J’habitais Paris, et je travaillais dans une boutique de fringues dans le quartier du « Sentier » (pour ce qui connaissent…)…
J’avais une vingtaines d’années à l’époque.
Je pliais et rangeais les articles que j’avais fait essayée aux clients, lorsque mon patron est venu me voir pour me proposer un stage d’une journée dans une entreprise… pourquoi pas…
Il avait trouvé ça par la chambre du commerce, et c’était intéressant pour lui fiscalement, déductible des impôts…
Il voulait mon accord pour m’y envoyer, et contacter une société qui pouvait me recevoir…
Il reparti dans son bureau, pour revenir me voir deux petites heures après…
Il m’expliqua qu’il avait eu des difficultés à trouver une infrastructure pour me recevoir…
Mais ça y est, il avait contacté un de nos fournisseur sur la Picardie qui était intéressé (plus, je pense pour faire plaisir à un client important, que pour l’utilité du stage).
Le problème, était que le stage devait se faire la semaine d’après, et qu’il avait une date butoir…si non, tous les avantages étaient perdu…
Il y avait un autre souci, la personne qui devait me recevoir était en déplacement toute la semaine pour affaire à l’étranger…
Mon patron me demanda si ça ne me dérangeai pas de m’y rendre un samedi (c’était le seul jour de disponible).
Me concernant, il n’y avait pas de gêne particulière à travailler un samedi…dans le commerce nous travaillons le samedi toute la journée…
Mon patron me paierait normalement ma journée, plus une petite prime, les frais kilométriques, plus l’essence, les péages, et même le panier repas du midi au resto…
J’acceptai son stage…
Le vendredi de la semaine d’après, il me demanda si c’était toujours d’accord… et il me donna les coordonnées pour m’y rendre, en me recommandant, si possible de me montrer à la hauteur, en me présentant d’une façon correcte, et présentable…je représentais son affaire…
Le lendemain matin, je me suis levée tôt pour me préparer ; douche, maquillage, bijoux, puis tenue vestimentaire …
Je choisie de porter ; un ensemble tailleur jupe noir (jupe droite au-dessus du genou), chemisier blanc sobre, et pour y ajouter une petite touche de séduction, je l’ai déboutonné jusqu’ au milieu de ma poitrine, pour qu’apparaisse dans l’échancrure le début des dentelles sombre de mes dessous…, escarpins noir vernis… une guêpière noir avec des petites fleurs de couleurs fantaisies (très jolie…) avec sa culote assortie… et des bas nylon couture marron (pas noir, trop habillé)…
J’en faisais peut être un peu trop…mais comme ça mon patron n’aura pas de retour négatif sur ma tenue vestimentaire…
Une fois prête, j’enfilai mes ballerines noires pour conduire c’est plus confortable et moins dangereux avec les pédales…
Je suis descendu à ma voiture habillée en Working girl sans oublier mon sac à main, dans lequel j’avais glissée entre autres une paire de bas de rechange… mon porte document dans lequel se trouvait un bloc-notes et un stylo…et ma paire d’escarpins à talons…
A l’époque pas de GPS, une carte routière à mes côté pour m’aider… d’après les dires de mon patron c’était dans une zone d’activité tout de suite à la sortie de l’autoroute…
Je savais que j’en avais pour deux heures de route…il était sept heure du matin, ce qui me faisait une arrivée vers neuf heure (si je ne me pommais pas…)
Deux heures après, j’étais dans le secteur de Senlis…
Bien indiqué, j’ai tout de suite trouvée la zone…et la société…
A mon arrivée, je me suis garée sur leur grand parking vide, sauf deux grosses voitures y stationnaient déjà…
La première chose que j’ai faite, a été de changer de chaussures… puis, un petit coup de regard dans le rétro intérieur pour me repeigner et parfaire mon maquillage avec un passage de rouge à lèvre…
Je suis descendu de la voiture en tirant sur ma jupe pour la réajuster et retouchée ma veste de tailleur…
