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Après ma voisine, c’est la pharmacienne

Après ma voisine, c’est la pharmacienne



Peut être vous souvenez vous l’histoire que j’ai vécu avec ma voisine, celle qui voulait son cadeau en nature à Noël…. J’ai vécu quelques années de bonheur avec elle mais, un jour sombre d’hiver, elle m’a quitté le matin pour le travail et c’est les gendarmes qui sont venus m’annoncer que quelques kilomètres plus loin un énorme camion lui a coupé la route. Elle est décédée sur le coup. Anéantie ! Voilà ce que j’étais. Mon toubib m’a prescrit des calmants et des calmants pendant des mois ! Je ne voulait plus vivre et mes tentatives de suppression de moi se sont soldées par long séjour en centre de repos forcé.
Voilà bientôt trois années que je suis seul. Je vivote entre des marches forcées que je m’oblige à faire tous les jours et une lecture à plus soif de romans et autres policiers.
Bien entendu, vu mon âge, j’ai 70 ans, je suis toujours contraint de prendre des médicaments et donc, j’en vient au sujet de cette narration. Passage régulier chez le pharmacien. C’est un homme charmant et très humain. Une petite amitié est née entre nous et nous discutons sur tous les sujets. Dans sa pharmacie, il y a une femme, Sophie, qui me sert de temps en temps et avec laquelle j’ai grand plaisir a échanger. Là nous parlons de nos malheurs respectifs. De nos petits bobo de la vie. Il me semble qu’elle vie seule. Physiquement, elle est petite et mince, très mince. Elle a une poitrine de bon aloi. Bref, elle est pas mal à regarder.
Voilà des mois que je m’arrange toujours à tomber sur elle lors du renouvellement de mes médocs. Elle me sourit et nous discutons en toute amitié. Sans arrière pensée aucune pour ce qui me concerne. La différence d’âge est un obstacle caché dans mon subconscient. Elle a 47 ans.
Ce jour, elle est seul dans la boutique. Quand j’entre et que je la vois,je comprend qu’il y quelque chose qui se passe. Elle fait une tête pas possible, elle a les traits tirés et n’est absolument maquillée. C’est la première fois que je la voie sans fard. Elle me sourit mais je sent bien que c’est forcé.
Elle me sert mes médicaments sans prononcer un mot. Je n’essaie pas d’engager la conversation. Je la sent gênée tout comme moi d’ailleurs.Et d’un coup, elle éclate en sanglot et s’en va précipitamment dans l’arrière boutique. Désemparé, devant cette scène, je la suis.
Elle pleure à chaude larmes. Je lui demande « Qu’est ce qui ce passe ? Vous êtes souffrante ? » « Non, c’est mon fils… » me dit elle en sanglotant « Il m’a tapé et m’a pris ma carte bleu pour acheter de la drogue…)
Je reste coi. Elle m’a déjà parlé de ce fils qui est très dur avec elle depuis son divorce il y a quelques années. Il a maintenant 23 ans.
« Et ? Vous avez fait quoi ! » demandai je
« J’ai appelé au secours et mes voisins ont appelé la police. La patrouille était près de chez moi et ils sont intervenus très rapidement. Mon fils les a insultés. Ils l’ont maîtrisé en force. Ils ont découvert de la drogue dans son sac à dos et aussi ma carte bleue qu’ils m’ont rendu. »
« Il est où maintenant ? »
« Ils l’ont emmené en cellule et il va être présenté au juge pour détention de drogue, rébellion et insultes à agent. Je n’ai pas voulu porter plainte contre lui pour les coups »
« Vous avez raison, mais il faut le faire désintoxiquer ! »
« La police m’a dit que le juge allait l’obliger à le faire »
Les larmes ce sont interrompues. Je mesure maintenant l’importance des événement et j’avoue que je ne sais pas comment réagir. C’est l’arrivée du pharmacien qui sauve la situation. Il lui dit de prendre sa journée et de rentrer chez elle.
Je lui propose de la raccompagner en voiture, ce que je fais aussitôt. Arrivé chez elle, je lui demande si elle veut que je reste un moment, elle accepte.
