nos efforts. Pour respecter cette convention je me terminais dans le noir, les yeux clos en pensant aux seins de Françoise, à ceux de ma mère et à ceux de ma future belle-mère. Je ne sais plus entre quels seins j’étais lorsque j’éjaculais enfin.

Le lendemain, profitant encore du beau temps, nous décidons de retourner à la plage pendant que mon beau-père avait décidé d’aller en voiture à Bordeaux voir un ancien collègue de l’armée. Cette fois ma belle-mère a mis un maillot deux pièces. C’est un maillot complètement démodé mais il met tout de même beaucoup mieux en valeur sa poitrine que le une pièce de la veille. Ma mère n’a pas hésité à enlever le haut du sien, Françoise, couchée sur le ventre me demande de lui retirer le bas pour ne pas avoir les fesses blanches. Françoise trouvant que le maillot de sa mère est vraiment trop démodé décide que nous allons lui en offrir un neuf le soir même. Elle m’explique que sa mère n’a pas le moindre argent de poche et qu’elle doit tout demander à son mari. Lequel mari trouverait ridicule de dépenser de l’argent à pareilles futilités. Ma mère et Françoise vont donc après la plage faire les boutiques de maillot de bain du Pyla, puis celles d’Arcachon. Moi, j’ai été renvoyé à la maison attendre le retour du beau-père ! Je souris en songeant à ma belle-mère prise en charge par les deux comparses que sont devenues Françoise et ma mère pour émanciper un peu la protestante rigide. Elles ont sûrement fort à faire.
Le beau-père appelle par téléphone, il dit qu’il ne rentrera pas, qu’il va rester dîner et coucher chez son vieux copain ; il est manifestement de mauvaise humeur lorsque je lui dis que je suis seul, que « les femmes » ne sont pas rentrées, qu’elles sont allées faire des courses. « J’aurais aimé qu’elle prenne le train pour Bordeaux pour me rejoindre chez nos amis pour dîner ». Je lui explique qu’elles sont peut-être allées déguster des huîtres sur le bassin et qu’elles risquent de rentrer trop tard. Il est manifestement furieux contre son épouse, il me raccroche au nez sans me laisser ses coordonnées ! Ainsi, nous n’aurons pas besoin de le rappeler et je n’ai pas l’occasion de lui proposer d’aller les chercher en ville et de la lui ramener en voiture.
Les femmes rentrent en effet à prés de huit heures, elles ont en effet été déguster des huîtres à La Teste et bu un coup de blanc avec. Je raconte l’anecdote du beau-père et suis surpris de constater que la future belle-mère prend avec sa fille le parti d’en rire, ma mère restant prudemment neutre !
Françoise est déchaînée, elle me raconte combien ma mère et elles ont du se battre pour persuader sa mère d’acheter un maillot de bain à la mode.

« Françoise, tu ne diras rien à ton père et je laisserai le maillot ici, il serait furieux de me voir dans quelque chose d’aussi indécent ».
« Mais maman, tu es super avec, Anne-Marie te l’a confirmé et moi je te dis que tu vas faire bander tous les mecs de la plage ; tu vas voir Paul, je suis certain du résultat, il va adorer ton maillot de bain et il va falloir que je le surveille. »

Le soir, j’essayais bien d’espionner depuis mon débarras, mais faute de pouvoir fausser compagnie à Françoise assez longtemps je ne pus rien faire.
Le lendemain matin allait m’être beaucoup plus favorable.

« Maman, il faut que tu t’épiles un peu pour mettre ton nouveau maillot. » lança Françoise.
« Mais ton père n’aime pas çà. »
« Tu n’auras qu’à lui dire que c’est moi qui te l’ai recommandé car tu avais deux ou trois petits boutons. »
« Mais ce n’est pas vrai.’
« Et il t’a regardé le minou depuis longtemps ? »

Le silence qui suivit était un déchirant aveu.

« Mais je n’ai rien pour le faire. »
« Anne-Marie a sûrement de la cire ou un rasoir ou les deux ; je sais qu’elle a toujours le pubis entièrement vierge de poils. »
« Comment le sais-tu ? »
« Parce qu’elle est déjà venue coucher chez moi et qu’elle ne se prive pas pour se promener nue devant moi. »

Là aussi, le silence qui suivit cette dernière réplique semblait, disons, fort réprobateur !

« Tu n’as qu’à le faire maintenant pendant que j’accompagnerai Anne-Marie faire ses courses. Je crois que Paul doit rester ici pour bricoler dans la maison. Si tu as besoin de quelque chose, demande-lui.

