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Mirna et Pablo (première partie)

Mirna et Pablo (première partie)



MIRNA ET PABLO (première partie)

Mirna et moi, nous avions passé ensemble le CAPES d’espagnol. A l’époque, j’étais avec Didier et elle avec un mec d’Amérique du Sud, Julián, assez beau gosse, mais très possessif, très macho. Mirna plaisait beaucoup à Didier, qui avait toujours eu un faible pour les femmes un peu rondes…Ironies du destin, il est tombé amoureux de moi, son sac d’os, comme il m’appelait au début. La relation entre nos deux couples s’est terminé de façon brutale, un weekend de l’automne 86 ou 87. On les avait invités à diner. Didier et moi, nous n’attendions qu’une chose : une partie de jambes en l’air à quatre !
Je me rappelle même de comment j’étais habillée : une robe blanche de type Ibiza, transparente, et, à la demande de Didier, ni culotte ni soutien-gorge ; prête à l’emploi, une autre de ses phrases romantiques ! Après le dessert, nous avions préparé quelques pétards et mis de la musique… On dansait, on fumait, on rigolait… C’était super ! A un moment donné, sous les accords de Sympathy for the devil, de Rollings, Didier m’avait proposé d’enlever la robe… Comme j’ai déjà dit d’autres fois, les premières années avec Didier, j’étais très soumise, je faisais tout, absolument tout ce qu’il me demandait. Donc, je me suis retrouvée, dans la minute qui suivit sa demande, en train de danser lascivement, complètement à poil, devant le regard amusé de mon mari, celui de mâle en rut de Julián et celui, un peu paniqué, de Mirna…

Quand Didier proposa à son tour que Mirna se déshabille, la réaction de Julián nous prit au dépourvu. Il prit sa femme par le poigné et se mit à nous insulter, à me traiter de pute… C’est la seule fois dans ma vie où j’ai eu peur de ce qui pouvait se passer, car Didier avait réagi de façon très violente, aussi… Les deux hommes se sont battus, et Mirna et moi, nous avions eu beaucoup de mal à les séparer. Et nous ne nous sommes plus revus, désormais.

Quelques années plus tard, Mirna m’avait recontacté pour me dire qu’elle avait accouché d’un enfant et que son macho l’avait quittée quelques semaines après la naissance… Je lui avais répondu que j’en étais sincèrement désolée mais nous ne nous sommes pas revues pour autant… Finalement, il y a deux ans, elle m’a encore recontactée pour me proposer de passer quelques jours avec elle et son fils, dans un appartement qu’elle avait loué sur la côte. J’avais considéré la proposition et j’ai finalement accepté. Et j’y suis allée, seule, l’esprit ouvert à pouvoir enfin me réconcilier avec cette amie de jeunesse.

Les trois premiers jours m’ont servi pour apprendre plein de choses sur elle, sur sa vie, mais surtout, sur Pablo, son fils. Déjà en arrivant, j’ai tout de suite compris qu’il n’était pas « normal »… Dès que Mirna en a eu l’opportunité, elle m’a expliqué qu’il était autiste. La maladie s’était déclarée très tôt mais, ce n’est qu’à partir de l’adolescence, que certains comportements de Pablo étaient devenus ingérables, surtout en public… Notamment, son comportement sexuel. Toutes ses explications ont été nécessaires car, ignorant sa pathologie, j’étais trop vite arrivée à des conclusions erronées, au moins en partie. J’avais vu tout de suite que Pablo était tout le temps collé à sa mère, la serrait dans ses bras de façon trop proche, l’embrassait sur les lèvres à la moindre occasion… En fait, il se comportait comme un mâle qui montre à son adversaire –dans ce cas, moi- que sa femelle lui appartient. La vérité est que, les deux premiers jours, j’ai été sur le point de refaire mon sac et partir en courant de cet appartement. Mais, je ne l’avais pas fait. Je pensais que je lui devais un peu de mon temps et de ma compréhension.

