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Texte Participatif : La Poupée de Late

Texte Participatif : La Poupée de Late



C’est un texte un peu particulier que je vous propose aujourd’hui. Il s’agit d’un fantasme également particulier d’une xhamteuse qui restera anonyme (mais qui je vous l’assure est bien réelle) et qu’il s’agira d’exciter en participant au texte, sans pour autant nécessiter de talent particulier pour l’écriture. Le texte est volontairement cru par l’exigence de la situation. Je vous laisse le découvrir et j’espère que vous serez nombreux, femmes et hommes, à le commenter.

C’était un sex-shop où j’avais mes habitudes, situé dans une rue à sens unique peu fréquentée. La devanture exiguë était sans fioriture, et les vitres condamnées par des panneaux roses arborant un triple X, ne permettaient pas de voir l’intérieur du magasin. Le vendeur m’était désormais familier, et il n’hésitait pas à me faire part de ses dernières nouveautés lorsqu’elles étaient susceptibles de m’intéresser.

– J’ai un nouveau produit qui devrait te plaire, me fit-il d’un geste pour m’inviter à la rejoindre près de sa caisse. C’est un peu particulier et je réserve ça uniquement aux clients fidèles comme toi, car j’aimerais autant que ça ne s’ébruite pas. J’ai une cliente qui a des fantasmes très particuliers. Ça faisait quelques temps déjà qu’elle tournait auprès des combinaisons en latex et un soir elle est venue me voir pour me demander si elle pouvait devenir une marchandise de mon magasin. Au début, je lui ai dis que non, que je ne faisais pas dans le proxénétisme. Mais elle a insisté en m’expliquant qu’elle souhaitait se transformer en poupée dans l’une des combinaisons en latex, arguant qu’elle ne dirait rien, qu’elle ne bougerait pas, qu’elle ne racolerait pas, qu’elle serait juste un objet de plaisir parmi les autres. À force, je me suis laissé convaincre, et comme je sais que tu aimes les choses perverses, je me suis dit que ça pouvait t’intéresser. Regardes, je l’ai installée dans le coin là-bas.

Je suivis le tenancier qui m’amena devant une poupée installée debout sur un diable. Elle était immobile, les bras le longs du corps, recouverte entièrement de latex noir, sauf sur le pourtour de sa bouche, ou devrais-je dire, de l’orifice faisant office de bouche, car il s’agissait d’un ovale rouge vif où le latex rembourré se renfonçait en se repliant sur lui. Les reflets du latex mettaient en évidence des formes généreuses qui réveillaient en moi des instincts primaires. Sans pouvoir me l’expliquer, je fus pris d’une excitation intense en voyant cette chose grotesque exposée au milieu des godes géants et autres sex-toys les plus délirants du magasin.

– J’aimerais bien essayer ce jouet, lui dis-je sans ambage devant la poupée. C’est faisable d’avoir ce modèle et de juger de sa qualité ?
– Comme tu es un client fidèle, je peux te proposer de l’essayer discrètement dans l’arrière boutique. C’est spartiate mais tu pourras faire ce que tu as à faire… La seule chose que je te demande, c’est de me le rendre propre que je puisse le remettre en rayon pour les autres clients.

