Le meilleur moment de l’amour, disait Clémenceau, c’est quand on monte l’escalier.
Christian n’est pas loin de le penser, en montant les marches derrière Annick, en admirant ses déhanchements, les danses lascives de sa croupe encore cachées par le tissu.
Elle est ronde, elle est belle, et libre, et libertine…
A l’étage, elle se tourne vers lui, souriante.
Sans un mot, elle enlève ses vêtements, vite, les pose sur la rambarde de l’escalier.
Elle n’a plus sur elle que ses sous-vêtements : soutien-gorge et slip blanc qui soulignent ses féminines opulences.
Sa voix est quelque peu rauque, en s’adressant à Christian
– Embrasse-moi et pelote-moi !
Il s’approche, la prend dans ses bras, la serre contre lui, et leurs bouches s’unissent en un long baiser langoureux. Un baiser qui s’accompagne de caresses… Annick se contente de laisser la langue de l’homme rouler dans sa bouche, elle se contente de suçoter cette langue, de la repousser pour, à son tour, envahir la mêle bouche de sa propre langue gorgée d’une salive chaude.
Mais lui, il s’en donne à cœur joie. Sans enlever les derniers tissus sur le corps de son amie, de son amante, il la branle de deux doigts enfouis, sous la culotte, dans une chatte déjà ruisselante, il presse, de l’autre main, un sein dont il sent se durcir le téton.
– Allons dans la chambre, et fous-toi à poil !
Annick décide, Annick ordonne, et Christian se fait obéissant.
Dans la chambre, les voici nus, tous les deux, entièrement, cette fois, et leurs vêtements jonchent le sol. Un sil sur lequel Annick, lentement, s’installe à quatre pattes, la croupe relevée, les nichons pendants. Elle remue du popotin, elle bouge son torse et Christian admire ces fesses épaisses qui dansent presque au ralenti, et cette paire de mamelles qui ballottent, s’entrechoquent.
Viens ! Qu’est-ce que tu attends !
Il n’attend pas, il n’attend plus, et, chien à son tour, lubrique et bandant, il plaque sa bouche entre les fesses rondes d’Annick, et le bout de sa langue lui titille le trou du cul. De ses deux mains, il presse le ventre lourd de son aie, de son amante, de sa maîtresse, il laisse ses doigts ensuite s’accrocher aux tétines sombres dressées comme deux collines de plaisir.
Et elle, elle gémit, elle tremble, elle se cambre, et, se retournant, elle attire le visage de Christian entre ses cuisses. C’est une foutrine abondante qu’il savoure, un jus odorant, dans lequel se mêlent les senteurs du désir et ceux de nectars plus intimes. Il relève la tête, le temps de dire quelques mots.
J’aime tes odeurs, ma belle, ma salope, j’aime le goût de ta cramouille juteuse qui mêle son foutre de femelle aux dernières gouttes de ton urine…
Il se sent vicieux, pervers, et Annick l’encourage, en se jetant bouche grande ouverte sur sa biroute dressée. Elle la suçote d’abord, en mordille le gland, l’avale jusqu’à la garde, tout en laissant son index glisser, sous les couilles, vers le croupion mâle qui s’ouvre, et accepte en frissonnant l’enculade d’un doigt.
Combien de temps dure cette étreinte ? Pendant combien de temps se gamahuchent-ils l’un l’autre, se dévorant à baisers trempés, à petites morsures excitées ?
Ils se relèvent, tombent sur le lit, enlacés, et Annick empoigne la bite de Christian, elle l’enfonce dans la profondeur de sa moule béante. Il la travaille, il la bourre, il la pilonne, et elle, en se pressant les nibards d’une main, utilise son autre main pour presser, sans douceur, les roubignolles de Christian, pour les étirer, les frapper même.
Fou de désir, il se retient tant qu’il peut, il suce et mord les grosses tétines d’Annick tout en accélérant ses mouvements de reins au fond de sa vulve enflammée.
Et elle jouit, les yeux brillants, et il jouit, se retirant de son ventre dégoulinant pour cracher le jus de ses brunes sur ses nichons de belle truie… Et elle, en laissant le bonheur s’estomper doucement en elle, recueille sur les doigts ce jus d’homme, de mâle, pour les lécher, avec une gourmandise qui l’embellit encore plus !
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