Claude dit:
Ok! Et tu n’oublies pas, tu me racontes.
Sandrine dit:
Promis, je te raconte.
J’éteins mon ordinateur. Je viens de passer une heure, sur MSN, avec un type super sympa. Nous nous sommes chauffés par un dial. Bouillant, et, chacun de notre côté, nous nous sommes donnés du plaisir. Mon excitation est telle, que sans réfléchir et pour avoir une pointe d’humour, je lui ai dit que j’avais envie de me faire baiser, et que j’allais aller dans un ciné me faire draguer. Claude ne compris pas qu’il s’agissait de paroles en l’air, et sembla très surpris par mon envie, mais finit par me dire que c’était cool, et bien sûr de le tenir au courant. Et si je le faisais vraiment? Aurais je le courage de jouer les salopes? Jusqu’où suis je capable d’aller?
Le meilleur moyen de le savoir, est de passer à l’acte. C’est ainsi que je me retrouve sur le quai du métro, habillée d’un pull rose moulant, d’une jupette plissée, de bas et de bottes, le tout caché pour l’instant d’un long manteau simili cuir. J’ai bien sûr omis de mettre des sous vêtements. Les courants d’air, parfois, s’engouffrent sous ma jupe et caressent doucement ma petite chatte. Hummmm! J’adore ça, mais je prends garde à ce qu’un vent coquin ne me met pas les fesses à l’air. Le souffle frais fait dresser mes tétons qui, de plus, sollicités par le frottement de mon pull, déforme celui-ci et ne laisse aucun doute sur mon état d’excitation déjà bien avancé.
Station «Strasbourg saint Denis». Je sais exactement où je vais. Je suis passée plusieurs fois devant un petit ciné de quartier, sûrement un des derniers, qui passe en boucle de vieux films d’épouvante. Un ami qui l’avait fréquenté, ne m’en n’avait pas dit que du bien, décrivant cet endroit comme étant miteux et pas très bien fréquenté. Bref! Sûrement pas un endroit pour une femme, donc… parfait pour une aventurière comme moi.
La femme sans âge qui tient la caisse, en écoutant une vieille radio à piles et en lisant«VOICI», ne daigne même pas lever les yeux sur moi. Quelque part, c’est rassurant, puisqu’elle n’est pas surprise qu’une femme seule veuille entrer dans son cinéma. Un peu nerveuse tout de même, je ramasse mon billet et ma monnaie. Un escalier abrupt d’une quinzaine de marches descend vers une porte avec un hublot, comme sur les bateaux. Le cœur battant, je pousse la porte, qui bien sûr, grince. Le contraire fut étonnant. Sur l’écran, une jeune fille se fait vider de son sang par un vampire. La salle est encore invisible pour moi, mes yeux n’étant pas encore habitués à la pénombre. J’aperçois tout de même les trois marches restantes pour atteindre l’allée. Je fais deux pas à tâtons, et touche un fauteuil. Je quitte mon manteau, que je plie en deux, et me glisse dans la rangée pour atteindre un fauteuil bien centré à l’écran. En fait, le film ne m’intéresse pas du tout, je suis plus occupée à écarquiller mes yeux pour voir ce qui m’environne, que de regarder cette pauvre fille se vider.
Petit à petit, la salle m’apparaît. Une allée sur le côté gauche qui monte en pente douce vers l’écran, pour rejoindre un escalier, qui, je suppose, mène aux toilettes, et une cinquantaine de rangées de fauteuils. C’est pour l’instant tout ce que je distingue. Une image, plus claire, illumine la salle. Je peux enfin évaluer le nombre de spectateurs présents. Une dizaine de personnes occupent les premiers rangs, et cinq ou six sont dispersés plus prêt de moi. Bien sur, comme je m’en doutais, il n’y a que des hommes. Je trouve mon pull rose trop voyant, je dois faire une tâche claire sur l’ensemble de la salle. Je n’ose pas me retourner pour voir s’il y a quelqu’un derrière moi, car je pense qu’il y a encore plusieurs rangées de fauteuils. Je sens quelques regards se poser sur moi.