J’ai enfilée mon sac à main sur mon épaule, et pris mon porte documents, et je me suis dirigée vers le bâtiment en direction de l’accueil…
Quand je suis arrivée à la porte en verre, je voyais mon reflet, je me trouvais très en beauté en businesswoman…
Il n’y avait personne à l’accueil… normal nous étions samedi, et le personnels ne travaillent pas le WE…
J’ai sonnée à la porte…
J’ai vu une porte de bureau s’ouvrir juste derrière le comptoir de l’accueil…
Un homme d’une trentaine d’années en sorti avec le sourire, pour venir m’ouvrir…
Nous nous sommes présentés mutuellement…il fut surpris que je sois un homme « déguisé », avec un mouvement de recul lorsque j’ai parlée… je l’ai rassurée en lui disant que j’avais l’habitude …
C’était le DRH de la société, et il allait me présenter à son patron le Directeur, qui se trouvait dans son bureau au-dessus…
Politesse oblige, il me fit monter les escaliers devant lui…l’occasion pour lui de me mater les jambes…
Ma jupe était légèrement fendue dans l’axe derrière pour plus d’aisance…
Je sentais son regard suivre mes coutures de mes bas sur mes mollets comme des rails jusqu’à la fente qui devait à chaque marche me découvrir mes cuisses baguées en hauts de mes bas…
J’en rajoutais en me cambrant pour faire ressortir mon popotin, et en roulant du cul…
Lorsque nous sommes arrivés au bureau du directeur, il frappa à la porte…
Je fus reçu poliment et correctement par un bel homme d’une cinquantaine d’années, avec beaucoup de charmes…assis à son bureau
Lui était au courant que j’étais un travesti, mon patron l’avait prévenu pour qu’il ne soit pas choqué, et qu’il ne se froisse pas…
Il m’invita à m’asseoir, en me proposant un café que j’accepta…
Je me suis assise en face de lui en croisant mes jambes (on entendait le nylon crisser…)
Pleins d’humour, il faisait des allusions…genre un peu façon « rentre dedans »…
J’avais du mal à percevoir si c’était des plaisanteries mal placé ou s’il voulait me baiser…
Laissons le faire on verra un peu plus tard…ne mettons pas mon patron dans une galère !!!
Après le café et les discutions tous les trois…
Son DRH devait nous quitter, pour aller rejoindre sa famille, qu’il avait laissé à la maison…
Dommage, je me le serai bien tapée !!!
Il prit congé de nous, en me disant au revoir et me disant qu’il me laissait entre de bonnes mains, avec un petit sourire… (Étrange…) se sentait-il de trop ??? Moi, ça ne m’aurai pas déranger de faire un petit triolisme…
Une fois parti, M. Le Directeur me proposa une petite visite guidée de son entreprise…
Lui demandant si je pouvais laisser mes affaires dans son bureau, je me suis levée en prenant dans mon porte document mon bloc-notes, mon stylo, et mes lunettes de vu (je suis un peu myope)…
Mes bas plissaient de partout, en m’asseyant ils avaient glissés sur mes cuisses, comme ça on voyait bien que je portais des bas nylons…
Un petit test… ; mon porte documents au sol appuyé contre la chaise, M. Le Directeur déjà à la porte de son bureau m’attendant… je lui fis le coup de lui tourner le dos pour prendre mes affaires en me baissant les jambes bien droite… lui donnant une vue splendide sur mes jambes en totalités jusqu’au fesses…
« whaoou… mes félicitations, vous avez de magnifiques jambes … »
Je me redresserai, en le remerciant du compliment…
On sorti de son bureau, direction la production qui se trouvait au rez de chaussé…
En descendant l’escalier, j’avais la même sensation qu’a la montée avec le DRH… il matait mes jambes et mon cul, alors je fis de même… en roulant du cul…
Il continuait ses compliments ma tenue et mon style…
Je commençai à être excitée, le désir de baiser montait en moi… je me retenais… (J’aime bien allumer un max. les mecs…)
Une fois dans l’atelier, il m’expliquait des tas de choses… je faisais semblant de m’y intéresser … (franchement, je n’en avais rien à foutre…) j’avais d’autres choses en tète….
