Il faisait beau ce jour là et le temps ensoleillé était propice à la promenade.
Je pris donc mon sac à dos, mes jumelles et ma carte IGN pour partir en ballade vers les étangs de la Dombes.
Après avoir marché quelques temps le long des étangs, je m’arrêtais un moment pour observer quelques oiseaux avec mes jumelles.
Après quelques minutes, assis, seul, accaparé par mon observation, je vis, surpris, une femme penchée derrière moi. Je ne l’avais pas entendu venir.
Ma surprise fut agréable dans la mesure ou elle avait belle allure et qu’elle semblait plutôt amusée de la situation. Elle avait le sourire aux lèvres.
« – Bonjour ! J’essaye de deviner l’endroit que vous regardez avec vos jumelles mais je ne vois pas. » me dit-elle.
« – Qu’à cela ne tienne, prenez mes jumelles et j’essayerai de vous guider. » lui répondis-je.
Elle s’assit à coté de moi dans l’herbe, sans chichi avec une sorte de volontarisme étonnant. Elle s’assit en tailleur si près de moi que sa jambe droite, nue jusqu’en haut de la cuisse, repliée, venait se caler contre ma jambe. Sa peau semblait si douce que l’envie ne me manquait pas d’y apposer une main pour la caresser et sentir la chaleur et la délicatesse de son épiderme. Idée que je rejetais à regret de mon esprit immédiatement.
Enfin, lui donnant mes jumelles, je lui décrivais ce que j’étais en train d’observer.
Il n’y avait pas très loin ce que je supposais être un couple de hérons cendrés en train de nicher.
Après le réglage de la vision, et après qu’elle eut repéré les bons oiseaux, elle me dit:
« – Mais que font-ils ? Je vois deux oiseaux et il y en a un qui monte sur l’autre !!! »
« – Ah! » lui dis-je « Et bien ils doivent être en pleine parade amoureuse ou en train de s’accoupler !! »
Elle quitta les jumelles pour me regarder et toute amusée me dit sur un ton mi-moqueur mi-amusé.
« – Alors comme ça vous passez vos loisirs à mater des oiseaux en train de copuler ??!! Et bien bravo, je vous félicite !! C’est du propre !! »
Elle prenait un plaisir ingénu à essayer de me mettre mal à l’aise mais bien qu’un peu fâché que les circonstances puissent m’être aussi défavorables, je lui expliquais que je ne prenais pas un plaisir particulier à observer ce genre d’activité a****le, mais qu’à cet instant en l’occurrence, ces oiseaux avaient fait leur affaire une fois seulement qu’elle fut arrivée.
Quand elle reprit les jumelles pour continuer à regarder, tout était fini. « Quoi ? » dit-elle « C’est déjà terminé ?! »
« – Et oui !! » lui-répondis-je « c’est plutôt rapide n’est-ce pas ?! Pauvre Madame Héron !! »
Ce qui nous fit bien rire !!!
Peu après et d’un seul mouvement nous nous levâmes.
« – Avez-vous l’intention de regarder ces oiseaux toute l’après-midi ? » me demanda-t-elle ?
« – Non » lui dis-je, » j’ai prévu de marcher encore suivant un circuit que je compte repérer. Votre compagnie m’est plutôt agréable, si vous souhaitez faire un bout de chemin avec moi, c’est par ici. «
Nous voici donc marchant de concert.
Notre discussion m’amena à apprendre qu’elle s’appelait Sophie, qu’elle avait 38 ans et qu’elle était mariée.
Cette dernière assertion me fit perdre tout espoir d’une quelconque aventure avec elle. Dommage, j’aurais préféré quelle fut célibataire ou pourquoi pas mariée avec des mœurs libres. Mais elle ne me laissa pas percevoir de perspective de cet ordre.
Alors que nous devisions d’agréable façon de choses et d’autres Sophie me dit :
« – Si vous voulez bien, dévions du chemin, j’ai envie de faire pipi. «
« – Oui » lui dis-je
» Allez y, isolez vous et je vous attendrai ici.
– Non, venez avec moi, je crains les bêtes sauvages et puis j’aime bien qu’on me regarde.
– Comment ? » dis-je, mais j’avais bien compris, seule la surprise m’avait fait dire cela. J’avais du paraître complètement idiot tellement ma surprise avait du être visible.
« – Je disais que j’aime bien que l’on me regarde. Cela vous gêne t-il Alexandre ?
– Oh non Sophie, c’est seulement que c’est inhabituel, inattendu venant d’une inconnue, et que…
– Et que quoi cher Monsieur ? » me demanda t-elle de ses yeux amusés et aguicheurs.
» Et bien que vous êtes une femme qui avez du charme, qui êtes séduisante et désirable. Et que de ce fait, vous regarder va déclencher en moi des mécanismes très masculins dont vous ne pouvez ignorer les symptômes.