De ce jour, nous nous sommes vus régulièrement pour échanger. Une amitié sincère et grandissante nous a rapproché. Nous nous sommes découvert plein de points communs. La marche en fait partie. Et comme je marche tous les jours, dès qu’elle a de la liberté, elle se joint à notre petite équipe pour parcourir les chemins de campagne de notre région. Elle se remets émotionnellement de ces incidents sans pour autant oublier les événements. Son fils est emprisonné pour une année avec obligation de soins. Elle ne veut pas aller le voir, mais lui écrit de longues lettres mais lui ne réponds pas. Nous nous voyons régulièrement pour sortir au cinéma ou bien faire du shopping etc…
Les mois passent et le printemps arrive. Mai. J’ai envie d’aller passer quelques jours au Pays Basque que j’affectionne tout particulièrement. Et je loue un mobil home pour une semaine.
Lorsque je lui annonce que je pars huit jours, elle ne me dit rien, bien au contraire elle me dit que j’ai raison et que je dois en profiter. Mais , je vois tout de suite passer une ombre dans son regard.
Toute la journée qui suis, je me sens coupable de quelque chose, je n’arrive pas définir ce mal être.
Le Pharmacien m’appelle en fin de soirée et me demande ce qu’elle a car elle fait la tête des mauvais jours. Déclic ! Voilà mon mal être, c’est elle ! Merde ! Que faire pour ratt****r le coup et lui demander de venir avec moi en tout bien tout honneur ? C’est encore le pharmacien qui viens à mon secours, il me dit savoir, par elle que je pars en vacances. Il me propose alors de lui donner sa semaine pour m’accompagner. Il se propose d’être l’entremetteur. J’approuve, Après tout, une compagnie me sera agréable. Et je ne penses vraiment pas à mal contrairement à vous qui commençaient à dire, il l’attire dans un piège et il va s’occuper d’elle ! Hé ! Bien non !
Le lendemain, elle m’appelle pour me dire que le pharmacien lui a donné une semaine de congés en même temps que moi.. Je lui propose «  C’est super, veux tu venir avec moi, cela te changera les idées. Et ne t’inquiète pas le mobil home a plusieurs chambres et tu auras la tienne. » J’entends comme un soupir de soulagement dans le combiné.
Ce samedi, jour de départ, je ne cache pas mon appréhension quant au déroulement du séjour. Je ne la connais pas suffisamment pour savoir ses goûts en matière de vacances, mais nous verrons bien. Je passe la prendre à son domicile. Elle est très gaie et détendue. Bon point pour la suite.
Nous avalons les quatre cents kilomètres qui nous séparent de saint Jean de Luz.
Installation dans le mobil home et petite ballade sur le front de mer. Nous sommes tous les deux calmes et les plaisanteries fusent de par et d’autre.
Pendant les trois jours suivants, je l’emmène visiter la région, nous passons en Espagne pour faire le plein de nourriture, boissons et gas oil…. Tout va bien, elle s’intéresse à tout ce que nous visitons et je découvre que nous sommes des passionnés de découverte du patrimoine national. De longues discussion à ce sujet meublent nos soirée. J’ai toujours mon appareil photo avec moi et mitraille sans arrêt les paysages et autre vieilles pierres mais je n’oublie pas de la prendre aussi.
Ce mercredi, nous avons décidé d’aller sur Espelette et au retour de nous arrêter, si possible sur un site de ruines d’une grande maison ou d’un ancien château que j’avais repéré quelques jours auparavant. Je voulait y faire des photos. Ces ruines se situaient au bout d’un chemin et se cachaient derrière une haie imposante.
Notre visite à Espelette fut très sympa, nous avons déjeuner dans un petit resto, visité la ville de fond en combles et visité la chocolaterie. Bien entendu nous ne sommes pas repartis les mains vides, chocolat et piments furent mis dans le coffre de la voiture. Cette journée là, il faisait très chaud et nous avions opté pour le short et le tee shirt. Elle avait mis un mini short en jean qui mettait en valeur ses fines jambes ainsi qu’un tee shirt décolleté rouge très moulant qui me permettait de voir sa poitrine ni trop petite, ni trop grosse. Pour ma part, mon éternel polo Lacoste bleu délavé sur un bermuda vert armé.
Nous bavardions tranquillement mais je voyais que te temps en temps son regard devenait malicieux sans plus.
Au retour, nous nous sommes arrêté comme convenu au bout du chemin menant aux ruines que je souhaitai photographier.
