Sylvie ma voisine d’enfance II
(histoire vraie)
Un jour, je retrouvais Sylvie dans le train, elle était en jupe noire, escarpins à petits talons, collants noirs et un pull gris anthracite. Elle était bien mise, pas très belle, trop fardée petite, un peu ronde, mais elle m’excitait depuis le jour où elle m’avait montré son ventre brûlé de petite fille. Elle habitait avec son récent mari l’appartement au dessus de ses parents dans notre impasse. Son mari effectuait son service militaire dans les alpes et ne rentrait que le weekend-end. J’entamais la conversation, tout en lui parlant, je ne puis m’empêcher avec mes coudes d’enfleurer son sein droit. Son pull moulait sa poitrine et je devinais que dessous elle ne portait qu’un soutif… Elle ne se retira pas au contraire, elle semblait apprécier la caresse furtive. Ses yeux étaient ronds, elle se touchait souvent les cheveux, riait à mes bêtises, bref, elle voulait me plaire.
Je continuais le manège des frôlements sur ses seins, parfois je m’osais à poser la main sur son genou rond de nylon noir, l’enlevais puis le reposais… Ce jeu m’excitait terriblement et je voyais qu’elle n’était pas insensible à mes frôlements sur son corps. Je me risquais à laisser la main sur son genou, en quelques secondes, elle entrouvrit presque imperceptiblement les jambes… J’avais son accord implicite. Arrivé à destination, nous rentrâmes dans notre impasse et au moment de se quitter devant la porte de la maison de mes parents elle me dit :
-« Veux tu prendre un verre à la maison ? »
-« Je veux bien » dis je
Il était prés de 17 h, arrivé au 3éme étage, chez elle, elle m’offrit un whisky sans glace et fit de même… Je m’assis dans un fauteuil en face du canapé ou elle s’était assise. Je pouvais voir ses jambes un peu potelées gainées de nylon noir, ses genoux ronds, et le début de ses cuisses. Elle me fascinait, j’avais en face de moi, un peu lascive dans son canapé ma voisine d’enfance, l’objet de bon nombre de fantasmes d’adolescent. Elle ôtât ses escarpins et frotta ses pieds. Visiblement, peu habituée au port d’escarpins, elle avait besoin d’un massage de pied.
-« Veux tu un massage de pied ? » lui dis je
– « Tu sais faire ? »
-« Oui, bien sur j’adore masser »
-« On ne m’en a jamais fait »
– « Et bien ça sera ta première fois avec moi »
Je me mis à genou, pris dans ma main gauche un pied, elle avait de petits pieds, les ongles rouges dans le nylon noir. Je lui massais la plante du pied et de l’autre main la cheville, elle se renversa de contentement.
Sylvie commençais à se mordre les lèvres et laissa aller ses jambes, je n’avais qu’une envie être encore aux premières loges comme dix ans au auparavant pour contempler son intimité. Ma tête était à moins d’un mètre de ses genoux, l’angle de vue plein axe mais elle serait encore les cuisses…Je pris son pied et le mis caler à mon genou, je pouvais disposer de son autre pied à ma guise, je l’écartais un peu et elle se laissa ouvrir juste ce qu’il faut pour que je vois le fond de son collant et deviner une belle culotte en dentelle noire. Je bandais, elle le savait… Je pris son pied droit et le posa à proximité de la bosse de mon pantalon de toile.
-« Masse toi sur moi pendant que je masse ton autre pied » lui dis je
– « Oui » dit elle d’une voie étouffée en roulant des yeux
Elle posa son pied prés de ma bosse, commençait à se masser la plante des pieds en se frottant sur moi.
-« Ça me fait du bien » dit telle
-« C’est bon pour moi aussi » dis je dans un râle sourd
Son pied collanté était tout proche de ma verge dure, elle du sentir ma rigidité sur le bard de son pied et opéra une translation délicate et vint pose son pied sur mon sexe dur. Elle reprit ces va et viens appuyée sur ma queue, en examina la rigidité.
-« C’est très bon » lui dis je
Elle rougi, ne répondit rien et ouvrit encore un peu plus ses cuisses, en fermant les yeux et passa la langue sur ses lèvres rouges. Elle frottait irrésistiblement son pied sur mon sexe, les yeux clos, dans un sensuel silence. Avec son pied, elle exécuta plusieurs fois le même mouvement sur ma braguette, je compris rapidement qu’elle souhaitais que je me libère de l’étroitesse du pantalon et du boxer.
D’une main, je me déboutonnais, baissa pour boxer sous mes bourses et libéra mon sexe bandé, elle laissa poindre un soupir. son pied trouva vite ma hampe, en fit le tour, examina la rigidité, tourna autour de mon gland.
Je laissa son autre pied qui vint rejoindre l’autre autour de ma queue sortie, tandis que mes mains remontèrent sur ses jambes.
-« Viens à coté de moi » dans le canapé » m’ordonna t’elle
Je bondis la queue à l’air dans le canapé, elle ouvrit les bras en souriant, je me jeta dans ses bras en l’embrassant. Son haleine avait un gout de violette, je l’embrassais à pleine bouche avec passion, elle n’embrassait pas très bien, elle n’avait embrassé qu’un autre garçon avant moi son mari. Je passais les mains sous son pull, pu sentir la dentelle et les tétons tous durs de ses mamelles. Sa main droite vint sur mon sexe.
-‘Elle est belle » dit elle
-« Belle pour toi » lui répondis je » Ça fait des années qu’elle t’attends »
Je dégrafais son soutif en dentelle noire de belle facture, libérais ses seins lourds dans les paumes et enroula son soutif autour de ma queue. Elle me branlais doucement avec délice et envie. Je fis sauter les 2 boutons sur le coté de sa jupe, elle se leva, la fit glisser à ses pieds, se rassit les cuisses entre-ouvertes, j’en profitais pour placer ma main gauche sur son entrecuisse nylonée. Tout en l’embrassant ardemment, mes caresses sur son collant étaient de plus en plus appuyées sur la dentelle de sa petite culotte. Elle se cabra sous mes caresses, empoignant ma verge en la serrant fort. Ma main gauche se faufila entre le collant et sa culotte en tulle et dentelle, je sentis alors les poils de sa toison qui m’avait tant fait fantasmer et me souvint des poils pubiens de Sylvie d’adolescente que j’avais gardé dans une boite de pellicule photo. Je sentais son humidité le fond doublé en coton de sa culotte était trempé, elle mouillait beaucoup sous mes caresses. j’écartais le tulle trempé et glissais sur les poils de sa toison secrète, elle était drue et bien fournie, douce et frisait légèrement. Je l’a caressais en évitant volontairement son bouton d’amour, tournant autour, restant dans la zone pubienne de son mont de vénus qui semblait bien replet…
A SUIVRE
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