Le deuxième jour, nous sommes allés à la plage. Là, j’avais découvert le corps de Pablo. Un jeune homme aux traits amérindiens, la peau bronzée…un corps très athlétique. Pendant qu’il nageait et jouait dans l’eau, Mirna m’avait expliqué certaines choses de leur intimité, les larmes aux yeux…En gros, mon amie n’avait connu d’autres hommes jusqu’au jour où elle s’était décidée de l’interner dans un centre spécialisé. Mais, ce n’était que des expériences éphémères car, dès que Pablo voyait sa mère avec un autre homme, une autre personne, il devenait très agressif… Je lui avais posé la question, très directe, sur le genre de relation qu’elle avait avec son fils. La réponse fut claire : ils étaient comme un couple ! Les weekends et les vacances, ils étaient ensemble tout le temps… Ils couchaient ensemble, mais, elle m’avait dit devant mon regard inquisiteur, il n’y avait jamais eu pénétration… Pas encore. J’étais très confuse et, à vrai dire, curieusement excitée… Toutefois, dans un premier temps, j’avais gardé un silence respectueux. Et nous nous sommes mises à bronzer jusqu’au moment où Pablo est revenu s’installer à notre côté.

Pablo s’empara de la crème solaire et il s’était mis à badigeonner le corps de sa mère. Il faut dire que Mirna portait un maillot de bain d’une seule pièce, chose qui ne permettait pas à son fils de lui passer le protecteur solaire que sur les jambes et les cuisses, et un peu sur le dos. Mais c’était suffisant pour comprendre à quel point le corps de mon amie était un terrain abonné aux caresses de son fils… Pourquoi ne m’avait elle pas demandé à moi, de le faire ? Je comprenais, alors, pourquoi elle insistait sur le fait que c’était le comportement de Pablo en public qui lui posait le plus de problème. Sa façon de la badigeonner était loin d’être chaste… Et Mirna était consentante ; c’était évident !

La plage n’était pas encore bondée de monde, mais, un simple coup d’œil autour de nous m’avait permis de voir que cette séance i****tueuse ne passait pas inaperçue… De la même façon que mon minou commençait à donner des signes de forte excitation, j’avais pu remarquer comme le caleçon de Pablo gonflé à vue d’œil. Purée ! Je me suis dit, cette histoire ne peut bien se terminer ! Ce n’était pas du tout le genre de plage dans laquelle ce genre de spectacles est « autorisé »…

Une fois la pose de crème solaire terminée, le garçon s’était allongé à côté de sa mère, comme si de rien n’était. Mirna s’était tournée et en me regardant m’avait dit que tous les jours ils changeaient de plage pour éviter les voyeurs et les commérages… Je ne savais pas trop quoi dire, la vérité. Ce deuxième jour, au moins la partie plage, s’était terminée sans d’autres « surprises ».

L’après-midi, après une sieste obligée et pendant laquelle, j’entendais Pablo et sa mère rigoler dans leur chambre, nous sommes sortis faire un tour dans le village et manger une bonne glace. Quand moins je m’y attendais, Mirna me lança :

– J’aimerais que tu couches avec Pablo.
– Pardon ? Je lui répondis.
– Oui, Sandra… Il est temps qu’il connaisse une autre femme ; je ne peux plus continuer à me comporter avec lui comme si j’étais sa femme et ne pas lui offrir autre chose que mes caresses…
– Mais, pourquoi moi ? S’il ne me regarde à peine ! A savoir s’il ne sait même pas si j’existe !
– Je sais, Sandra, je sais ; je ne te demande pas que tu entres dans la chambre et que tu le violes… J’aimerais qu’il ressente du désir pour toi, que tu l’excites petit à petit, qu’il soit capable de bander pour une autre femme que sa mère ! Tu comprends, ça, Sandra ?