Une heure plus tard, je me retrouvais donc seul dans la maison avec ma belle-mère. Je fus rapide à disparaître de sa vue. Caché dans mon débarras je fus assez vite en position pour observer tout ce qui se passait dans la salle de bains de sa chambre. Elle ne fut pas très longue à apparaître. Elle avait une sorte de petit sac en plastique dont elle tira d’abord un tube, sans doute de crème dépilatoire, puis un rasoir et un tube de mousse à raser qu’elle posa sur le lavabo. Je me rendis compte, à ma grande surprise, que sous le peignoir qu’elle portait pour le petit déjeuner, elle était entièrement nue. Ses seins étaient en effet tout simplement somptueux. Bien sûr, ils étaient attirés vers le bas par la gravité universelle mais ils étaient lourds et volumineux, bien gonflés, ils n’avaient rien des chaussettes que l’on voit parfois chez les femmes d’un certain âge. Aujourd’hui à 81 ans, ils ressemblent effectivement à des chaussettes, mais à 55 ans, elle avait une poitrine à faire damner un saint, à faire bander un eunuque ! N’étant pas eunuque, je bandai vite comme un jeune cerf. De temps en temps ma main venait effleurer mon sexe tendu, mais je relâchais vite la tension ayant trop peur d’éjaculer rapidement. Sans hésiter, elle prit le rasoir, entra dans la baignoire et après s’être mouillé le pubis se mit en devoir de le raser. Quelques minutes plus tard, il était complètement imberbe. Sa fente paraissait assez bien fermée pour une femme de son âge, même si elle n’avait eu qu’un enfant. Sans même y réfléchir, ma main avait plongé dans mon pantalon pour y donner du plaisir à mon sexe. Quelques semaines plus tôt j’avais eu de cette femme une image à la fois rébarbative et prometteuse et ce jour là, elle venait de se raser le sexe devant moi sans la moindre hésitation, comme une opération déjà plusieurs fois vécue. Quand je dis que c’était devant moi, je veux dire que je la voyais devant moi car elle ne me voyait pas, ne pouvait pas imaginer que j’étais à quelques décimètres d’elle. Elle était nue comme un ver et regardait son corps dans le miroir sans tain derrière lequel je me cachais. Ses seins la préoccupaient. Sans doute n’avaient-ils plus leur tonicité de leurs vingt ans mais ils étaient encore bien fermes et bien remplis. Elle se regardait dans la glace les caresser comme distraitement d’abord, puis de manière de plus en plus attentive ensuite, y prenant maintenant manifestement du plaisir. Pendant que sa main gauche passait d’un sein à l’autre, les soupesant, les caressant, en tâtant les tétons au milieu de leurs belles aréoles marron clair, la main droite allait caressant son ventre rebondi et légèrement plissé au-dessus du pubis. Puis la main droite se fit de plus en plus insistante sur ce pubis qu’elle venait de raser s’arrêtant de plus en plus prés de sa caverne secrète qu’elle évitait manifestement de toucher.

Je n’en pouvais plus de la voir se caresser, et j’en faisais autant avec de plus en plus de vigueur. Elle me prit de court lorsque soudain je la vis retourner au petit paquet qu’elle avait emmené avec elle et en sortir, non je ne pouvais pas me tromper, un godemiché. Elle fut aussitôt couchée sur le dos sur le drap de bain, cuisses écartées, talons repliés sous les fesses. Le godemiché fut vite absorbé par son sexe, comme aspiré par lui. La main droite le rentrait et le sortait en cadence pendant que la main gauche lui caressait les seins.
Eperdu d’excitation, je décidai de frapper un grand coup. Il me semblait qu’elle n’avait fermé ni la porte de la salle de bains donnant sur sa chambre, ni la porte donnant de la salle de bains sur le couloir. Sans bruit, je me rendis vers cette dernière porte, puis feignant de me croire seul, je rentrais vivement dans la salle de bains. Yolande était toujours nue en train de se donner du plaisir. Elle parut stupéfaite de me voir ainsi pénétrer dans la salle de bains. Et moi je devais paraître stupéfait de la découvrir là. Nous nous sommes regardés quelques secondes sans rien dire puis assez bêtement je dis :

« Oh, excusez moi, je vous pensais partie avec ma mère et Françoise ». Mais je ne détournais pas les yeux de son corps offert au plaisir de ses doigts et de son gode. Elle ne pouvait pas ne pas s’en rendre compte et finit par me dire :
« Moi aussi, je me croyais seule », puis me montrant le gode qu’elle venait d’extraire de sa vulve dégoulinante
« Je l’ai trouvé dans la salle de bains de votre mère dans le placard qu’elle m’a donné pour mettre mes affaires. »

Pendant qu’elle se relevait pour s’échapper en direction de sa chambre, je faisais demi-tour pour me retirer par le couloir.
L’après-midi, elle vint à la plage mais ne mit pas son nouveau maillot de bain en prétextant qu’elle avait « un trop gros derrière » pour le porter.
Les jours qui précédèrent leur départ s’écoulèrent sans nouvel incident.
Les lèvres toujours pincées, la tête renversée en arrière, elle semblait avoir définitivement repris son personnage caricatural de « Madame la Générale ».

