Je suis inspecteur de police à la brigade antigang. Un samedi matin je ne travaillais pas et comme il faisait beau j’avais mis une tenue légère avec une mini et un petit T-shirt direct sur mes petits seins. Après le café du matin je m’apprêtai à sortir pour les courses quand mon copain m’a serré dans le couloir pour m’embrasser, puis me caresser la chatte en glissant sa main sous ma jupe. Il m’a excitée. J’ai quitté mon string en lui disant « suce-moi salaud ». Il s’est accroupi et m’a léché la vulve et le clito jusqu’à ce que je jouisse bruyamment debout les cuisses écartées en me caressant mes petits seins. Pour ne pas le laisser sur sa faim, je l’ai pris par la main jusqu’à la cuisine et je me suis penchée sur la table en relevant ma jupe. Il m’a prise par derrière, comme j’aime, et m’a rempli le vagin. Il ne fut pas long à avoir un orgasme car nous n’avions pas baisé depuis trois jours.
Je suis partie faire les courses en rabattant juste ma jupe et en me disant qu’avoir le cul à l’air ne serait pas désagréable. J’ai commencé par passer à l’agence bancaire du coin pour retirer de l’argent au guichet situé dans l’agence. Alors que j’allais ressortir trois hommes masqué armés sont rentrés et ont crié « tout le monde se couche ». En une minute ils ont raflé la caisse puis en se repliant m’ont prise en otage pour couvrir leur fuite. Dehors une grosse berline noire attendait moteur tournant avec un conducteur au volant masqué par un foulard des lunettes et un chapeau. Ils m’ont fait monter à l’arrière entre deux hommes, le troisième s’est mis à l’avant à côté du chauffeur. L’homme à côté de moi m’a dit « penche-toi, la tête sur les genoux et les mains dans le dos » puis il m’a mis des menottes et un sac sur la tête en ajoutant « reste comme ça sans bouger. Au bruit du moteur la voiture roulait vite. On a rapidement changé de voiture mais je ne voyais rien. J’ai entendu un des hommes dire « vas-y mets de feu » et j’ai pensé qu’il faisait brûler la première voiture.
On est reparti et un des hommes de devant a dit passe-moi son sac faut qu’on jette son téléphone et j’ai entendu la vitre s’ouvrir. L’homme repris « je prends son fric » puis ajouta « dis donc t’a pas vu ça, cette poulette est flic, c’est le comble ». J’ai craint le pire car il avait vu ma carte de police. Le dialogue entre eux a repris « Elle est gaulé la salope, je lui ferai bien une fouille au corps ». Ils m’ont redressé sur le siège toujours la tête sous le sac. J’ai senti deux mains sur mes seins pendant qu’une autre remontait sur ma cuisse. Le chauffeur leur a dit « déconnez pas, ce n’est pas le moment » si vous voulez jouer avec elle, attendez qu’on soit à la planque ». Celui qui touchait ma cuisse a retroussé ma jupe en disant « on va se rincer l’œil en attendant » puis « putain la salope, elle n’a pas de culotte, ça doit être une chaude ». Ils rirent aux éclats et une main se mit direct sur mon sexe qui était épilé. L’homme dit aux autres « en plus elle mouille déjà la garce et elle a la chatte toute lisse ». Mais le chef intervint « j’ai dit quand on sera à la planque ».
Le trajet a duré et on a de nouveau changé de véhicule. Leur fuite était bien organisée. Je reconnaissais une équipe de pro. Nous sommes arrivés. On m’a fait descendre dans une cave et ils m’ont libéré les mains pour en attacher une à une tuyauterie avec les mêmes menottes. Les hommes sont remontés sauf celui qui semblait être le chef. Il m’a enlevé le sac car lui avait encore sa cagoule. Il m’a regardé puis m’a soulevé le T-shirt et la jupe et m’a dit « c’est vrai que t’es bien gaulée poulette, moi je n’aime pas forcer les filles mais si t’es bien gentille on te libérera sans t’abîmer». Puis il me laissa en ajoutant « pas la peine de crier, personne ne peut t’entendre ». Je suis restée ainsi longtemps. Je m’étais assise sur le sol. Il avait mis une bouteille d’eau près de moi. Quand je l’eu fini j’ai pensé « il doit faire nuit maintenant » et je me suis assoupie.
J’ai été réveillé par des coups de feu et des cris puis un homme est descendu. C’était un collègue qui m’a dit « ça va Corinne, tu n’as rien, on les a tous arrêtés ». Puis il a coupé les menottes et on est remonté. Les quatre hommes étaient à plat ventre menottés dans le dos et cette fois sans leur cagoule. Ils m’ont regardé. Je leur ai dit « alors la salope elle vous a bien baisé ». Ce qu’ils ne savaient pas c’est que j’avais une balise GPS glissée dans la housse de ma carte de police.
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