Quel sacré défi ! Néanmoins, ma nature curieuse et sans tabous, fit que je me sois prise au jeu. Le soir même, j’avais commencé à développer mon stratégie de séduction. Après le repas et avant d’aller au lit, nous avions fait une partie de tarot… Pablo, qui ne parlait presque pas ni participait pas à nos conversations, nous avait mis une raclée de première (son handicap ne touchait pas la partie de son cerveau dédiée aux calculs mathématiques, bien au contraire !). Mais j’avais profité de cette occasion pour, d’abord, m’habiller avec une robe très coquine, me maquiller et me vernir ongles et orteils de rouge vif et, de temps en temps, comme qui ne veut pas la chose, poser des questions à Mirna du genre : tu n’aurais pas un bon rasoir à me prêter ? J’ai trop de poils là bas ! Ou, demain tu pourrais demander à Pablo de me badigeonner ? J’ai pris un sacré coup de soleil, aujourd’hui…Ou encore, Il n’y a pas de plage nudiste près d’ici ?

Le lendemain matin, pendant que Pablo dormait encore, Mirna me dit qu’elle ne savait pas si son fils avait « pigé » la provocation, mais qu’il avait était spécialement collant toute la nuit et qu’elle avait du « le calmer » trois fois. Quelques minutes plus tard, Pablo est apparu dans la cuisine et s’est assis à table sans dire un mot. Je le regardais. Malgré son regard fuyant et son mutisme, il était un garçon très beau. J’allais continuer avec mon plan…

Nous sommes allées à une autre plage, plus large, avec moins de monde. Comme le jour précédant, Pablo est parti se baigner. A son retour, Mirna lui avait demandé de me mettre de la crème solaire. Son fils avait eu une première réaction de refus. Il répétait « Maman ». Mirna lui caressa le visage et l’accompagna en lui donnant le protecteur :

– Pablo, chéri, Sandra est mon amie ; elle veut que tu lui passes la crème solaire; regarde comme elle est belle.

J’avais profité de ce moment où pour la première fois il fixait son attention sur moi, pour ôter le haut de mon bikini et je me suis couchée à plat ventre ; je ne voulais pas l’incommoder davantage. Sa mère le guidait et le garçon s’est bien appliqué, aussi bien qu’avec sa mère ; mes jambes, mes cuisses, mon dos…J’ai même placé le tissu de mon slip entre mes fesses pour qu’il puisse me les masser… Je lui disais :

– Hum ! Que c’est bon, Pablo !

Ensuite, je me suis retournée et il a recommencé par les pieds, les jambes, les cuisses ; et le ventre…

– Continue, chéri, lui dit sa mère, mets en sur ses seins.

A travers mes lunettes de soleil, je surveillais ces réactions. Ça se voyait qu’il n’était pas à l’aise, et je me suis sentie un peu honteuse. Mais, sa mère, avec beaucoup de douceur, l’invita à continuer… Et il me pelota les seins de façon très agréable… Un premier succès !

Le deuxième succès est arrivé dans l’eau. Nous sommes allés, les trois, nous baigner et jouer avec un ballon. Mirna et moi, nous nous le passions et Pablo devait l’att****r. Une des fois, il s’est jeté sur moi et j’ai fait exprès de ne pas lâcher le ballon.

– Prend-moi le, si tu peux !

Je me suis bien débrouillée pour que, avant d’att****r la balle, il puisse me toucher sans vergogne. Mirna me lançait des clins d’œil complices et de rires amusés… A la fin de la matinée, quand on était en train de tout ramasser pour rentrer à l’appartement, je l’ai entendu dire mon prénom, pour la première fois. Je dois avouer que ça m’avait émeut !

Le plan concocté par Mirna et moi entrait dans sa deuxième phase. Mon amie devait faire semblant de se sentir indisposée et je devais essayer de faire que Pablo accepte de sortir se promener avec moi. Je me suis habillée pour l’occasion : un short très court et serré à mes fesses et un petit débardeur, sans soutien-gorge. Mirna me considéra d’un air amusé et me dit :

– Tu sais, Sandra, j’ai toujours pensé que derrière cette image de sainte-ni-touche se cachait une vraie pute ! Comme toute réponse, je me suis pincé les tétons par dessus mon débardeur et je lui tirai la langue…

J’avais pris la voiture de Mirna et nous sommes allés, lui et moi, visiter unes ruines grecques, à une dizaine de kilomètres du village. Et là, Pablo s’est mis à parler. En fait, il m’avait donné une leçon d’histoire, en répétant mot à mot les pages du guide touristique. Je me sentais de plus en plus chaude. J’étais là, un train de jouer la pute innocente devant d’un jeune homme qui était épris physique et psychologiquement de sa mère et qui, peut être pour la première fois de sa vie, regardait une autre femme avec un zeste de désir. J’ai saisi l’occasion…

– Pablo, que penses-tu de moi ? Lui, le regard perdu vers l’horizon, ne répondait pas. Tu aimerais que Sandra te caresse comme fait ta maman ?

