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Véronica

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Je suis une femme qui aime les hommes et son confort. Adolescente j’eus dès l’âge de 15 ans une liaison stable avec un copain de lycée qui me servait de boy-friend, de frère de substitution, de copain et de sex-toy. J’aimais baiser et il me permettait de le faire dans le confort de ma chambre chez mes parents où il était admis.
Vers 20 ans mes études avançaient bien et j’ai rencontré à mon club de sport, où il était moniteur bénévole, un homme de 40 ans, divorcé, père de deux ados. Il était ingénieur avec une bonne situation. C’était un homme charmant et rassurant. Il me fit un peu la cour sans insister. Il était rationnel, raisonnable, sérieux et assez bel homme. Il représentait alors tout ce qu’une fille de classe sociale moyenne peut espérer. Je suis tombée amoureuse et j’ai largué mon copain pour me mettre dans son lit. Nous avons vécu ensemble très vite et notre relation était surtout basée sur le sexe. J’étais une gamine avec de beaux seins et une libido en plein essor. Lui sortait d’une période perturbée et avait besoin de stabilité. Nous avons beaucoup baisé puis fait notre vie ensemble en nous mariant quelques années plus tard. Je suis devenue enseignante et je l’ai suivi dans ses différentes affectations. Nous avons eu des enfants, acheté une maison et tenté une vie commune durable.
Je fis bien discrètement quelques accros au contrat avec des coucheries d’un jour dont il ne sus jamais rien. C’était juste pour que le corps exulte en allant voir de temps en temps ce qu’il y avait ailleurs qu’à la maison. Mais ce ne fut jamais suffisamment fort pour me distraire durablement de ma vie de famille. Je fis même l’amour avec une collègue lesbienne ce qui me confirma, bien qu’elle me fit jouir, que j’étais une femme à hommes.
Vers 40 ans mes enfants grandissaient, ma vie était stable et je m’ennuyais au lit car mon homme avait 60 ans et moins de désirs. Il travaillait beaucoup. Nos métiers ne nous rapprochaient pas non plus. De temps en temps je sortais avec des collègues de mon âge. Nous allions dîner au resto en ville. C’étaient des moments sympas où nous parlions boulot, mais pas que, ce qui nous permettaient de nous connaître autrement qu’au lycée où nous enseignions. Certains venaient en couples, d’autres dont moi non accompagnés. Nous prîmes aussi l’habitude pour quelques-uns d’entre nous de prolonger en allant nous agiter dans un bar populaire proche de la gare qui s’était spécialisé dans les fins de soirées dansantes.
La musique était bonne, souvent très rythmée. J’adorais danser en engageant tout mon corps dans des déhanchements endiablés. Mes collègues étaient souvent surpris de découvrir cette facette de ma personnalité, non détectable a priori. Plusieurs fois de grands blacks baraqués étaient venus très proches devant moi pour se mettre en phase et me glisser quelques mots valorisants. Je n’y prêtais pas trop attention mais une jeune collègue qui venait souvent me dis en sortant « dis donc Véro t’as la côte avec les blacks, chaque fois c’est toi qui les branchent, moi ils ne me captent même pas ». J’y réfléchis et du reconnaître que c’était vrai.
La fois suivante, de nouveau un jeune bLack athlétique s’est mis à danser devant moi sans me toucher mais c’était juste. A la fin d’une danse il me proposa un verre au bar. Nous discutâmes. Il était en fin d’études, aimait le sport, la musique et danser. Je lui demandais pourquoi il était venu vers moi. Il me dit doucement en me prenant la main « toi tu sais il suffit de te voir danser pour savoir que tu es bonne, que tu aimes les hommes et leur queue. Nous les blacks on sent ça tout de suite. Tu n’es pas fâchée de ma franchise ». Il réussit à me troubler mais je lui souris gentiment et lui fit même une petite bise sur la joue en lui souhaitant bonne nuit.
J’y ai repensé les semaines suivantes. Je suis retournée seule un soir dans ce bar. J’ai dansé beaucoup. J’ai été branchée par plusieurs beaux noirs qui me voyant seule m’ont proposé de les accompagner pour finir la nuit. Tard dans la nuit j’ai accepté de suivre un grand beau mec. Arrivé chez lui nous nous sommes dévêtus. Il était musclé et m’a très bien baisée avec une queue puissante. J’ai adoré sentir ce pénis si gros en moi. Je n’avais pas connu cette sensation avec mes amants précédents. Il m’a déclenché un bel orgasme puis je l’ai sucé longuement jusqu’à ce qu’il éjecte un abondant jet de sperme sur mes seins.
Alors que je récupérai un peu il me dit dans l’oreille « Mon cousin habite avec moi. Il nous a regardés pendant qu’on baisait. Si tu as encore envie il peut venir aussi ». Je regardais surprise le cousin qui s’encadrait dans la porte. C’était aussi un très beau mec. Je dis à mon amant « c’était vraiment très bon, on verra pour lui la prochaine fois ». Je suis rentrée chez moi à l’aube, bien ravagée. Mon mari de dormait pas. Il sut instinctivement et me dit « demain on parlera ».
Dans les mois suivants, j’ai divorcé et je me suis beaucoup faite baiser par les deux cousins qui m’ont initié à la double pénétration. Mes collègues me trouvaient fatiguée. Puis la raison a repris sa place et l’année suivante j’ai épousé un collègue de mon âge avec qui j’étais bien. Nous avions une complicité intellectuelle et je n’eus pas de mal à mettre dans mon lit en usant de mon expertise. La vie confortable a repris son cours.

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