La 45ème anniversaire de Nabila approché, lui trouver un cadeau idéal et original était un très grand défi.
Les dernieress semaines quand nous faisions l’amour, la présence virtuel d’une troisième personne nous accompagnait au lit .
Alors, j’ai pensé de lui offrir un bon étalon pour ses 45 ans.
Au départ, elle était réticente à l’idée, le virtuel était excitant mais le faire lui semblait immoral, interdit (haram en arabe), mais le passé l’a attrapé et son aventure avec Houari au début de notre mariage à refait surface ( première histoire).
les jours passaient et l’idée faisait son chemin dans son esprit, le scénario se précisait à chaque baise, et chaque jouissance l’approchait un pas de plus de céder a l’idée .
A un mois de la grande soirée, elle a fini par accepter, mais avec ses conditions.
Nabila et moi, nous sommes un couple uni, elle est fine, sportive et avec une belle poitrine ronde.
Depuis une dizaine d’années, elle m’a initié au contrôle de ma sexualité, c’est Nabila qui décide de nos soirées et même quand j’ai le droit de jouir.
Alors,je lui ai offert le contrôle de mon sex, le port d’une cage de chasteté est devenu le quotidien pour moi, par amour et par soumission et la clé de la cage pendue à son cou, Nabila seule qui choisissait les moments et les manières de ma jouissance. J’aimait bien dépendre d’elle.
Un mec viril, compréhensif, discret, comprenant notre approche et nous accompagnant en douceur sans nous frustrer, c’est ce que nous cherchions. Nabila m’a demandé de chercher et de lui proposer….
Les quatre premiers ne lui convenaient pas, pas à son gout, et le désespoir commençait à s’installer à l’approche de la grande soirée. Un soir dans notre nid d’amour, elle s’est rappelé de Houari, l’étalon du restaurant de sa première aventure après notre mariage ( première histoire). Elle a retrouvé ses coordonnées, mais nous ne savions pas si Houari était toujours le jeune libertin qu’il était.
Après quelques échanges de mails et d’appel, j’ai pris rendez-vous avec Houari dans un café pour en discuter. A partir du moment où ma chérie salivait à l’idée de retrouver Houari, je n’étais plus autorisé à jouir tant qu’elle n’aurait pas eu sa soirée.
Quasiment trois semaines sans pouvoir me vider !!!!!!
Le jour J est arrivé, les jours semblaient interminables. En début de soirée, Nabila m’a demandé de l’aider à se préparer et la rendre bien lisse. Allongée nue sur le lit, j’ai rasé son pubis. Plus le temps passait, plus sa fente se mouillait. Mon travail achevé, sa chatte était aussi lisse qu’à sa naissance, j’ai mis mon doigt entre ses lèvres qui s’écartaient pour l’accueillir comme dans du beurre.
– Tu es excitée ma chérie, mon doigt a glissé comme dans du beurre !
– Tu es encore sûr d’avoir envie de voir un autre zeb entre dans ta femme ?
– Oui ma chérie et je t’aime.
Elle a pris sa douche et quand elle est revenu nue dans la chambre, elle n’a enfilé qu’une robe rouge légère.
– Tu ne mets pas de culotte ?
– Pour quoi faire mon chéri ? sans culotte, sans poils ! Ce soir, je serai nue, voire plus que nue. Et toi, tu ne mettras qu’une chemise et un pantalon, ça suffira bien. De toute façon, tu es bien habillé avec ta cage de chasteté.
Nabila a pris son long manteau et le trajet en voiture jusqu’à la chambre d’hôtel choisie s’est passé en silence.
En arrivant a la chambre, le manteau enlevé, elle s’est assise sur le lit et me regardait préparer la chambre.
Avec une lumière tamisée, une bouteille de vin, tout était prêt pour recevoir notre invité Houari qui était ponctuel.
Apres une poignée de main, puis une bise à ma femme. les deux amants se sont remémorés les souvenirs autour d’un verre ce qui a permis de calmer la nervosité. Nous avons discuté de tout, de rien comme si c’était hier notre dernière rencontre . Quand Nabila lui a appris que je portais une cage de chasteté, il était surpris et curieux.
– Chéri, tu veux bien lui montrer, s’il te plait ?
Un peu gêné, j’ai ouvert ma braguette pour lui montrer.
– Non, mets-toi nu, il verra mieux et de toute façon, tu n’allais pas rester habillé.
J’ai vité oté ma chemise et mon pantalon, j’étais tout nu, debout devant eux.
Houari a examiné le dispositif pendant de longues secondes puis il s’est tourné vers Nabila.
– Et toi, tu n’en portes pas ?
Tout en posant sa question, les yeux dans les yeux, sa main glissa sur la cuisse de Nabila en direction de son entrejambe.
