C’est samedi matin et nous restons paresser au lit. La clarté qui transperce les persiennes semble augurer une nouvelle journée ensoleillée. Tu t’étires comme un chat mon amour et tu viens te pelotonner contre moi, la joue sur mon torse et une jambe sur les miennes. Je sens ton petit corps tout chaud. J’aime ton odeur, la douceur de ta peau et la fermeté de tes rondeurs. Ta main droite sur mon épaule bouge doucement. Elle descend tranquillement et vient enserrer ma queue qui se met au garde à vous dans la seconde. Tu me branles à pleine main mais sans à-coup, sur un rythme plutôt lent. Soudain ton corps bascule vers le bas, ta jambe gauche passe par dessus mon torse et je me retrouve avec ta moule devant le nez tandis que tu m’embouches la bite. La chaleur de ta cavité buccale et la succion que tu exerces me font bander encore d’avantage. Tu me malaxes les couilles tout en me suçant vigoureusement le vit. J ‘ai une super vision de ta chatte qui suinte la mouille et de ta rosette légèrement dilatée. Tu m’as l’air d’une sacrée chienne en chaleur ce matin. Je t’att**** le haut des cuisses et te tire vers moi. En me redressant un peu, je peux enfouir mon visage entre tes lèvres baveuses. Putain que t’es bonne! J’enfonce ma langue dans ton antre. Je remonte jusqu’à ton trou du cul que je lèche copieusement. Il s’entrouvre sous mes caresses. J’y introduis la langue. Ça t’excite. Je t’entends respirer fort par le nez comme ta bouche est pleine. Tu fais demi-tour et tu t’empales la rondelle sur ma queue raide. Tu as tellement mouillé que ça lubrifie ma bite au passage et ça rentre tout seul. Tu as mis tes mains sur mes cuisses, tu as la tête renversée en arrière, bouche ouverte, yeux fermés, seins en avant et tu commences à te soulever puis retomber sur ma bite tendue comme un arc. Je m’agrippe à tes nichons. Tes pointes sont dures, en érection aussi. Nous râlons de concert et rapidement je me déverse en toi, par giclées successives. Tu t’immobilises, ma queue toujours plantée dans ton petit cul serré. Tu te relèves et recules en frottant ta chatte sur ma jambe et tu engouffres ma queue devenue molle au fond de ta gorge. Tu me caresses la poitrine, le ventre tout en me suçant. L’effet ne se fait pas trop attendre. A ce régime, ma queue reprend des proportions honorables. Tu gardes mon gland en bouche tout en me branlant la tige. Ça durcit vite. Tu remontes vers moi et t’enfile ma bite raide dans ta chatte dégoulinante de cyprine parfumée. Tu ondules des hanches sur mon pieu tendu, tu mouilles tellement que ça me coule entre les cuisses aussi, mes couilles sont trempées. J’explose encore en toi alors qu’un violent orgasme te secoue le corps de tremblements saccadés. Quand tu rouvres les yeux, ton sourire illumine ton visage d’ange et tu t’écroules sur ma poitrine. Quelques minutes plus tard, on se retrouve tous les deux nus sous la douche. On se lave mutuellement. Tu veux me sucer encore mais je t’en empêche. Je te dis qu’on doit aller faire un tour, sans précision. Tu ne cherches pas à savoir d’avantage et on finit de se préparer. Je te dis seulement de t’habiller sexy sans rien dessous comme d’habitude, mais je ne te mettrais rien dans le cul contrairement à la semaine écoulée. Je suis dans l’entrée lorsque tu apparais, vêtue d’une robe hyper légère, d’un bleu clair qu’un contre-jour transperce gaillardement. Ce qui fait qu’on devine aisément tes formes à travers le tissu. Il suffit d’être du bon côté du soleil. De plus, le décolleté laisse largement voir que tu n’as pas de soutien-gorge et on devine le bout de tes tétons sous la proéminence du tissu. Je siffle d’admiration et t’assure qu’ainsi tu es tout à fait sexy, comme je le souhaitais. Nous montons en voiture et je me dirige vers le centre ville. Il fait vraiment très beau et on commence à ressentir la chaleur. Cet après-midi ce sera sûrement étouffant. Dans les rues animées, les gens se baladent légèrement vêtus, surtout les femmes. On aperçoit des bouts de cuisses, des épaules largement dénudées, des poitrines offertes, bref, l’ambiance est à l’érotisme. Je trouve une place au parking du marché sans trop tourner et c’est bras dessus, bras dessous qu’on se met à déambuler dans les allées bordées d’étals des marchands itinérants. Ta robe est tellement légère et courte que lorsque je te tiens par la taille, ça la fait remonter et on devine le bas de tes fesses, du moins je le suppose si j’en crois les regards des hommes qui se retournent sur toi. Toi tu es