Les mains croisées, posées sur mon manteau bien plié sur mes genoux, me donne l’impression de renvoyer une image de petite fille sage. Je sens ma poitrine se soulever à chaque respiration, et me donne la sensation que l’on ne doit voir que ça. Le pull moulant doit faire ressortir mes seins. Le fait d’y penser fait dresser mes tétons, qui maintenant à leurs tour doivent être voyant. Le rouge me monte aux joues.
Mon cœur cesse de battre. Un homme d’une soixantaine d’années, cheveux blanc, encore bel homme, vient de rentrer dans ma rangée, et s’assoit près de moi. Il devait être déjà là dans le cinéma, derrière moi, car je n’ai pas entendu la porte grincer. Il a dut m’apercevoir et s’est levé pour me rejoindre. Alors, il est près de moi volontairement? J’ai la trouille. Ma pauvre Sandrine dans quel pétrin t’es tu fourrée… Qu’est-ce que je fais? Je me lève et je m’en vais? Et j’aurai fait tout ce chemin pour rien, non, c’est trop bête. Je suis là, et bien il ne me reste qu’à assumer. Facile à dire. J’essaie de me détendre en me disant que je suis en train de paranoter. Mais le pied qui vient de se coller à ma botte, me prouve le contraire. Je suis parcourue par un frisson, et je me sens glacée. Je sens sa jambe se rapprocher de la mienne. Le tissu de son pantalon frôle mes bas. Sans bouger la tête, je baisse les yeux. Je vois qu’il est assis profondément dans son fauteuil, jambes écartées, les mains sur ses genoux. Je relève les yeux, et noie mon regard dans l’écran. Je suis au bord de la panique. Du bout de son petit doigt, il touche mon genou et le caresse tout doucement, presque imperceptiblement au début, un peu plus fort maintenant. J’ai la sensation que mon cœur va se décrocher.
Voyant que je ne réagis pas, il remonte un peu son doigt, et fait rentrer en jeu son annulaire. Je n’ose même plus respirer normalement. Il continu son avancé avec son majeur, puis son index et pour finir, bien sûr son pouce. Sa main est maintenant posée sur mon genou, sous mon manteau. Il ne semble pas sur de lui, peut être a-t-il peur aussi. Il ne bouge pas, seul son pouce monte et descend sur mon genou. Sans le regarder, je vois son visage se tourner légèrement vers moi. Je dois être écarlate. Comme pour m’appeler, il me fait deux petites pressions avec sa main. J’ai trop peur, je ne bouge pas, je ne le regarde pas. Voyant mon manque de réaction, il doit penser que je suis d’accord. Sa main commence à remonter, tout doucement, tout en me caressant. Je suis sûr que même si je le voulais, je serai incapable de me lever, mes jambes ne me tiendraient pas. Je suis tétanisée. Et pourtant cette caresse m’est agréable, mais c’est de ne pas savoir jusqu’où ça va aller qui fait très peur. Son petit doigt vient de toucher ma jupe. Il arrête son avancée, et comme pour me faire accepter d’aller plus loin, il malaxe doucement ma cuisse. Me voyant toujours sans réactions, il reprend sa route.