En 1992, quelques mois après mon divorce mon beau-père décida qu’il était temps pour eux de se rendre en maison de retraite, il avait 75 ans, elle en avait 69. Comme elle ne voulait pas quitter sa maison et que lui ne voulait plus y rester, ils convinrent qu’il irait seul dans une grande et belle maison de retraite pour officiers et qu’elle resterait seule chez elle tant qu’elle le pourrait. Malgré les difficultés nées de notre divorce, je tentais de faire intervenir Françoise pour sauver le couple de ses parents.

De Floride où elle habitait maintenant Françoise me fit remarquer qu’elle ne pouvait faire grand-chose. L’attitude de ses parents qui m’avaient plutôt soutenu après son départ ne l’inclinait pas à beaucoup d’indulgence à leur égard. C’est à ce moment que je compris que notre séparation était sans doute la meilleure des choses qui pouvait m’arriver. J’arrivais à convaincre mon beau-père que n’habitant pas très loin de chez eux, je pouvais encore m’occuper d’eux et, avec la complicité de ma femme de ménage veiller sur eux Très vite, touché par la maladie d’Alzheimer, mon beau-père perdit complètement la tête et ne donna jamais suite à son projet de départ en maison de retraite ce qui pourtant eut à ce moment été une bonne solution pour lui. J’allais le voir aussi souvent que je le pouvais lorsque j’étais à Paris, parfois plusieurs fois la semaine. Dans ses moments de lucidité il me disait « et merde, pour un planqué, vous n’êtes pas si mal que ça mon garçon. Finalement, j’aurais bien aimé avoir un fils comme vous… » Sa mort, un jour de 1994, me sonna. Même si je l’attendais, même si nous n’avions jamais été vraiment amis j’avais fini par l’aimer tant il était pitoyable, esseulé devant la mort. Ma belle-mère n’avait pas l’air outre mesure désespérée et ses larmes me semblaient de vraies fausses larmes de crocodiles ! Françoise, très américaine, fit un saut entre deux avions le jour de l’enterrement, puis un mois après pour la succession chez le notaire. Elle parut complètement surprise lorsque le notaire lut le testament de son père qui laissait à sa mère par le biais de la communauté universelle la totalité de ses biens et qui me demandait de veiller au respect de ses dernières volontés. Il me léguait pour me remercier le battle dress avec lequel il avait sauté sur la France lors du débarquement de juin 1944. Connaissant la valeur qu’il attribuait à cette relique, je m’effondrais en larmes sur mon fauteuil dans le bureau du notaire avant de me ressaisir : il n’aurait pas aimé que je pleure !

Quelques jours plus tard, je me rends chez ma belle mère comme je le faisais souvent lorsque j’étais à Paris pour voir si elle allait bien, si elle avait besoin de quelque chose.
Au moment de garer ma voiture devant leur pavillon, je vis sortir un voisin que je connaissais bien. Un retraité de la préfectorale avec lequel mes beaux-parents entretenaient des relations depuis son arrivée dans le quartier. Je ne l’aimais pas beaucoup et chaque fois que je le pouvais, je l’évitais. Mais cette fois, il pleuvait et, ne voulant pas faire demi-tour pour le laisser passer, je le croisai dans le jardin. Lorsqu’il me vit et me reconnut, je lui trouvai un air bizarre, très bizarre même. Il eut même un mouvement, comme pour faire demi-tour vers la maison, mais je l’avais déjà dépassé, il poursuivit son chemin. Je sonne un petit coup à la porte, j’entends alors derrière la porte : « C’est toi Eugène ? » Surpris qu’elle puisse ainsi tutoyer cet homme et surpris par l’étrange attitude de celui-ci je maugrée : « Huuuum » ce qui ressemble un peu à un « Oui ». La porte s’ouvre : le peignoir largement ouvert, ma belle-mère est nue, entièrement nue sous le peignoir. Cette fois, elle complètement stupéfaite, son regard est hagard, elle ne sait plus quoi dire, plus quoi faire. Elle a déjà compris que j’ai compris et ne sait pas quelle attitude adopter.
Surtout, ne pas brusquer les choses, ne rien faire qui pourrait la faire partir en courant vers sa chambre, sa salle de bains ou tout autre lieu où elle aurait l’occasion de se ressaisir. Je dois pourtant fermer la porte, et pour cela entrer, et elle est au beau milieu de cette porte qu’elle vient d’ouvrir à celui qu’elle venait de quitter, son amant.

