Quelle ne fut pas ma surprise le lendemain midi de voir apparaître sur ma boite mail un message que je pris au départ pour un spam avant de réaliser qu’il s’agissait sans aucun doute du message de la connaissance de mes deux vieux de la veille, « clients » dont mon petit trou s’était souvenu tout au long de la soirée au vu de la souffrance que j’avais enduré en marchant pour revenir chez moi et ensuite une fois couchée dans mon lit.
Effectivement, après une rapide présentation de sa personne, de son âge, 45 ans, il me proposait de fixer rendez-vous pour l’après-midi même en me précisant qu’il passerait me prendre en voiture à l’endroit de ma convenance. Devant garder mon petit frère tout l’après-midi, ma mère étant au boulot, je dus décliner sa proposition et lui proposais de remettre ce rendez-vous au samedi, ce à quoi il me répondit qu’il ne pouvait pas car il était avec sa famille. Les vacances se terminant le dimanche, j’aurais beaucoup moins de possibilités mais nous convînmes de nous donner rendez-vous le lundi à 17h, soit après les cours en ce qui me concerne, devant un café où il me récupérerait en voiture. A priori, les deux vieux lui avaient vanté ma beauté et mon corps et il souhaitait juste que je le suce pour ce premier contact, ce qui me convenait tout à fait. D’autant que nous nous étions mis d’accord pour 50€.
Le lundi matin, réveil de bonne heure car il y a cours. Je suis contente car je vais enfin retrouver Sandrine que je n’ai pas vu depuis le mardi et notre moment très câlin toutes les deux après notre expérience avec les deux viocs. Comme le temps s’est un peu rafraichi, je mets un jean au-dessus de ma culotte (toujours pas eu le temps d’acheter de la lingerie digne de ce nom), un chemisier au-dessus de mon soutien-gorge et une veste pour finir.
Arrivée devant le lycée, je suis accueillie par Sandrine et un délicieux baiser sur la bouche qui me surprend un peu car donné en public, devant toutes les filles et garçons du lycée qui, bien évidemment, l’ont remarqué. Sandrine me glisse à l’oreille qu’elle a envie de moi et qu’elle m’attend à midi devant les toilettes.
Evidemment, je ne fus pas très attentive aux cours de la matinée, mon esprit vaguant à la perspective de notre rendez-vous de midi avec Sandrine mais aussi compte-tenu du rendez-vous du soir avec un nouvel inconnu, même si nous avions échangé par internet, et tentant de faire un bilan de tout ce qui s’était passé pour moi depuis mardi dernier.
Enfin midi arrive et je me rue aux toilettes des filles. Sandrine m’attend déjà devant la porte. J’en profite pour sortir de mon sac de cours le cadeau que je lui ai acheté le samedi (un bracelet qu’elle m’avait dit bien aimer) et lui offrir. Elle est ravie et cela me vaut un magnifique baiser langoureux devant la porte des toilettes. Puis Sandrine me dit de la suivre, nous entrons dans les toilettes et nous enfermons dans le WC du fond. Le désir de Sandrine n’est pas feint. Elle me dévore littéralement la bouche tout en parcourant tout mon corps de caresses avec ses deux mains. L’excitation monte en moi. Sandrine a déjà passé sa main droite sous mon chemisier et commence à me caresser les seins au travers du tissu du soutien-gorge. Je sens mes têtons durcir comme jamais. J’avais tellement hâte de ce moment. Sa main gauche descend sur mes fesses, les caresse avant de les pétrir. Puis sa main se dirige sur l’avant et masse mon sexe au travers du jean. Je commence à mouiller comme une folle ! Elle me déboutonne le jean, le dézippe puis passe sa main à l’intérieur. Je sens cette main qui me caresse ma petite chatte au travers de la culotte, culotte qui est déjà bien mouillée.
– Monte sur la cuvette me dit-elle
Le rabat de la cuvette étant fermé, je monte dessus. Elle m’abaisse mon jean et ma culotte puis me demande de m’agenouiller, ce que je fais. Elle se met accroupie et commence à me caresser ma chatte avec sa main avant de venir y mettre sa langue. Je me tiens avec les mains aux deux parois de part et d’autre des WC pour ne pas tomber et commence à devenir haletante au fur et à mesure de ses coups de langue sur mon sexe. Bien que l’endroit ne soit pas des plus intimes, je ne peux m’empêcher de pousser des petits cris d’extase à chaque coup de langue de Sandrine. Nous ne sommes pas discrètes et quelqu’un pourrait nous entendre. Enfin, une vague de plaisir m’envahit alors que mon sexe se gorge de cyprine que Sandrine s’empresse de récupérer avec sa langue.
