Mon colocataire Stéphane est parti pour deux semaines en vacances chez ses parents et moi, en bonne petite salope, je veux profiter de cette liberté pour m’amuser.
Je suis sur un site où j’arrive à lever un homme. Après quelques échanges chauds sur la toile, il m’avoue que son rêve est de baiser une jeune travestie sexy en tenue de bourgeoise, ce à quoi je lui rétorque que son fantasme est possible à réaliser dès ce soir. Il me laisse son numéro de téléphone et rendez-vous est pris pour ce soir, il n’habite pas tout près mais bon, avec ma voiture, rien d’insurmontable.
Je me prépare et à vingt-trois heures, je quitte l’appartement, vêtue d’un tailleur rouge et chaussures à haut talons de même couleur.
Je suis presque arrivé quand je croise une voiture de police qui fait demi-tour. Ils me font signe de me ranger sur le côté, ce que je fais. Les policiers mettent leur voiture devant la mienne et ils descendent, ils sont deux.
L’un des deux se place sur le trottoir, côté passager, l’autre vient à ma portière et me demande de couper le contact de mon véhicule, ce que je fais. Il me dit « nous vous avons arrêté mademoiselle car vous roulez avec les feux antibrouillard à l’avant ».
Avec le noir, il m’a pris pour une femme, il me demande les papiers du véhicule, je lui tends ma carte grise et l’assurance et il me demande également mon permis de conduire que je lui donne. Il ouvre les papiers, me regarde, ne dit rien, il part à l’arrière de mon véhicule faire je ne sais quoi puis me rend le tout en me disant « Bonne route mademoiselle, soyez prudente à l’avenir ».
Ils repartent vers leur véhicule, remontent et partent. Alors que je range mes papiers de voiture, j’aperçois un papier qui n’est pas à moi : dessus, il y a un prénom « Eric » et un numéro de téléphone, je le range dans mon sac à main puis je rentre chez moi sans autre problème.
Une fois chez moi, je ressors le papier avec le numéro de téléphone, j’envoie un SMS : « Merci pour la discrétion lors du contrôle ». Quelques secondes plus tard, mon téléphone bip : « tu es une superbe travestie ». Je renvoie : « merci beaucoup ». Nouveau bip : « j’adore les travesties, possibilité de se revoir ». J’écris : « ok, appelle-moi demain, bonne nuit ».
Le lendemain, mon téléphone sonne en début d’après-midi :
« Bonjour, je suis Eric, on s’est envoyé quelques textos hier ».
« Oui, je réponds ». Il me demande mon petit nom, je lui réponds « Myriam » de ma voix la plus féminine possible.
Il me dit : « Tu sais, j’adore les belles travesties sexy. Possible de se voir ce soir ? ».
Je lui réponds « Avec plaisir mais j’ai une requête à formuler, je veux que tu viennes avec ta tenue d’uniforme ».
Il me répond « D’accord, je me changerai chez toi mais moi, je te veux en pute »
« Pas de soucis, je lui réponds, pour vingt et une heures ok ? »
« C’est bon pour moi ». Il me demande mon adresse que je me fais un plaisir de lui donner.
Vers dix-huit heures, je commence à me préparer, un bon bain bien relaxant, je m’épile à fond, je me sèche puis je sors mes prothèses de seins, j’opte pour une guêpière porte jarretelles toute noire, une micro jupe noire également, des bas résilles, et ma paire de cuissardes noires en cuir qui me monte jusqu’à mi cuisses, j’enfile le tout puis je me maquille de façon très provocante et je pose ma perruque blonde et longue que je coiffe.
Je me regarde dans la glace et je trouve que je ressemble à un tapin du bois de Boulogne, je pense que mon policier va être très content, je suis impatiente qu’il arrive.
Je regarde la télévision pour tuer le temps, soudain mon téléphone bip « je suis en bas de chez toi, tu es prête ? Donne-moi le code de la porte d’entrée ».
Je lui communique ; quelques secondes plus tard, la sonnerie retentit. J’ouvre « bonsoir, rentre » je lui dis, il rentre et me dit « jolie putain ! » en me claquant les fesses quand je referme la porte.
Tout de suite, il rentre dans le vif du sujet «Ou est ta salle de bain que je me change ? », je lui indique et il ressort vêtu de son uniforme. « Hum, je suis fan ! » je poursuis, il me dit « On va bien s’amuser tous les deux ».
Je m’approche de lui et je touche sa bite à travers son pantalon, je sens qu’il bande. Je m’agenouille, j’ouvre sa braguette je la sors puis commence à le sucer doucement, puis de plus en plus vite. Il me demande de ralentir car il ne veut pas cracher tout de suite, il me relève et m’embrasse sur les lèvres, il remonte ma jupe, touche mon zizi à travers mon string, il s’agenouille à son tour, me la sort du string puis me suce le bout du gland.
Je suis tellement excité par la situation que je l’enfonce un peu plus dans sa bouche toujours un peu plus. Il me regarde et me suce puis il glisse un doigt dans mon petit trou tout rose, puis très vite, un autre et encore un autre.
Il me demande de me retourner puis commence à me lécher la raie en me branlant avec l’une de ses mains, je suis aux anges quand je suis bien prête. Il me demande de bien écarter pour me prendre, il me pénètre doucement, très doucement que je le sente bien en moi.
Il est assez doux et, de temps en temps, il m’envoie un coup de butoir plus fort que les autres, ce qui déclenche en moi un gémissement de chienne en chaleur qui aime sentir de la bite en elle et qui n’est jamais satisfaite sauf quand on me donne ce que je veux, ce qui est le cas actuellement. Il me dit « ça arrive ma pute, à genoux, ouvre bien grand la bouche ! Tu vas me recevoir ! ».
Je me dépêche et je reçois le nectar tant souhaité.
Cela reste un très bon souvenir du service public.
FIN
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