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Chap 12 : Patricia

Chap 12 : Patricia



A l’université, nous étions une bande de 5 copains. Moi, Ronan mon colocataire, Matthieu et Yann.
La seule fille du groupe, c’était Elodie, la copine de Yann. Ensemble depuis 4 ans, ils s’étaient rencontrés au lycée.

Tout comme Yann, Elodie vivait chez ses parents à Nantes. Une belle bâtisse en pierre avec un grand jardin et surtout une piscine intérieure dans la véranda. Ils avaient le projet de se prendre un appart ensemble, mais plus tard, une fois leurs études terminées.
Je la trouvais vraiment cool cette fille, toujours souriante et jolie en plus, mais pas touche c’est la copine de mon pote quand-même…
Elle était brune aux cheveux longs, des yeux noisettes, assez mince, elle semblait timide aux premiers abords, mais une fois qu’elle vous connaissait bien, c’était une vraie pipelette.
Elle était très studieuse, cultivée, elle était en fac de droit. Et par dessus tout, c’était une excellente cuisinière. Elle préparait parfois des petits cakes, des quiches ou des tapas lors de nos apéros dînatoires, elle nous faisait des crêpes sucrées, qu’elle venait nous apporter lors de nos révisions interminables pour les examens. Ca nous requinquait. Elle tenait ce génie culinaire de sa mère, Patricia.

Sa mère, nous l’adorions tous, elle était belle, toujours gentille et prévenante à notre égard.
Nous avions fait sa connaissance lors des 20 ans d’Elodie. Quelques amis, oncles, tantes, grand-parents. Au total, une trentaine de personnes.
Durant cette soirée j’avais donc fait la connaissance de son père, Hervé, un grand brun moustachu, conducteur de bus et de sa mère, Patricia, une femme blonde très coquette, secrétaire médicale de profession.

C’était une famille de bons vivants, très accueillants, ils aimaient recevoir du monde. Les parents d’Elodie étaient très ouverts, ils l’autorisaient facilement, elle et son petit frère Jérémy, à inviter copains et copines à leur domicile, comprenant qu’il fallait bien que jeunesse se passe. Et puis sa mère était rassurée de la savoir bien entourée, en bonne compagnie.

Un jeudi soir, Elodie nous avait invité en petit comité pour une soirée jeux de société. Il était tard et Patricia se réveilla pour nous sermonner car nous faisions trop de bruit. Lorsque je l’ai vu arriver dans sa nuisette satinée bleu ciel, mon sang ne fit qu’un tour en voyant ses tétons pointés sous sa tunique. En une fraction de seconde, elle était passée de mère d’une copine à femme fantasme inavouable. Je la trouvais irrésistible.

Les fois suivantes où j’étais invité chez Elodie, j’étais toujours heureux de revoir sa mère. À chaque fois, j’avais un mot gentil, un compliment sur sa tenue, sur sa nouvelle coiffure. J’avais toujours une attention particulière, un bouquet de fleurs, une boîte de chocolat. Je savais très bien que je n’avais rien à attendre en retour, mais plus le temps passait et plus elle m’appréciait en tant qu’ami de sa fille.

Puis un jour, je suis tombé sur elle en ville. Elle faisait un peu de shopping, alors que moi j’allais imprimé un dossier que je devais rendre.
Je lui ai proposé de boire un café, si elle en avait le temps.
Assis face à face dans un coin de bar, j’ai été émerveillé lorsqu’elle retira sa veste de tailleur. Son chemisier blanc légèrement transparent me laissait entrevoir son soutien-gorge blanc et le haut de ses seins. Tout en bavardant, je lorgnais discrètement sur sa poitrine.
Ce n’est que plus tard que j’ai compris qu’elle savait que je la regardait différemment.
Les mois qui suivèrent, dès que je venais chez elle, elle s’habillait toujours sexy. Des petites jupes, des robes décolletés, des chemisiers deboutonnés, dévoilant la couleur de son soutien-gorge. Le faisait-elle exprès pour que je l’admire? Peut-être, je n’en ai jamais eu la certitude.

Mon regard avait changé sur elle depuis le soir où je l’avais aperçu en nuisette, mais son comportement changea également le jour où elle m’a vu entièrement nu.
Un soir d’été, Elodie avait organisé un barbecue chez elle car ses parents étaient absents. Notre bande de 4 et quelques copains et copines de sa classe y étaient conviés.
Alors qu’elle et Yann s’étaient éclipsés dans sa chambre pour batifoler, un bain de minuit dans la piscine se déroulait. Tous les mecs à poil et les nanas, trop pudiques, en soutif et string pour la plupart.
C’est à ce moment là qu’Hervé et Patricia sont rentrés. J’étais sur le point de plonger lorsque je les ai vu entrer dans la véranda. Le temps que je cache mon sexe à deux mains, il était trop tard, elle avait vu tout mon attirail.