Pendant qu’il me parlait, je croisais les jambes en les frottant pour que l’on entende mes nylons…
Je le regardais dans les yeux, par-dessus mes lunettes que je portais au bout du nez, en suçant l’extrémité de mon stylo de toutes les façons d’un air lubrique…
Aller c’était le moment de tenter quelque chose…
« Ho, zut… mon stylo est tombé parterre… »
Je me suis accroupie pour le ramasser à ses pieds… en remontant ma jupe pour faire apparaitre mes bas en totalité…
Il ne bougeait pas…
Je me lance… je suis restée dans cette position, mon visage à la hauteur de sa braguette…
J’ai laissée le stylo parterre, pour lui baisser sa braguette, et commencer à rentrer ma main pour lui caresser son chibre à travers son slip…
Il me dit ; « je ne suis pas homo, mais avec toi je vais faire une exception… »
J’avais son feu vert pour continuer… super !!! Je pense que je vais passer un bon stage bien noté…à moi de m’appliquer…
Je continuai de lui caresser la bite, je la sentais vivre, et durcir sous ma main…
Une fois dure, je l’ai libérée en baissant son slip dans son pantalon, et je l’ai sortie…
Hummm… je l’ai admirée d’abord sans la toucher (je le torturai un peu…), elle commençait à perler, bien droite avec son gland violet…cherchant un trou à combler…
J’ai commencée par des petits coups de langue sur tout son gland… puis gentiment des petits bisous…
Il commençait à avoir chaud, il retira sa veste de costume, en la jetant sur un établi…
Puis, il desserra sa cravate, en déboutonnant son bouton du haut de sa chemise, il la glissa de sa tête pour la jeter sur sa veste…
Pendant ce temps-là je continuai à m’occuper de ma sucette…
« Viens, on va dans un endroit plus confortable… »
Je me suis relevée, ma jupe est redescendue à sa place. Il me prit par la main, sa bite droite et humide en dehors de son pantalon…
Il m’entraina en direction d’un bureau au bout de l’atelier… « Je te continu la visite… »
« C’est le bureau du chef d’atelier… » il me dit en s’asseyant dans le fauteuil en me lâchant la main…
Il tourna le fauteuil d’un quart de tour dans ma direction…
Assis les jambes écartés, attendant la bite à l’air…
Je me suis agenouillée devant lui entre ses jambes tendu, pour reprendre mon travail là là où je l’avais laissée…
Elle avait légèrement débandée… pas grave… on va la restimuler…
En quelque lipette, elle était de nouveau en forme…
« Vas-y avale la maintenant… » Me disait-il, trop excité…
Je le rassurai en lui disant que je connaissais bien mon travail, et qu’il se détende un peu en me laissant faire…
Je me concentrai sur ça tige, je l’ai encore léchée,… puis en serrant légèrement mes lèvres humide…je fis pénétrer son gland comme si il rentrait dans une chatte de femme en chaleur…
Il gémi de plaisir, en me disant qu’il n’avait jamais connu de sensation pareil dans une bouche…
Une fois son gland pénétré, je l aspira en fermant la bouche hermétiquement, avançant ma tête jusqu´à ce que mes lèvre arrivent en buté contre ses couilles…
Il faisait des cris et des gémissements de plaisir…
Je continuai plusieurs petites séries de va et viens comme ça…
« Si tu es aussi douée avec ton cul que ta bouche, il faut que je te fourre tout de suite »
Je refusai… les préservatifs étaient dans mon sac à main que j’avais laissée dans son bureau…
« Ho, merde… » Il n’était pas content de louper une occasion pareil…
Je lui dis qu’il pouvait se soulager dans ma bouche, sans aucun souci, elle est faite pour…
Je repris ma passion en le suçant en jouant de la langue tout autour de son gland, en lui branlant la base de sa verge…
Je lui titillais son petit bout de chaire sous son gland avec la pointe de ma langue…
Puis je senti qu’il allait jouir…
J avala son phallus jusqu’ au fond de ma gorge…il gonfla progressivement et rapidement…la vague de semence arrivait…
Un gros paquet descendait directement dans ma gorge, je me suis étouffée…j’ai toussée…
Il a peur pour moi en me demandant si j’allais bien…
Je l’ai rassurée en lui expliquant que j’avais avalée de travers son sperme…
Ça fait plaisir qu’un homme s’inquiète de votre état de santé quand on baise…
Je ne voulais pas lui lâcher sa bite, je continuai à lui sucer en attendant qu’elle débande toute seule dans ma bouche…
Quand je l’ai sorti de ma bouche débandé et nettoyé, elle avait des traces rouge vif de mon rouge à lèvre mélangé à de la salive et du foutre…
Il l’a essuyé avec un échantillon de tissu qui trainait sur le bureau…puis la rangea dans son slip qu’il remonta ainsi que sa braguette…
Je pris moi aussi un échantillon pour m’essuyer délicatement la bouche en me la tamponnant pour ne pas trop retirer de mon rouge à lèvre…
On se releva tous les deux, j’en profitai pour réajuster mes bas sur mes cuisses en relevant ma jupe…
« Qu’es ce que tu es bien foutu… et sexy comme une vrai femme » me dit-il…
Fier de moi, avec un petit sourire de satisfaction je le remerciai du compliment…
On retraversa l’atelier en discutant… il reprit ses affaire au passage, et moi mon stylo et bloc note…
Je lui demandais quel était le programme maintenant.
