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Chroniques d’Xhamster – Marie (7)

Chroniques d’Xhamster – Marie (7)



Ma nuit fut… comment dire ?… Très agitée. Dans quelle galère me suis-je mis ? Vais-je y aller ? Impossible de penser à autre chose. Cela d’être un samedi soir que je n’oublierai jamais. En tout cas si j’ose y aller. Mon imagination est partie très loin. Ce sera probablement une sorte de soirée échangiste. Mais les « recrues » comme dit Emilie seront sans doute là pour servir de jouets sexuels à leurs clients. Vu le salaire il faut donner de sa personne… ou alors il faut accepter de subir des choses assez choquantes. C’est trop hard pour moi là… Marie va trop loin cette fois-ci. Et en plus elle s’est permise de leur donner des photos et des vidéos de nos ébats pour leurs soi-disant « garanties ».

9h… 10h… midi… 16h… le temps file et je suis toujours en train de me demander si je vais oser aller à cette soirée. Je n’ose pas en parler à Sara. Si ça se trouve quelqu’un me surveille et on m’a bien fait comprendre que je devais garder le silence.

Brrrr Brrrr Brrrr … le téléphone qui vibre…

C’est elle. Un MMS de Marie. C’est une photo d’elle au coin d’une rue. Elle pointe du doigt la plaque de rue et on peut y lire : « Rue des Acacias ». Le message fait 3 mots : « A CE SOIR ».

Elle sera là ? Enfin je pourrai la confronter. Je peux plus reculer. Faut que je la voie. Une nouvelle vibration. Un nouveau message. De paypal. What ? Je clique. « Un virement de 3 000 € vient d’être réalisé sur votre compte ». C’est quoi ce délire ?
Un autre message. Cette fois c’est à nouveau Marie : « JE LES AI CONVAINCU DE TE DONNER UN PETIT EXTRA POUR TE MOTIVER. ET CE N’EST PAS LA DERNIERE SUPRISE DE LA JOURNEE, TU PEUX ME CROIRE. UNE DERNIERE CHOSE IL EST INTERDIT D’ESSAYER DE ME CONTACTER ET SI TU N Y VAS PAS LA TRANSACTION PAYPAL SERA ANNULEE BIEN SUR »
Je me ravise de répondre à son sms… le fait qu’elle soit là ce soir, cela change tout. C’est bon, c’est décidé j’y vais.

Je file sous la douche et vu mon examen médical d’hier soir je me dit qu’il est pertinent de bien m’occuper de mon hygiène intime. Je prends le temps de bien nettoyer mon gland, ma queue et mon trou de balle (you never know !). Rasage de prés. Aftershave. Déo. Un coup d’œil dans le miroir : Ok, ça va le faire. Il est 17h. Je suis large. Et tout à coup, la sonnette qui retentit. Putain, qui c’est ? J’att**** un fut au passage et je regarde au travers de l’œilleton. C’est un livreur indépendant. Il sonne à nouveau. J’ouvre.

-« Bonsoir monsieur, j’ai une livraison pour vous. Merci de signer ce bon. »
Un colis m’est remis. Plutôt grand. Je signe et file quelques euros au coursier. La porte se referme. Encore une surprise ? Il s’agit d’un costume et d’une paire de chaussure. Griffé Calvin Klein. Il doit couter une fortune. Un petit mot au fond de la boite. « C’est à ta taille. Enfile-moi ça et rejoins-moi. Signé : Marie ». Cette épreuve est en train de prendre des proportions hallucinantes. J’ai l’impression d’être dans un putain de délire. Je m’exécute. Il me va parfaitement. Marie se souvenait de tout. Taille, pointure… J’ai tellement la classe avec ses fringues. Un truc de fou. Bienvenue dans « James Bond va à une soirée partouze. »

Flashforward.
Je suis à 500 mètres de la rue des Acacias. C’est un coin de Paris où je n’avais encore jamais mis les pieds. Hyper bourgeois. Ça sent la thune. Tout est hyper bien entretenu. J’y suis presque. 26.. 28… 30. La rue est déserte. Ils m’ont donné la bonne adresse au moins ? 32.. 34…

Voilà. Le 36 rue des Acacias. Une immense porte en bois. Pas de nom sur la boite aux lettres. Sur ma gauche, une plaque avec un digicode et une caméra. Je ne peux plus reculer. OX66. C’est le code qu’elle m’a donné. Un voyant rouge s’allume à droite de la caméra. Clac. La porte s’ouvre. Une grande cour intérieure. Un homme s’approche de moi. Il est habillé comme un vigile et … non mais c’est du délire… il porte une arme à la ceinture. Je n’y connait rien en arme à feu mais c’est clairement pas un taser. C’est un putain de flingue. Il fait presque 2 mètres.

– « Donnez-moi votre téléphone et suivez-moi, monsieur. »
Je coopère. Il me fait rentrer par une petite porte sur la gauche du porche intérieur. Un couloir. Très lumineux. Murs blancs. Sol blanc. On se croirait dans un hôpital.
– « Après vous, monsieur. »
J’avance lentement. Il me colle au basque. Une personne semble venir à notre rencontre. Je n’arrive pas très bien à voir… mais c’est une silhouette féminine… Ouf, un visage familier. C’est Emilie, « l’infirmière » qui est venue me rendre visite hier soir. Elle tient une enveloppe dans sa main.
– « Bonsoir, Bob. Vous avez fait le bon choix. Tenez, ceci est pour vous. Une avance, en cash, comme promis. Le reste… ça dépendra de vous, comme je vous l’ai dit hier. »
L’enveloppe est remplie de billets de 20€.
– « Tu compteras plus tard. Suis-moi, je vais te préparer. »

Le vigile rebrousse chemin. Emilie est habillé exactement comme hier soir. La parfaite sexy nurse. Elle me conduit dans une petite pièce avec un placard et un fauteuil en rotin. En fait c’est plus une sorte de cabine d’essayage qu’une pièce normale. Je repère tout de suite la caméra au plafond.