– Que c’était bon ! m’écrie-je
– J’en rêvais depuis mardi dernier ! me dit Sandrine
– C’est pas bientôt fini les lesbiennes ! entendons-nous depuis l’intérieur des toilettes
– Jalouse ! crions-nous toutes les deux en éclatant de rire
Après cette séquence passionnée suivie de tendresse via nos baisers respectifs, nous sortons de nos WC après nous être assurées que la jalouse était partie et que plus personne n’était aux toilettes puis courrons à la cantine car ce petit quart d’heure coquin nous a mis en appétit. Sandrine me demande si je ne veux pas repasser chez elle après mes cours mais je lui réponds que j’ai un rendez-vous et lui explique toute l’histoire depuis le mardi où nous nous sommes quittées. Elle est littéralement scotchée.
– Ouah, ma chérie ! Toi qui n’avais jamais touché une queue jusqu’à mardi dernier, tu t’es sacrément dévergondée en moins d’une semaine !
– Ces rendez-vous ne me procurent pas autant de plaisir que lorsque je suis avec toi mais j’ai trouvé là un moyen assez facile d’arrondir les fins de mois. On est bien foutues toutes les deux alors, comme nous ont dit les deux viocs, autant en profiter !
– Fais gaffe quand-même Chloé ! Tu m’appelles après ton rendez-vous de ce soir.
– Promis !
Sur ce, nous nous quittons après un nouveau baiser avant d’aller rejoindre nos classes respectives.
L’après-midi me paraît très long, je suis très peu attentive au cours. Enfin, la cloche sonne. C’est la fin des cours pour la journée ! Il est 17h. Je me rue à l’extérieur afin de rejoindre au plus vite mon lieu de rendez-vous qui n’est vraiment pas loin. J’arrive devant le café devant lequel nous devons nous retrouver. Il n’y a personne. J’attends donc quelques minutes. Enfin, je vois une voiture noire (il m’avait précisé rouler en voiture noire, une C5 si j’ai bonne mémoire) tourner dans la rue et ralentir devant moi avant de s’arrêter. Oui, c’est bien mon « client ».
J’ouvre la portière passager de la voiture.
– Vous êtes Chloé ? me demande le conducteur
Putain, merde ! Je connais ce mec, c’est le père d’une fille de mon lycée. Et en plus, nous étions copines quand nous étions plus jeunes, je suis même allée chez eux. Et c’est là que je l’avais croisé. En plus, il connaît ma mère car elle était venue me rechercher plusieurs fois chez eux et aussi dans le cadre des réunions du lycée. Heureusement, elle n’a pas souvent le temps d’y aller. Que faire ? M’enfuir en courant ? Il va se demander pourquoi je pars ainsi et il pourrait le dire à ma mère. Remarque, ça fait plus de deux ans que je ne suis plus copine avec elle et donc que je ne suis pas allée chez eux, il m’a peut-être oublié ! Il faut dire qu’elle est devenue très conne et un peu pimbêche. En plus, elle, c’est radio-moquette ! Toujours à faire courir des bruits sur les mecs et les filles du lycée. Donc, on ne se parle plus beaucoup.
– Oui, c’est moi Chloé !
– Monte !
Je m’installe donc sur le siège passager avant et ferme la portière. La voiture repart.
– Tu es vraiment très jolie Chloé mais dis-moi, on ne s’est pas déjà rencontré ?
Merde ! Il m’a reconnu !
– Non, je ne vois pas ! dis-je sans conviction
– Si, si ! Je suis sûr de t’avoir déjà vu ! Je n’oublie jamais un joli visage. Attends, la mémoire va me revenir. Ah si ! J’y suis ! Tu n’es pas une copine de cours de Tiphaine ?
Tiphaine, c’est sa putain de fille ! Il m’a reconnu ! La tuile !
– Si !