Il me dit qu’il fallait arroser ça… direction son bureau.
En montant les escaliers, il me caressait le cul, en le tapotant de temps en temps…
Arrivés dans son bureau, il m’invita à prendre place sur le sofa, pendant qu’il sortait une bouteille de Champagne du petit frigo qui se trouvait derrière son fauteuil, et deux flutes…
Je me suis assise dans un coin de la banquette croisant mes jambes…
Les mains pleines, il me rejoignait en s’asseyant à côté de moi…
Il fit péter le bouchon, et versa immédiatement le liquide à bulles dans nos flutes…
On trinqua, puis me caressant les cuisses d’une main, et de l’autre sa flute, on discuta de nos vies privées…
Pendant qu’il me caressait, j’avais moi aussi de mon côté lancée une de mes mains vers son paquet… baissée de nouveau l’ensemble de ses tissus, et je lui branlais gentiment et calmement sa verge…tout en sirotant notre Champagne…
Il me posa pleins de questions par curiosité sur ma sexualitée…
de mon côté j’appris qu’il était marié, père de deux grands garçons, bientôt grand père, qu’il avait une maitresse officiel depuis des années, que sa femme était au courant, et que de temps en temps quand il en avait l’occasions, ils s’en faisait en extra… comme moi par exemple…(mais jamais un mec !!!)
J’avais fini ma flute…, je me suis couchée sur lui pour le sucer le temps qu’il finisse la sienne…
Il me poussa ma jambe que j’avais posée sur l’autre, pour m’écarter les cuisses, il glissa sa main jusqu’à ma culote qui était détrempée de sperme d’excitation…
Il me caressa la bite et les boules à travers le fin tissu en dentelle…
Quand il le fit, je lançai un petit cri étouffé par sa bite dans ma bouche, en faisant des petites contractions de plaisir…
Écartant bien les cuisses, il me branlait plus rapidement… je gémissais de plaisir…j’accélérai mon rythme de pompage…
Sa bite était dure, chaude, et coulait de sperme d’excitation…la mienne aussi…
« Qu’es ce que tu mouille… »
Je sortie sa bite de ma bouche, complètement allumée… en lui disant qu’il fallait qu’il me prenne…
Il avait sorti mon gland en haut de ma culote, qui avait commencé déjà à me tacher ma jupe, en me faisant une auréole de liquide visqueux…
Je me relevai du sofa pour aller chercher une capote et un petit tube de gel intime dans mon sac à main…
Je lui tendis le préservatif et le gel, pour que je puisse me mettre plus à mon aise…
Assi dans le sofa, déchirant l’emballage et installant le caoutchouc sur sa tige tout en me regardant me désaper…
J’avais chaud, très excitée, je descendis le ZIP de ma jupe qui glissa et tomba à terre, puis je déboutonnai ma veste de tailleur, et retira mon chemisier, pour faire apparaître ma guêpière…
« qu’es ce que tu es bandante… , tu sais y faire avec les hommes…et leurs faire perdre leurs moyens… »
Je me suis avancée vers lui en lui offrant un spectacle…, je voyais sa bite habillée de son voile de caoutchouc raide et tendu comme une trique…
J’ai poussée son fauteuil de bureau sur le côté, pour me coucher à plat ventre sur son bureau, mes jambes tendues écartées en appuis sur mes pieds, mon croupion prêt à recevoir sa broche…
J’attendais les bras écartés qu’il s’occupe de moi…
« Ho, putain une vrai salope qui aime ça… »
Il se leva en laissant glisser son pantalon au chevilles, et descenda son slip jusqu’ en bas aussi…
Je le senti derrière…
« Humm, tu sens bon, tu m’excite un Max… » Tout me caressant le cul, les cuisses, et le dos à travers le fin tissu de ma guêpière…
Je sentais sa bite et son gland qu’il me frottait sur mon cul à travers les fines mailles de ma culote, en insistant sur la raie de mon cul…
Je ne bougeais pas en le laissant prendre l’initiative…
Je haletai pour le motiver, en lui disant des petits mots d’encouragement…