C’était probablement une grand maison bourgeoise avec plein de dépendances, peut être une ferme. Toujours est il que au fur et mesure de notre progression, nous découvrons des pans de mur avec des fenêtres très décorées. La végétation a en partie occupé l’intérieur rendu inaccessible. Mais ce mélange de pierres et de verdure me convenait parfaitement et j’ai commencé à mitrailler toute cette merveille. Nous passons un grand et magnifique porche qui devait être l’entrée site. En me retournant, je constate que le porche est illuminé par le soleil et que cela produit un fantastique effet. L’appareil se déclenche sans arrêt et au bout d’une petite demi heure j’avais fait plus de trois cent photos qui devrait être triées pour ne garder que les meilleures. Sophie, observe tout et m’indique de temps en temps un endroit à prendre. J’en profite aussi pour la prendre en photo en disant de conserver une ou deux de ces photos pour mon album personnel.
Après avoir visité les ruines nous décidons de repartir et de passer le fameux porche.
« Dis moi, Sophie, voudrait tu te mettre sous le porche que je te prenne en photo ? » Cette idée m’est venue quand je me suis retrouvé derrière elle sur le chemin du retour, son petit cul me narguai et j’avais envie de le prendre en photo pour m’en souvenir !
« Bien sûr ! Mais on gardera que la plus réussie ! » me répondit-elle.
Et la voilà qui se positionne sous le porche droit comme I.
« Attends, prends une position plus naturelle, s’il te plaît ! »
« Quelle position tu veux que je prenne ? »
« Je ne sais pas, peut être sur la gauche en t’appuyant sur le porche, ensuite au centre en levant les bras en écartant les jambes ensuite de côté et enfin de dos, si tu veux bien »
Elle s’exécute doucement et soudain prends des poses sexy sans que je lui demande. Une bonne trentaine de clichés plus tard, nous les visionnons tous les deux.
Je ne suis pas mécontent, il y a dedans des photos très suggestives ce qui n’est pas pour me déplaire et apparemment elle non plus.
« Elles sont super ! Me dit-elle »
«Oui répondis-je, vraiment bien et tu est très belle habillée comme ça »
« Tu veut en faire d’autre, cela me plairait assez »
« Bien sûr, tu peut y retourner »
« D’accord, mais avant je dois me préparer, je vais aller derrière le mur et je te demande faire vite dès que j’ apparaîtrait sous le porche »
« OK » dis-je en ne comprenant pas sa remarque.
Elle disparaît derrière le mur et quelques minutes plus tard arrive sous le porche en me criant « Vas-y maintenant ! » Elle est nue comme ver et commence à prendre des poses langoureuses et suggestives. La séance photos n’a pas durée plus de dix minutes. Elle a disparue pour se rhabiller.
J étais sur le cul . Sans voix ! Elle si réservé, si prude me faisait un énorme cadeau, j’en reviens toujours pas.
Elle revint vers moi en me demandant «  Alors, elle sont bien ? » « Ooouui ! Mais.. on les regarderas en rentrant sur l’ordi. »
Le chemin du retour fut silencieux pour ce qui me concerne.
Au bout d’un moment, elle a du sentir ma gêne et me dit :
« Ça t’a choqué que je pose nue ? Tu sais je l’ai fait pour toi car tu as tant fait pour moi, que cette idée m’a traversée l’esprit et que j’avais dans un coin de ma tête l’envie de poser nue. C’est sur toi que c’est tombé et je m’en réjoui. »
« Je n’ai fait que t’épauler moralement. Et non cela ne me choque pas, seulement cela m’a un peu surpris. Et le fait que tu ai envie de poser nue ne t’a pas gênée? »
« Pourquoi veut tu que je sois gênée, en plus tu ne m’as pas vue me déshabiller, c’est ça qui excite les hommes! » répondit-elle en riant
« Tu serai prête à le refaire ? »
« Bien sur si tu me le demande et que ça reste notre secret à tous les deux ! »
Sa réponse acheva de me fasciner. Voici une femme que tu sent fragile et qui d’un seul coup d’un seul se transforme en tigresse !
« Je te remercie de ta proposition et j’en prends note. »
Nous arrivons au mobil home, la fraîcheur de la soirée nous oblige à nous changer pour des vêtements plus chauds. Là en me changeant, je m’aperçois que mon boxer et mouillé. J’en change aussitôt.