Sa main glisse doucement sous ma jupe, et atteint la barrière de dentelles de mes bas. Nouvel arrêt, nouvelles pressions sur ma cuisse. Le contact peau à peau, me fait tressaillir. Il l’a senti, car il s’arrête d’un coup et se tourne vers moi. Il doit craindre mon refus d’aller plus loin et attend ma réaction. Contre toutes attentes, sa main redescend à mon genou. Je ne comprends pas. Laisserait t-il tomber? Bien sûr que non. Il tire mon genou vers lui, m’invitant ainsi à ouvrir mes jambes. Je suis comme envoûtée, je navigue dans un état second qui semble me déconnecter de la réalité. Alors je laisse faire. Mieux, je glisse sur mon siège pour mieux m’ouvrir. Je sens mon sexe couler. Je suis excitée. Ma jambe est maintenant collée à la sienne. Il ne peut plus y avoir de doute sur le fait que je suis d’accord de poursuivre ce moment. Fort de cette acceptation, il prend ma jambe, la lève et la pose sur la sienne, emprisonnant ainsi mon mollet entre ses genoux.
Cette action fait que sous mon manteau, je sens ma jupe remonter, laissant ainsi un accès direct à ma vulve. J’ai peur que nous soyons surpris par un autre spectateur. Sa main remonte, pour arriver de nouveau à la dentelle. Il la passe et caresse maintenant le haut de ma cuisse. Sa main est douce, chaude. Inconsciemment j’écarte encore plus mon autre jambe, pour mieux m’offrir à ses caresses. Je ferme les yeux et me laisse aller au fil du plaisir. De son petit doigt, il écarte doucement les grandes lèvres. Elles se décollent sans effort. Puis un autre doigt glisse maintenant le long de ma fente. Je suis trempée par le plaisir. D’une légère pression il fait pénétrer ce doigt curieux, et me fouille délicatement. Je me sens inondée. Il le ressort, pour maintenant, s’intéresser à mon clito. Il tourne autour, le presse, le frotte. Je suis prise d’une première vague de jouissance. Les yeux toujours fermés, je mords ma lèvre inférieure pour ne pas gémir.
Mais soudain, je reviens à la réalité. Une main qui ne peut pas êtres celle de mon bienfaiteur, s’abat sur mon sein droit et le malaxe sans ménagement. Je sursaute, j’ouvre les yeux. C’est un homme assis derrière moi, qui voyant notre manège, s’invite sans y être autorisé. Je repousse son bras, et j’essaie de me redresser. Mon voisin ne voit pas cela d’un bon oeil, et accompagné d’un «Chuttttt!» appui sur ma cuisse pour m’empêcher de bouger. La peur, doucement, fait place au plaisir. Je me suis mise dans de sales draps. Craignant de faire du bruit et d’attirer l’attention des gens devant moi, je n’ose plus bouger. Le type, derrière moi, passe sa main sous mon pull et caresse mes seins. Il s’est calmé, et sa caresse est plus tendre, plus délicate que tout à l’heure. Je sens mes tétons se dresser. Il s’empresse de les faire rouler entre ses doigts. Ma poitrine sensible à ce genre de caresses me remplie de bonheur et fait monter d’un cran mon envie de jouir. Ma chatte est reprise d’assaut, et je suis de nouveau fouillée par des doigts experts. La surprise étant passée, le plaisir revient doucement.
Pas pour longtemps, car l’homme de derrière lâche ma poitrine et entreprend d’enjamber les fauteuils pour se placer à côté de moi. Il a fait un boucan de tous les diables, et plusieurs types se sont retournés, mais apparemment sans voir ce qu’il c’était passé, et reprennent le cour de leur film. Très sur de lui, il remonte mon pull jusqu’au-dessus de mes seins et les reprend à pleines mains. C’est un type d‘une quarantaine d’années. Il a les yeux exorbités, un regard vicieux et sadique qui me fait peur. Il penche la tête vers moi et me lèche un sein puis m’aspire un tétons. Je suis parcourue de frissons à ce nouvel attouchement buccal. Son manque de discrétion va finir par nous faire remarquer. Ma jambe gauche toujours prisonnière des genoux de l’autre homme commence à s’engourdir, quand soudain je sens quelque chose de dur frapper ma cuisse. De sa main droite il continu l’exploration de mon bas ventre, et de sa main gauche il a sorti sa queue et me donne des coups avec sur la cuisse. Voyant cela, le suceur fait de même, il sort son sexe, passe son bras autour de mes épaules et de sa main libre prend la mienne pour que je le masturbe.