« Rentrons et parlons… » lui dis-je.

Elle obtempère et fait deux pas en arrière, toujours sans rien dire, toujours sans refermer son peignoir. J’avance et referme rapidement la porte, je ne prends même pas le temps de la fermer à clef, juste la pousser, que personne ne nous observe de l’extérieur. Plus tard, je prendrai le temps de la fermer à clef, mais pour le moment je dois faire avancer mes pions, pousser mon avantage tant qu’elle reste sans réaction. Si j’avais 20 ans de moins, je banderais déjà comme un cerf et je pourrais la culbuter sur n’importe quoi avant qu’elle ait le temps de réagir, de sortir de la fascination que la situation exerce sur elle. Mais là, je ne bande pas, l’émotion de la situation aurait même plutôt tendance à me paralyser et je ne peux me donner le ridicule de l’ouvrir devant moi pour lui présenter ma tripe molle.

« Mais ce n’est pas ce que vous croyez, Monsieur S. était juste venu voir si j’avais du pain en trop pour son petit-déjeuner et j’allais prendre ma douche… »
« Mais vous l’avez appelé Eugène, et vous lui ouvrez la porte presque nue… »

Non, décidément, ses arguments, elle s’en rend bien compte ne risquent pas de me convaincre !

« Paul, je vous le demande, ne racontez jamais ce qui vient de se passer à Françoise. Vous savez, je tiens à l’image qu’elle a de sa mère. »
Et voici donc la raison de son angoisse : son image pour sa fille.
« Mais il ne tient qu’à vous que tout cela reste entre nous ».

Alors, je pose mes mains sur ses épaules, elle ne réagit guère ; seule une lueur dans ses yeux trahit son inquiétude, manifestement, elle a très peur. Lorsque je fais tomber son peignoir, elle n’esquisse pas le moindre mouvement pour le retenir. J’en profite pour rapidement donner un tour de clef à la porte, lorsque je me retourne vers elle à nouveau, elle tente juste de cacher son sexe d’une main et de son autre bras de cacher ses seins. Je sens qu’elle est à moi, sa traditionnelle superbe est bien morte, ou tout au moins bien étourdie. Je dois profiter de mon avantage, sans la brutaliser lui montrer que maintenant et pour la suite des évènements, je suis et serai son maître.

« Ne vous cachez pas derrière vos mains, vous avez un corps splendide… »
Pas de réaction, puis soudain, elle cesse de se cacher.
« Tenez, asseyez-vous, je pense que nous avons beaucoup de choses à nous dire. »
« Puis-je me rhabiller ? »
Le ton est mal assuré, respectueux.
« Non, laissez moi vous regarder nue, cela fait longtemps que je ne vous ai pas vue déshabillée : seize ans pour être précis. »

Nul besoin de lui rafraîchir la mémoire, elle n’a pas plus oublié que moi l’épisode de la salle de bain de ma mère à Arcachon.
Ses seins ont perdu de leur superbe, mais ils sont encore tout à fait extraordinaires. Le sein droit semble plus long que le gauche et le gauche semble loucher vers la gauche, mais ils sont encore bien pleins, les aréoles sont brun clair et les tétons n’attendent que d’être titillés par des doigts adroits ou une langue experte.
Au dessus de son pubis, son ventre fait un pli, mais l’envie d’y poser les lèvres me parait irrésistible tant son gonflement est excitant. Je me retiens toutefois. Curieusement sa toison est parfaitement entretenue, pas trop longue, comme tondue régulièrement à un centimètre de long. Les lèvres de son sexe sont toujours aussi fines et ne baillent pas malgré ses 71 ans.
Elle n’a pas bougé, elle est toujours là, face à moi, debout dans l’entrée de la maison.