Plus tard, nous avons visionné sur le PC toutes les photos prises dans la journée assis l’un à côté de l’autre. C’est l’occasion pour moi, de faire un tri sélectif de celles qui sont ‘ratée’. Bientôt nous arrivons à celles des ruines.
Pratiquement tout me convient. Et voici les fameuses photos de pose habillé qui m’enchantent : pas une de loupée. Sophie me remercie chaleureusement. La série des nues commencent, et ses commentaires sont acides : «Je ne suis pas belle nue, regardes moi ça c’est pas terrible» Moi, je rétorque «Attends, tu est magnifique. Il n’y a rien à jeter, bien au contraire. Tu sais bien prendre les poses, pour moi tu est parfaite !» «Merci, dit-elle en rougissant légèrement. Si ça te plaît c’est bien aussi pour moi. Mais je trouve cela pas terrible ! Et puis, elles sont prises de loin.» «C’est sûr que je n’allait pas te prendre de près à cause de l’environnement, cela n’en valait pas la peine. Les photos de prés se font plus en studio ou à la maison, sur un lit, un divan ou un autre lieu. »
« Oui c’est vrai »
Après un moment de réflexion, elle se tourne vers moi : « Et si me prenait en photo sur le lit maintenant, je pourrai me rendre compte de ce que ça donne ! 
Je ne m’attendais sûrement pas à ça.
« Pourquoi pas » bégayai-je
Elle se dirigea vers sa chambre en me disant « Je t’appelle quand je suis prête, prépare ton appareil »
Quelques minutes plus elle m’appelle. Je rentre dans la chambre et je la trouve allongée à plat ventre sur le lit complètement nue.
« C’est toi qui commande mes poses me dit-elle »
« Reste comme tu est pour l’instant », Je tourne autour du lit en prenant mes clichés. Son cul me fascine bien entendu je bande mollement (vu que mon implant est au repos) et mon excitation grandi.
« Retourne toi doucement » Mon appareil crépite. La voilà de côté, la jambe droite remontée de façon à ce que je voie pas sa chatte. Ses seins sont fermes et bien droit. Elle sourit à l’objectif. Je mitraille sans arrêt.
« Mets toi sur le dos complètement » Chose faite, je me mets au pieds du lit et prendre sa chatte de plus près. Je m’accroupis et continue de prendre des cliches de son corps en longueur. J’hésite à lui demander d’écarter les jambes et il me revient qu’elle m’a dit que je commande ses poses.
Tout en mitraillant, je luis dis « Écartes doucement les cuisses et repli ta jambe gauche.
Elle s’exécute et c’est a travers l’objectif que je découvre son intimité. Ses lèvres roses ouvertes. Je vois qu’elle mouille. Pas de commentaire de ma part. Mon excitation est au paroxysme.
S’en suit une série de pose, à quatre pattes, penchée en avant les jambes écartées etc…
Je vois que la séance de pose arrive à sa fin.
« J’ai fini, à moins que tu ne veuilles d’autre photos » dis-je sur un ton neutre.
« Tu en as fait pas mal, c’est bien, je vais me rhabiller le temps que tu les charge sur l’ordi. Tu peut sortir. »
Le temps de charger les photos, elle était assise sur le canapé à côté de moi. Très près de moi.
Le diaporama commença et je constate que toutes les prises de vue sont impeccable. Arrive les dernières photos, celles un peu plus intimes de son entre jambe. Pas de commentaires. Moi, je me régale et je sens le désir monter.
« Elles sont super ! » dis-je.
« Les première sont bien, mais les dernières, je trouve que cela fait un peu porno » me réponds Sylvie
« Ce ne sont pas des photos porno ! Le porno, il faut être deux et pratiquer des actes sexuels. D’ailleurs, je n’aime pas le mot ‘porno’. Deux personnes qui font l’amour devant une caméra, ce n’est pas du porno ! Maintenant plusieurs personnes qui le font ça c’est plus du porno ! »
« Quand même….. »
« Attends, est ce que tu a vu des films de ce genre ? »
« Une foi, il y a longtemps…. »
« Bon, je vais te montrer des mini films de couples qui font l’amour, et tu me dira si c’est du porno »
« Si tu veut mais…. » Elle n’a pas le temps de finir sa phrase que j’ai déjà activer le lien de mon site favori « xhamster.com ».