– Jusque là c’est plutôt rassurant. » me lança t-elle avec son beau sourire.
« – Evidemment, mais je veux dire par là qu’après vous avoir vu je ne serai pas contenté et que je n’ai pas le souhait de n’avoir que le plaisir de vous regarder. Je ne vous veux pas seulement allumeuse, vous voyez ce que je veux dire ?
– Pour vous c’est tout ou rien alors ?!!
– Oui, c’est ça !!
– Venez ! » me dit-elle, elle me prit la main et me tira vers sa destination.
Ce cours échange avait eu son effet, j’étais excité et si Sophie avait veillé mon short elle aurait vu une excroissance caractéristique.
Au bout de quelques pas, alors que nous étions hors du chemin et dans le bois, Sophie me lâcha la main en me disant « Je vais me mettre ici. »
Elle fit trois pas en s’éloignant et se retourna vers moi.
Sophie était grande et mince, la peau claire, les cheveux châtains mi-longs, les yeux verts.
Elle portait un chemisier blanc et un short court vert clair. Une paire de baskets blanches en toile.
Très simplement, tout en me regardant, Sophie défit le bouton de son short, descendit sa braguette puis son habit. Elle ne portait pas un string mais une belle petite culotte blanche en tissus fin. Elle était bien moulée à son corps et laissait entrevoir au niveau du sexe le relief de la fente. Elle abaissa sa culotte ce qui me permis de voir enfin son pubis poilu dessinant un fin triangle. Je vis son mont de Vénus un peu saillant, ses lèvres en dessous puis elle s’accroupit pour se soulager.
La vue de cette femme à moitié nue devant moi ne me laissait pas de marbre surtout que dans les yeux de Sophie brillait un désir bien visible, celui de plaire, d’être désirable et désirée. Mission réussie. Le plaisir de la voir devant moi presque offerte me mettait dans un état débordant d’énergie.
Une fois soulagée et rhabillée elle me pris à nouveau la main et me dit « Venez !! ».
« Alors ?! Qu’avez vous pensé de cet aperçu ?
« – Prometteur! » lui dis-je.
« – Vous savez, j’imaginais que vous alliez sortir votre ustensile et vous mettre à vous masturber, ou m’offrir votre chibre à me mettre en bouche ?! «
C’est étonnant comme cette femme ne donnait pas à penser par son allure, par son air sage, qu’elle puisse être si « ouverte » et pourtant elle l’était.
« – Est-ce ce que vous auriez voulu ? N’imaginez pas que je n’y ai pas pensé mais je ne voulais pas être trop rapide au risque de vous choquer. Mais j’apprends doucement que vous êtes une vraie gourmande, et ne me croyez pas en reste, vous serez rassasiée.
« – Ah oui ?! Et comment comptez-vous vous y prendre ?
« – Comme ceci, et sans plus attendre ! «
Nous avions abouti dans une sorte de clairière complètement isolée de tout et comme pour joindre le geste à la parole, je me mis devant elle et approchais mes lèvres des siennes.
Le contact de ses lèvres fut agréable, sa réponse fut immédiate, elle répondit à mon baiser en engouffrant avec empressement sa langue dans ma bouche. Elle se colla contre moi et me serra dans ses bras.
Une chose était sûre: elle avait très envie ! Ca tombait bien, moi aussi !
Mais un bruit se fit entendre pas très loin et ne sachant pas trop l’identifier nous arrêtâmes de nous embrasser.
Nous décidâmes de revenir sur le chemin que nous avions laissé.
Nos sens échauffés nous nous remîmes en marche collés l’un contre l’autre nous tenant par la taille. Je l’attirais contre moi pour bien sentir son corps contre le mien. Et il était plaisant que Sophie m’attire contre elle, ce qu’elle faisait.
Très vite, ma main qui lui tenait la hanche descendit vers les fesses. Ceci amusa beaucoup Sophie qui en jouait. Elle me donnait des coups de postérieur tout en marchant. Encouragé par un tel comportement de sa part, j’arrivais à faufiler ma main sous le tissus de son short et même sous la culotte fine. Sophie riait toujours jouant la femme offusquée et cherchant à se dégager mais ne le faisant pas du tout. C’est ainsi que tout en marchant , je me retrouvais à malaxer le derrière d’une belle inconnue. Un rêve éveillé !
Profitant du moment j’explorais avec ma main la raie et les moindres recoins qu’il m’était possible de visiter. J’essayais de visualiser mentalement ce que ma main appréhendait comblé à l’avance de la possibilité prochaine et probable qu’il me serait donné de découvrir cet endroit avec plus de détails.
Mais Sophie n’était pas en reste et elle me visitait aussi le postérieur. La seule différence était que je faisais moins de manières.