Nous étions tous très gênés qu’ils nous trouvent dans cette situation. Je pensais même qu’ils allaient nous chasser de chez eux. Mais comme je vous l’ai dit précédemment, ils étaient très ouverts et compréhensifs sur les dérives de la jeunesse.
Patricia dédramatisa tout de suite les choses:

– Je vois qu’on s’amuse bien, quand le chat n’est pas là.
– Pardonnez-nous, on ne pensait pas que vous seriez rentrés si tôt.
– Ce n’est rien, j’en ai vu d’autres me dit-elle en souriant.
Que voulait-elle dire par là? Parlait-elle d’autres pénis ou d’autres bêtises de jeunesse?

Toujours est-il que depuis ce fameux soir, nos rapports étaient plus amicaux, plus chaleureux, plus tactiles parfois.
Les rares fois où je l’ai croisé les mois suivants, sa façon de me dire bonjour était plus intime. Elle me faisait la bise en posant ses lèvres délicatement sur la joue et non pas joue contre joue à la va vite. Elle posait toujours sa main sur mon bras ou mon épaule pour me saluer ou me dire au revoir, chose qu’elle ne faisait pas auparavant. J’allais dans son sens posant ma main sur sa taille, dans le bas du dos. Je frisonnais à chaque embrassade.
Mais elle n’était pas une obsession pour moi, je la désirais uniquement lorsque je la voyais. La plupart du temps, je ne pensais pas à Patricia. Encore moins le jour où je suis sorti avec Laura. D’ailleurs, je lui ai présenté Laura lors d’une soirée. Elle comprit tout de suite que j’étais amoureux de cette magnifique rousse et notre petit jeu de séduction s’est arrêté. Notre relation est restée très amicale, mais ça s’arrêtaient là.

Le 31 octobre 2006, Elodie organise une soirée déguisée pour halloween. Je n’ai pas revu sa mère depuis ma rupture.
Cet après-midi là, Yann, Elodie et moi séchons les cours afin d’aider Patricia à décorer leur maison et tout mettre en place pour la soirée.
A mon arrivée, Patricia me fait un grand sourire. A la vue de son décolleté, mes idées coquines resurgissent. J’ai une terrible envie de voir ses seins.
Quel ne fut pas mon enthousiasme lorsqu’Elodie me demande:
– Ca ne te dérange pas de rester avec maman le temps que Yann et moi allons faire quelques courses.
– Non, aucun problème, on va finir la déco ensemble.
C’est la première fois que je me retrouve seul avec elle, son mari étant au travail. Mon cœur bat la chamade.

Nous avons décoré la plupart des pièces de la maison. Citrouilles, fausses toiles d’araignées, des autocollants de squelettes, de sorcières ici et là. Elle est euphorique comme une ado.
Elle me demande de l’aide pour accrocher un lampion dans la véranda, sur un mur à côté de la piscine. Un peu taquin, je l’a chatouille sous les aisselles lorsqu’elle a les bras en l’air. Elle rit beaucoup:
– Attention, tu vas me faire tomber dans l’eau.
– Ne vous inquiétez pas, je plongerais pour vous sauver.
– Tu me feras du bouche à bouche… Encore un sous-entendu.

Nous nous sourions, mais je n’ose pas aller plus loin.
Notre tâche terminée, elle m’offre un café.
Elle est assise en face de moi dans le canapé. Nous discutons, attendant le retour des coursiers.
– Les études se passent bien? Me demande-t-elle.
– Oui, ça va.
– Yann me disait que tu l’aidais beaucoup pour les cours de maths.
– Oui j’essaye de lui expliquer clairement, quand il ne comprend pas certains trucs.
– Yann et Elodie ont de la chance d’avoir un ami comme toi, sur qui ils peuvent compter.
– Vous savez vous pouvez aussi compter sur moi, si vous avez besoin de quelquechose.
D’un ton espiègle:
– Oh ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde.
Plusieurs fois pendant notre échange, elle croise et décroise ses belles jambes, faisant remonter sa jupe. J’ai tenté à plusieurs reprises de voir discrètement ce qu’elle porte dessous. Elle ne me fait aucune remarque, mais elle sait que je l’observe, elle apprécie et s’en amuse. Je pense qu’elle est flattée que je la trouve à mon goût.
Je me fais peut-être de fausses idées, mais j’ai la sensation qu’il se passe quelque chose, qu’on s’attire mutuellement. Cela fait presque 2 ans que l’on se connait et de fil en aiguille, nous sommes devenus assez proches.
Mais avant que les choses prennent une autre tournure, mon couple d’amis est rentré, les bras chargés de victuailles, pour la fête du soir.