« Vous me regardez comme un maquignon regarde une vache. »
« Plutôt comme le loup la brebis qu’il va dévorer… »

Je l’ai dit, elle n’a plus à se faire la moindre illusion sur ce que je souhaite. Elle sait que je veux la passer à la casserole, elle sait qu’elle va passer à la casserole. Je m’approche d’elle à la toucher, mes mains se posent à nouveau sur ses épaules. Je me penche vers elle pour l’embrasser, mes lèvres trouvent les siennes, mais elle les garde fermées. J’ai beau essayer d’infiltrer ma langue, elle garde les mâchoires obstinément fermées.
« Non, pas maintenant, laissez moi aller me laver les dents… »
Je comprends qu’elle a du sucer le sexe de 84 ans de son voisin Eugène juste avant mon arrivée et je n’ai pas envie de récupérer le sperme de celui-ci dans ma bouche même s’il ne doit pas être très abondant ! Je m’agenouille lentement, mes mains glissent dans son dos lorsque ma bouche à la hauteur de ses seins. Je résiste à l’envie de les embrasser pour continuer à descendre vers son ventre. Ma langue se niche un instant dans son nombril, un avant goût pour elle de l’agilité qu’elle va déployer dans une minute au sein de sa caverne d’amour. Je la sens se détendre, ses mains viennent se poser sur mes épaules, elle est domptée lorsque mes lèvres découvrent le haut de sa toison. Ma bouche se déplace sur son pubis et ma langue contourne son sexe, je sens ses mains qui désormais accompagnent ma tête se faire plus douces et plus fermes à la fois. Elle tente d’arrêter les mouvements de ma tête pour poser les lèvres de ma bouche sur les lèvres de son sexe, mais chaque fois je m’échappe. Je sens que maintenant elle est très excitée par ce manège qui fait monter le désir en elle. Maintenant, j’ai tout mon temps, elle ne me repoussera plus : elle a envie.

Un vif coup de langue s’insinue soudain entre ses lèvres vaginales, je la sens tressaillir. La seconde fois, elle y va même d’un léger gémissement. Mes mains lui font comprendre que maintenant, elle doit se coucher, là où nous sommes, sur le carrelage de l’entrée. Elle en profite pour agripper ma chemise et me la faire prestement passer au-dessus de la tête. Je suis à genoux, entre ses cuisses écartées. Je lui laisse le plaisir de défaire la ceinture de mon pantalon et de le baisser en même temps que mon slip. Je termine de les enlever d’un mouvement rapide et je suis nu entre ses cuisses. Cette fois, mon sexe est correctement bandé.
Tant pis pour le cunnilingus entamé elle prend la chose en main et la dirige vers son sexe. Je ne suis qu’à moitié surpris de constater qu’il est correctement lubrifié et qu’il s’ouvre sans effort à la première pression de mon gland. Je m’enfonce complètement en elle et y reste sans bouger tout en m’allongeant sur elle. Son ventre et ses seins viennent épouser mon corps, se plaquer contre mon ventre et ma poitrine. Il fait chaud, très chaud ce jour et nous n’allons pas tarder à transpirer. Elle aimerait, je le sens bien que je remue un peu. Elle ne me connaît pas, elle ne sait pas que je suis capable, quand je suis en forme normale, de rester ainsi de longues minutes et que cette position avec une femme que je pénètre pour la première fois m’excite formidablement. Elle aimerait remuer son bassin, mais mon poids l’écrase et l’en empêche. Elle est dominée, il faut qu’elle en soit pleinement consciente.

J’ai fantasmé pendant longtemps sur cette femme qui m’était plusieurs fois inaccessible. D’abord parce qu’elle était ma belle mère, ensuite parce que je l’imaginais selon l’image qu’elle souhaitait donner d’elle, sérieuse et puritaine en diable. Depuis la première fois que je l’avais rencontrée, depuis que les poils de ses bras avaient manifesté de l’émotion sous l’effet de mon baise main, je songeais à la posséder, à lui faire l’amour, à la faire jouir sous mon joug. Pendant des années, nous avons joué au chat et à la souris, chacun espionnant l’autre, guettant un moment de faiblesse, d’abandon. Je pensais qu’elle aurait aimé, elle pensait que j’aurais aimé. Je me demandais parfois s’il lui arrivait de se caresser en pensant à moi ; moi je me masturbais souvent en pensant à elle. Depuis que je l’avais vue nue offrir son sexe au gode de ma mère, elle m’obsédait.
Maintenant, elle est là, sous moi, prête à jouir. Ses yeux m’implorent de ne pas rester ainsi immobile, elle veut que je lui donne du plaisir. Mon sexe fiché en elle comme une épée a levé ses dernières inhibitions. À cet instant, elle est prête à tout accepter de moi pour que je lui donne du plaisir, pour que je la fasse jouir.
C’est dans ces instants magiques où une femme commence à se donner qu’il faut la marquer. Malheur à celui qui par excès de précipitation va tout gâcher comme à celui qui par timidité va oublier de montrer que c’est lui le maître, qu’il ne faut rien lui refuser pour avoir le droit de jouir de lui.