Des dizaines de mini films s’affichent. Tout d’abord, je choisis un couple jeune qui se déshabillent mutuellement et pratiquent tout ce que représentent l’acte sexuel (fellation, cuni lungus etc.. pas d’anal).
Sylvie regarde ce film d’une dizaine de minutes sans dire un mot.
Dès la fin, je choisis une séquence d’anal, toujours en couple et s’en suivit une autre séquence de fellation avec éjaculation dans la bouche.
« Alors, c’est du porno ? » lui demandai je
« Je sais pas… mais tu regarde ça souvent toi »
« Quand, je suis seul, oui. Je passe mes envies en regardant et en me masturbant »
« Ha !…… »
« Maintenant, je vais te montrer un bout de film qui est vraiment pour moi du porno »
Aussitôt, je mets en route une séquence ou quatre mecs s’occupe d’un femme. Elle les suces tour à tour, ils la sodomises, la prennent en même temps par le cul et la chatte…. et pour finir éjaculent sur son visage et dans sa bouche.
« C’est dégueulasse ! » s’exclame t elle
« Voilà du vrai porno. Tu n’est pas d’accord ? »
« Tu as raison. Je ne le voyais pas comme ça. Merci de m’ouvrir les yeux. »
Je suis satisfait de moi. Elle baisse la tête dans une réflexion que je ne peut deviner.
« Je voudrai te faire lire un petit texte que j’ai écrit. Je voudrai ton avis. C’est toujours en rapport avec ce que nous venons de discuter. »
« D’accord, et après on va dormir, je suis un peu fatiguée »
« Ok »
Je recherche mon texte sur ma voisine et le lui fait lire. En même temps, je regarde son visage et de temps en temps je voie apparaître un large sourire. Cela me réconforte.
A la fin de lecture elle me dit :
« C’est toi qui a écrit ça ? C’est bien, très bien. Tu devais être très amoureux d’elle. »
« Oui » répondis-je en essuyant les larmes qui coulaient sur mes joues « très amoureux, mais maintenant c’est du passé mais j’en garde un grand et beau souvenir ».
« Tu est un homme gentil et honnête. Reste comme ça »
Après quelques minutes de silence elle reprend :
« Vous avez fait tout ce que tu as écrit ? »
« Oui, elle le voulait depuis long moment »
« Et toi tu le voulait ? »
« Bien sur que oui, j’étais comblé. Mes fantasmes devenaient réalité ».
Elle baissât la tête et je senti que quelque chose la chiffonnait mais je me gardai bien de soulever le lièvre.
« Si nous allions nous coucher, dis je, la journée a vraiment été longue. »
Après nos ablutions en salle de bain à tour de rôle, nous nous souhaitons bonne nuit.
Je m’enfermais dans ma chambre. Heureux et indécis, vraiment indécis, je ne sait pas quoi penser de cette jeune et jolie femme, je n’arrive pas à la cerner. Je penses qu’il va me falloir des jours pour tout comprendre, je serai patient.
Donc, je m’allonge sous le drap et éteins la lumière pensant m’endormir rapidement.
Quelques minutes plus tard, j’entends la porte s’ouvrir en grand et la lumière pénètre dans la chambre. Dans l’embrasure je vois Sophie vêture d’un déshabillé blanc. Je n’arrive pas a la distinguer du fait qu’elle a la lumière derrière elle. Elle se glisse sur le côté du lit et me dit :
« Tu dors ? »
« Non, tu as un problème? »
« Non…… je suis venu prendre mon cadeau de noël »
« Je ne comprends pas quel cadeau ? Nous sommes en mai, on est loin de Noël….. »
« Mais si, tu sait très ce que cela veut dire ! »
Ce faisant, elle dépose un objet sur la table de chevet et enlève mon drap. Seul la lumière venant de la pièce d’à côté me permet à peine de la voir.
D’un seul coup d’un seul, elle monte debout sur le lit et s’accroupit pour me retirer mon short de nuit. Instinctivement, je me laisse faire. Elle s’accroupit sur ma cuisse gauche. Je sent sa chatte chaude et humide sur ma cuisine et je comprend ses paroles qui font référence au texte que j’ai écrit.
Elle tâte mes couilles sans un mot et trouve ma pompe à implant. Doucement, elle prend ma bite dans sa main et de l’autre elle pompe faisant gonfler mon sexe….