Je suis rentré chez moi une petite heure, le temps de prendre une douche, de me masturber en pensant à Patricia et de mettre mon costume de diable. Un déguisement basique, une cape rouge, un pantalon noir, un short rouge, un tee-shirt noir et une fourche de diable en plastique. Le visage peinturé de rouge pour finir le boulot.

Je suis arrivé le dernier chez Elodie. Au total, nous sommes 15 à participer à ce défilé de costumes d’horreur. Elodie et ses parents, un oncle et sa tante, qui n’est autre que sa marraine et la sœur de Patricia, moi, Yann, Ronan et sa nouvelle amie, Claire.
Les autres sont des amis d’Elodie. Bérengère, charmante blondinette, accompagnée par son petit ami Maxime, Rozenn, une très jolie fille aux cheveux châtains, Malika, une beurette châtain, un peu rondouillarde et Florent, un brun barbu.

Tout ce petit monde arbore fièrement son déguisement de vampire, de sorcière, de zombie.
Mais Patricia sort du lot avec sa parure de diablesse ultrasexy. Une robe courte et moulante rouge avec des paillettes, un serre tête à cornes, de longs gants rouges, des bas résilles rouges et des escarpins à talons hauts rouges brillant.
Je suis sous le choc en la voyant venir vers moi
– Alors tu te faisais désirer.
– Si seulement ça pouvait être vrai lui, répondis-je en souriant.
Elle me sourit à son tour et enchaîne:
– je vois que les grands esprits se rencontrent…
– Un diable et une diablesse, on va former un couple d’enfer.
– Oui, cela risque d’être très chaud ce soir.
Ces allusions frivoles, dont nous sommes les seuls à comprendre l’ambiguïté, me laisse perplexe.
Souhaite-t-elle réellement qu’il se passe quelque chose ou est-elle toujours en train de jouer?
Une chose est sûre, vu l’entourage, ce n’est pas ce soir qu’il y aura un quelconque flirt. Du moins, pas avec « Pat ».

Le lendemain étant férié, les gens se sont un peu lâchés. Alcool, danses, chants, sucreries diverses et variées.
Mon côté séducteur reprend le dessus. Ne pouvant pas être trop avenant avec notre hôtesse de maison, je tente une approche avec la taciturne Rozenn. Malheureusement, après quelques pas de danses et une longue conversation sur nos vies respectives, cette jolie sorcière évoque sa relation amoureuse. Bon, bah ce n’est pas ce soir que je vais conclure, pensais-je.

Mais alors que la soirée prend fin et que la plupart des convives sont rentrés, (seul Malika et moi restons dormir) j’ai la confirmation, de la bouche d’Elodie, que sa mère est attachée à moi:
– C’était une super soirée.
– Oui, on a bien rigolé
– Oui, c’est clair. En tout cas, merci de nous avoir aidé cet aprèm…
– De rien, c’est normal ça m’a fait plaisir, en plus j’ai bien discuté avec ta mère.
Elodie ne se doutant de rien:
– Bah oui,maman m’a dit ça, je ne sais pas ce que tu lui as fait, mais elle t’aime beaucoup, elle nous a beaucoup parlé de toi quand tu es parti.
Ces paroles me remplient de joie et me mettent en confiance.