Je commence de lents mouvements de va-et-vient dans son corps, ses yeux bleu lavande semblent à la fois plus brillant et se voilent, elle perd pieds. Elle commence à se noyer dans la volupté, son bassin s’anime de mouvements que j’accompagne de mon mieux. Au bout de quelques instants, nous battons en cadence. La transpiration commence à couler sur nos corps, je recolle le mien au sien et le décolle. Ses seins et son ventre se décollent de moi dans un bruit de succion qui m’excite fortement. La transpiration coule sur ses seins, entre ses seins, sur tout son corps, elle gémit maintenant. Je me colle à elle de tout mon poids et ma bouche vient s’écraser sur la sienne ; elle essaye de me refuser, mais cette fois elle capitule rapidement et nos langues entament une folle farandole. Tant pis pour moi, mais ce n’est sûrement ni la première ni la dernière fois que j’embrasse une femme qui vient de faire une pipe à un autre mec. Mes mains ne restent pas inactives et parcourent son corps avec une immense volupté. Ses seins sont bien aussi agréables à peloter qu’ils le promettaient, ses fesses sont tendres et douces à souhait. Par derrière, mes doigts se glissent entre ses fesses, à la rencontre du bas de son sexe. Ses mains à elle ne sont pas inactives non plus, et comme elle n’a pas à se maintenir en appui, elle peut les utiliser les deux à la fois. Je me rends vite compte que l’une d’elles caresse son clitoris insinuée entre son ventre et le mien et que l’autre s’est emparée de mes couilles qu’elle pétrit doucement.

Il faut maintenant que je la sodomise. Soit elle aime ça et cela ne posera pas de problème, soit elle n’aime pas et il est temps de lui faire aimer. Troisième hypothèse, elle n’a jamais été sodomisée et à 71 ans, il est temps qu’elle s’y mette. Mes doigts mouilles par son liquide qui s’écoule maintenant à flots de son sexe viennent chatouiller son anus. Elle ne réagit pas vraiment mais ses yeux sont parcourus par une lueur d’effroi ; ou je me trompe, ou elle est encore vierge de là ou elle refuse cette forme de pénétration. De toutes façons, si je ne profite pas de l’état de grâce actuel, je n’aurai pas d’autre opportunité de le faire plus tard. Quand les mauvaises habitudes sont prises… Et quand on a un cul comme le sien ; je me vois déjà, comme dans mes fantasmes en train de lui bourrer le trou du cul. Je l’embrasse avec encore plus de vigueur pour lui fermer la bouche. Appuyé sur mon avant-bras gauche, je caresse son anus du majeur de ma main droite, doucement, tendrement. Mais lorsque d’une poussée franche et soudaine j’introduis le bout du doigt dans le conduit, elle réagit violemment. Elle dégage sa bouche de la mienne.

« Vous ne pensez tout de même pas que vous aller me sodomiser ? »
Je connais tellement cette question que la réponse fuse aussitôt.
« Et pourquoi pas ? »
« Parce que c’est dégoûtant, parce que c’est interdit et parce que ça fait mal ! »
Perdu ! Elle est entrée dans mon jeu, à moi de poursuivre mon avantage !
« Et bien justement, je vais vous montrer que ce n’est pas dégoûtant, que ça ne fait pas mal et qu’au contraire, c’est très agréable pour les deux partenaires. »
« Peut-être, mais pas maintenant, une autre fois… »
Pendant que nous parlons, mon majeur est entré tout entier entre ses fesses et seuls les autres doigts l’empêchent de pénétrer plus profondément. Je pourrais peut-être déjà y fourrer deux doigts, mais ce ne me semble pas encore être le moment. Nos corps ruissellent de transpiration.
« Mais la prochaine fois, vous me direz encore que ce sera une autre fois. Quand vous avez appris à nager, je parie que vous avez eu peur de plonger depuis le bord de la piscine la première fois et qu’ensuite, vous avez aimé le faire. »
« Oui… »
C’est toujours bon d’entendre un « oui » dans ces conditions…

Cette fois, je retire le majeur et introduit le pouce dans son anus. Il pénètre sans forcer et j’entame des mouvements de rotation à l’intérieur de son rectum.