Une fois que j’ai eu acceptée de le faire, sa main retourne à l’assaut de ma poitrine. Avant même qu’il me le demande, j’att**** celle qui me frappe la cuisse et je commence à appliquer une douce masturbation aux deux hommes. Leurs sexes sont durs, gonflés de plaisirs, de désirs. Mon manteau glisse et tombe à terre. Je suis offerte aux regards de ces deux hommes, quasiment nue. Ma jupe remontée n’est plus qu’une ceinture de tissus, et mon pull une écharpe. Je suis nue dans ce cinéma, à branler deux hommes qui me fouillent, me caressent. Une nouvelle vague de jouissance m’emporte dans un autre monde. Je ne vois plus, je n’entends plus, je suis ailleurs, je jouie. Je sens les sexes vivres et vibrer dans mes mains, ils deviennent plus durs. Ils sont secoués de spasmes, et se libèrent d’un coup. Celle du suceur arrose copieusement le dossier du fauteuil de devant et finie de gicler sur mes doigts, tandis que l’autre déverse sa liqueur sur ma cuisse, faisant de grandes traînées blanche sur mes bas noirs. Cette profusion de sperme me provoque un orgasme violent et je manque de crier. Dans mon délire, j’essuie ma main sur mes seins, mon ventre, étalant, massant le foutre jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. A ma gauche, le sexagénaire, très galant, essuie ma cuisse avec des mouchoirs en papier et une fois fait, je repose enfin ma jambe au sol. Je me redresse, baisse mon pull, réajuste ma jupe et me penche pour ramasser mon manteau. Mes cheveux sont agrippés par une poigne puissante et le sadique me tire violemment vers sa queue encore sortie. Elle est encore raide et très dure. Il la frotte sur ma bouche, tout en appuyant pour forcer le passage. Toujours par peur du bruit et pour éviter d’être remarquée, je cède. .
Le membre envahi ma bouche et exécute un va et vient. Il a encore le goût du sperme. Il va vite. Il va fort. Puis je le sens gonfler encore, par petits coups et soudain, il se vide de nouveau, remplissant ma bouche d’une giclée grasse et chaude. La main qui appuie sur ma tête, ne me donne pas d’autre alternative que d’avaler. La pression sur mon crâne se relâche. Je ramasse mon manteau, me lève, passe précipitamment devant le papi, qui ne manque pas de me remettre la main aux fesses. Je manque de tomber et arrive devant la porte au hublot. Toute tremblante, j’enfile mon manteau et jette un dernier regard à la salle pour voir si je ne vais pas être suivie et là… stupeur! Dans la rangée derrière mes deux compères, sont assis cinq hommes. Ils me dévisagent. Il ne fait aucun doute qu’ils ont matés tout le long. Le rouge remonte à mes joues.
Machinalement, avant de pousser la porte, je porte ma main à mes lèvres. Je sens, à une de mes commissures, un peu de sperme qui commence à sécher. Si ça se trouve, j’en ai partout. Impossible de sortir ainsi. L’idée de monter aux toilettes ne m’enchante pas, mais après tout, je suis une grande fille et je saurai me défendre s’il le fallait. Je longe, donc, la salle en direction de l’escalier, la tête baissée, en espérant qu’il n’y aura pas brusquement une image trop claire, qui anéantirait la discrétion dont j’essaie de faire preuve. C’est une fois dans l’escalier, que je me rends compte que de toute façon, on est obligé de me voir et de repérer que je suis une femme. Je veux juste vérifier mon apparence dans un miroir et repartir. Cela ne me prendra que quelques secondes. Je pousse la porte. Un couloir part vers la droite. Au bout un homme fume, adossé au mur, face à l’entrée des toilettes hommes. Mais avant cela, il y a une porte à deux battant, style western, indiquée comme étant les toilettes femmes. Je pousse les battants. Je suis de suite surprise par la propreté des lieux. Ces messieurs respecteraient t’ils cet endroit?