Après m’être demaquillé et avoir mis mon costume de nuit (short et maillot de foot), je retrouve Patricia dans la cuisine. Je savais qu’elle était seule, les autres étant tous couchés. Elle fait la vaisselle dans une tenue pas très glamour, pantoufles et robe de chambre.
– Vous voulez un coup de main, ça ira plus vite.
– Ah oui, je veux bien c’est gentil.
Pendant notre corvée, elle me demande:
– La soirée t’a plu?
– Oui et vous?
– Oh, tu peux me tutoyer. Oui j’ai passé une très bonne soirée, mais je suis un peu fatiguée et pompette en plus.
– Oui, moi aussi.
– On n’a pas trop eu le temps de discuter ce soir, mais je voulais savoir comment tu allais, Elodie m’a expliqué que tu avais souffert de ta séparation.
– C’était dur au début, mais c’est passé. De nouveau célibataire…
– Je t’ai vu draguer Rozenn…
– Oui, mais sans succès
– Et pas de copine en vue?
– Non, j’ai pas envie de me poser, juste de m’amuser
– Un peu libertin sur les bords?
– On peut dire ça.
– Tu as raison de profiter, j’étais comme toi à ton âge.
– Ha bon?
– Oui, je papillonnais de gauche à droite jusqu’à ce que je rencontre Hervé.
– Ca s’est passé comment?
– Ca a été le coup de foudre. Je suis montée dans son bus, je l’ai trouvé très beau, je lui ai plu aussi. En sortant, il m’a donné son numéro, je l’ai appelé le lendemain. J’avais 23 ans, lui 25. Un an après, j’étais enceinte d’Elodie, puis on s’est marié et nous avons acheté cette maison.
– Et c’est toujours le grand amour?
– Tu sais, j’ai 46 ans et après 21 ans de mariage, c’est un amour différent qui nous porte, je suis heureuse, mais il n’y plus la même passion qu’au début, plus les mêmes désirs. Parfois j’ai la nostalgie de mes 20 ans.
– Pourquoi?
Elle est restée sans réponse.

La vaisselle terminée, elle me dit:
– Bon, on a bien mérité un petit digestif, tu ne crois pas?
– Avec plaisir.
Nous sommes allés nous réfugier dans la véranda avec un petit verre de get27.
Nous avons entreposé les matelas des transats au sol et nous nous sommes assis.
Je reprends la conversation:
– Elodie m’a dit que tu avais parlé de moi.
– Oui, c’est vrai, je t’apprécie beaucoup. J’aime ta simplicité, ta générosité, ta bonne humeur, ton respect, ta discrétion.
– Je vous aime beaucoup également, je vous trouve très gentille et ravissante, bon sauf en ce moment avec la robe de chambre.
– Mais il se moque de moi, plaisante-t-elle en me tapant légèrement sur l’épaule.
– Sérieusement, vous me plaisez beaucoup.
– Merci, tu es charmant aussi, mais je suis mariée tu le sais.
– Bien sûr que je le sais, mais ça ne m’empêche pas de fantasmer sur toi.
Elle rougit sans un mot.
– Depuis que je t’ai vu dans ta nuisette bleue, je rêve de toi. Tu étais si belle.
– Quel flatteur…
– Et ce soir dans ton costume, tu étais super sexy
– Arrêtes, tu va me mettre mal à l’aise.
– Pourquoi?
– Tu es un ami de ma fille.
– Mais je te plais non?
– C’est vrai.
– Tu te souviens, quand tu m’as vu ici tout nu?
– Oui je m’en rappelle très bien. Le fameux bain de minuit.
– Je me souviens comment tu m’as regardé ce soir là…
– J’ai pu admirer ton corps. Cela m’a tourmenté plusieurs jours, car ça m’a plu.

