ENTRE LES MAINS D’UN COUPLE PERVERS
Il serait peut-être temps de faire un petit bilan après l’après-midi torride passé avec Lucette et Séverine. Après-midi riche d’enseignements, certes, mais quelques peu perturbant.
Sur le plan scolaire : J’ai bien compris que si je tiens à conserver une certaine liberté, mes résultats scolaires doivent rester sensiblement les mêmes. Ma moyenne du trimestre est à peu prés identique que précédemment. C’est à dire plutôt satisfaisante !
Sur le plan sexuel : Je commence à comprendre qu’il ne s’agit pas d’une simple aventure entre une vieille cougar avant l’heure et un jeune ado déluré, mais de quelque chose de plus complexe. Me reviennent des expressions comme : « On ma donné pour consigne de ne rien précipiter », par exemple. Qui est ce « On »? Un individu, un groupe ? Je commence bien à avoir une petite idée mais, patience, attendons de voir ! En attendant, je prends un pied pas possible.
Au départ, je pensais avoir une attirance particulière pour ma vieille copine, mais l’aventure avec Séverine m’a prouvé qu’en vérité j’aimais tout simplement, la bite, la branlette et la jouissance.
« Peu importe le flacon, du moment qu’on ai l’ivresse ! » Je ne connaissais pas encore cette expression, mais j’en était l’illustration parfaite.
Bien sur, j’aurai toujours une tendresse particulière pour celle qui m’aura, la première, initié au jeux du sexe, mais n’importe quelle femme, même vieille et moche, peux me faire jouir.
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Nous approchons de la fin juin. Pendant les vacances, j’aurai encore plus de liberté. J’irai régulièrement à la piscine car le fais partie du club de natation. Cette appartenance est un gage de liberté. Je suis censé passer toute la journée sous la surveillance du club. En vérité, il me suffit d’être présent à l’heure de mon entrainement et le reste du temps, je dispose de mon temps comme je l’entends.
En attendant , me voilà de retour chez Lucette. Sur le pas de la porte, je l’ embrasse comme un petit fils embrasserais sa grand-mère. Sitôt la porte fermée, je prends possession de sa bouche. Aujourd’hui, plus de timidité. Ma langue s’insinue dans sa bouche et nous nous délectons à échanger nos salives. Évidemment, je bande comme un fou, ce qui ne peut lui échapper. Je l’attire déjà sur le canapé mais elle résiste et me dit :
– »Tu ne veux pas apprendre de nouvelles choses ? Savoir donner du plaisir à une femme, par exemple ! »
Jusqu’à maintenant, tout ce qu’elle m’a fait découvrir est source de plaisir, de fortes jouissances. Elle me prend par la main et m’entraine vers ce qui semble être la chambre à coucher.
Cela s’avère être forcément une chambre à coucher . . . mais une chambre conjugale. A certains détails, la présence d’un homme est évidente. Et s’il était appelé à revenir à l’impromptu ?
Je m’en inquiète auprès de Lucette.
Elle balaye mes inquiétudes d’un revers de main :
-« Ne t’inquiète donc pas, il est très très bien où il est, tu peux me croire ! »
Sur, que je pourrais la croire !
J’aurai du être interpellé par le fait que la chambre était brillamment éclairée, trop brillamment. Qu’une musique douce se faisait entendre, pouvant dissimuler le ronronnement d’un moteur de caméra et le déclenchement d’un appareil photo par exemples.
Mais, dominé par mes sens en ébullition, je ne veux rien entendre, rien comprendre.
Ce n’est que plus tard que j’apprendrai que depuis le début je suis filmé et photographié à mon insu, que les clichés et les bobines de film sont promptement développés par un pro et que ma nudité et ma sexualité sont offertes en pâture à de vieux pervers, aussi bien hommes que femmes.
Me voici au milieu de la chambre. Lucette entreprend de me dénuder totalement et me fait tourner sur moi-même, soi disant pour admirer mon jeune corps. En vérité, j’offre celui-ci à l’objectif de la caméra, donc aux voyeurs qui ne vont pas manquer de se donner du plaisir en me regardant.
Puis elle me fait assoir dans un fauteuil.