J’en suis très étonnée, mais ravie. Au dessus d’un lavabo nickel, il y a un miroir. Je me penche et inspecte mon visage. Tout va bien, il n’y a rien. La netteté de l’endroit me fait oublier que je suis dans un lieu peu fréquentable, et je décide de profiter de ma présence ici pour assouvir un besoin bien naturel avant de reprendre le métro. Je pousse la porte d’une des trois cabines disponibles, et m’assied après avoir déposé des feuilles de papier sur la lunette. Les coudes sur les genoux, je me perds un peu dans mes pensées. Un frôlement sur mes cheveux près de mon oreille gauche, me fait sursauter et je me redresse d’un bond. Je n’en crois pas mes yeux. Un sexe sort de la cloison, raide, dur, semblant me défier. Je n’avais pas remarquée ces deux trous de chaque cotés en entrant. Je ne sais plus quoi faire. Mon instinct me fait regarder dans l’autre. Je crois mourir en voyant un oeil me regarder. Paniquée, je me lève et tire la porte pour m’enfuir. Mais je n’y parviens pas. Elle semble bloquée de l’extérieur. L’oeil est maintenant remplacé par un membre, tout autant dressé que l’autre. J’ai trop peur. Je tambourine à la porte, suppliant qu’on me laisse sortir, menaçant même d’aller tout droit chez les flics. Une voix venue de je ne sais ou, m’informe qu’un mode d’emplois pour ouvrir la porte est indiqué sur celle-ci. Ce que je lis me consterne. Je n’aurais jamais crus que l’être humain pouvait être autant tourmenté. Entouré au feutre, effectivement, il y a un mode d’emplois, griffonné au stylo, presque effacé.
« Si la porte est bloquée, vous interdisant la sortie, veuillez vous rasseoir.
Astiquez correctement le ou les braquemarts qui vous sont présentés, suivi d’un pompage intense et complet.
Seule l’exécution parfaite de ces recommandations débloquera la porte.
Un refus, des insultes ou des cris provoquerait la colère de vos bienfaiteurs. »
Je suis scotchée. Je lis et relis ce que je pense être des conneries. Mais les deux choses qui me frôlent les cuisses sont bien réelles.
« Arrêtez vos conneries maintenant… Laissez-moi sortir! »
« Tais-toi! On t’a vu dans la salle. T’es une bonne salope. Tu peux le faire. »
Mes pauvres jambes ne me tiennent plus, elles tremblent trop. Je repose mes fesses sur les bouts de papier toilette, et ne sachant que faire, je prends ma tête dans les mains et commence à verser quelques larmes en silence. Mais qu’est ce que je fais ici? Comment en suis-je arrivée là? La réponse me parait tellement évidente. Je l’ai tout simplement cherché. A moi d’assumer. Facile à dire, mais je crois que je n’ai plus le choix. Du bout des doigts je touche une seconde les membres violacés. Ils réagissent de suite en relevant la tête. J’essaie de minimiser la situation. Ce ne sont que des bites après tout. Pas très convaincue par ma réflexion, je les empoigne tout de même et avec douceur commence à appliquer le premier paragraphe du mode d’emplois. Leurs contacts, leurs chaleurs, leurs duretés et leurs douceurs ne me laisse pas longtemps de marbre. Un trouble étrange m’envahi. Mes lèvres sont irrémédiablement attirées par ces deux bourgeons prêts à exploser. Je m’approche du premier et l’enveloppe de ma bouche. Derrière la cloison, un râle de satisfaction se fait entendre. Après plusieurs minutes, sentant le dénouement trop proche, je le délaisse, comme pour faire durer le plaisir, et engloutie l’autre qui n’avait pas quitté ma main.
A suivre…
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