Hier, vendredi j’ai servi de sujet d’expérimentation. J’ai éprouvé ce que doivent ressentir les animaux de nos laboratoires.
Je suis à Saint-Lô pour le pot de départ d’un copain. L’ambiance est festive et l’alcool coule à flot. Les conversations en fin de soirée dé**** sur le sexe. Nous sommes alors en petit comité et chacun se lâche. Bernard, fort en gueule, se vante de la taille de son engin.
« Au lit, je suis un expert et toutes se pâment quand je les saute. »
Agacée par ses vantardises, Karine lui dit :
« Nanard, tu nous emmerdes avec ta grosse queue ! C’est toujours ceuxw qui en parlent le plus qui ont la plus petite quequette ! »
Vexé, il lui rétorque :
« Pauvre idiote avec la tronche que tu dois pas avoir eu souvent un engin entre tes cuisses ! »
Le groupe de mecs éclatent de rire. Moi je reste dans un coin à écouter , amusée, cette joute verbale. Karine, certainement bien éméchée aussi ne se laisse pas faire et lui lance :
« A vous entendre les mecs, c’est à qui a la plus grosse ! Mais au lit c’est une autre affaire et si tu veux savoir, je t’ai pas attendu pour me faire des mecs ! Si t’en as une bistouquette si exceptionnel, t’as pas les couilles de le prouver ! »
« Tu veux la voir cochonne ? Et bien c’est quand tu veux ma poule. »
« Que de la gueule ! »
Bernard semble se dégonfler devant l’arrogance de Karine. D’une voix moins assurée il lui dit :
« Quoi ?…. Euh, tu veux dire ici ? …. Maintenant ? »
« Ben oui du con ! Tiens, il y a même Michèle qui est prête à en juger avec moi ! Alors ? Tu te dégonfles ? Tu l’as toute petite là ! »
Ses potes le regardent amusés. Bernard est rouge pivoine et ne sait plus trop comment se comporter. La situation devient sensible. Presque en begaillant il tente une réplique :
« Ben…. Heu…. c’est à dire,… Heu.. Pas comme ça quand même. Et puis avec l’alcool que j’ai bu je ne suis pas au mieux et se serait dommage que toutes les deux vous n’ayez pas un aperçu représentatif de la taille de paupaul ! »
Karine éclate de rire et raille Bernard.
« OK c’est clair, laisse tomber on a compris. Ton mamba n’est qu’un asticot. »
Ses potes sont explosés de rire. Pris au vif Bernard rétorque :
« Pétasse, tu montrerais tes nibards en public peut-être ? »
« Non mais moi je me vante d’avoir des gros nibards ! »
Bernard ne sait plus quoi faire devant Karine qui attend campée devant lui.
Il est moins fiére à bras maintenant et en dégustant mon verre, j’ai le malin espoir qu’il ose nous le montrer. Un silence pesant se fait. Au pied du mur, Bernard se sent l’obligation de débloquer la situation. Il pose son verre et essayant de reprendre de l’assurance, il descend la glissière de son pantalon et exhibe timidement son truc flasque et au repos.
Karine n’en peut plus de rire en voyant son petit bout de chair.
« Et c’est avec ça que tu faire gueuler les nanas comme tu dis ? T’a vu son vermicelle Michèle ? C’est sûr que lorsqu’on a ça entre les cuisses ça doit nous chatouiller ! »
Bernard maintenant est rouge de rage et je ne suis plus trop à mon aise devant l’arrogance de Karine.
« Viens me sucer et tu va voir salope ! »
Je me met en retrait, mais Karine me prend par le bras en m’ordonnant :
« Michèle ! Va le sucer toi qui adore ça ! Moi j’vais juger du développement de son spaghetti ! »
Merde, elle est tarée ? J’aurai dû voir arriver l’embrouille. Je m’insurge.
« Ca va pas Karine ? C’est toi qui a fais dé****r le débat, alors assume. »
Elle me regarde avec des yeux que si c’étaient des pistolets, je serais fusillée sur place.
« Discute pas ! Suce le ! »
Je m’avance timidement vers Bernard. Je tente de garder mon calme et un tant soit peu de dignité. D’une main timide, je touche son engin. Tous me regarde et attende de voir si je vais oser le faire. Karine m’encourage de son côté et Bernard reste muet.
« Ah vraiment, comme c’est touchant de vous voir tout les deux. »
Je ne quitte pas des yeux son sexe flasque et ouvre la bouche pour tenter de dire quelque chose de spirituel mais rien ne vient. Je suis comme tétanisée et pourtant j’ai une habitude certaine pour les situation scabreuses. Bêtement je demande :
« Je dois vraiment… ? »
Ils rigolent tous, sauf Bernard et moi qui nous sentons un peu comme des cobayes de laboratoire. Karine s’approche de moi et me murmure à l’oreille :
« Allez Michèle fais pas ta timide. Je sais que tes capable de bien plus qu’une petite pipe de rien. Et je te promet une surprise après. »
Je la regarde d’un air ahuri et je m’agenouille devant Bernard qui aussi gêné que moi regarde droit devant lui. La perspective de ma contribution à l’estimation de la taille du zizi de Bernard commence à me faire mouiller malgré cette honte qui m’envahit de faire la chose en public. Je soupèse ses testicules et commence un petit va et vient avec ma main. Son sexe prend doucement du volume. De mon autre main, je lui griffe légèrement les couilles de mes griffes rouge sang. Karine la ramène encore en disant aux autres :
« On voit que Michèle a de l’expérience en la matière ! »
Bernard lui rétorque :
« Ta gueule Karine ! Tu perds rien pour attendre ! »
Je lui lèche les couilles et en gobe une. Cette foi, Bernard est raide comme la justice. Son sexe n’a plus rien à voir avec, la petite machine de tout à l’heure. Karine avec sa gouaille, en reste bouche bée en voyant les dimensions de l’engin. Quand je remonte sa hampe avec ma langue avant de la prendre dans la bouche, Bernard pousse un soupir de contentement. Je me détend et ne pense plus aux autres qui ne manquent pas une miette de ma fellation. Maintenant c’est l’experte qui s’active sur le pieux de ce grand mâle comme une femelle en chaleur. Karine reprend de la superbe en me demandant :
« Alors, comment tu le trouves ? »
Je ne prends pas la peine de répondre et aspira d’un coup la moitié de ma bite. Elle est si longue que j’hésite un instant à faire une gorge profonde et me lance, gourmande, en m’étranglant sur son dard. Il pousse un gémissement caverneux et Karine, sur un ton de jalousie me lance :
« He !!!! Vas-y doucement ! C’est bon arrête maintenant. On a vu que Bernard ne mentait pas sur la taille de son machin ! »
Bernard est aux anges. Je mouille comme pas possible et si nous n’étions pas devant tout le monde, je lui demanderais bien de me fourrer la chatte. Karine s’énerve et m’ordonne :
« Mais arrête te dis-je ! Tu vas le faire jouir ! »
Mais je ne l’entends pas ainsi. D’un regard de feu je lui lance :
« Non, je le termine ! Les gars, occupez-vous de Karine ! Ca va lui faire du bien. »
Karine médusée de perdre son pouvoir, se retrouve avec quatre mecs surexcités qui la déshabillent en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, alors que je reprends avec gourmandise ma fellation. je veux le sentir venir sur ma langue et avaler son jus. J’accélère la cadence. Karine, submergée par les mâles en ruts, se retrouve rapidement prise par tout les trous. Les gémissements résonnent dans cette grande salle des fêtes vide. Alors que les soubresaut annonciateur de l’éjaculation de Bernard parcourent ma bouche, je sens derrière moi quelqu’un qui relève ma robe, baisse ma culotte et un bite bien dure s’enfonce dans mon vagin détrempé de mouille. A ce moment, j’ai un orgasme en même temps que Bernard joui dans ma bouche et que j’avale chaque giclée de son sperme chaud et gluant. Je garde un peu son membre dans ma bouche et commence à le nettoyer avec ma langue tandis que l’autre me bourre fermement la chatte. Dans un dernier coup de boutoir, le mec se colle à moi et dans un grognement ridicule, il se lâche au fond de mon vagin. Mes deux amants m’offre un verre et comme dans un film ils me disent :
« Alors ? Heureuse ? »
Nous éclatons de rire en regardant l’instigatrice involontaire de cette partouze improvisée se faire saillir de tout les côtés.
Karine entre leurs main ressemble à une poupée de chiffon. Les queues vont et viennent dans sa chatte son cul sa bouche. Ils la pilonnent tous avec une telle force que ses seins ballottent dans tout les sens. Ils ont de belles bites. Karine ne peut même pas s’exprimer sa bouche étant toujours occupée par une verge active. Petit à petit, les mecs se lâchent dans Karine qui est prise de convulsions dans un orgasme exceptionnel la laissant pantelante.
Ils l’on baisé au moins une demi heure, sans interruption. Bernard et mon autre amant ayant repris de la vigueur devant un tel spectacle, s’avancent vers elle en disant :
« Je t’avais prévenu qu’il ne fallait pas jouer avec le feu salope ! On va te finir avec une double anal ! Comme ça tu pourra pas dire que j’en ai une petite ! »
Avant qu’elle émette la moindre protestation, Bernard l’encule direct à fond. Karine ouvre grand la bouche sans qu’aucun son ne sorte. Aussitôt, l’autre la force. Alors que Bernard c’est introduisit directement dans son cul avec facilité après avoir été bien dilaté et avoir pris plusieurs éjaculation au fond de son trou, L’autre queue a plus de mal à rentrer. Karine les yeux révulsés grimace et se pâme. Le deuxième sexe s’enfonce avec lenteur jusqu’à la garde. Les deux hommes commencent à se mouvoir en elle lentement. Bernard se répand le premier au fond de ses intestins. Il se retire et vient vers moi pour que je lui nettoie sa verge souillée et ramollissante. L’autre gars éjacule à son tour mais reste planté dans le cul de Karine. Des larmes de douleurs et de plaisir coulent sur les joues de Karine alors que les mecs lui disent en rigolant :
« Tu vois ! Nos queues t’ont fait gueuler comme une grosse salope ! »
Dans un état second, je l’entends les remercier de l’avoir baisé ainsi.
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