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La bourgeoise et le mogrant(3)

La bourgeoise et le mogrant(3)



Je vis une renaissance du désir charnel depuis que je fais régulièrement l’amour avec Moussa, mon beau sénégalais. Et en plus, c’est inespéré ! je retrouve de temps en temps, Yves, mon mari, dans le lit conjugal, pour des nuits de folie ! C’est un véritable coquin, il m’a avoué que ma relation avec Moussa l’émoustillait, lui donnait envie de me faire l’amour ! Quelle histoire ! Nous sommes un couple bien étrange !
Je suis épanouie, désirée par deux hommes, j’ai envie de me faire belle pour chacun d’eux, ils m’adorent et me comblent. Ma vie est devenue un conte de fées ! Et je suis la fée !!Ma santé est extraordinaire, je digère très bien. Je ne souffre plus ces périodes trop longues de constipation qui m’agaçaient. Tout cela est excellent à l’approche de la ménopause. Florence, ma gynéco, m’a confortée sur ce point . Elle m’a dit ; « Faire l’amour est le meilleur moyen de se soigner » Je l’ai embrassée.
Je suis très contente de mon achat du lot de slips blancs kangourou, bien ajustés que Moussa porte régulièrement qui font plaisir à voir sur sa magnifique peau très noire.
Voilà pourquoi j’ai eu envie de faire partager l’évènement de ma vie, l’étonnement de l’imprévu dans ma vie bien rangée de bourgeoise (trop) tranquille. Je vais vous conter ma première fellation extraconjugale.
Mon mari, Yves, a décroché un marché de construction d’une résidence de logements sociaux. Après la signature, il a invité sa tribu au club libertin qu’il a fréquenté à Paris. Lui et moi, Moussa, mais aussi Mamadou . Mamadou, est lui aussi sénégalais, ami (ou cousin peut-être) de Moussa. Yves, mon mari, l’a pris en formation, ce qui a semble-t-il favorisé l’obtention du marché. Et nous voila dans ce club libertin.
C’est une discothèque, on s’assoit à une table, on commande le champagne, et puis on danse. Des morceaux lents, langoureux, et des danses africaines : Salsas, zouk, zumba. Mes trois hommes, à tour de rôle, m’entrainent sur la piste. Tout est très bien, très sérieux.
La fête est familiale.
Au début.
Des couples de danseurs s’étreignent cependant très fort, l’ambiance devient érotique. En dansant, j’évite les regards très appuyés, qui sont des invites non déguisées. On boit.
Je remarque que certaines tables se désertent, les occupants disparaissent vers un couloir. Yves m’encourage à m’y diriger. Avec Moussa et Mamadou, nous rentrons dans une chambre. Il y a un lit couvet d’un drap de satin rouge, des miroirs sur les murs… et au plafond.
Hé Bien ! On est tout de suite dans l’ambiance. Enfin, une certaine ambiance…
Je m’allonge à plat ventre sur lit, ces miroirs sont un peu gênants. Je me sens plus dénudée que si j’avais totalement quitté ma robe et mes dessous. Et Mamadou, discrètement en retrait mais toujours là ! Moussa me câline, me demande gentiment s’il peut masser mon corps. Il a senti mon début de gêne, le coquin ! Plus je le pratique, lus je constate qu’il n’est pas novice avec les femmes, malgré ses 25 ans.
Il me caresse avec ses grandes mains, j’adore ! Il a troussé ma robe, le soutien gorge est libéré.
Je demande : « – Pourquoi Mamadou est dans la chambre ?
-Je dois faire son éducation, c’est mon devoir de grand frère. C’est la première fois qu’il voit une femme blanche en culotte, tu es magnifique. »
Moussa se déshabille, j’ai toujours plaisir à regarder ce jeune colosse noir dans le slip blanc acheté récemment.