Avec ses deux mains il me descendit ma culote sous les fesses…, puis jusqu’à à mes chevilles en me faisant des petits bisous sur tout le long de la descente, de mon cul, au bas des cuisses sur mes bas…
C’était super agréable… un mélange d excitations et de chatouillements…
Quand il remonta, en continuant de me faire des bisous et en me caressant les jambes…
J’envoyai mes mains vers l’arrière pour att****r mes fesses pour les écarter…
Il découvrit ma rosette propre et pas encore dilatée…
« Tu as une très jolie rondelle que je vais m’empresser de combler… »
« Vas-y fais toi plaisir… tu n’aies pas le premier à me la satisfaire… »
Il présenta son gland à l’entrée, et il essaya de forcer le passage, en s’inquiétant de me faire mal…
J’étais trop sèche et pas dilatée…
Je relâchai une de mes mains, pour att****r sur le bureau mon petit tube de lubrifiant… que je lui tendai…
N’ayant pas l’habitude de la sodo, je lui expliquai comment me préparer…
Je me remis à tenir mes fesses en position ouverte avec mes mains…
Il en mit sur ses doigts, et sur sa capote…
Il commença timidement à m enfoncer un doigt en restant concentré sur la mission que je venais de lui donner…
Puis deux en les faisant tourner…, je ronronnais…
Une fois dilaté avec ses doigts qui tournaient librement dans mon anus… je lui fis comprendre que j’étais prête à recevoir son pieu…
Il retira ses doigts pour laisser place à sa bite…
Elle est rentrée sans aucune difficulté…
Il s’arrêta de la rentrer, quand je fis un petit cri, croyant qu’il me faisait mal…
Je l’ai rassurée en lui demandant de me l’enfoncer à fond dans mes entrailles, que j’étais faite pour ça, et que j’en avait reçu des plus grosses et plus longues…
Il comprit que j’étais une vraie « Marie couche toi là… »
Ça y est j’avais quinze centimètre de viande en moi, qui commençai un long aller et retour dans mon petit trou…
Je jouissais comme une femme en faisant des gémissements…
« Qu’es ce que tu es bonne, ma salope…tu jouis comme une vrai… »
J’avais relâchée mes fesses pour m’accrocher à l’opposé de son bureau…
Il était debout, me tenant avec ses mains par mes hanches, comme si il jouait au flyper…, il me tamponnait fort ce salaud, me faisant brailler…
« Aller Salope… gueules !!! »
Pendant qu’il me bourrait le cul, je sentais ses couilles me frapper les miennes, ma culote baissée faisant amortisseur.
J’avais face à moi, les Photos de famille modèle, de sa femme et de ses fils…
Il accéléra pour finir de se branler dans sa capote au fond de mon cul bien ouvert…
En s’écroulant sur moi avec des soubresauts…il balançant son jus dans le réservoir en caoutchouc prévu à cet effet…
« Ma chérie, tu es délicieuse… », En me faisant des bisous dans le cou et sur mes épaules dénudées…
Sa bite à l’intérieur débandait tranquillement et gentiment…
Il se redressa… je ne bougeais pas, j’étais exténuée…
Tout en se retirant, il sorti son chibre mou en retenant la capote pleine, doucement et délicatement pour ne pas en faire tomber sur la moquette…
Il fit un nœud, et il me le posa à côté du visage sur son bureau… en me disant ; « tiens, cadeau… »
Il remonta slip et pantalon en rentrant sa chemise dedans… puis il s’effondra dans le canapé, crevé…
Pendant qu’il nous versait du champagne dans nos flutes, je me redressais constatant que j’avais quelques petites douleurs un peu partout sur mon corps…
C’était normal avec notre petite sauterie…
Je ne me suis pas rhabillée tout de suite, j’ai simplement remontée ma culote pour être plus « présentable » et continuer à le séduire…
J’ai été le rejoindre sur la banquette, il me tendait ma flute…
Je me suis assise en me blottissant contre lui, comme des amoureux…
On a parlés, je lui ai demandée si ça ne le gênait pas de baiser devant ses photos de famille ?