-« Tu peux te toucher pendant que je me déshabille, mais interdiction de jouir avant que je ne te le dise. Je vais t’apprendre à te retenir pour avoir la possibilité de donner un orgasme à ta partenaire. Et tu verras, ensuite, ton propre plaisir en sera accru. »
A son tour, plantée au milieu de la pièce, elle quitte rapidement son chemisier et sa jupe. Elle reste en soutien gorge et en slip. Je peux pleinement apprécier pour la première fois une splendide paire de seins, certes un peu tombant mais entre lesquels j’ai envie de me perdre. J’admire également le renflement de son slip entre ses cuisses et ne suis pas effarouchés par les quelques poils s’échappant de la culotte.
Elle s’allonge sur le lit et passe sa main sur son slip entre ses cuisses. Nous restons ainsi, quelques minutes, à nous caresser doucement l’un devant l’autre.
Puis elle m’invite à la rejoindre sur le lit. J’ai l’impression de me coucher auprès de ma grand-mère d’autant plus qu’elle me prend tendrement, amoureusement dans ses bras. Je me plaque contre elle, le gland décalotté collé à sa cuisse. petit à petit elle me bascule sur elle et me prend la bouche. Nos langues ont tot fait de jouer ensemble pendant que je me frotte sur elle.
Je me retiens de jouir, voulant lui obéir et faire durer le plaisir. Pourtant, il faudrait peu de chose pour que je crache ma purée sur elle. Mes lèvres quittent les siennes et je descend le visage à hauteur de sa poitrine.
La peau est flasque, ridée mais douce et parfumée. C’est ce qui m’excite.
La mienne est ferme, lisse, également parfumée. C’est ce qui l’excite.
Je lui mange les seins, lui tête les tétins. Je me perds entre ses deux grosses miches. Elle ronronne de bonheur. De sa main en appui sur ma tête, elle me fait comprendre de continuer à descendre. Maintenant, ma bouche est sur son ventre légèrement bombé. Ma langue se perd dans son nombril.
Je sais bien qu’elle aimerait que je continue ma descente, mais j’ai soudain envie de frotter mes couilles sur elle. Pour cela, je me redresse. Je frotte mes glandes sur son nombril et branle ma bite juste sous ses seins. L’idée me vient de glisser mon zizi tendu entre les deux globes, sans savoir que je réalise ma première « cravate de Notaire ». Je manque encore de vocabulaire libertin, mais pas d’idées.
Elle me laisse faire avec bonheur. Prenant ses seins à pleine mains, elle m’offre la possibilité de mimer l’acte d’amour entre ses deux globes. Comment je réussi à ne pas exploser ? Tout simplement par la promesse de délices encore plus grandes.
Elle pose ses mains sous mes fesses et part à la recherche de mon petit trou. Lorsqu’elle l’a trouvé, elle se contente de maintenir un doigt à l’entrée de mon petit cul. Mes mouvements de reins, exécutés pour me branler entre ses seins sont suffisants pour que sa première phalange entre naturellement. Loin de trouver cela déplaisant, j’ai tendance à accentuer la pénétration.
-« Tu aimes mon petit enculé ? Oui, je le sens bien que tu adores te faire mettre un doigt dans le cul. Et pour l’instant, ce n’est qu’un doigt. Plus tard . . . »
Sentant que je suis sur le point de jouir, je redescend ma bouche sur son ventre. Ouf, c’était moins une que je ne tienne pas ma parole.
Je me frotte la bite sur sa cuisse droite. Elle prend ma main et la guide vers sa culotte. Ma main a tot fait de franchir l’élastique de la culotte et s’immisce doucement entre ses poils généreux. Son mont de vénus me semble grandiose. Je pars à la recherche de la fente. Enfin, je la trouve. Je glisse un doigt dans son trou mignon. Mon doigt semble perdu au milieu de cette caverne chaude et humide. Caverne qui as du en voir défiler des bites. Je pourrai certainement glisser deux, trois voir quatre doigts, sinon toute la main. L’idée m’effleure d’essayer un jour ! Et pourtant, je n’ai encore jamais entendu parler de « fisting ».
-« Huummm », gémis-t-elle. « Remonte doucement le long de la fente jusqu’à ce que ton doigt rencontre un petit bouton. Tu le masseras doucement. C’est ainsi que toute les femmes jouissent à tous les coups ».
