Je reviens de Corse. Je suis intégralement bronzée aprés trois semaines de farniente sur les plages de l’île de beauté.
Alors que je me rend à Caen, je m’arrête ç un feu rouge. Ma vitre est ouverte. Je profite de la fraîcheur de cette brise matinale., et je respire l’air frais du mois d’Août. Un fourgon de police s’arrête à ma hauteur. Du haut de leur fourgon, les flics doivent apprécier mes jambes bronzées dévoilées par ma robe d’été qui remonte assez haut sur mes cuisses.
L’un d’eux,un grand black baraqué, passe la tête par la vitre et me demande :
« Dites ma p’tite dame ! Elle est où votre vignette du contrôle technique ? »
Je bafouille car il mate sérieux mes cuisses dénudées :
« Je .. J’ai cassé mon parebrise Monsieur l’agent. »
Il rigole et me dit :
« Et alors ? Il faut en remettre une, ma p’tite dame ! »
Je me penche alors pour lui prover que j’ai bien mon contrôle technique. Mais en faisant ça, ma petite robe dévoile mon profond décolleté et bien sûr, le flic n’en perd pas une miette.
Le flic black me dit :
« Garez-vous ma p’tite dame on va vérifier tout ça ! »
Je me dit qu’ils profitent de leur autorité pour emmerder une nana, mais j’obtempère et me gare.
« Suivez-moi dans le fourgon avec vos papier ma p’tite dame ! » Me demande le black avec un rictus de supériorité. Il m’agace sérieusement en me disant tout le temps « ma p’tite dame ». J’essaye de parlementer mais rien n’y fait. En entrant dans leur véhicule de service, je me retrouve entourée de deux autres flics. Le policier noir me fait signe de m’asseoir sur la banquette. Ma robe remonte trop haut et je me maudis de l’avoir mise. Je sens le regard des flics qui matent plus mes cuisses et mon décolleté que les papiers qu’ils sont sensés vérifier. Je suis plutôt angoissée. Je suis dans un fourgon de flic, en petite robe, une boule au ventre et malgré tout je ressens des fourmillements que je connais trop bien dans le bas de mon ventre.
L’un d’eux, me fait une remarque sur mon bronzage .
« He bé, on a bien pris le soleil ! »
Je rougis en lui répondant un peu effrontément au vu de sa peau laiteuse :
« Oui mais vous feriez bien d’en faire autant ! »
Ils explosent de rire devant mon audace et le black répond :
« Elle a du répondant la p’tite dame ! Mais vous ne pouvez-pas être plus bronzée que moi ! »
Alors que je crois qu’ils vont me laisser repartir, Le blond se lève et vient se coller à moi et tout en me mettant une main sur le haut de ma cuisse découverte, il me dit calmement :
« Alors comme ça vous trouvez que j’ai le teint d’un cachet d’aspirine ? »
Je suis pétrifiée et n’ose lui répondre ou enlever sa main qui remonte doucement vers mon entre-cuisse. Le black se colle à son tour à moi pendant que le troisième épluche mes papiers et me passe au fichier comme si de rien n’était. Celui qui me passe au fichier léve la tête et me dit :
« Tout est en règle Madame. Mais pour être certain que vous ne cachez rien sur vous, mes collègues vont procéder à une fouille à corps ! »
Je m’insurge dans un relent de dignité :
« Mais vous outrepassez vos droits. Seule une femme peut me fouiller ! »
Il rigolent en regardant autour d’eux et celui qui doit être le chef me dit :
« Ba, je n’vois pas de femme à part vous ici. Donc on va faire sans ! »
Dans la foulée, le black m’ôte ma petite robe et je me retrouve juste en string devant eux.
Le blanc qui maintenant me tutoie, me dit :
« T’inquiétes, tu va voir tout va bien se passer ! »
Le black me prend les poignets et me léve les bras pendant que le blondinet commence sa fouille. Je tente de me débattre mais ils sont trop fort pour moi. Quand ses mains arrivent sur mon mont Vénus, il ne peut que constater que ma culotte est trempée.