Ce n’était pas la première fois… et ça ne sera pas la dernière…
« Tu es une sacré baiseuse… tu as déjà pas mal d’expériences pour ton âge… »
Le téléphone sonna, je me suis redressée pour le libérer qu’il puisse répondre… il me fit signe « chut !!! » c’était Madame qui l’appelait pour savoir si tout se passait bien, et savoir vers quelle heure elle pouvait compter le revoir…
J’en profitai pour me lever et me rhabiller…
Pendant ce temps-là et bloqué au téléphone, il me faisait des grimaces…
Une fois raccroché, il m’enlaça en me demandant pourquoi je m’étais revêtu…
« Tu es trop bandante, en petite tenue… »
Tout en me repeignant, je lui expliquai que c’était moins dangereux si quelqu’un débarquait à l’improviste, surtout suite au coup de téléphone de Madame…
D’après lui, on n’avait pas fini la visite de l’entreprise… Pour qu’il me donne mon certificat tamponné et signé de sa main…
Une fois re pomponnée et mon maquillage retouché…
Il était l’heure du déjeuner, Il me proposât un petit restaurant qu’il connaissait bien…
On prit sa grosse berline, direction le centre-ville…
Pendant tout le trajet, il n’a pas arrêté de me caresser les cuisses, en glissant sa main sous ma jupe…
Il faut dire que de mon côté, je n’étais pas inactive…
J’avais glissée ma main gauche dans l’ouverture de son pantalon, pour y trouver « Popol » que je caressais gentiment dans son slip pendant tout le temps du trajet jusqu’ au resto…
Je trouvais pratique d’avoir une boite auto pour ce type d’activité sur une voiture…
Lorsqu’ il finit de garer sa voiture dans la cours du resto, il me demanda de le « finir » avec une bonne pipe…
Je lui répondis qu’il n’en était pas question… et qu’il devra attendre le dessert…
Nous nous sommes installés l’un en face de l’autre à une table pour deux…
En toute discrétion, pendant le repas, je lui caressais la bite à travers son pantalon sous la table, en déchaussant un de mes pieds gainé de nylon, le glissant entre ses cuisses …
Je sentais sous mon pied, sa trique toute dure tout le long du repas…
Je redescendais mon pied en le rechaussant chaque fois qu’apparaissait la serveuse…
A la fin du repas, il n’en pouvait plus… il m’a supplié de le « finir » dans la voiture, sur le parking…
C’était l’heure de son dessert ! Assis tous les deux dans sa voiture, je lui ouvris en grand son pantalon pour y trouver sa verge comme une pierre dans son slip trempé de sperme d’excitation…
Je savais qu’il ne me restait plus beaucoup de temps avant qu’il n’ « explose »…
Je l’ai tout de suite sucée, quand je l’ai libérée de son slip…
Dans ma bouche chaude et humide, il ne mit pas longtemps à venir…
Il gémi… je senti arrivé par saccades son sperme chaud en quantités…
J’avais encore le gout du café de fin de repas dans ma bouche…
J’ai tout avalée, au fur et à mesure des vagues…
J’ai continué mon va et viens avec mes lèvres, jusqu’à ce qu’il débande…
Puis je lui ai nettoyée son gland avec quelques petits coups de langues…
Pendant tout ce temps, M. Le Directeur, Ce laissait faire, appuyant sa tête sur l’appui tête de sa voiture en fermant les yeux…
Je me suis redressée, pour att****r dans mon sac un mouchoir pour m essuyer la bouche, et me repasser un coup de rouge à lèvre, m aidant du miroir de courtoisie du pare soleil…
Pendant qu’il rangeait son dard, et qu’il refermait son pantalon…
Nous avons été sage sur le chemin du retour, sa main sur ma cuisse…
Quand nous sommes arrivés à la société, nous sommes restés au rez de chaussé, dans l’entrepôt, où s’effectuai les réceptions et les expéditions m’expliquant comment ça fonctionnait en me tenant par la taille, en, de temps en temps laissé sa main baladeuse glisser sur mon cul pour le peloter…
Je recommençai à avoir de nouveau le feu au cul…
Il y avait un tas de palettes avec un simple carton dessus qui me paraissait être un bon support…
Je montai dessus à quatre pattes, et je lui fis signe de se rapprocher…
Une fois à ma hauteur je lui ressorti sa bite de son pantalon…
« Encore, tu n’es pas encore rassasiée, tu es une vraie nympho… tu ne penses qu’à baiser… »
Il continuait de parler, j’avais avalée sa bite que je pompai bien pour la raidir…
Elle sentait bon la baise, le mélange de son foutre et de ma salive… un vrai régal !!!