– Pas de culotte!, mmmmm ça j’aime bien aussi !
Sa deuxième main a pris également place sur les hanches de Nabila et d’un geste coordonné, les deux mains ont fait glisser la robe sur le corps de ma belle chérie.
Nabila nue, lui sourit. Sans un mot, elle a déboutonné la chemise de Houari, elle a fait de meme avec le pantalon. Les deux amants étaient nus et moi j’assistais à leur rapprochement dans le même état.
Houari avait un corps bien fait, les muscles dessinés. Nabila s’est allongée sur le lit sans le quitter du regard. Avec douceur, il s’est approché des cuisses de Nabila qui se sont ouvertes au fur et à mesure qu’il avançait.
Un soupir s’est échappé de ses lèvres quand la langue de Houari a atteint son but, elle a fermé les yeux, en écartant les cuisses le plus possible pour que je puisse assister au spectacle.
– Tu es tellement trempée, une vraie fontaine….Regarde comme je suis dur, viens goûter !
Nabila s’est tournée et prise la belle queue dressée de son amant en bouche. Ses lèvres épousaient parfaitement les contours de ce mat. Sa bouche montait et descendait sur ce sexe, à chaque fois que ses lèvres se réappropriaient cette tige, elle me défiait du regard.
Ma femme suçait un autre mec, ma queue prenait toute la place dans sa cage sans pouvoir se raidir, c’était une fellation torride.
En plein silence, les mains de Houari ont accompagné Nabila pour qu’elle se retrouve allongée sur le dos. Tel un serpent, il a glissé entre ses cuisses offertes, sur son ventre, ses seins et finis par l’embrasser dans le cou. Dans cette harmonie, le baiser dans le cou avait précédé la pénétration de son membre dans ma chère Nabila. Le long soupir de plaisir que Nabila dégageait, me faisait comprendre qu’elle s’était abandonnée a son amant.
Doucement, les hanches de Houari bougeaient, celles de Nabila répondaient à chaque mouvement. Réticente à lui offrir sa bouche et un baiser au début, le passage de ce zeb au fond de son intimité lui ôtait toute volonté de résister, elle lui a donné aussi sa bouche pour de passionnés baisers.
De longs moments interminables, les corps des deux amants bougeaient en symbiose, les jambes de ma femme nouées autour du corps de son baiseur.
Houari s’est retiré pour que Nabila se mette sur le côté et il s’est collé à elle mais d’un geste, elle l’a arrété dans son mouvement.
– Viens mon chéri cocu, j’aimerais que ce soit toi qui me mettes son zeb, viens et regarde !
Sans un mot, je me suis approché et m’accroupis à côté d’elle, Sa main guidait ma main vers le zeb de Houari.
Sa queue était douce mais dure, le gland placé à l’entrée de sa proie, Karim l’a fait coulisser dans Nabila.
– Oh mon chéri, c’est bon ce qu’il me fait, regarde !
A quelques centimètres, ce zeb plein de désir prenait possession de l’intimité de ma femme. Les deux sexes semblaient faits l’un pour l’autre.
– Viens me lécher pendant qu’il me prend !
Sa main a aidé ma tête à se rapprocher….
– Allez, vas-y, fais-le !
Ma langue caressait tout d’abord son pubis bien lisse, mais Nabila a guidé ma tête pour que ma langue se place au point de rencontre des deux sexes. Je léchais le sexe de ma chérie avec application, à chaque passage, la queue de Houari s’invitait au festin. Excité par la situation, je léchais autant la queue de Houari que les lèvres de Nabila.
Un mouvement mal contrôlé, et le zeb de Karim est sorti de sa loge, me défiant, je l’ai pris entièrement en bouche, une fois, deux fois, trois fois puis je l’ai remis en Nabila.
– Bien mon chéri, tu m’épates…..
Pris en tenaille par la queue et ma langue, Nadia n’a pas tardé à jouir, Houari l’a suivi rapidement et s’est vidé en elle.
Les deux amants ont rompu leur union et se sont retrouvés sur le dos, la semence de Houari coulait du sexe de mon épouse.
– C’était trop bon mon chéri, maintenant tu me fais ma toilette !
Un sourire a renforçé son regard qui me dominait.
Dans un mouvement lent mais continu, je me suis placé entre ses cuisses, ma langue a commencé a lécher son intimité honorée par le sperme de Houari. Je m’appliquais à nettoyer a fond toute trace de sperme. Houari s’était redressé et regardait, amusé, son sperme léché par le cocu de son amante.
– C’est bien, tu m’as bien nettoyé !
Ma femme me félicita :
– Bravo mon cocu !
Karim le cocu
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