Toujours pas de réponse. Décidément, je n’avais jamais eu autant des difficultés pour draguer un homme ! Mais, au moins, il n’avait pas répondu que non !

En rentrant, Mirna nous attendait couchée sur le canapé. Elle nous avait demandé comment s’était passé… Elle nous avait préparé un bon repas et nous a laissé seuls, arguant qu’elle avait très mal à la tête et en ajoutant :

– Maman, elle est malade. Elle ne peut pas dormir avec toi, cette nuit…Tu peux dormir avec Sandra, elle s’occupera très bien de toi, chéri. N’oublie pas de prendre ta douche avant d’aller au lit, mon cœur… Le mutisme de Pablo était, aux yeux de sa mère, sa façon à lui de dire qu’il n’était pas contre, cette idée.

Une heure plus tard, en profitant que Pablo était enfermé dans la salle de bain, je suis entrée dans la chambre des invités, donc, la mienne, où Mirna était en train de lire un magazine, tranquillement. Je me suis assise à coté d’elle.

– Comment dois-je m’y prendre ? J’ai peur de l’effrayer… Lui avais-je demandé.
– Ecoute, fais comme si c’était moi, d’accord ? Moi, je mets une chemise de nuit et une culotte et lui, il se couche toujours avec son pyjama… Je lui souhaite bonne nuit et l’embrasse sur la bouche. Ensuite, je me retourne et il vient se coller contre moi. La plupart des nuits, il s’endorme tout de suite. Il a besoin de suivre certaines rutines. Je pense que tu dois faire pareil, au moins, pour commencer.
– Et, comment ça se passe quand il ne s’endort pas ? Lui rétorquai-je.
– Tu le sens tout de suite ! Il commence à me tripoter, le ventre, les seins, les cuisses… Je fais semblant de dormir et le laisse faire. Je sens son sexe dur taper contre mes fesses…Au bout d’un moment, il me dit « Pablo ne peut pas dormir, maman »…
– Purée, Mirna ! Et après tu dis que c’est moi la salope ! Et tu le masturbes, c’est ça, non ?
– Oui, c’est ça.
– Toujours avec ta main ?
– Hum, presque, me répondit…
– Fellations ?
– Oui, oui, oui ! Arrête tes questions, coquine !
– Hahaha ! Et il a une grosse queue, le gosse ? C’était à son tour de partir rire aux éclats.
– Tu verras !
– Mais, il doit te mettre dans un sacré état d’excitation, non ? Lui avais-je demandé en lui caressant les cuisses.
– Stop, ma belle salope ! Je ne suis pas gouine, moi !
– Hahaha ! Moi, non plus, ma belle !

La porte s’ouvrit et Pablo est apparu, habillé de son pyjama à la Rain Man, boutonné jusqu’au cou. Viens ici, trésor ! Je me suis levée et restée début à contempler ce beau spectacle de tendresse i****tueuse. Fais de beaux rêves, mon petit miné ! lui dit sa mère avec toute la douceur du monde.

Pablo est parti se coucher. Je suis passée à la salle de bain, pris une bonne douche, me parfumer et enfiler un long t-shirt qui ferait le rôle de prude pyjama. En entrant dans la chambre, il m’attendait, à moitié assis sur le lit, les mains croisées sur sa poitrine. J’ai du faire un effort pour pas me mettre à rire, tellement la situation était invraisemblable. Ensuite, j’avais éteint la lumière. Nous n’étions pas dans le noir complet, mais presque. Il fallait procéder avec beaucoup de tact pour ne pas heurter la sensibilité, toujours imprévisible, de ce garçon…

A suivre…

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