Je sens l’excitation montée en moi. Mais je ne veux pas la brusquer
– L’eau est chauffée?
– Oui
– Une petite baignade nocturne?
– Ca ne va pas…imagines si on nous surprend.
– Je croyais que tu regrettais la folie de tes 20 ans, c’est le moment de te lâcher. Et puis, ils dorment tous, on ne risque rien.
– Je ne sais pas, ce n’est pas très sérieux.
Je me rapproche d’elle, je défais le nœud de sa robe de chambre et je passe ma main dans son dos. Elle tremble comme une feuille. On se regarde et on s’embrasse tendrement.
Nos langues s’emmêlent dans un baiser torride, mon érection commençe.
Sa main caresse mon bras pendant que la mienne circule le long de sa colonne vertébrale par dessus son pyjama.
Très vite, elle retire mon tee-shirt et elle me caresse le torse.
J’ôte sa robe de chambre et je redécouvre sa nuisette bleue si affriolante.
Elle me pousse sur le dos et s’installe sur moi à califourchon.
Je suis ébahi lorsqu’elle fait passer sa nuisette par dessus sa tête. Je la dévore des yeux, ses beaux seins en poire, me font bander comme jamais. Je les palpe, les presse, je me relève pour les embrasser et sucer ses pointes dures et dressées.
On s’embrasse, je caresse ses cuisses, ses fesses. Elle vibre et frotte son minou contre le dôme de mon short.
Puis elle le retire et se glisse entre mes cuisses. Elle me fait mijoter en embrassant, léchant et mordillant l’intérieur de mes cuisses. Elle prend mon sexe en main et le fait coulisser tout doucement à la verticale et dépose des petits bisous sur mes bourses. Elle prend son temps pour m’amener au plaisir. Je ressens l’expérience de cette douce mature qui m’entraîne dans un état de plénitude. Elle prend son sein dans une main et caresse son téton contre mon gland. Je gémis me demandant quand arrivera la délicieuse sentence de la fellation. Je suis surexcité, mon gland suinte des gouttes de liquide gluant.
Ça y est, sa langue touche ma tige et remonte lentement de la garde jusqu’à l’urètre, elle me lèche de la même façon sur le côté droit, puis sur le côté gauche. Elle me rend fou. Elle continue de me torturer en titillant mon frein, elle me lèche le gland, puis juste en dessous.
Je n’ai jamais ressenti quelque chose de comparable.
Elle me chuchote:
– C’est agréable?
– Oh Patricia, tu es divine, c’est trop bon.
Elle semble heureuse de me faire plaisir et me masturbe à nouveau avant de me prendre en bouche.
Elle entame une lente et douce turlutte. Ses lèvres coulissent le long de mon tube de chair, la chaleur de sa bouche m’électrise, je soupire de plus en plus.
Lorsqu’elle sent que je me crispe, elle me sort de sa bouche et me branle en dirigeant mon gland vers ses seins. En râlant, je décharge mon jus blanc en très grande quantité, elle en est même agréablement surprise:
– Et bien, on dirait que ça ta plu…
– Tu rigoles, c’est la meilleure pipe qu’on m’est jamais faite.
Elle en sourit et m’embrasse de nouveau.
J’ai utilisé mon tee-shirt pour l’essuyer, puis je l’ai câliné, dorloté.
Je monte sur elle, je l’embrasse dans le cou, puis sur les seins, le ventre. Je descends jusqu’à la zone interdite.
Je me faufile entre ses cuisses, découvrant son triangle de poil blond. Mes doigts investissent un par un son sexe totalement submergé.
Elle s’est mise à miauler discrètement.
La voyant folle de désirs, je me devais de lui rendre la pareille.
Je lui prodigue un interminable cunilingus.
Elle ronronne lorsque j’aspire ses lèvres pendantes, elle gémit lorsque lorsque ma langue s’enfonce dans son puits d’amour. Elle me serre la tête entre ses cuisses et jouit lorsque je flatte son bijou boursoufflé.
Sa chatte est une source intarissable et je me délecte de son nectar.
Je jubile devant son orgasme.
Elle me veut.
Écartelée, ouverte, elle exige que je la pénètre.
Je cale mes mains sous ses fesses pour remonter son bassin et j’avance mon glaive vers sa fente humide.
Elle pousse un petit cri dès que je la pénètre.
Elle me murmure:
– Soit doux
Mes va-et-vient sont lents et profonds.
Replié sur mes genoux je la butine tranquillement. Je colle sa jambe, parallèle à mon torse.
J’embrasse son mollet, sa cheville, son pied.
Tout en la besognant, je bisoutes son talon, ses orteils, je lèche sa voûte plantaire.
Elle me sourit, je lui fais du bien.
J’augmente un peu la cadence. Elle feule son plaisir en se malaxant les seins.
J’accélère encore le rythme et c’est une déferlante de « Oh », « Han », « Ouh », qui résonnent jusqu’à ce que nous jouissons ensemble dans un orgasme libérateur.

On s’est embrassé, puis je me suis allongé sur elle, la tête posée sur ses seins, sa main caressait mes cheveux. Nous sommes restés comme ça 5 min sans un mot.
Puis elle m’a dit:
– Tu vas pouvoir m’ajouter à ton tableau de chasse.
– Vous êtes mon plus beau trophée
– Tu es adorable. En tout cas j’espère que cela restera entre nous.
– Bien sûr, je ne vais pas le crier sur les toits. Et puis, j’espère qu’on aura l’occasion de recommencer.
– Avec plaisir, si l’occasion se présente.

Nous sommes allés nous coucher chacun de notre côté. Le lendemain matin, on a fait comme s’il ne s’était rien passé, mise à part quelques regards complices.

C’était ma dernière année universitaire à Nantes et les rares fois où nous nous sommes vus, nous n’avons pas eu l’occasion d’être seuls.
Il ne s’est plus jamais rien passé entre elle et moi, mais depuis cette nuit là, je regarde les femmes matures d’un autre œil…

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