– « Assiez toi. Je vais te briefer sur ce qui va se passer. Du moins en parti… car parfois les choses peuvent très vite… (longue pause) … dérapées. Ce soir tu t’appelles Marc. Tiens prends ce badge avec ton nouveau nom et accroche le à ta veste. Maintenant je vais te donner un masque que tu devras porter tout le long de la soirée. Attention, ce masque c’est surtout pour te protéger, toi. Tu vas être amener à voir nos clients dans des situations assez extrême. Ce sont des gens très puissants. S’il leur vient plus tard l’envie de faire disparaitre un témoin gênant… ce masque te permet de garder ton identité secrète. Comme ça pas de représailles. Bref, tu le portes toute la soirée. C’est très important. »
Le masque est noir, avec deux trous pour les yeux et il recouvrira mon nez, mes oreilles, tout en laissant le bas de mon visage et mes cheveux visibles.

« Ce soir, c’est une première pour nous aussi. Surtout de cette ampleur et avec une discrétion extrêmement renforcée. Nous avons 20 V.I.P. qui ont payé rubis sur l’ongle. On ne veut pas les décevoir. Ton job est très simple. Tu vas devoir obéir au doigt et à l’œil de notre Impératrice. C’est elle qui va distribuer les rôles et animer la soirée. Vous êtes 10 majordomes et 10 gouvernantes et votre seul job c’est de lui obéir. Si tu fais tout ce qu’elle te dit… alors tu auras le reste de ton « salaire ». Voir un peu plus si nos V.I.P. te laissent un pourboire à la fin. Tes collègues sont comme toi, dans des vestiaires tout comme celui-ci. Tu étais le dernier à avoir été recruté. Et c’est l’impératrice elle-même qui a appuyé ta candidature. Et je la comprends, vu le potentiel que j’ai entre-aperçu hier soir. Tu as des questions ? »
Ça fait un max d’informations à encaisser en quelques secondes. Je dévisage Emilie. Rien ne vient. Puis j’arrive à sortir un tout petit…

– « Tout ? Tout ce qu’elle me demande de faire ? »
– « Oui c’est ça ! Mais on n’est pas inconscients. Enfin relativement pas. Et comme dans tout bon jeu BDSM… car il y en aura tu peux me croire. Tu as droit à un safeword si jamais ce qui t’ai demandé t’es inconcevable. Le tien c’est « Agonie ». Retiens le bien. Et sache que si tu l’utilises plus de 5 fois, on ne te donnera pas le reste de ton salaire. »
– « Je ne l’oublierai pas… quand est ce que la soirée commence ? » ajoutais-je.
– « Dans 2h. En attendant je te donne cette tablette pour t’occuper et quelqu’un t’apportera un encas pour que tu sois en forme. Et ne t’avise pas de te branler avant le début de la soirée. On te veut aux max de tes capacités. C’est bien compris ? »
– « Oui… j’ai compris. Il y a quoi sur la tablette ? »
– « Je crois qu’il y a des séries TV comme Game of Thrones… »
– « Agonie ! Je déteste cette série. »
– « Tu fais ton malin. Tu me plais bien. Bon tiens toi tranquille et on se retrouve à la fin de la soirée. Ce soir je gère l’infirmerie. Je te laisse. A bientôt. »
La porte se referme. Cette histoire est incroyable. Mais où … je … suis… là ! Je viens d’être engagé comme esclave sexuel, c’est bien ça ? Vu la thune qu’on m’offre, les V.I.P doivent être plein aux as. Et cette histoire d’Impératrice… c’est carrément étrange. Eyes wide shut ce n’était rien à coté de ce qui va se passer ce soir j’ai l’impression. Et Marie dans tout ça. Elle devait être là, elle aussi. Putain, elle s’est encore foutue de ma gueule. Et j’ai encore 1h30 à tirer dans ce cagibi. Pfff… j’allume la tablette. Il y a un seul fichier sur le bureau. C’est une vidéo. Putain, y’a pas du tout de séries TV sur ce truc. Je vais trop me faire chier. Le fichier n’a pas de nom. Je clique dessus. La vidéo se lance en plein écran. C’est elle, putain. C’est Marie.

« Bienvenue Chéri. Si tu es là c’est que tu joues le jeu à fond et sache que j’adore ça. Ce soir c’est ta plus difficile épreuve. Si tu vas jusqu’au bout de la soirée, tu auras plus que mérité de valider 4 épreuves. J’ai vu que tu as réussi les deux premières avec brio. Du coup je me suis dit qu’on devrait passer directement au niveau supérieur. Ce soir, une fois sorti d’ici, tu seras à une épreuve de remporter le gros lot : Moi. Je serai ta « chose » pendant 1 mois complet. Sans limite aucune et sans safeword. Je peux te dire que ça vaut le coup. JE vaux le coup. Alors te foire pas, mec. On reparlera plus tard. En attendant monsieur le Majordome, la nuit est à vous. »

La vidéo se termine sur ces mots. C’est ce soir que tout se joue ou presque. Plus d’hésitation. Marie… tu seras à moi.

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