Mon doigt plaisir parcours la fente humide jusqu’à la découverte de son clito.
-« Là, tu y es, mon chéri. Vas-y, masse ! Donne moi du bonheur. »
Effectivement, je masse doucement la petite boule de chair, sensible au possible. Lucette ronronne doucement sous mes caresses. Elle gémit.
-« Viens m’embrasser ! Fait bien jouir la grand-mère, ta grand-mère ! Imagine que c’est celle-ci que tu branles. Ton plaisir sera encore plus grand ».
-« Quand tu me sentiras vibrer, je t’autorise à te déverser sur ma cuisse ».
Je l’embrasse goulument. Elle halète. je me frotte comme un forcené sur sa cuisse. J’éprouve un plaisir indescriptible.
-« Aahh, aahhh oui, tu branles bien. Tu m’excites, la situation m’excites. Aaahhh, je jouis, je jouis, je jouis. T’arrête pas. Branle ! Branle ! Branle ! je sens ta bite toute dure contre ma cuisse. Ouuiii, tu coules. Tu te roules dedans. C’est dégueulasse ! Délicieusement dégueulasse. Étale ton sperme ! »
Je me frotte vigoureusement contre son corps, étalant mon sperme, en en mettant partout. Sa jouissance retombe doucement, tout doucement. Mon doigt reste enfoui dans sa vulve.
Nous nous embrassons à nouveau sur la bouche. Elle me saisit la bite et éprouve un grand plaisir à étaler tout le sperme sur nos corps.
-« Y te reste plus qu’à nettoyer tout cela ! »
-« Ok ! Où est la serviette ? », je lui demande.
-« T’as une langue, pas pour demander, mais pour lécher ! », me dit-elle sans rigoler. Et en même temps qu’elle dit cela, elle quitte sa culotte.
J’ai compris ! De ma langue, je commence à laper son corps, buvant mon sperme par la même occasion. Pas de fausse pudeur, quel jeune mec n’a pas goûter à son sperme lors de ses premières éjaculations. Je lui lèche les cuisses, le ventre et de sa main, elle oriente ma bouche vers son entre-cuisses.
Cela sent bon la femelle en chaleur, la cyprine apprendrai-je plus tard. J’aime cette odeur mélangée à celle de mon sperme. Je prends goût ainsi à l’odeur du foutre. Ma langue parcours le même chemin que mon doigt tout à l’heure. Tout d’abord, elle pénètre sa vulve, s’insinue le plus loin possible, récoltant tous les sucs qui me sont offerts. Ensuite, quand tout me semble propre, elle remonte lentement la fente. Il me semble évident de donner des petits coups de langues sur les lèvres.
-« Oohh, oui ! » dit Lucette sentant glisser ma langue contre ses lèvres. Enfin, ma bouche atteint son petit bouton d’amour, bouton d’amour que je suçote comme un petit bonbon. C’est fou, la petitesse de cette organe, c’est fou le plaisir qu’il peux donner.
-« Oui, là tu y es ! Oh que c’est bon !
-« J’imagine que tu es de nouveau en érection ? »
Je devrais lui dire que je n’ai jamais débandé. Sans attendre ma réponse, plus qu’évidente, elle me dit :
-« Continue de me sucer le clito, mais vient tête bêche sur moi que je te fasse une gâterie ».
-« Voilà, comme cela ! Maintenant tu vas enfoncer ton zizi dans ma bouche ! »
Je ne me fais pas prier ! Je m’enfonce le plus profondément possible dans son gosier et commence à limer. Brusquement, elle enfonce un doigt dans mon cul. Mon ventre et submergé de plaisir, a tel point que je lui gicle au fond de la gorge sans pouvoir me retenir. Pendant qu’elle tente de tout avaler, ma langue frétille de plus belle sur son clito.
-« Mmmmm !Mmmmm ! se contente-t-elle de gémir pour me faire comprendre qu’à son tour, elle joui. Le bas de mon ventre lui écrase le visage. J’ai mon dard profondemment enfoui au fond de sa gorge. Ma langue reste en contact avec son clito.
-« Argh ! » émet-elle comme son en recrachant ma queue. « Je ne pouvais plus respirer ! »
Et à ma grande surprise, elle entreprend une léchouille sur ma rosette. Ne voulant pas resté en reste, je lui lêche également l’anus. Et c’est avec une grande application de part et d’autre que nos langues s’activent. C’est tout simplement divin. Comme une gourmandise que l’on s’octroie après l’orgasme dévastateur.
