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Week-End à trois chapitre 4

Week-End à trois chapitre 4



Chapitre 4 : Le plat de résistance

Nous nous organisons pour n’être que trois l’après-midi. Sophie a déposé la petite après le déjeuné et j’en profite pour préparer la suite et papoter avec notre invitée.
En attendant Sophie je nous mets en conditions.
-Tu veux écouter de la zic ?
-Pourquoi pas ? Que me proposes tu ?
-Hum on reprends les familiarité ? Je ne crois pas que la surprise de ce matin te le permette.
-Pardon, j’avais oubli.
-Je viens de recevoir une bro de film, que de l’instrumental. C’est plutôt clair comme style.
-Ok cool, je vous suis Maître.
Je commence à bien apprécier cette appellation. Hier c’était vraiment bizarre comme comportement. Mais les choses à venir nécessitent un tout petit peu de cérémonial tout de même.
Arrivé au salon je mets un vinyle et me retourne.
-Bien Iris, maintenant déshabille toi, on va passer à ton grand moment.
-Tu es sur ? Tu me fais peur, on attend pas Sophie ?
-Non pas pour tout, allez fous toi à poil au lieu de poser des questions, rappelles toi ta condition.
Elle s’exécute, je prends quelques photos pour me rappeler et lie les mains. Plus qu’à l’attacher à une poutre et à attendre ma chérie.
-Voilà, tu es parfaite comme ça, ne t’inquiète pas je veille sur toi.
-Tu veux me faire quoi ?
-Chut, ne te pose pas de questions écoute la musique, on verra après. Retiens juste qu’on fait tout ça pour toi. Tu en sortiras plus forte.
Je l’embrasses sur le front pour la rassurer et me pose pour profiter de la musique.
Elle est nue et joyeuse. Pour ne pas l’user je lui offre un tabouret puis me pose. plaisir des yeux et des oreilles, comme il nous arrive parfois certains WE. Je suis content de moi et impatient qu’on démarre.
Avec Sophie on avait prévu cette petite séance à l’avance. Elle ne comprenait pas pourquoi je voulais lui mettre une bonne fessé sinon par sadisme. C’est pourtant simple. Le passage par la douleur et la soumission sont de mon expérience un moyen de se recentrer, une sorte de catharsis. Elle gagnera également une bonne grosse dose d’endorphine et juste ce qu’il faut de dopamine pour un orgasme dévastateur.
Je suis curieux de lire vos émotions durant ce temps de passion borderline. Et puis faire du sm avec quelqu’un qu’on respecte mais qu’on aime pas permet de se lâcher autrement. Sophie me verra entier, pour le meilleur j’espère. Elle est prête à me suivre, dans ses limites bien sûr. Je ne sais pas quelles sont ses motivation. Comprend elle les mienne ? Veux elle me suivre, se prouver quelque chose, faire mal pour x raison ? Nous serrons rapidement fixé. Pour Iris c’est plus simple, elle est soumise et elle savait d’avance que je lui lancerai des piques, elle connaît mes penchant et accepte ses sentiments.

