De retour au bungalow, alors que je suis sous la douche, je repense à nos séances coquines de la matinée. Faut-il que nous soyons fougueux pour ainsi risquer de nous faire prendre. A deux reprises, qui plus est! Malgré la température plutôt tiède de l’eau, je bande encore très fort. L’image de ta chatte rougeoyante et béante de désir, posée à même la table, continue de me hanter. Sans oublier que, sur le trajet du retour, tu t’es postée deux mètres devant moi et n’as eu de cesse de remonter ta robe pour me laisser reluquer tes fesses, te retournant à chaque fois, un sourire mutin aux lèvres, pour t’amuser de ma réaction. Jamais je n’avais autant eu envie de pétrir ton cul. Tu vois quel effet tu as sur moi? Malgré le savon passé sur mon visage, l’odeur de ton sexe est bien prégnante dans mes narines et son goût tapisse encore le fond de ma gorge. A trop ressasser ces souvenirs, ma verge n’en finit plus de durcir et mon gland violacé semble sur le point d’exploser. Je baisse la température de l’eau pour tenter de retrouver mon calme.
Une fois sorti de la douche, je me penche pour att****r une serviette quand j’entends un léger gémissement provenant de la chambre. Intrigué, je m’approche à pas de loup de la porte et l’entrouvre le plus discrètement possible. Dans le reflet du miroir accroché au mur, je t’aperçois, nue, allongée sur le lit, tes doigts s’activant sur ton sexe. Quelle coquine, alors. Il semblerait que tu ne sois pas rassasiée, malgré notre petit-déjeuner gourmand. Je contemple ce charmant spectacle pendant quelques secondes, mais très vite, alertée par ce soudain silence, tu retires tes mains d’entre tes cuisses et te recroquevilles prestement sous le drap, craignant certainement d’avoir été démasquée. « Chéri? », t’entends-je appeler, hésitante. Mince. Je recule sur la pointe des pieds, en essayant de faire le moins de bruit possible et en me maudissant de t’avoir ainsi interrompue. Je tends le bras vers le robinet de la douche afin de faire à nouveau couler l’eau. J’attends quelques instants, puis je reviens à mon poste d’observation.
Tu sembles encore un peu aux aguets, mais je devine aux mouvements sous le drap que les caresses ont repris. Seulement voilà, c’est malin, maintenant, je ne vois plus rien. Cela n’empêche cependant pas mon érection de faire un come-back fracassant. A en juger par la grosseur de ma verge, il ne doit pas me rester beaucoup de sang dans le corps. Une minute passe, puis tu sembles te détendre à nouveau. Tu fermes les yeux, puis rejettes les draps sur le côté, laissant enfin ton corps respirer. Tes doigts s’affairent sur ton entrejambe, certains taquinent ton clitoris, d’autres explorent ta minette baveuse. Tu te dandines sur le matelas, les jambes écartées au maximum, soulevant tes fesses au fur et à mesure que le plaisir prend possession de ton corps. Machinalement, je descends ma main vers ma bite bien raide et je me mets à la branler délicatement, ne perdant aucune miette du formidable spectacle qui s’offre à mes yeux. Toi, tu gémis et te tortilles de plus en plus. D’une main, tu farfouilles sous ton oreiller et en ressors ton gode. Tiens, depuis quand le caches-tu là-dessous, celui-là? Nous ne sommes arrivés qu’hier… Décidément, tu es pleine de surprises, ma petite coquine.
Une fois empoigné, tu l’insères directement au fond de ta chatte, puis tu entames de longs et profonds va-et-vient tout en continuant à malaxer ton clitoris saillant. Tu te laisses aller à pousser de petits cris d’excitation, ton corps se contracte à chaque montée de plaisir, bref tu es totalement désinhibée. Ton sexe dégouline de mouille blanche et épaisse, maculant tes lèvres épanouies et inondant ton petit trou dilaté. J’accélère le mouvement sur ma queue, m’imaginant pouvoir pénétrer de tout mon long dans n’importe lequel de tes orifices. Toi, tu te cambres à nouveau, laissant échapper une exclamation plus bruyante que les autres, puis tu bascules sur le ventre et te mets à quatre pattes, bombant ton cul au plus haut. Tapi dans l’ombre, en train de te mater comme un voyeur, la bave me vient aux lèvres à la vue de ces fesse appétissantes. Une envie irrésistible de venir d’administrer une fessée bien méritée m’étreint violemment, mais j’y résiste, préférant suivre la suite de tes aventures solitaires. Tu enfournes à nouveau ton jouet au plus profond de toi, le visage enfoui dans ton oreiller, et tu continues à te masturber, ton autre main alternant entre tes tétons et ton clitoris.
Malgré le bruit de la douche, je t’entends marmonner et j’arrive même à discerner quelques mots: « Oh oui, j’ai envie de ta bite, hum… De ta grosse bite dans ma chatte… Trop envie que tu me remplisses… ». A ces mots, mon sang ne fait qu’un tour et ma queue commence à tressauter dans ma main. Je sens le sperme s’accumuler dans ma verge et une goutte incolore perle au bout de mon gland. Toi, sur le lit, tu halètes sous les coups de boutoir de ton jouet, je n’ai jamais vu ta chasse aussi ouverte, j’ai l’impression que je pourrais y entrer ma main entière sans la moindre difficulté. Alors que je suis à deux doigts de déverser mon foutre sur le carrelage de la salle de bain, je serre avec v******e la base de ma verge pour couper mon orgasme. Hors de question de gaspiller ainsi une semence que je pourrais répandre plus tard sur le corps de ma dulcinée. Toi, par contre, tu te crispes de tout ton être, enfonces tes ongles dans le matelas et jouis en hurlant, ta chatte crachant un nectar blanchâtre et poisseux tout autour de toi. Puis, tu t’allonges à nouveau sur le dos, retires ton jouet de ta chatte et le nettoies délicatement du bout de la langue avant de le cacher à nouveau derrière ton oreiller. C’est le moment que je choisis pour couper l’eau.
A suivre…
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