Après quelques minutes à avancer sur le chemin qui longeait l’étang, nos yeux furent attirés par une barque se trouvant au bord de l’eau. En général celles-ci sont en piteux état, pleines d’eau ou cadenassées afin que personne ne puisse les utiliser. Celle-ci ne répondait à rien de tel et en jetant un coup d’œil plus attentif il s’avérait même qu’elle contenait deux rames.
D’un mouvement, d’un seul, et sans avoir à nous consulter nous prîmes la barque, la poussâmes dans l’eau tout en sautant à l’intérieur.
C’était fait ! En deux secondes j’avais pris les rames et nous nous dirigions déjà vers le centre de l’étang. Nous aurions pu nous retrouver dans une peinture de Claude Monet.
Sophie se trouvait donc assise face à moi. Je ramais tranquillement profitant de l’instant, du soleil, du clapotis de l’eau qui nous entourait, du bon air de la campagne et de cette femme assise face à moi et qui rayonnait, qui resplendissait de beauté, de joie de vivre, d’espièglerie.
Nous profitions tous les deux de ce calme reposant en pleine nature, se laissant bercer par le roulis, par le balancement de la barque qui avançait. Nous ne nous disions rien, ne nous regardant pas plus que ça. Mais je percevais dans l’air une sorte de magnétisme qui me disait qu’un rapprochement allait s’effectuer très prochainement entre Sophie et moi.
Je ne me trompais pas et il fallut peu de temps avant que Sophie me dise ceci :
« J’ai bien envie de me mettre à l’aise Alexandre, cela vous dérange t-il ?
« -Non, cela ne me dérange pas mais à une seule condition. »
« -Ah bon ?! Et laquelle ?! »
« -Surtout n’allez pas trop vite !! »
« -Ne vous inquiétez pas Alexandre, j’ai compris le message. »
Et sans attendre, mais sans se presser elle commença à dénouer les lacets de ses chaussures.
Elle ôta ses baskets pour se retrouver pieds nus.
Ses pieds à peine libérés de ses entraves, ils vinrent me caresser les jambes. Petit à petit, après de nombreux aller-retours sur mes jambes ceux-ci s’approchèrent sans faillir de mes parties intimes venant me tâter l’entrejambe par de petites pressions se faisant de plus en plus appuyées.
Sophie savait faire pour faire monter la température et si je me contentais de continuer à ramer, mon anatomie réagissait parfaitement aux agissements des ses pieds.
S’apercevant de l’effet de ses tâtonnements et de la nécessité de libérer mon organe de mon short, Sophie s’avança vers moi, se mit à genoux et dégagea mon sexe. Etant donné mon excitation, il tint droit tout de suite. Sophie, souriante, le prit en main et s’amusa à le manipuler avant, suivant son expression, de le mettre en bouche. Elle semblait se délecter de cette sucette chaude et palpitante. Elle suçait avec une douceur si délicieuse et mon plaisir fut si intense que je rangeais les rames pour m’occuper de Sophie, lui prendre la tête à deux mains. Je la guidais doucement dans ses mouvements de va et vient. Puis je commençais à la caresser à travers son chemisier. D’abord je lui caressais la nuque, les épaules, le dos pour m’attaquer ensuite à ses seins. Elle n’avait pas de soutien gorge et je sentais ses seins fermes et tendus sous le tissus. Je les palpais, imaginant les tétons réagissant à mes pressions. Sophie continuait à me donner du plaisir et à échauffer mon membre tendu. J’avais l’impression qu’elle allait l’engloutir parfois, l’aspirant au plus profond de sa gorge. C’était divinement bon et j’aurais voulu que cet instant ne cesse jamais mais je retirais mon sexe de sa bouche et lui levant la tête je l’embrassais à pleine bouche.
Nos lèvres fusionnèrent à un point tel que c’était comme si nous nous gouttions mutuellement.
Sophie ne relâchait en rien la tâche divine qu’elle avait entrepris et me branlait des deux mains. Mon sexe était gonflé à son maximum.
Me concernant je profitais du moment pour faufiler mes mains sous le chemisier de Sophie au niveau de la taille. Et je remontais en la caressant jusqu’à arriver à ses seins pour les émoustiller de mes effleurements puis plus fermement en les prenant à pleines mains, les pressants , les pinçant, tortillant doucement ses tétons durs et enflés. Sophie avait les seins qui pointaient comme je les aime. J’aurais pu jouer des heures à les titiller avec mes doigts.
Mais j’avais autre chose en tête. Je voulais voir Sophie entièrement nue, entièrement offerte à ma vue, qu’elle ne puisse rien me cacher, que je puisse la posséder entièrement et contempler son corps en même temps.
Et pour ça, j’avais un plan !
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