– Oui, la mémoire me revient ! Tu venais chez nous avant ? Mais ça fait longtemps ! Je me rappelle très bien de toi maintenant. Je t’avais toujours trouvé très séduisante mais je dois avouer que tu es devenue encore plus jolie, une magnifique jeune fille !
Il faut dire que Tiphaine, sans être moche, est loin des canons de la beauté ! Blonde, yeux bleus mais un peu potelée. Pas grosse mais quelques kilos en trop !
– Merci Monsieur !
– Si je comprends bien, tu uses de tes charmes pour arrondir les fins de mois ! Mais dis-moi, vous êtes beaucoup au lycée à faire ça ?
Houla ! Il y en a un qui s’inquiète pour la moralité de sa fille ! S’il savait ! Certes, à ma connaissance, Tiphaine ne se prostitue pas mais par contre, elle a une sacrée réputation au lycée. Il paraît qu’à une soirée où je n’étais pas, elle avait un peu abusé de l’alcool et était donc saoule. On m’a dit qu’elle avait sucé les bites de plusieurs mecs au cours de cette soirée et que certains y auraient même trempé leur biscuit… Comme quoi, sous ses airs de sainte-nitouche…
– Non, je le fais juste avec ma copine Sandrine
– Ah ! (je le sens soulagé)
– Tu as besoin d’argent, c’est ça ?
– Oui
– Ça doit pas être facile pour ta mère tous les jours j’imagine.
– Elle travaille beaucoup !
– Et évidemment, elle n’est pas au courant de ce que tu fais ?
– Non, elle ne sait rien
J’espère qu’il ne va pas aller lui raconter car, sinon, je serai mal !
– Bon et bien, si je peux t’aider, ce sera avec plaisir. En tout cas, je suis très heureux de te recroiser ! Cela faisait tellement longtemps que je ne t’avais pas vu ! J’ai peu de temps ce soir car je dois aller rechercher ma fille au cours de danse. Mais ceux qui m’ont donné tes coordonnées m’ont dit que tu étais une très bonne suceuse. Et que tu avais un cul d’enfer ! Alors, on va voir ça maintenant. On va aller dans un coin tranquille et tu vas me faire une pipe. OK Chloé ?
– D’accord mais je peux avoir l’argent ?
– Ah oui, c’est vrai !
Il sort un billet de sa poche et me le tend. Puis la voiture rentre dans un parking sous-terrain de la ville et descend directement au premier sous-sol. Il y a peu de voitures à cet étage. Il gare la voiture tout au bout du parking, dans un endroit assez isolé et arrête le moteur. Bon, a priori, on va faire ça dans la voiture si je comprends bien. Ça va changer de l’hôtel de luxe…
Il se penche vers moi, toujours assise sur le siège passager de la voiture, et commence à m’embrasser sur la bouche, y rentre sa langue et, pour donner le change, je le laisse jouer avec la mienne. En même temps, il commence à me caresser les seins au travers de mon chemisier puis commence à me le déboutonner tout en continuant à jouer avec ma langue avec la sienne. Sa main est toujours sur mon sein droit, protégé par mon soutien-gorge. Mais même si c’est un vieux,je sens mes seins commencer à durcir. Sa main gauche est passée derrière mon dos et a dégrafé mon soutien-gorge qui, bien évidemment, se fait la malle. Le môssieur en profite pour glisser sa main à l’intérieur de mon soutien-gorge qui vient en contact de mon sein ; je sens ses doigts qui roulent sur mon têton et l’excitent.
– Bon, Chloé, tu vas faire ce que nous avons convenu ensemble sur internet mais avant, tu vas abaisser ton jean sur tes chevilles. Je préfère qu’une fille me suce en petite culotte. J’ai envie de voir ton joli petit cul.
Je dégrafe les boutons de mon jean et l’abaisse sur mes chevilles en levant légèrement mes fesses du siège. Me voilà en culotte, le chemisier à moitié déboutonné, le soutien-gorge dégrafé, dans une voiture garée au sous-sol d’un parking public, avec le père d’une fille de mon lycée et j’avoue que je n’en mène pas large ! Il commence à me caresser les cuisses, remonte une de ses mains vers mon sexe toujours protégé par la culotte puis sa main droite se positionne derrière ma nuque et il me force ainsi à diriger ma tête vers son bas-ventre. Je suis relativement mal installée et sens le levier de vitesses qui fait pression sur mon ventre mais mes mains desserrent sa ceinture, déboutonnent son pantalon de costume et vont chercher sa bite à l’intérieur de son slip en le baissant légèrement. La bite jaillie, bien tendue et gonflée. Elle est certes plus petite que celle de l’un des deux viocs que j’ai sucé jeudi mais de bonne taille quand-même !
