Je m’en rappelle comme si c’était hier. La première fois que j’ai vu cet homme qui allait devenir mon petit ange, donc plusieurs mois plus tard mon copain officiel, j’étais submergée par son odeur enivrante. Virilité. Sensualité. Baise. Je le regardais et je devenais toute chaude. Il était en couple alors je me retenais de toute mes forces pour ne pas poser mes lèvres sur les siennes. Les principes avant tout… il fallait que je tienne.
Après le souper, on est allé dans la chambre de mon coloc. On était trois sur le lit, et tout de suite ça a cliqué. Mon coloc avait bien vu nos regards séducteurs et se plaisait de rappeler que j’étais dû pour une bonne baise alors que moi je me défendais de recherche l’amour de ma vie. À 25 ans, je croyais avoir tout connu du sexe. Et ce n’était certainement pas lui, 5 ans plus jeune, qui allait m’en apprendre de la vie. Je ne connaissais pas l’élixir de cet homme qui changea ma vie parce que je n’aurais pas pensé ça à l’époque.
Quand mon coloc est allé dans la douche, nous laissant seul dans le lit, je vous jure qu’il a su bien s’y prendre comme s’il avait tout planifier pour faire naître en moi ce fantasme d’une baise avec lui qui n’allait plus disparaître. Il me faisait rire, et même pleurer en me chantouillant, détendant ainsi l’atmosphère pour rapprocher tout naturellement nos corps dans ce petit lit simple. On s’est levé, se tiraillant quelque peu avec les oreillers, jusqu’à ce le cadre de porte arrête mon corps, lui étant devant moi, les lèvres à quelques millimètres de les miennes. Je fixais ses yeux bleus, son regard perçant les miens. Je rêvais de ses mains sur mes seins pointés sous ma camisole noire que je devinais qu’il regardait avec désir depuis déjà quelques minutes. J’étais habillée pour aller dormir et ça rendait sexy et désirable mes 125 lb de mes 5 pied 7, surtout ma poitrine ronde qu’il pouvait sentir sous la légèreté du tissu. Je le voulais, et je savais que c’était réciproque, je n’en doutais pas du tout : je sentais sa queue bandée dans son jean et je rêvais de la dévorer de tous mes trous pour qu’elle comble tous mes plaisirs.
Mais iL fallait que je tienne et que je résiste à la tentation de sa chair si attirante. Je devais le faire: il était en couple et ça m’embêtait d’être mêlé à tout ça. J’ai réussi, je ne sais encore par quelle magie, à aller dans mon lit sans lui demander de me rejoindre. Il dorma dans la chambre de mon coloc. Je les entendais discuter pendant que je me masturbais tranquillement. J’étais gênée, de peur qu’ils n’entendent les sourds bruits de ma main qui clapotent mon clito, et encore plus des cris que j’étouffais dans l’oreiller. Je voulais qu’il vienne me rejoindre et je pensais à sa bite pendant que je touchait mon clito tout gonglé et entrait mes doigts dans ma chatte. C’était vigoureux, comme j’aurais voulu qu’il me prenne. Son odeur me transperçait le corps et m’emplissait de plaisir intense. Il riait dans la pièce d’à côté pendant que moi je pensais à sa bite dans ma bouche que je mangeais jusqu’à ce qu’il jouisse. Chaque rire de l’autre côté du mur me permettait de camoufler mes cris et mes doigts qui rentraient encore plus fort dans ma chatte, allant jusqu’à combler mon point g de sensations extrêmes comme il aurait pu le faire.
J’ai joui en retenant de tout mon souffle mes cris. Mais ma chatte, elle, explosa de bonheur. Je ne sentais plus mon corps tellement mon point g prenait toute mon énergie. J’étais comblée.
J’ai rêvé à lui, fantasmé sur son corps athlétique, son cul d’enfer et ses mains de dieu pendant des semaines.
Puis, on commença a discuté un jour sur internet. Il m’annonça finalement qu’il quittait sa blonde. Ouf, je ne pouvais plus tenir. Je devais l’inviter à la maison. J’avais droit à cette soirée torride, son corps chaud qui me défonce et auquel j’avais tant résisté quelques semaines plus tôt question de principe.
Le corps que j’ai goûté était encore meilleur que le fantasme.
Suivez nos aventures… La suite très bientôt
Chloey
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