Je glissai donc le diable en arrière pour emmener ce sextoy grandeur nature vers une pièce étroite et sans fenêtre avec pour seuls meubles un lavabo entartré et un lit à barreaux de fer conférant à la situation une atmosphère légèrement glauque qui n’était pourtant pas déplaisante. Je basculai la poupée sur lit. Elle demeurait rigide les bras le longs du corps. Je la contemplai étendue m’offrant la perspective d’assouvir le moindre de mes fantasmes, puis je commençai à la caresser pour me familiariser avec les matériaux employés pour un tel produit. Mes mains se posèrent directement sur les seins glissant doucement au début sur la surface avant d’empoigner ces mamelles de latex qui me glissaient entre mes mains. Je remontais ensuite au cou et à la bouche afin de me familiariser avec cet orifice qui donnait à la poupée une allure grotesque. J’insérai un doigt et je fus surpris de pouvoir l’enfoncer entièrement sans toucher le fond de la poche buccale. À l’intérieur je sentais la latex-langue dont les sensations ne semblaient pas désagréable. Je continuai mon examen un peu plus bas en écartant légèrement les jambes de part et d’autre sans avoir à forcer, gageure d’une bonne fabrication trop souvent aléatoire sur ce genre de sextoy. Le pubis de la poupée présentait une fermeture que ne tarda pas à ouvrir dévoilant deux orifices ronds de couleurs chairs. Ces sortes de valves avaient l’allure de préservatifs déroulés vers l’intérieur. Je fus étonné et très excité par ces récipients à bite et je ne tardai pas à doigter la poupée provoquant en moi de grande bouffée de chaleur et une érection dure à m’en faire mal. Je tirai alors la poupée par ses épaules pour amener le haut de son corps au bord du lit et je tournai sa tête vers moi. Je sortis mon pénis devant son visage, le recouvrai généreusement de lubrifiant et commençai à toucher l’orifice buccal avec le méat de mon gland qui s’enfonçait dans le rembourrage moelleux du latex. Je pris la poupée par la nuque pour faire glisser ma bite dans cet orifice et ressentir un grand plaisir grand mon gland fila contre la langue en latex. Mon imaginaire se mit en ébullition et mua la poupée en diverses femmes sur lesquelles j’avais fantasmé. Je me surpris alors à leur parler crûment et à aimer ça.

– Hmmm Naomie, j’avais très envie que tu me suces. Quelle bouche délicieuse tu as. J’ai toujours su en voyant tes lèvres charnues que ça devait être un pied d’enfer de glisser son gland dessus. Et maintenant, je le sais. Tu es très gourmande de me sucer le sexe avec tant d’envie …
– Oui Kate, toi aussi tu as le droit d’avoir ma bite dans ta bouche. J’ai toujours su que tu étais une petite suceuse de bites. Avec toi je peux bien l’enfoncer un peu plus loin, tu sais avaler des longueurs de queue, car c’est ce que tu es : une bonne salope à queues ! Voilà Kate, je baise bien ta petite gueule de pipeuse comme tu le voulais, et je compte bien te la foutre jusqu’au couilles !

Ma trique en s’enfonçant plus loin dans l’orifice buccale déballa entièrement l’entonnoir en latex, et j’avais réussi à entortiller ma bite dans un pli contre la latex-langue qui avec mes mouvements de vas-et-viens me procurait énormément de plaisir.
– Wow Anna ! Tu sais que ta chatte me fait de l’œil ? C’est pour me détourner de la bouche de cette pute que tu te mets à exhiber ta rondelle comme la dernière des pétasses ? Et bien, tu as raison car ça me donne très envie de plonger dans ton sexe, ma salope !

Je retirai mon manche du boudin de latex rouge, et ouvrai les cuisses de la poupée en repliant ses genoux pour lui donner une allure convenable de salope. Je m’attardai même à de menus détails en faisant pointer ses pieds, et en relevant ses bras par dessus la tête pour pouvoir ainsi lui saisir les poignets lors de la pénétration. J’approchai enfin ma trique gonflée et rougie de la valve-chatte après l’avoir recouverte de salive par un cunnilingus improvisé. Ma queue se glissa dans l’entonnoir-chatte de la poupée avec une grande délectation, et, enfonçant ma bite, mon gland déplia le latex dans un bruit caoutchouteux tout en sentant le sextoy m’aspirer la trique qui voulait remplir ce préservatif à biter jusqu’au fond. Lorsque je fus correctement installé à m’en frotter les couilles contre le latex, je tournai la poupée sur le côté et lui déplia une jambe pour la serrer contre mon torse et pouvoir satisfaire mon désir de m’entuber le sexe violemment à une cadence frénétique.

– Oh putain Anna ! Ta chatte est mûre pour se faire biter, ma salope ! Je ne savais pas que tu savais une rondelle qui branlait si bien les bites, sinon je t’aurais déjà baisé plus tôt ! Ma grosse queue te remplie bien la chatte, n’est-ce pas ? J’aurais du te la mettre bien avant pour te dompter ton entre-cuisse de petite garce !