Je m’agitais comme une folle, à le pomper comme une démente…
Il se déplaça sur le côté pour atteindre mon cul que je cambrais pour l’exciter un max…
Il attrapa le bas de ma jupe pour la remonter jusqu’à ma taille pour bien dévoiler mon cul culoté, qu’il caressait en s’extasiant encore devant…
Il sentait qu’il n’allait pas tenir longtemps…
Il me demanda de m’arrêter…
« Je vais te prendre… »
Je lui rappelai que l’on avait oublié les préservatifs dans mon sac dans son bureau…
Le petit malin… pendant qu’il me faisait le petit trou sur son bureau, il en avait glissé deux, trois dans sa poche, les prenant dans un de ses tiroirs de bureau…
Il m’en sorti un de sa poche…
Je me suis occupée de la lui dérouler sur sa verge avec mes doigts…
Il me demanda de m’installer sur le dos pour me prendre en missionnaire…
Sur le dos , il me regroupa mes jambes pour me déculotter, et me faire glisser ma culote sur mes bas jusqu’en haut pour me la retirer, elle était encore toute trempée…
il la renifla avant de la poser à côté de nous sur la palette… sa bite était bien droite prête à travailler…
Pendant ce temps, j’avais dégrafée ma veste et mon chemisier pour lui exposer ma guêpière qui l’excitait tant…
Il m’écarta les cuisses en me les maintenant ouverte en me calant les talons entre les lattes de la palette, les jambes pliées…
Je me déroulai une capote sur mon chibre, moi aussi…
En me poussant mon sexe vers le haut d’une main, qui le gênait pour voir mon cul en dessous. De son autre main il prit sa verge pour la diriger vers mon anus encore lubrifié de la dernière pénétration…
Il entra son gland très facilement, je refis un petit cri, mais maintenant il me connaissait, et savait que c’était un cri de plaisir…
Il fit de même que dans le bureau, jusqu’au fond de mes entrailles, il la regardait disparaître dans ma chair…
Il se pencha sur moi pour me lécher et me mordiller les tétons à travers les mailles fines de ma guêpière…
J’ai orgasmée… comme à chaque fois que l’on s’occupe de mes tétons… (Je suis hyper sensible de là !!!)
Il avait touché mon point « G » !!!!
« Si j’avais su ça avant… je te les aurai bouffé toute la journée… »
Sa bite qui allait et venais en moi, son ventre qui me caressait la bite, plus sa langue et sa bouche me faisant pointée…
J’étais dans un état………
Je le serai fort contre moi en l’enlaçant par le cou, il me roulait des pelles, me faisait des bisous dans le cou en continuant de me titiller les tétons avec ses doigts…
Je criai, j’hurlai comme une chienne… heureusement que nous étions seul dans cette zone d’activité…
On devait m’entendre de dehors…
J’ai éjaculée par longues saccades ma bite coincée entre nos ventre… il continua à me limer comme un fou…
Il fit un cri de jouissance en me mettant un dernier grand coup de rein…
Il sorti sa bite de moi, elle bandait encore un peu, sa capote pleine de sperme…
Il la retira et fit un nœud en me la tendant…
« Un autre souvenir… »
Je me suis relevée à mon tour…pris ma culote pour la réenfiler à sa place en retirant mon préservatif plein…et redescendu ma jupe…
J’ai reboutonnée mon chemisier et ma veste…pendant qu’il rentrait sa chemise dans son pantalon qu’il refermait…
Nous sommes remontés dans son bureau, l’air satisfait, me tapotant les fesses…
La fin de journée touchait à sa fin, il était temps que l’on rentre chez nous…
Il me remplit mon attestation de stage, que je mis dans mon porte document, dans lequel se trouvaient ses deux préservatifs pleins…
On se roula une dernière pelle dans son bureau, en me caressant le cul pour se dire « au revoir »…
Et il me raccompagna à ma voiture comme un bon gentleman…
Je suis rentrée à Paris, mon anus encore endolori et dilaté plein de lubrifiant…
Si vous êtes propriétaire d’une société, sollicité moi, je me ferai un plaisir de faire un stage chez vous !!!!
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