« Elle fait la bourge mais cette salope est comme une pute elle a trempé sa culotte. »
Le black me pousse sur la banquette et je me retrouve, jambes écartées devant le blondinet qui m’arrache le string. Le chef se lève en dégrafant son pantalon et sort sa bite pour me la mettre sur la bouche en me disant :
« La pute tu m’suces et mord pas salope sinon on va te faire passer un mauvais quart d’heure ! »
Je suis à la foi terrorisée mais très excitée aussi. Et sucé ou me faire sauter par des flics est un de mes fantasmes qui est entrain de se réaliser. C’est donc en faisant celle qui est forcée que j’ouvre la bouche pour engloutir ce membre policier.
Le black tout en me maintenant me tripote les seins. Le blondinet sort lui aussi sa queue et me prend la chatte. Je ne peux plus feindre mon plaisir et devant mon lâché prise, les trois homme de lois s’en donnent à cœur joie. Le noir me lâche et se fout à poil. En voyant son énorme bite énorme, je suis impressionnée. Je crois bien que j’ai jamais vu un machin aussi gros et long, sauf dans certains films pornos.
Le noir veut remplace son chef dans ma bouche. Je sens que je n’ai pas trop le choix et je m’empresse de le lécher du bout de la langue d’abord. J’ai bien du mal à faire entrer le morceau dans ma bouche.
Pendant que je suce le black et que blondinet me bourre la chatte, le chef commence à me triturer le petit trou et se met à rentrer ses doigts dans mes fesses. Je mouille de plus en plus et même si je redoute se moment, j’ai envie de me faire prendre en double par ces flics. Ils me mettent à 4 pattes, le black me refourre la bouche, le blondinet se met en dessous et replonge dans ma chatte. Même si ça ressemble à un viol, je peux vous assurer que là je prends un plaisir non dissimulé d’être prise ainsi dans un fourgon de flics.
Le chef rentre d’abord un doigt dans mon cul, puis deux. Il les retire et la c’est sa bite qui qui pousse sur ma rosette. Lentement il progresse dans mon cul et ça y est je suis une grosse salope qui se fait défoncer par tout les trous. Le blondinet sous la pénétration de son patron éjacule en deux minutes.
Je prends un plaisir total pendant que le black me traite de salope. Je sens le sperme me couler entre mes cuisses quand le blondinet se retire. Le black sort de ma bouche se positionne entre mes cuisses et remplace le blondinet qui présente sa queue ramollie pour que je le nettoie.
Je me dis que je vais avoir droit à un extra. Il me pénètre sans me ménager et je crois que mon vagin va se déchirer durant les premiers coups. Il y va fort et m’enfile de toutes ses forces. Ses mains énormes me pétrissent les seins. Je me met alors à hurler mon plaisir dans un orgasme fulgurant.
Le black se retire d’un coup de ma chatte en feu. Le chef saisit mes fesses à pleines mains et les deux salopards me pénètre la chatte en double. . J’ai l’impression d’être ouverte comme un fruit mûre. Je crois que mon cul va éclater. J’essaie de me débattre mais le noir me tient vigoureusement par les seins et s’empale dans ma chatte.
Dans une poussée, ils atteignent ce que je crois être le fond et se mettent à remuer gentiment. La douleur est forte mais je suis surprise de me rendre compte qu’elle diminue pour prendre place à un plaisir particulier. Au bout de quelques minutes de ce régime, ils ressortent pour m’éjaculer sur le visage et dans la bouche.
Quand je me redresse, je n’ai plus tout à fait l’air d’une bourgeoise bon chic bon genre mais d’une pute qui a passé la nuit à se faire saillir.
« Et bien t’es une sacré salope toi ! Si tu veux, on te baisera tout les jour ici et on en fera profiter nos collègues. »
Je me rhabille rapidement comme je peux. J’ai le visage et les seins couvert de sperme. Ma robe légère colle et s’imprègne du jus de ces policiers qui me regardent goguenards. Ma chatte et mon cul sont sensible de cet assaut. Du liquide blanc coule de ma chatte sur mes cuisses. Le chef me redonne mes papier et je le remercie en me hâtant de rentrer dans ma voiture.
Je fais demi-tour car je dois me changer et prendre une bonne douche d’eau cette foi et non de sperme. En repartant je les vois me faire des coucous. Ils m’ont bien bourrée les salauds.
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