Moussa verse un filet d’huile d’Argan sur mon dos, c’est frais, je frémis. Se mains massent lentement mon dos, s’égarent sous la culotte, massent mes fesses, j’adore ! Mamadou masse mes cuisses, mes jambes, c’est délicieux ! J’ai les yeux à hauteur de la bosse sous le slip de Moussa, car je suis placée en travers du lit.
La nature fait son effet, la bosse gonfle, Moussa me prépare une belle érection ! Je veux voir, je baisse le slip. C’est excitant une verge dressée d’homme jeune ! Une folie me prend, j’empoigne ce membre vigoureux, je le prends dans ma bouche, je le suce. Le gland est doux, il gonfle, relâche, regonfle…Moussa a été surpris, il émet des petits gémissements de plaisir, cambre ses reins, contracte ses fesses. Je soupèse ses testicules, il contracte encore, me dit qu’il m’aime, je suis bien, j’ai envie que çà dure. Moussa prend ma tête à deux mains, et de ce fait, emprisonne, oblige ma bouche à continuer la fellation. Je ferme les yeux, ma tête tourne un peu, c’est comme une légère ivresse. Je n’ai pas peur, j’ai confiance, il ne souillera pas ma gorge.
Eh voilà ! à l’approche de la cinquantaine, j’ai pour la première fois offert une fellation à un homme autre que mon mari ! Je suis éblouie ! Cela est venu tellement vite et si facilement ! Mon Dieu !
Alors Moussa m’a regardée, m’a souri, et .droit dans les yeux m’a dit : « Merci ! « J’ai pris comme une décharge électrique dans le ventre. Je l’ai attiré sur moi, mes jambes ont dû s’écarter par réflexe inconscient, j’ai eu envie qu’il me pénètre, qu’on ne fasse qu’un seul corps. Mon ventre s’est noué quand son sexe est rentré doucement.
Alors le monde a chaviré autour du lit, les couleurs vives explosent devant mes yeux, c’est le paradis !
Il grognait de plaisir , poussait, poussait, je tenais un orgasme extraordinaire qui m’a abasourdie !
Boum ! dans ma tête. Et je flotte dans l’espace en apesanteur, dans un vide bleu intense. Je suis heureuse !
Comme s’est difficile de relater ce moment, cette explosion avec des mots ! Que la personne intéressée à me lire me pardonne ! Je l’embrasse ! C’est inexprimable un si violent orgasme ! Et ce jeune Moussa qui reste bien raide en moi. Ma fièvre retombe lentement, il continue ses va-et-vient, finit par se vider abondamment en gémissant. Et curieusement, un liquide coule entre mes fesses ! C’est le jeune Mamadou, il a profité du moment pour placer son sexe sur l’entrée derrière, espérant me sodomiser, mais il a lâché sa semence avant d’entrer.
Quand je reviens sur la terre, apaisée, je signifie à Moussa que son acolyte me gêne par sa présence, bien que discrète. Mais tout de même ! il ne s’est pas retenu, il m’a souillée. Moussa me demande des excuses, il a subi de fortes pressions du groupe de sénégalais, avides de savoir en détails « Comment c’était avec avec la femme blanche » J’ai accepté le jeu au club libertin, c’est déjà beaucoup. L’amour bien sur d’accord, mais pas en scène devant toute une tribu d’africains .
J’ai écouté des nouvelles des enseignantes donneuses de cours de français : C’est la grande débauche ! La rumeur se vérifie. Il s’est formé deux couples informels, cougar blanche (déplaisant mot anglais mais l’usage l’impose) avec jeune africain, et peut-être un troisième en gestation. Donc, je dois être relativement cougar. Et pour ce qui est la différence d’âge, je suis aimée, charnellement comblée, quel bonheur ! Pourvu que çà dure !
J’étais réticente quand mon mari m’a incitée à regarder xhamster pour adultes, et maintenant je participe ! Si je continue, j’irai en enfer ! D’écrire mon aventure est une confession. Qui me dira combien/comment je devrais expier ?

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