À chacune de mes coups de piston, je voyais bailler la valve-cul dont la poche de latex était entremêlée à celle de l’orifice-chatte, tant et si bien que je ne pus résister à l’envie soudaine d’enculer l’entonnoir de ce sextoy décidément bien conçut pour soulager les bites en furie.

– Han Cindy ! C’est à ton tour de venir agiter ton cul sous mon nez ? Toi tu es réellement une chiennasse, c’est directement dans le cul que tu supplies de venir te faire défoncer. Les bonnes putes comme toi ça sait mettre à disposition des salops comme moi leur anus à élargir. Et bien soit, je vais t’écarter les plis de ton petit trou de salope.

J’attrapai le cul de la poupée par le dessous afin de le soulever et de l’installer sur ses genoux. Je la penchai en avant et lui croisai ses bras au dessus de sa tête, et sans savoir pourquoi, crachai sur son derrière. Je contemplai son cul de latex bombé, sa valve anale encore intacte tandis que la poche vaginale s’était déroulée vers l’extérieur lorsque j’eus retiré ma bite et pendait grotesquement entre ses cuisses. Finalement, je décidai d’allonger ma poupée sur le ventre, cuisses ouvertes, genoux repliés, et pieds pointant vers le plafond. Je m’allongeai sur la poupée en approchant ma bite de son cul. J’enfonçai ma queue dans sa valve étroite jusqu’à sentir mon pubis entrer en contact avec la matière moelleuse et synthétique des fesses de ma poupée.

– Alors Cindy. Je vais bien m’allonger sur toi, poser mon bassin sur tes grosses fesses pour te bourrer le cul avec ma queue. Au fond t’es qu’une salope qui demande à se faire démonter le trou. Tu sens un peu la rudesse de mon gland qui s’enfonce bien loin entre tes fesses ? Ha Cindy, ça faisait longtemps que je souhaitais enculer ton petit trou de chiennasse, te faire souffrir délicieusement du cul avec ma bonne grosse bite. Je vais t’élargir le derrière à grands coups de mandrin… Ah, t’es tellement serrée du derrière que tu vas me faire jouir ! Je sens le sperme se tirer de mes couilles, je vais bien te trisser au fond de ton cul Cindy. Han, salope !

J’accélérai mes coups de butoirs en rebondissant sur le cul de ma poupée comme sur un trampoline. La valve me pompait la bite tandis que mon gland faisait crisser le latex. Je me sentais venir, allongé sur cette poupée qui restait obstinément immobile et qui laissait libre cours aux fantasmes que je nourrissais sur Cindy. Mon sexe se raidit, mes couilles se rétractèrent, et soudainement mon manche fut saisit de convulsions intenses qui faisaient pisser mon gland de sperme chaud se déversant dans l’entonnoir à foutre. Je ressortis ma queue entraînant avec elle la poche en latex anale qui déversa mon jus sur l’entre-cuisse de la poupée, faisant ruisseler des dizaines de gouttes de sperme sur le latex noir. Je dépliai les jambes de ma poupée, et allai chercher à l’évier une éponge pour la nettoyer. Je frottai consciencieusement l’entre-cuisse avant d’astiquer le reste du corps pour redonner de l’éclat au produit. Je la laissai sécher sur le lit pour que le gérant du sex-shop puisse ensuite la remettre en rayon. En sortant de l’arrière boutique, il m’apostropha pour me demander mes impressions.

– Alors, me fit-t-il ?
– Satisfaisant, me contentais-je de lui répondre sobrement.

Voilà chers lecteurs. J’espère que ce texte vous a plu et inspiré. Maintenant hommes, ou femmes, n’hésitez pas à dire ce que vous voudriez faire à cette poupée dans vos commentaires. Du paragraphe à la seule insulte, de la tendresse à la rudesse, l’xhamsteuse concernée sera ravie de pouvoir vous lire. Tout ce que vous pouvez imaginer est à votre disposition, servez-vous en, la poupée est là pour vous satisfaire. Laissez lui un petit mot pour l’exciter. Une seule condition : différenciez la personne réelle qui mérite le respect comme tout un chacun, de la personne fantasmée.

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