Ainsi au retour de Sophie, Iris sent déjà la chatte, elle suinte en imaginant ce qui pourrait t’arriver.
-Vous ne vous êtes pas ennuyé en m’attendant à ce que je vois.
-Comme tu vois, je profite mais juste avec les yeux en t’attendant.
Je mets un point d’honneur à ne rien faire sans elle. Je regretterai qu’elle le fasse alors pourquoi tenter le diable ?
-Lèves toi et écartes tes jambes soumise ! Tu vois comme elle est impatiente de jouer la coquine ?
-Oui mes maîtres.
-Ah oui elle poisse carrément, c’est presque tentant. Allé profite en mon chou.
Je passe un coup de langue pour t’éponger et te distraite alors que Sophie mords tes tétines avec les pinces vertes (mes préférées). Tu réagis en te voûtant et en râlant sur chaque pince, comme si tu pouvais te soustraire.
-Plus de préambules, je vais te claquer une série de 10 sur chaque fesses.
Ma main est sûre, je suis déterminé à te faire ployer. Tu m’as toujours dis que tu résistes bien aux fessés. On va vérifier.
Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac …
Tu as crié au premiers coups, mais plus de surprises qu’autres choses. Ta peau est tout juste rosé mais tu encaisses. On va pouvoir aller plus loin.
Madame se munit d’une cravache et la passe sur tes seins, décolle les pinces qui pendent contre ton ventres, tu gémis de plaisir.
Paf, Paf, ! Encouragée, elle fait de belles marques sur le plat desseins, quasi parallèles, on ne dirait pas qu’elle débute.
Elle comme moi ne voulons pas t’épargner. Tu as besoin de tous nos soins et de toute notre science. Paf, Paf, Paf, Paf ! Nouvelles stries dans le gras des cuisses, vrais cris cette fois. Merci de nous les offrir. C’est bon de crier, c’est légitime et salvateur.
La cravache passe entre tes cuisses, autant pour te détendre que pour vérifier que tu aimes ton traitement.
-RAS elle brille au soleil, on peut continuer.
Je reprends ma battée et te baffe 20 fois cette fois.
Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, CLAC … Tu bouges sur place, pas pour te dérober, ce serait inutile, non tu viens à ma main et te tends pour mieux recevoir. Tu me défies, je l’accepte et monte en puissance. Au derniers coups tu as droit à toute la dose. Ma main me brûle mais tu n’abandonnes pas. Tes fesses sont joliment rouges et ton souffle complètement fou. Nous te serons contre nous pour te calmer.
Les pinces rendent tes tétons violet, de vrais petites mures. On se mets face à toi et sur un clin d’œil les enlevons en cœur. Tu hurles et vrille sous le choc. Grosse décharge d’adrénaline et d’endorphine.
On t’agrippe et t’écrase les nichons, tes tétons durs s’enfonce à l’intérieur. Ils redeviennent rose et amplifie la pâleur de tes auréoles. Mes dents et mon aspiration te font pleurer. Les traces blanches des pinces laissent place à d’autres.
Sophie s’accroupit pour que je fasse la stéréo. Elle ne peux pas s’empêcher de me sucer au passage. Je suis déjà dur comme du bois. Elle me crache alors que mon gland est violet. Je m’arrête quand les deux seins sont rouges. Je me suis régalé.
Irradiation de douleur dans ton bas ventre, tu as une pince de chaque coté. On met un bout de schotch pour les relier à tes cuisses. Ta chatte peux respirer mais quand tu bouge tes lèvres te rappelles que l’on veut ton bien.
Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac !
Nouvelle série de 10 qui résonne, le bruit est franc, un vrai gros CLAC. J’y mets tout mon art et tu cries enfin à chaque coup. Je ne saurais dire si c’est les claques ou les pinces qui te font le plus de bien mais tu as les yeux dans le vide. Tes cris sont des décharges, il n’y a rien à en tirer. Tu accuses le coup et pendant la récupération tu renifles et baves. Tu évites nos regard de peur d’en prendre plus. Tes bras s’enquilose et ta chatte coule toujours. Tes fesses sont devenues rouge vif, tout cet afflu de sang ne peux que se répercuter devant. On va pouvoir aller plus loin dans le scénario.
Sophie enfile le gode ceinture et te le glisse entre les cuisses. Cette pénétration te réveille de ton voyage intérieur, tu l’embrasses. Tu as besoin de lui montrer ta gratitude, première émotion positive depuis le début de la séance. Je graisse ton cul et m’équipe pour la suite. Ses bras te serrent fort, je prend un peu de recul pour vous regarder. Le bassin de Sophie va doucement d’avant en arrière, tirant tes petites lèvres brunes à chaque va et vient. Ton cul devient écarlate, brillant de sueur comme ton dos. Tu n’as plus la force de te tenir droite, tu pends sur tes bras. Tu as mal mais ne le dis pas, tu ne dis rien d’ailleurs. Tu explores les sensations qui te divisent. Tu souffres mais tu prends plaisir à te faire punir et à te faire baiser. La chaleur de ton cul s’est bien déployé sur ta chatte, sur ton ventre mais le reste de ton corps aussi. Tes fesses pulsent à chaque battement de cœur et ton plaisir malsain est au diapason. Je ne veux pas te faire jouir comme ça. Ton voyage n’est pas finit.
Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac ,Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, Clac, CLAC, CLAC, CLAC, CLAC !
Je t’offre une dernière série de 25 coups sans me retenir. Tu hurles encore, aussi fort que tu peux environs jusqu’à mi-parcourt. Sophie te maintient pour que tu ne devises pas, il serait dangereux que je frappe tes reins. Puis tu t’évades, tu te laisse faire comme une poupée de chiffon. Ton esprit se rend, tu es complètement ailleurs, dans le subspace. La douleur et le plaisir se mêlent étroitement, tu ne peux plus déchiffrer ce que ton corps te dit. Je termine ma série avec une banane et une trique incroyable. Tellement fier d’avoir réussi à te guider là.
En récompense je t’encule jusqu’aux couilles pour rejoindre Sophie. On t’en-fouille en décalé, tu es trop serrée pour tout prendre à la fois. Le god me masse magnifiquement à chaque croisement et la chaleur que tu irradies me brûle presque. J’imagine la douleur quand mon bassin claque contre ton cul et en tire une grande excitation. Je force le passage et griffe tes omoplates pour te laisser percher. Tu dois faire peur, Sophie ne peux plus te regarder, elle se dépasse elle aussi pour finir la séance. Elle me dira plus tard que tu avais le regard absent, comme une droguée et que tu bavais énormément, la bouche ouverte et déformée par le plaisir douloureux.
-Sort d’elle, enlèves lui les pinces avant qu’elle jouisse.
-Tu crois vraiment qu’elle peux jouir ?
-Je ne sais pas mais je veux qu’elle se réveille, ce serait con qu’elle s’évanouisse avant.
-Tu es taré. Clic clic
Haaaaaaaaaaaa ! ton cri vient du ventre, il est grave et très long.
Ton cul me serre férocement quand elle se retire. Tu marmonnes et le retrait des pinces réveille ta condition, tes derniers cris de douleur. Elles sont restées moins longtemps qu’en haut mais tu chavires quand même. Tu es prise de tremblement, j’invite Sophie a te reprendre le con mais elle n’ose pas. Elle est effrayée par le spectacle. Dommage, je me réactive comme une bête, je veux que tu te souviennes longtemps de cette séance. J’explose dans un dernier claquement de bassin et te travail tant que je tiens dedans. Tu jouis en continu depuis le retrait des pinces, tu n’est qu’une longue complainte, alternant les bruits bizarres et les ouiiiii. Dès que tu t’arrêtes de convulser nous te libérons et te guidons sur une serviette. Tu te mets en boule et pleurs. Ta séance aura duré près d’une heure depuis ton installation.

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