Maintenant, ma langue se promène tranquillement sur son cul, son périnée, sur sa moule.
Le sommeil me gagne. Lucette me laisse à ma douce quiétude. Je m’endors calmement, la tête entre ses cuisses pendant qu’elle biberonne doucement mon zizi . . .
* * * * * * * * * * *
. . . . J’ai du m’endormir quelques minutes. Je me réveille le nez dans la touffe de Lucette. Maintenant, mon zizi est au repos et est redevenu tout petit,celui d’un enfant. Je sens juste une main, forcément celle de Lucette, qui me caresse les couilles. Je suis bien, j’ai le temps d’émerger. Je me remémore tout ce que j’ai découvert aujourd’hui.
-« Coucou ! Alors, réveillé ? »
Mon sang se glace ! La phrase à été proférée par une voix grave, une voix de mâle. Péniblement, j’ouvre un oeil et jette un coup d’œil. Et je vois deux jambes poilues. Je lève un peu le regard et je découvre une grosse paire de couilles poilues surmontée d’un sexe rigide qui me semble monstrueux, qu’une main de mec branle vigoureusement.
-« N’ai pas peur ! Je suis Robert, le mari de Lucette la salope ! Robert, celui que tu fais cocu ! Robert que tu fais bander sans le savoir. Robert, qui ai poussé Lucette à s’amuser avec toi. »
-« Ah, au fait, permets moi de te dire que tu es très photogénique et que les photos et films de toi que j’ai pu faire sont très bandants. Je te les montrerai un jour ! »
En un instant, tout s’éclaire. Je me rends compte que je me voilais la face parceque cela m’arrangeait, mais qu’au fond de moi, je ne suis pas vraiment surpris.
-« Regarde-moi quand je te parle ! »
Le ton est autoritaire. Je lève les yeux, vois d’abord un gros ventre, puis une poirtine velue. Ensuite j’aperçois son visage : visage recouvert d’une barbe blanchâtre mal rasée, et deux yeux vicieux qui semblent s’amuser. Mais je suis surtout interpellé par la position de ses bras. Le bras droit est parallèle à son corps, normal, il se branle mais le bras gauche part en direction . . . de mon bas ventre. C’est lui qui depuis tout à l’heure me caresse les couilles.
Il suit mon regard et dit :
-« Depuis le temps que tu m’excites , petit salopard, et que j’ai envie de te toucher la bite ! Tu ne vas quand même pas faire le difficile avec moi. »
Ce disant, il remonte sa main sur ma tige, prend le prépuce et tire doucement en arrière. C’est habilement exécuté et des papillons commencent à voleter au creux de mes reins. Waouh . . . je remarque que j’éprouve du plaisir avec une grande facilité du moment que l’on me touche. j’avais déjà remarqué ce phénomène avec Séverine.
Dieu sait si elle n’est pas spécialement bandante. Peau frippée, seins pendants, du ventre, une grosse babasse usée et pourtant . . . J’ai aimé jouir d’elle, dans sa bouche. San que ce soit volontaire, je commence à bander. Du coup, il redouble sa masturbation sur son sexe. Son gland turgecent prend du volume.
-« Je vais te jouir dessus, mon p’tit salop. Oh ouii, oh ouiii, mon foutre sur toi. Ahhhh ! Je viens, cela monte de mes couilles, le foutre arrive. »
Effectivement, de copieuses giclées de sperme s’écrase sur mon corps dénudé. Je ne savais pas qu’à soixante ans passés, on puisse jouir aussi fort, aussi généreusement. Tout ce que je sais, c’est qu’une onde de chaleur se diffuse sur mon corps.
Calmé, il prend étale son sperme sur ma peau. j’aime !
Il lâche ma bite, pourtant bien bandée. Je suis déconfit !
-« Tutt, tutt, calme-toi ! Nous en avons fini avec toi pour aujourd’hui mais nous te proposons de venir mardi AM vers quinze heures. Je sais que tu es disponible à ce moment. Nos te réservons de belles surprises. »
Dès le soir, la tentation est trop forte. Je m’astique jusqu’à la jouissance.
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