Etant trop mal installée dans cette voiture, je me mets à genoux sur le siège, le jean toujours abaissé sur les chevilles, puis saisis le membre déjà bien raide par la main et commence à lécher le bout du gland. Je suis obligée de passer ma main sur ma tête afin de remettre mes cheveux en arrière, ceux-ci me gênant pour pouvoir sucer ce membre. S’apercevant de cela, et de sa main gauche, le père de mon ex-copine me retient maintenant les cheveux et met une pression sur ma nuque tandis que de sa main droite, il remonte ma veste et mon chemisier afin de pouvoir caresser mon dos. Sa main continue à parcourir mon dos jusqu’à caresser mes fesses toujours protégées par ma culotte. Je sens ses doigts qui appuient bien au niveau de ma raie et descendent jusqu’à mon petit abricot qui commence à mouiller. Pendant ce temps, j’ai mis son membre dans ma bouche et commence à faire rouler ma langue autour. Rapidement et de sa main gauche, mon « client » m’impose la cadence en appuyant sur ma nuque tout en continuant à me caresser les fesses et l’entre-jambes. Sa main s’immisce d’ailleurs à l’intérieur de ma culotte, je sens le majeur qui descend le long de ma raie jusqu’à mon abricot tout mouillé. Il commence à émettre des petits râles de bonheur et de jouissance au fur et à mesure que son membre entre au plus profond de ma gorge. Enfin, je sens ce liquide chaud qui envahit ma gorge et ma bouche en même temps qu’il émet un râle plus fort. J’avale le sperme alors qu’il ne me l’a pas demandé puis reprends ma respiration avant de venir lui nettoyer le gland avec ma langue.
– Ahh ! Que ça fait du bien ! T’es douée dis-moi ma petite Chloé! me dit-il tout en continuant à me caresser les fesses à l’intérieur de ma culotte
Je me redresse et lui souris. C’est toujours agréable de recevoir un compliment ! Je me rassieds sur le siège de la voiture.
– Tu peux te rhabiller me dit-il tout en me pinçant la joue avec ses doigts. Mais je veux te revoir d’ici la fin de la semaine Chloé ! Et ce coup-ci, on se retrouvera dans une chambre d’hôtel. Je connais un petit hôtel discret, pas loin du lycée.
Je remonte mon jean et le reboutonne ainsi que mon chemisier après avoir ragrafé mon soutien-gorge.
– Oui, mais moi, j’ai école toute la semaine ! Et on fera quoi à l’hôtel ? Vous savez, je suis toujours vierge moi !
– Tu n’auras qu’à sécher tes cours ! Et rassure-toi ! Je veux juste pouvoir te caresser, te lécher ton joli petit cul maintenant que je l’ai palpé. Il m’a l’air bien ferme, il me plaît beaucoup ! Tu n’auras qu’à te déshabiller et je m’occuperai de toi. Disons vendredi après-midi ! Ça te va ?
– Je sais pas ! Oui ! Il faut que je m’arrange ! Mais vous me donnerez combien ?
– Je te propose 150 € pour une heure !
– Bon, d’accord !
– Evidemment, Chloé, tout ça doit rester entre nous ! Sinon, je serai obligé de dire à ta mère ce que tu fais ! Je t’enverrai un mail cette semaine pour t’indiquer l’adresse de l’hôtel.
– Oui, bien sûr ! Je ne dirai rien.
– Bon, je te laisse ici Chloé ! Ça ira pour toi rentrer chez toi ? Car je dois récupérer ma fille et je préférerais sortir seul du parking.
– OK ! Au revoir Monsieur !
– Au revoir Chloé !
Sur ce, il m’embrasse sur les lèvres, je sors de la voiture et me dirige vers l’accès piéton en pensant que dans moins de cinq minutes, Tiphaine va s’assoir sur le siège de la voiture sur lequel j’étais sans jamais se douter ce que j’ai fait dessus…
Ajouter un commentaire