« Et puis cela fait mal… »
« Je vous garantis que non ; je vous promets que si je vous fais vraiment mal je me retirerai et nous n’en parlerons plus. Qui vous a dit cette imbécillité ? »
« Vous sodomisiez ma fille ? »
« Oui, je n’étais pas le premier, et elle adorait ça. »
Mon pouce continue à parcourir la paroi de son anus et petit à petit, je sens celle-ci se détendre. Il n’y a pas encore la place pour mon sexe, mais ça va déjà mieux !
« Mon mari m’a sodomisée une fois ; j’ai hurlé de douleur. Il n’a jamais recommencé. Sans doute se réservait-il pour les filles de joie qu’il fréquentait pendant ses déplacements. »
« Il s’y est certainement mal pris, trop brutalement. »
Elle ne répond pas, elle sent que je ne céderai pas et elle a trop envie de moi pour l’instant pour pouvoir me dire non.
« Restez là, ne bougez pas, je reviens. »
Je sais que l’huile d’olive est dans le placard, juste dans l’entrée de la cuisine. Il me la faut, je dois aller la chercher, mais il ne faut pas qu’elle en profite pour reprendre conscience, pour m’échapper.
Heureusement, elle est essoufflée par notre exercice précédent et j’ai le temps de revenir avec l’huile « Puget – Vierge – Première pression à froid » avant qu’elle n’ait envie de changer de position. Je me repositionne à genoux autour de ses cuisses jointes cette fois, mon sexe au-dessus de son ventre. J’enduis mon sexe d’huile d’olive ; le jeu semble lui plaire et elle m’en enduit les couilles. Je verse ensuite une cuillerée d’huile sur son sexe et entreprend à nouveau de pénétrer son anus avec mes doigts après lui avoir à nouveau écarté les cuisses. L’huile coule sur le carrelage de l’entrée : il faudra nettoyer avant la venue de la femme de ménage ! Mes préparatifs semblent la rassurer. Elle a du avoir horriblement mal quand son seigneur et maître lui a violé l’anus pour la première fois. Elle ne doit pas me raconter d’histoires.

« Vous ne pensez pas que je serais mieux a plat ventre, couchée sur la table de la cuisine, j’ai l’impression que ce serait plus facile. »

Et bien, cette fois, c’est gagné ! Reste à ne pas débander au moment fatidique. Ne riez pas, à 50 ans, cela peut arriver aux meilleurs ! Elle est maintenant allongée sur le ventre avec le bord de la table au niveau du pubis. La vision est fantastique. Son cul rond et encore très ferme est une invitation au crime, ses seins débordent de sous sa poitrine. Je remets un peu d’huile dans son conduit et un peu sur mon sexe qui heureusement reste dur comme un os.

« Qu’attendez-vous pour m’enculer maintenant ? »
La v******e du propos me choque de sa part, mais je fais mine de ne pas la remarquer.
« Je dois terminer de vous préparer, de vous dilater le conduit anal pour que justement, vous ne souffriez pas, ou tout au moins très peu et pas longtemps. Je vais vous mettre deux doigts maintenant, mais d’abord, nous allons faire un petit exercice ensemble avec un seul doigt. »
J’introduis mon pouce à nouveau.
« Serrez les muscles de votre anus comme si vous vouliez coincer mon doigt, comme si vous ne vouliez pas faire caca quand vous avez la colique… »
Elle serre en effet.
« Relâchez vous, puis resserrez à nouveau… »
Bonne élève, elle s’exécute. De l’autre main, je flatte sa croupe, ses hanches et la partie de son sein gauche qui déborde. Nous recommençons avec deux doigts, le majeur et l’index, puis avec trois doigts, le majeur, l’index et l’annulaire. Son anus est étonnement souple finalement. Je lui demande si ça va, elle me répond par l’affirmative. Encore un petit effort en ajoutant le pouce…
Entre deux, je remets un peu d’huile ! il y en a par terre, je dois faire attention à ne pas marcher dedans, à ne pas glisser au dernier moment !
Je tiens enfin mon objectif, je pose mon gland sur l’entrée de son anus qui reste un peu dilaté sous l’effet de nos efforts précédents. L’entrée se fait en douceur ; le gland passé, la tige pénètre sans effort. Elle laisse à peine échapper un « Hoo ! » dont on ne peut savoir s’il est de douleur ou de surprise. Je le lui demande.
« Ca va ? »
« Oui, c’est bon ! »