« C’est bon, il est à bloc » dis je excité. Je ne l’ai pas encore touché et laisse la magie de l’instant me pénétrer. J’ai envie d’elle, de la prendre de suite mais je résiste, il faut qu’elle se mette en confiance.
Elle me caresse le pénis et couilles d’une manière très douce, se penche et me lèche le gland. Putain, je suis en extase !
Elle m’enfourne dans sa bouche et comme le va et vient, ses doigts me malaxent en même temps.
Elle en train de reproduire exactement ce qui c’est passé avec ma voisine. Je n’en reviens pas. Tout ce qu’elle fait est copie conforme aux actes passés.
Une larme s’écoule sur ma joue, les souvenirs remontent et m’envahissent.
Je la laisse faire.
Soudain, elle se met a califourchon à l’envers sur moi. J’ai ses fesses face à moi. Je les prends dans mes mains et les masse. Je les approche de ma bouche et commence à lui lécher le cul, elle se penche en avant et écarte les cuisses, je peut ainsi lui enfourner ma langue dans sa chatte. Elle continue de me sucer goulûment.
Et comme je le présentai, après quelques minutes, elle se met sur moi et s’enfile sur ma queue et commence son va et vient. Je peut alors lui toucher les seins. Quel pied mais aussi quels souvenirs qui reviennent en moi.
D’un coup elle se penche vers moi et m’embrasse enfonçant sa langue dans ma bouche. Elle me regarde et dit « On ne va pas tout faire comme ta voisine ! » Et aussitôt, elle saisi l’objet sur la table nuit, celui que je n’avais pas pu voir. Elle me présente un tube. «C’est de la vaseline » « Ha, tu veut en faire quoi ? » « Tu ne sait pas » répondit-elle en riant « Non pas de trop… » « Tu vas m’enculer ! J’aime ça et je veut le faire avec toi. » Elle me donnes le tube et se mets à quatre pattes en me disant « Tu m’en passes sur l’anus et à l’intérieur et tu t’en mets sur la bout de bite et tu y vas! »
Je exécutes avec soins et je bande deux fois plus qu’avant. Mes doigts la pénètre, elle pousse un gémissement.
J’approche ma bite de son cul et la frotte dessus. Je commence à la pénétrer pensant y aller doucement mais d’un coup de rein elle s’enfile jusqu’au fond tout en poussant un cri. Je commence mon va et vient de plus en plus fort, je souffle, elle crie « Vas y , encule moi, fait moi jouir ! » Je besogne jusqu’au moment ou elle pousse un long râle. Elle jouit et râle si fort que j’ai un sursaut. Je me retire et m’enfourne dans sa chatte pleine de liquide de la baise sans m’arrêter. Quelques minutes plus tard, je sent monter en moi la jouissance. Elle l’a senti, se retire, retourne et prend la bite à pleine bouche. Il ne faut guère de temps que je n’explose dans sa bouche. Elle continue. Enfin elle s’arrête et me tire la langue avec tout mon sperme de dessus. Elle avale tout.
« Merci » me dit elle
« Ce serait plutôt à moi de te remercier. C’était excellent ! »
« J’ai beaucoup aimé ! »
« On pourra le refaire quand tu voudras »
« J’y compte bien! J’ai pas attendu si longtemps que que tu me baises sans en profiter à l’avenir ! »
Comme d’habitude, salle de bain et toilette. Elle m’aide à dégonfler ma bite. En me précisant que c’est super car je bande plus longtemps….
Le lendemain, elle m’avoue que dès la première fois ou elle m’a vue je lui avait plu et ensuite les petites discussion que nous avions lui confirmèrent son intérêt pour moi.
Son patron, s’est aperçu de son attirance et ils en avaient parlé. C’est pourquoi il ma téléphoné pour me demander de l’emmener…. Bien lui en a pris.
Nous avons fini la semaine dans la gaîté et la bonne humeur. Ma bite était gonflée, regonflée plusieurs fois par jour…. partout dans la nature, dans tous les recoin du mobile home….. parfois juste pour une fellation parfois pour la baise…..ou la sodomie…..et bien d’autres choses encore !
C’était il y a six mois et depuis, c’est toujours la même chose mais cette fois à la maison….
Nous avons même tourné un petit film de nos ébats que nous repassons de temps à autre.
Voilà, vous savez tout.
A bientôt pour une autre histoire…

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