gaie, frivole, heureuse de vivre cet instant au soleil, sans te soucier si on regarde ton cul. On n’achète rien, mais parfois on déguste un bout de melon, une fraise ou autre mangue qu’un éventaire exotique nous propose. En arrivant au bout du marché, je te propose d’aller prendre un verre dans le café qui nous tend les bras, juste devant nous. Tu opines du chef et nous traversons la rue avant de nous engouffrer dans la salle bruyante, malodorante et enfumée. Je te dirige vers une table libre en te tenant le coude, dans le fond de la salle. Autour de nous, les gens, presque tous masculin, parlent haut, rigolent, gesticulent. Il y en a qui commente le match de foot de la veille, à moins que ça soit le prochain qui aura lieu ce soir. D’autres défendent leur point de vue sur le cheval qu’il faut absolument mettre dans la combinaison qui va forcément gagner le tiercé demain après-midi. Lorsque nous avons traversé la salle, personne ne s’est vraiment occupé de nous, à peine quelques regards furtifs sur ta silhouette. Seul, le patron nous avait vu nous installer et rapidement, il est venu prendre notre commande. Une fois nos deux verres sur la table, je te fais signe de te pencher vers moi afin de pouvoir discrètement te dire quelque chose. Alors, à ton oreille, je te dis que c’est maintenant que tu dois t’acquitter de ta punition. Tu as un recul instantané à ces mots et tu me regardes avec des yeux ronds interrogatifs. Tu reprends la position et je continue. Ne discutes pas, te dis-je, c’est comme ça. Tu as mérité une punition et tu vas t’exécuter. C’est même très simple. Le premier homme qui se dirige vers les toilettes, quel qu’il soit, tu ne peux pas choisir, tu le suis et tu te débrouilles soit pour le sucer, soit pour te faire baiser. Assures-toi juste qu’il y ait des capotes dans les chiottes. De plus, s’ils sont deux, tu devras rester quand même. As-tu compris? Tu me regardes suppliante en espérant que je compatisse. Puis tu me dis d’accord, j’ai compris, je le ferai.
Nous sirotons notre verre tranquillement en discutant. C’est l’heure de pointe, il y a pas mal de monde, surtout masculin. Quelques regards glissent vers toi. Il faut dire que dans ta position, ta robe ne cache guère tes cuisses et ta poitrine arrogante appelle au viol, alors… Mais à part quelques petits rires en coin et deux ou trois mots grossiers, rien de déplacé en tout cas. De ta place tu vois le couloir qui mène aux toilettes. Sans un mot, tu te lèves et emboîtes le pas d’un consommateur qui se dirige dans cette direction. Il entre dans les W-C homme, tu le suis. La porte se referme automatiquement sur toi alors que celle d’une cabine se referme aussi sur ton « client ». Tu décides de patienter en te lavant les mains dans un lavabo. En tendant tes bras vers la vasque ta robe est remontée légèrement, mais tu en as accentué l’effet en la tirant toi-même un peu plus sur tes hanches. De fait, tu entends la chasse d’eau se répandre dans la cuvette derrière toi, le verrou faire un bruit mat, la porte s’ouvrir et le type, la petite cinquantaine, un début d’embonpoint, les cheveux poivre et sel plutôt courts, une tête assez sympathique, le visage légèrement couperosé, sort en ouvrant de grands yeux lorsqu’il découvre sa surprise. Tu le vois dans le miroir. Il a la bouche ouverte sans qu’aucun son n’en sorte, les yeux toujours fixes sur le bas de tes fesses qu’il peut voir nettement. Ça dure quelques secondes puis il se reprend, dégluti, et te dit que tu dois t’être trompée de W-C. En disant cela il vient se laver les mains dans le lavabo proche du tien. En regardant dans la glace, c’est maintenant ta poitrine qu’il voit à demi-découverte. Il en rouvre la bouche comme un benêt. Toi tu lui demandes si ça le dérange beaucoup. Ce à quoi il s’empresse de répondre que voir une jolie femme est toujours un plaisir et qu’il ne voit aucun inconvénient à ce que tu restes. Tu lui proposes ta savonnette en te tournant un peu vers lui et il ne peut s’empêcher de regarder tes seins. C’est tellement voyant que tu lui demandes comment il les trouve. Hein? Quoi? Que dites-vous? Bégaie-t-il. Alors tu lui répètes, comment trouvez-vous mes seins? Je vois bien que vous les admirez et ça ne me gène pas vous savez, ajoutes-tu. Tu te mets d’ailleurs face à lui en disant cela, en bombant la poitrine. Tu lui demandes même s’il veut les voir en entier, et sans attendre sa réponse, tu fais glisser tes fines bretelles sur tes bras et ta robe descend jusqu’à ta taille. Le gars