Que demande le peuple ? Je la ramone pendant un petit moment dans cette position, puis je la retourne sur le dos, toujours sur la table. Je veux qu’elle me voit, qu’elle se rende bien compte que c’est moi qui… Encore quelques coups de pistons lents et doux, mais bien profonds et je reprends son sexe dont j’ai remarqué qu’elle se caressait à nouveau le clitoris. Cette fois, plus besoin de prudence, je dois la faire jouir pour lui donner envie de recommencer. Je la fais se relever, puis se coucher à nouveau sur le carrelage de l’entrée. Sans fioriture, collé contre son corps mon corps lui fait l’amour. Et quand nos ventres se décollent, quand ma poitrine se décolle de ses seins cela fait des grands bruits de ventouses. Mes mains gardent ses hanches, ma bouche ne décolle guère de la sienne. De temps en temps je sors mon sexe du sien, elle tente de le ratt****r pour l’y enfourner immédiatement. Mais non, je caresse sa fente et son clitoris avec mon gland, je l’excite encore plus et je reprends des forces. Elle est au bord de l’orgasme ; je plonge la tête entre ses cuisses et lui dévore le sexe puis les lèvres gluantes de tous les liquides accumulés je reprends sa bouche goulûment. Je fais pénétrer mon gland entre les lèvres de son sexe, puis le ressors, le rentre à nouveau et le ressors encore. Ce manège la rend folle, elle se met à hurler, elle jouit et je la pénètre à nouveau entièrement. Elle se tord sous moi, ses mains battent au bout de ses bras étendus comme une guêpe qui meurt. Je replonge entre ses cuisses, son sexe est une source chaude. Et quand je pense que certains croient que toutes les femmes perdent leur capacité de sécrétions avec l’âge ! Je lui en remets un petit coup dans l’anus, histoire qu’elle n’oublie pas. Ses yeux ont retrouvé leur bleu d’origine, il y passe une lueur que je ne leur avais jamais vue. Elle vient de jouir, mais elle en demande encore, et moi j’ai encore envie d’elle. Je retrouve son vagin pour la phase que je devine finale. Vais-je réussir à la faire jouir deux fois de suite ?
« Oui, continue, aime moi, c’est si bon… »
Je pense à mon inspecteur des impôts, au prochain chantier que je dois aller voir au Venezuela et qui n’avance pas. Je serre mes muscles comme pour m’empêcher de faire pipi. Enfin tous les trucs pour retarder une éjaculation que l’on sent imminente ! Et puis ses yeux se voilent à nouveau, elle hurle de bonheur cette fois et moi je peux éjaculer dans ce corps sublimé par l’amour. Effondrés, nos corps collés l’un à l’autre, nous ne bougeons pas. Mais mon sexe fatigué rétrécit et sort du sien. Je me retourne sur le dos, vidé, épuisé.
« Jamais on ne m’avait fait l’amour ainsi, je te jure que je ne le ferai plus jamais avec personne d’autre même si aujourd’hui ce devait être la dernière fois. »
Je lui souris, je n’ai pas encore retrouvé tous mes esprits.
« Mais je suis tellement égoïste, et toi, tu as aimé ? »
Elle parait sincèrement inquiète. Il n’y a pas de quoi mais je comprends son trouble.
« Penses-tu que l’on puisse faire bien l’amour si l’autre ne le fait pas tout aussi bien ? »
Cette réponse, je l’ai déjà faite cent fois au moins, mais elle fait toujours son effet et il est vrai qu’à cet instant, cette fois, je le pense vraiment. Un sourire que je ne lui avais jamais vu éclaire son visage avant qu’elle ne plonge vers mon ventre. Je ne vois que sa nuque, mais je sens bien que sa bouche nettoie mon sexe. Croit-elle que je vais rebander tout de suite sous l’effet de la fellation ?

« Tu as encore envie ? »
« Oui, mais tu sais, à mon âge, je dois me reposer un peu avant de recommencer. Que dirais-tu de prendre une bonne douche puis d’aller se faire un bon restaurant. Ensuite, nous irons dormir chez moi, c’est beaucoup plus discret qu’ici. Je ne crois pas que tu aies besoin d’une chemise de nuit et Françoise a laissé des tonnes de produits de beauté que je n’ai pas jetés. Je crois me souvenir que vous utilisiez sensiblement les mêmes.»
« Oh oui, l’idée me plait, comment veux-tu que je m’habille ? »
« Votre tailleur en jeans fera l’affaire, il vous va très bien. »
« Collant ou bas ? »
« J’ai dit votre tailleur, rien d’autre. »
« Mes seins vont tomber sans soutien-gorge. »
« Mes mains seront là pour les retenir en cas d’urgence. »
Et c’est ainsi qu’une heure et demi plus tard nous sortions ensemble dans Paris.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire