Ma femme, c’est Stéphanie. Je la connais depuis notre adolescence. Elle habitait le même quartier que moi dans la banlieue de Grenoble. Elle est belle, elle est très belle. Brune aux yeux verts. J’adore ! En plus une forte poitrine splendide, bien en hauteur. Un cul à faire rêver les hommes. Toujours bien maquillée, habillée. Le clone de Caroline, mon assistante, mais encore plus belle, plus désirable.
Elle connait tout de moi. Depuis très jeune, le sexe était devenu un jeu. Je connaissais ses fantasmes, elle connaissait les miens. Une grande sexualité avec une grande liberté. Très tôt nous avions connut les clubs échangistes, mais nous préférerions assez rapidement recevoir à la maison c’était comment dire ? Plus chaleureux. De plus comme mon cabinet ne marchait plutôt pas trop mal, elle était régulièrement récompensée, cadeaux, vêtements, voyages, resto…elle prenait la carte de crédit de la société. Non vraiment bien. Une femme heureuse. A la maison, dans l’intimité de notre grand appartement elle se baladait toujours avec ses lunettes sur le nez, avec une de mes chemises trop grande pour elle, ouverte ou pas suivant le moment, sans rien dessous, accompagnée d’une culotte en dentelle et des chaussures à talons. Prête à me faire plaisir à tout moment. Je lui ai parlé d’Autilia, et des autres hier soir au diner, elle souriait pensant déjà comment me faire plaisir. J’ai vraiment de la chance de l’avoir avec moi.
Moi de bon matin, je suis déjà devant mon ordinateur à travailler. Juste vêtu d’un tee shirt, je n’aime pas être tout nu dans l’appartement. Caroline pouvait m’appeler à tout moment. Mais elle savait bien que je n’arrivais qu’à l’agence qu’en début d’après-midi. Les avantages du patron !
A 7h55, on sonna à la porte, Stéphanie en tenue, ouvrit la porte.
– Bonjour.
– Bonjour répondit Autilia. Regardant Stéphanie en petite tenue.
– Vous êtes Conchita, c’est cela ?
– Non, Madame, Autilia
– C’est dommage, je préfère Conchita. Mais ne restez pas devant la porte. Entrez.
– Merci Madame.
– Alors comme cela vous volez des lunettes dans la boutique de mon mari, Conchita ?
– Non Autilia, Madame. J’avais besoin d’argent. Je vis seule avec ma fille et j’avais besoin de cet argent. C’était pour moi une façon facile d’en faire en out discrétion.
– Et donc mon mari, très gentil avec vous au lieu d’appeler la police, vous a demandé de faire les ménages chez nous ?
– C’est cela même, Madame.
– Et il vous a précisé qu’il y aura des choses à faire en plus du ménage. ?
– Oui, mais je n’ai pas très bien compris ce qu’il voulait dire.
– Ah bon ! Chérie ? …Conchita n’a pas très bien compris ce que tu voulais dire par en plus des ménages.
– J’arrive, répondis-je.
Vêtu de mon seul teeshirt, j’arrivais devant les deux femmes. Autilia apercevant mon sexe baissa les yeux rouges de honte.
– Autilia, vous n’allez pas me casser les couilles de bon matin ! Ecoutez bien ce que je vais vous dire. Sous vous faites ce que l’on vous demande ma femme et moi. Soit j’appelle la police et avec la vidéo vous serez dans la merde noire. Alors vous avez 2 solutions ! oui ou non ?
– Je ne sais pas, souffla discrètement Autilia…
– Oui ou non ?
– Elle sortir un petit oui de la bouche.
– He ben voilà ! répondis-je en retournant au bureau.
– Conchita, je vais vous faire visiter la maison, les horaires de 8 à 19h du Lundi au samedi puis vous partirez à la boutique pour continuer le ménage. Pas mal de repassage, bien nettoyé partout, je suis très strict sur la propreté. Bien retournez au salon, mettez-vous en tenue. Vous pouvez commencer.
Stéphanie, rentrant dans mon bureau avec un grand clin d’œil, puis compta silencieusement les doigts de sa main, jusqu’à 20 avec son joli sourire. Puis retourna voir Autilia.
Autilia commença à prendre le linge qui était sur le canapé pour commencer le repassage. Elle était habillée comme à la boutique, chaussures plates, blouse et pantalon.
– Conchita, cette quoi cette tenue ? questionna Stéphanie
– Pardon Madame ?
– cette quoi cette tenue ? répéta Stéphanie
– Mais c’est ma tenue pour faire le ménage, Madame.
– Ah oui, ah non, ça ne va pas le faire. Va falloir changer tout cela.
– Comment Madame ? questionna Autilia intriguée.
– La tenue ici, pour vous dans l’appartement c’est chaussures talons haut, soutien-gorge et culotte !
– Comment ?
– Mais t’a rien compris Conchita ! Tu n’as pas compris les ordres de mon mari ? Allez mets-toi en tenu tout de suite. !!
Stéphanie revint dans mon bureau, en riant silencieusement. Elle mimait Autilia offusquée, en faisant des grands gestes. Elle cria à Autilia
– Conchita, il doit y avoir dans le salon une paire de chaussures à hauts talons à côté de la cheminée. Je pense que nous devons avoir la même taille. Mettez-les s’il vous plait. Et dites-moi quand vous serez prête je vous laisse 2 minutes !
Stéphanie, se rapprocha de moi toujours avec les mêmes mimiques et des grands gestes de la main. Du style oh là là !! Pui elle retourna au salon. Elle découvrit Autilia.
– He bien voila ! déjà en tenue ! C’est bien Conchita ! Regardons cela de plus près. Je vous donnerais un peu d’argent pour acheter des sous-vêtements. Le coton ca ne va pas le faire.
Puis elle tapa sur ses fesses !
– Un bon gros cul de portugaise ca ! c’est bien ! Fidèle à la réputation.
Puis elle malaxa un bonnet de son soutien-gorge !
– Et des gros nichons aussi. Mon marie adore ! Bon tu vas m’écouter maintenant Conchita de mes deux il y a des règles à respecter. Tu resteras dans cette tenue toute la journée. Tous les jours. C’est ton uniforme ? Capicé ? Tu feras le ménage tout la journée et dès que quelqu’un t’appellera, soit moi soit mon mari et surtout lui en priorité, tu arrêteras ton travail pour venir immédiatement. Si mon mari t’appelle tu sors obligatoirement tes nichons de ton soutien-gorge il adore cela. C’est son truc les nichons. Tu feras ce qu’il te demandera sans rien dire. Bien obéissante.
– Madame, je ne sais pas si je vais pouvoir faire cela, je ne l’ai jamais fait. Je suis honnête, je vais a l’église, je suis veuve, j’élève ma fille comme je peux. S’il vous plait, Madame, répéta Autilia en pleurant.
– Mais on s’en fout ! Tu n’avais qu’à pas voler les montures. Tu t’es mis dans la merde alors tu te d’emmerdes ! Dernière chance, Tu acceptes ou pas ?
Quelques secondes passèrent. Autilia toujours en pleurs acquiesça du visage tout doucement.
– A la bonheur ! répondit mon épouse. Bienvenue à la maison !
– Je pourrais avoir un café s’il vous plait ? criais-je du bout de l’appartement
– Venez avec moi dans la cuisine, je vous montre comment fonctionne la cafetière. Ne vous inquiétez pas cela va bien se passer. Voilà vous mettez la capsule et vous appuyez sur le bouton et vous attendez.
Et pendant que le café commençait à couler…Stéphanie scruta Autilia
– J’adore votre cul Conchita ! Il est beau et bien foutu. Vous vous êtes déjà fait enculer ?
Autilia attendit quelques secondes avant de répondre et fit un signe de la tête en signalant que non.
– Voilà le café est prêt, vous prenez deux sucrettes dans le tiroir, vous touillez, puis vous l’apportez a Monsieur.
– Bien Madame, répondit Autilia, apeurée.
– Conchita, vous n’oubliez rien ? Vos nichons ! Vos nichons doivent sortir de votre soutien-gorge pour aller voir Monsieur. Il adore cela ! Ah la la !
Autilia, reposa le café et sortit ses gros seins de son soutien-gorge.
– Mieux que cela ! Tirez bien dessus, voilà. Comme cela ! C’est bien ! Frappez à la porte avant d’entrer même si elle est ouverte.
Je travaillais encore sur mon ordinateur quand on frappa à la porte. Autilia était là, en sous-vêtements nichons dehors et café à la main droite.
– Oui ?
– Votre café, Monsieur
– Ah merci Autilia, rentrez !
Pendant ce temps je vis Stéphanie dans le couloir qui à l’insu d’Autilia, me faisait des grands gestes en imitant la nouvelle bonne et me précisant avec ses mains qu’elle avait de gros seins puis souleva ses pouces , signe de victoire.
– J’espère qu’il est assez chaud.
– Je vais le gouter Autilia, restez a avec moi.
– Monsieur, puis je vous posez une question s’il vous plait ?
– Bien sir, je vous en prie…
– Combien de temps devrais-je rester ici à votre service.
– Autant de temps qu’il te faudra pour me rembourser. La somme est importante.
Stéphanie rentra dans le bureau pou revenir cherche son téléphone. Elle se plaça derrière Autilia en profita pour malaxer la poitrine de notre domestique
– Et comment ils vont les nichons de Conchita ? Ils te plaisent mon chéri ? Tu vas voir, tu vas te plaire ici, on va faire de grandes choses ensemble. Tu t’occupes bien de mon mari ? D’accord ? Tu feras tout ce qu’il te demande ? Hein ? Je veux qu’il soit heureux. Dès qu’il claque des doigts tu accoures ? Ok ?
– D’accord répondit timidement Autilia.
– Bon je vous laisse, m’informa Stéphanie, j’ai du boulot moi !
– Il est très bon votre café Autilia !
– Merci Monsieur !
– Vous faites combien de tour de poitrine ?
– Ma poitrine ? Vous, vous me demandez la taille de ma poitrine ?…Euh.….95D, Monsieur…c’est de famille, ma grand-mère, ma mère, moi, ma fille. Nous avons toute une grosse poitrine…
– Au fait, quel age a ta fille ?
– 23 ans Monsieur
– Elle fait quoi dans la vie ?
– Elle est au chomage Monsieur.
– Et elle cherche ?
– Oui mais elle ne trouve pas. Il y a beaucoup de pistions et les offres sont rares à Grenoble.
– A ton avis cela lui plairait de travailler a la boutique ?
– Oh certainement Monsieur, répondit Autilia, retrouvant le sourire.
– Je vais y réfléchir..
– Merci Monsieur.
– Tu avales quand tu suces ?
– Par…Pardon Monsieur, non, s’il vous plait… ?
– J’ai horreur de me répéter : Tu avales quand tu suces ?
– Mais Monsieur…Non, Je… Je. Je n’aime pas tellement cela…
– Sucer ou avaler ?
– Les deux Monsieur !
– Ah merde ! Mais tu fais quoi alors ?
– Je…Je…Je caresse…
– Tu branles quoi !
– …oui…oui. Mais cela fait longtemps maintenant que je ne l’ai pas fait !
– Approche-toi et montre-moi comment tu branles une bite !
Elle s’approcha de moi, les seins en dehors de son soutien-gorge et de côté elle se pencha, commençant sa caresse avec sa main gauche.
– Mouais, bof ! pas terrible Autilia…
– Je suis désolée Monsieur…
– Enlève ton soutien-gorge
Elle se releva dégrafant son soutien-gorge et libérant ainsi deux gros seins bien laiteux aux larges têtons
– Voilà Monsieur
– Mets-toi devant moi et fais-moi la même chose avec tes seins.
– Bien Monsieur.
– Et elle en est ou Conchita ? cria Stéphanie rentrant dans le bureau habillée en tailleur.
– Mais pourquoi l’appelles-tu Conchita ? lui dis-je en souriant
– Sais pas. cela me plait, cela fait plus salope, je trouve
– Alors Conchita, on branle mon marie avec ses gros nichons de portugaise ? tu vas faire jouir mon mec j’espère. ? Vas-y ma salope accélère la cadence.
– Tu sais, Stéphanie, elle n’aime ni sucer, ni avaler…alors question de me faire plaisir…
– Mais ce n’est pas vrai ? Mais ça ne va pas du tout ! Tu ne suces pas les bites ma salope ?
– Non Madame, je n’aime pas cela, répondit Autilia.
– Mais cela ne va pas du tout. Mais je pensais que les portugaises étaient poilues et qu’elles suçaient ! Comme quoi il y a des certitudes. Attendez 2 minutes. Allo ? Sophie ? Désolé mais je suis obligé d’annuler notre rdv, j’ai une urgence à la maison. Grave ? Oui quand même un peu… On se rappelle ? D’accord ! Bisous ! Bon ça c’est fait ! Maintenant, je me déshabille vite faite pour ton apprentissage.
Stéphanie laissa tomber son tailleur de marque, balança la veste puis la jupe par terre, ouvrit son chemisier et laisser apparaitre un soutien-gorge en balconnets gris avec la culotte assortie.
– Bon, j’enlève mon soutien-gorge cela fera duo de salopes en chaleur, pour te rincer l’œil mon amour ! Bien arrête de la branler avec tes nichons, il est assez dur comme cela. Je vais me placer derrière toi debout et je te prends les cheveux. Cela t’aidera. Ouvre ta bouche doucement, comme si tu suçais ton pouce. Doucement, laisse rentrer sa bite dans ta bouche, voilà, comme cela. Puis tu essaies de renter de plus en plus sa bite, voilà en cadence. Je vais appuyez sur ta tête pout te donner la cadence. Plus vite. Voilà, plus profond. Vas-y ma salope ! Continue ! Pense que tu vas éviter la prison grâce à nous ! Allez encore plus loin dans ta gorge, vas-y.
Autilia eue un haut le cœur et se laissa vomir sur le parquet !
– He ben ma salope heureusement que tu es là pour faire le ménage ! T’as mangé du bacaloa ce matin ? Allez on continue. Si tu veux vomir, tu vomis rien à foutre. On continue la pipe salope !
Et Stéphanie obligea Autilia en agrippant ses cheveux à soutenir le rythme en suçant ma bite de plus en plus profondément de de plus en plus vite, son nez touchant mon bas ventre. Les seins de Stéphanie suivant le rythme passant de haut en bas et de droite à gauche.
– Allez on accélère ma salope, sans les mains, caresse les couilles de mon mari, voila ! à deux mains ! Ca va mon amour ? ta nouvelle salope te plaît ? questionna Stéphanie essoufflée, pas faciles les portugaises ! mais tu vas voir, on va la former pour être la reine des putes ! Allleeezzz ! On continue ! Je veux entendre ta salive !
Autilia était de plus en plus rouge, et moi commençant à avoir des signes d’éjaculations. Stéphanie en profitant pour lui malaxer un sein avec l’autre main.
– Attention ma salope, c’est pour bientôt ! Et tu vas tout avaler ! Tu verras un peu salé mais ça passe. Attention ! Tu avales tout ! C’est pour bientôt…
Mon éjaculation arrivant, Stéphanie bloqua radicalement la tête d’Autilia ne lui laissant aucune chance de bouger. Elle ne bougeait plus son nez touchant ma vessie ! J’éjaculais entièrement dans a sa bouche ! Une longue et grosse ejac.
– Avale ! avale salope ! encore ! Encore ! Jusqu’au bout ! Encore ! Voila ! Plus une goutte ! Bravo ! Bravo !
Autilia retomba par terre, suffoquant, reprenant son souffle avec Stéphanie au-dessus debout les seins ballant et les mains sur ses jambes fière du devoir accompli !
– C’était bien mon amour ? Une bonne ejac ? Content de tes 2 salopes ?
– Parfaitement Mesdames, très fier. Merci beaucoup.
– Allez vient Conchita, on va laisser Monsieur travailler. Avec cette pipe je suis en sueur ! Merci ! Cela t’a plus au moins ?
– Je Je ne sais pas. C’est trop violent pour moi. Je n’aime pas trop.
– T’inquiètes la prochaine fois tu feras cela en douceur. Mon mari adore les pipes ! Alors tu as plutôt intérêt de t’habituer. D’accord ?
– Je ne sais pas, d’accord, je ne sais pas.
– Bon allez, je vais allez sous la douche.
– D’accord, Madame, moi je vais commencer le repassage.
– Ah non ma salope ! après l’effort le réconfort ! Tu vas prendre une douche avec moi !
– Mais…
– Y a pas de mais, direction la cabine.
Stéphanie enleva sa culotte ainsi qu’Autilia. Stéphanie rentra la première dans la cabine suivit d’Autilia.
– Salope, prends moi le gant, le gel douche et lave moi le corps délicatement. C’est cela n’hésite pas à en mettre partout, il faut que cela sente bon. Ma chatte n’oublie pas ma chatte.
Vingt minutes après elle se retrouvèrent dans notre chambre, en parure de bains.
– C’est très bien Conchita, bravo. Maintenant mon lait après douche tu m’en mets sur tout le corps.
Stéphanie s’allongea sur le dos toute nue sur le lit.
– Conchita, enlève ton peignoir. Et mets-moi du gel sur le corps. Voilà, n’utilise pas tes mains que tes gros nichons pour l’étaler encore plus délicatement. Voilà. Comme cela. Etale bien avec tes nichons, partout de haut en bas de gauche à droite. Voilà. Pas mal du tout. Maintenant, regarde je vais écarter mes jambes ! Tu vois ma chatte ? Tu vas la sucer et la lécher !
– Non Madame, s’il vous plait ! Je n’ai jamais fait cela avec une femme. Ce n’est pas bien !
– Ta gueule la Portos ! Tu vas me lécher la chatte sinon ….
Coincée une fois de plus, Autilia changea sa position afin de de placer son visage devant le sexe de ma femme.
– Et c’est partit ma salope ! La langue : l’important c’est la langue ! imagine une bite à la place de ta langue ! He bien tu l’enfonces ! Alors vas-y allez ! oui, oui ! MMmmmm ! J’adore ! Tu te débrouilles pas mal du tout ma salope ! Dis-moi des choses cochonnes ! J’adore cela !
– Heu ! je ne sais pas ! je n’en connais pas !
– Mais si, dis-moi par exemple ! cela vous plait de vous faire lécher par une salope de portugaise ? Ma langue de pute vous convient ? Madame, j’ai envie de vous lécher votre gros cul ! Allez répète !
– cela vous plait de vous faire lécher par une salope de portugaise ? Ma langue de pute vous convient ? Madame, j’ai envie de vous lécher votre gros cul
– Oui ! Oui ! j’adore : J’adore, tu vas me faire jouir salope ! Continue ! Je jooouuuiiiiieeeee ! AAAhhhhhh !! Que c’était bon ! putain que c’était bon
– Merci Madame !
– Bravo ma salope ! bravo ! un bon début ! Commencez le repassage.
Stéphanie rentra dans mon bureau heureuse et épuisée
– Ca va Chéri ? je viens de me faire lécher la chatte. Elle se débrouille très bien !
– Mais aussi pour la pipe c’est un bon début.
– Cela me donne une idée, chérie, aurais tu le numéro de téléphone de Martine et de sa fille ?
– Oui bien sûr que vas-tu en faire ?
– Leur téléphoner. Une petite idée pour ce week end. Il va pleuvoir Samedi et Dimanche et comme on va se faire chier autant s’amuser…Conchita !
Autilia rentra dans le bureau en sous-vêtements et les seins en dehors de son soutien-gorge.
– Conchita ! Ce week end vous vous débrouillez comme vous voulez, mais vous passerez le samedi et dimanche ici à la maison à titre exceptionnel. Vous dormirez ici, également. J’ai prévu une petite fête. Vous serez payé en conséquence.
– Mais que comptes-tu faire exactement ?
– Tu me connais ? un week end pour toi mon amour ! Pour ton plaisir. Qui n’a jamais rêvé d’avoir un harem ! Rien que pour toi…
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