n’en revient pas. Sa bouche s’ouvre, se referme, il te regarde, puis regarde ta poitrine, mais n’a toujours rien dit. Et ils sont fermes rajoutes-tu, vous pouvez toucher vous savez, ça mort pas. Il finit par te dire qu’il les trouve magnifiques mais n’ose pas bouger. Alors tu prends son poignet et tu poses sa main sur un de tes nibards. Allez-y dis-tu, vous pouvez me caresser, j’aime ça. Alors il ose. Il épouse l’arrondi, pince ton téton, passe à l’autre sein, fait pareil, quand soudain la porte s’ouvre sur un deuxième consommateur. C’est un plus jeune. Environs trente cinq ans, blond, cheveux courts, svelte te semble-t-il, pas très grand mais costaud. Lui non plus n’en croit pas ses yeux. Que se passe-t-il ici? Demande-t-il, je peux aider peut-être. Et joignant le geste à la parole il vient se positionner derrière toi en te regardant dans le miroir. Il se colle à toi et te prend les deux nichons à pleine main. C’est ça que tu veux salope? Demande-t-il de manière vulgaire. Pour toute réponse tu frottes ton cul sur son sexe déjà opérationnel. Tu te retournes dans ses bras. Tu es maintenant face à lui et le bedonnant dans ton dos. Tu t’es collée au jeune, les bras autour de son cou. Le jeune dit au plus vieux de te baisser complètement ta robe. Ce qu’il fait dare-dare. Il pousse alors un cri: La pute! Elle n’a même pas de culotte, c’est une chaude, ça, je crois qu’elle en veut. Et bien on va lui en donner renchérit le plus jeune. En disant ça, il défait son ceinturon et déboutonne son jean qu’il baisse ainsi que son slip. Sa queue est raide comme la justice. Il prend un préservatif dans le distributeur, puis un second qu’il tend à son complice du moment. Derrière toi, l’autre type a fait de même en saisissant la capote. Il bande aussi mais il est moins bien monté. Le jeune te prend par les hanches et t’assied sur le rebord du lavabo. Il te met les doigts dans la chatte et constate avec bonheur que tu mouilles déjà. Sans fioriture il t’emmanche d’un coup de rein. Tu t’agrippes à son cou encore et il te saisit sous les cuisses puis te soulève et pivote. L’autre qui n’attendait que ça, se positionne à l’entrée de ton trou du cul. Tu sens sa queue qui tente de se frayer un chemin. Ta moule est tellement baveuse que son gland en est imprégné. Tu sens une pression et hop, ton cul avale sa bite. Tu es entre ses deux types, baisée et enculée lorsque je fais mon entrée. D’un seul homme, les deux mecs se tournent vers le nouvel arrivant que je suis, un peu apeuré tout de même, l’un d’eux me reconnaît et dit en s’excusant que c’est toi qui les a allumés. Je mets mes deux mains en avant en signe d’apaisement et je leur dis de ne surtout pas s’arrêter, que je sais très bien comment est ma femme, allez-y ajoutais-je, donnez-lui ce qu’elle attend cette pute, bourrez-lui ses trous comme il faut. Encouragés par mes propos, ils reprennent de plus belle et la baise et l’encule à grands coups de rein redoublés et forts. Le premier à venir est celui qui est dans son cul. Je voyais depuis un instant les veines de son cou devenir violette et proéminentes. Puis en poussant un haaaaaaaaa prolongé, il explosa dans ton trou du cul dilaté. Il fit encore quelques va-et-vient pour se vider entièrement et se retira. L’autre continuait à te labourer la fente. Il te reposa sur le bord du lavabo et continua à te baiser. Là, c’est dans le miroir que je le vis fermer les yeux, fermer la bouche, son cou se raidir puis il lâcha d’un coup aussi un honnnnnn puissant et ses hanches furent agitées de soubresauts alors qu’il se vidait les couilles dans son capuchon de plastic. Lui aussi te donna encore quelques petits coups de rein puis se retira. Tout le monde se rajusta sans trop se regarder. Les deux hommes partir en disant merci, que ça avait été une belle surprise et que si on le désirait ils étaient à notre disposition quand on voulait. Je leur dis qu’on ne manquerait pas de faire appel à eux si le besoin s’en faisait sentir et les remerciais à mon tour pour leur performance. Nous deux, on regagnait notre table en laissant sur le bord du lavabo une belle mare de sperme frais. On finissait nos verres et on quittait le café PMU de la place du marché. Annabelle tu t’es acquittée de ta punition avec brio mon amour, bravo, je vais téléphoner à ton patron pour le lui faire savoir. C’est en regagnant notre domicile que je te disais tout ça. Finalement, ce fut une bonne semaine me dis-je en moi-même.
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