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Le pari (gagnant pour qui ?)

Le pari (gagnant pour qui ?)



Avez-vous déjà été l’enjeu ou l’objet d’un pari ?

Nous étions invités à une soirée chez des connaissances mais Paul ne pouvait se libérer et il m’a demandé d’y aller seule. J’avais revêtu une robe mi-longue sous laquelle je ne portais rien comme d’habitude.
Sans être un  » canon « , je suis assez mignonne (d’aucuns diront baisable) avec une petite poitrine et un sexe toujours bien épilé qui renforcent mon image de jeune fille malgré mon âge.
Il y avait environ une quarantaine de personnes et je crois que je devais être la seule femme non accompagnée mais ça ne me gênait pas car je connaissais beaucoup de monde.
Au cours de la soirée, j’ai eu l’impression d’être l’objet d’une certaine curiosité de deux hommes (accompagnés de leur épouse je suppose). Ils n’arrêtaient pas de lancer des regards vers moi.
Les femmes se sont éloignées et les deux hommes se sont rapprochés de moi.
Sans scrupule, un d’eux m’a dit qu’il avait parié avec son copain que je ne portais pas de soutien-gorge.
Amusée, j’ai répondu qu’il avait gagné. Il m’a alors demandé si c’était possible de le vérifier. J’ai eu l’impression que c’était une technique bien rodée par ces deux hommes pour  » se faire une femme « .
J’ai accepté de les suivre dans une autre pièce en mettant une condition : on regarde mais on ne touche pas. J’allais m’amuser un petit peu.
Ils m’ont emmenée dans un salon qui devait servir de salle de lecture. Il y avait une grande bibliothèque et quatre fauteuils.
Je leur ai proposé un autre marché. Pour voir mes seins, ils devaient faire monter des enchères et quand j’estimerai la somme suffisante, j’accéderai à leur envie.
Je me suis installée dans un fauteuil en faisant bien attention de ne pas dévoiler mes jambes. Ils se sont mis en face de moi et ne pouvaient pas voir que je ne portais pas de petite culotte.
Les enchères ont commencé. Quand la somme m’a paru correcte, j’ai doucement défait les bretelles de ma robe et j’ai dévoilé ma poitrine. Ils ont voulu s’approcher mais je leur ai rappelé les conditions.
Sans leur laisser le temps de réagir, je leur ai proposé une nouvelle enchère pour enlever entièrement ma robe voir plus.
Ils tenaient à en voir plus et peut-être en profiter. Les enchères se sont poursuivies jusqu’à une somme d’argent assez conséquente. Je me suis levée et ma robe est tombée à mes pieds. J’étais entièrement nue devant eux. Ensemble ils ont dit : elle ne porte pas de culotte et en plus elle est complètement épilée.
La tension montait et je leur ai fait une nouvelle proposition : le montant des enchères contre leurs vêtements.
Un peu surpris, ils n’ont pas hésité à se déshabiller ce qui confirme bien ma première impression qu’ils avaient l’habitude de draguer et  » se faire une femme comme ça « .
Je me suis assise dans le fauteuil en face d’eux, j’ai écarté les jambes et j’ai commencé à me caresser, d’abord en surface puis j’ai introduit un, deux puis trois doigts dans mon vagin.
Je me suis masturbée devant eux. Ils ont bien essayé une nouvelle approche mais je les ai repoussés.
Ils se sont masturbés et quand j’ai senti qu’ils étaient prêts à éjaculer je leur ai dit de venir jouir dans ma bouche. Ils ne se sont pas faits priés. J’ai avalé leur sperme à tour de rôle sans en perdre une goutte.
J’ai remis ma robe et je leur ai proposé une nouvelle enchère pour me  » baiser « .
Les enchères sont montées très haut. J’étais satisfaite du résultat.
Et contre toute attente, j’ai quitté la salle en leur disant que je n’étais pas une  » pute  » qu’on achète et qu’ils pouvaient garder leur argent. Tel est pris qui croyait prendre.
La soirée aurait pu s’achever normalement si ce n’est qu’un des deux hommes est revenu vers moi et m’a glissé à l’oreille que j’étais une  » salope « .
Je lui ai proposé de voir ce qu’était une  » salope  » et je lui ai demandé de me rejoindre tout seul dans le salon. Il méritait une bonne leçon.
Il m’a suivie. J’ai fait glissé ma robe et il s’est déshabillé. Il n’était pas mal et avait un sexe de belle taille, pas très gros mais long.
Je l’ai pris en bouche. Je le sentais qui gonflait sous mes coups de langue. Je l’ai enfoncé entièrement au fond de ma gorge. Je le sentais prêt à jouir.
Je me suis mise à quatre pattes au sol. Il est venu derrière moi. Sans hésiter, je l’ai pris en main je l’ai introduit dans mon sexe. Je donnais de grands coups de reins afin qu’il s’enfonce bien. Il n’a pas pu résister longtemps et à joui.
Sans lui laisser le temps de récupérer, je lui ai dit de se mettre par terre sur le dos. J’ai pris son sexe en bouche afin de lui redonner un peu de vigueur. Pendant ce temps, je préparer mon anus. Quand je l’ai senti prêt, je me suis accroupie sur lui et je me suis empalée sur son sexe. Il s’est introduit facilement entre mes reins. Surpris, il a joui en peu de temps.
Je l’ai repris en bouche. Il avait du mal à bander. Il commençait à monter des signes de fatigue (c’était quand même la quatrième fois en peu de temps).
Avec beaucoup de mal, j’ai réussi à le sucer et à le faire jouir une nouvelle fois. Il n’en pouvait plus. Je me suis habillée et je l’ai laissé affalé sur un fauteuil. Il venait de savoir ce qu’était une « salope » à ses dépens.
En sortant j’ai vu l’autre homme et je lui ai que son copain avait des problèmes et j’ai quitté la réception.

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